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(28/04/2010 09:54:37)

Selon IDC, les activités de services seront toujours à la peine en 2010

Pour le cabinet d'études, la croissance devrait en effet être quasiment nulle cette année. Il faudra attendre 2011 pour que le marché progresse réellement en valeur, en l'occurrence de 2,2%. Poussant plus loin dans le temps ses prévisions, IDC table sur un taux de croissance annuel moyen de 3,4% entre 2010 et 2014.

La reprise timide dont devrait bénéficier les économies européennes dans les 12 prochains mois explique cette hausse tout aussi timide du marché des services IT en Europe de l'Ouest. Et, bien que les entreprises recommencent à investir, la pression exercée sur les prix explique l'incapacité du marché à en tirer profit à court terme. Ce sont notamment le recours aux prestations offshore et à la virtualisation qui contribuent à tirer les tarifs et le coût global des contrats vers le bas.

Comparé au reste des pays européens, ceux de l'Europe du Nord, de l'Allemagne et de la Grande-Bretagne tireront mieux leur épingle du jeux dans le 12 mois à venir. Les revenus de leurs marchés des services surpasseront la moyenne de l'Europe de l'Ouest. Le marché français devrait suivre quant à lui la tendance générale. (...)

(27/04/2010 12:26:54)

Le comité d'actionnaires de Prologue répond au PDG démissionnaire

L'annonce, la semaine dernière, de la démission d'Eric Dermont, PDG de Prologue, suivie d'une lettre de celui-ci expliquant sa décision, a suscité en retour la diffusion d'un communiqué de presse émanant cette fois du comité d'actionnaires de la société française d'édition de logiciels et d'intégration de solutions. Ce comité, qui indique rassembler plus de 40% des droits de vote de Prologue, est représenté par Georges Seban, fondateur et ancien président de la société.

Dans le document, il est indiqué que le comité d'actionnaires avait décidé d'obtenir la révocation d'Eric Dermont, auquel il reprochait d'avoir « réalisé à titre personnel l'acquisition de l'activité Maintenance Applicative de la société EDS France », opération que le PDG avait précédemment « négociée pendant près d'un an au nom de la société Prologue ».

Estimant que la société avait par conséquent subi un préjudice, le comité d'actionnaires a assigné Prologue, en date du 16 avril 2010, devant le Tribunal de Commerce d'Evry, pour que soit nommé un mandataire chargé de convoquer une assemblée générale afin de décider de la révocation du PDG. Demande qui, selon les membres du comité d'actionnaires, aurait précipité la décision d'Eric Dermont de donner sa démission. Celle-ci devait intervenir aujourd'hui, mardi 27 avril.

Illustration : Eric Dermont, PDG de Prologue et d'Effitic (crédit photo : DR)

(...)

(26/04/2010 14:33:29)

Devoteam met la main sur Tieto France

La SSII Devoteam annonce le rachat des activités françaises du groupe scandinave Tieto, spécialisé dans la planification et l'ingénierie des réseaux mobiles ainsi que dans la conception de datacenters. Fondé en 1994, Tieto France est basé en région parisienne et compte 120 collaborateurs environ. L'entreprise devrait réaliser 20 M€ de chiffre d'affaires en 2010, dont 30% à l'international, principalement au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Son rapprochement avec Devoteam sera consolidé à compter du 1er mai prochain. (...)

(23/04/2010 11:58:59)

Annuels Wipro : les services offshore reprennent

Après Infosys et Tata Consultancy Services, c'est au tour de Wipro, la troisième SSII indienne, de communiquer des résultats financiers en nette hausse sur le premier trimestre de l'année 2010 qui constitue aussi pour ces trois sociétés le quatrième de leur exercice fiscal.

L'activité reprend un cours normal, selon Wipro. Le groupe de Bangalore a bénéficié d'un redémarrage sur les services IT en offshore. Sur le trimestre écoulé, il a réalisé un chiffre d'affaires total de 1,55 Md$ dont 1,17 Md$ ont été générés avec les services IT. A l'instar de ses deux concurrents, Wipro a relancé les embauches en prévision d'un accroissement de cette demande, recrutant 5 325 salariés entre janvier et mars 2010, ce qui porte à 108 071 personnes son effectif à la fin du mois dernier. La SSII dit avoir gagné 27 nouveaux clients sur la période.

Sur les douze mois de l'exercice fiscal, les services IT ont pesé près de 75%  des revenus de Wipro, soit 4,5 Md$ (en hausse de 1,6% par rapport à l'an dernier) sur un chiffre d'affaires total qui s'élève à 6 Md$. La SSII propose aussi des solutions d'ingénierie, des services d'infrastructure, des offres de BPO (business process outsourcing) et de matériel. Elle intervient également dans le service client. Globalement, la société ne fournit pas le détail de ses profits par segment d'activité.

Illustration : Azim Premji, Président de Wipro (Crédit photo : DR)

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(22/04/2010 15:31:41)

Steria ouvre une plateforme d'infrastructure informatique en ligne

François Enaud, PDG de la SSII française Steria, a présenté ce matin avec Cisco une offre de plateforme informatique à la demande (« as a service »), assortie d'un paiement à l'usage. Celle-ci repose sur l'infrastructure de serveurs pour datacenter Unified Computing System (UCS), mise au point par le constructeur américain. L'annonce réalisée par webconférence s'est donc faite conjointement avec Laurent Blanchard, vice-président Europe de Cisco.

A partir de juin prochain, les entreprises pourront, en passant par un portail Internet sécurisé, accéder à cette plateforme baptisée par Steria "Infrastructure On Command" pour en exploiter les ressources informatiques (puissance de calcul, capacité de stockage...), en fonction de leurs besoins, en ne payant que pour les services consommés.

Un processus entièrement automatisé

Karine Brunet, directrice des services industriels de Steria, a expliqué la mise en oeuvre de la plateforme de cloud computing. Le client se connecte au catalogue de services et formule sa demande de ressources à partir de laquelle va s'enclencher, par le biais d'un processus automatisé, le provisionning des ressources auxquelles l'utilisateur aura accès trente minutes plus tard.

Offre Infrastructure On Command de Steria
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« Aucune intervention humaine n'est requise, souligne-t-on chez Steria. On peut ainsi augmenter sa puissance informatique en fonction de besoins qui peuvent être ponctuels, par exemple, pour disposer d'un environnement de test ou d'un environnement de production plus puissant pour une période donnée ». Ainsi, François Enaud pressent que le secteur de la distribution, avec ses contraintes de saisonnalités, ou encore les opérateurs télécoms, qui ont besoin d'augmenter rapidement leurs capacités de réponse, figureront parmi les premiers clients de l'offre. Au-delà de ces cas précis, ce service concerne potentiellement tous les secteurs d'activité.

Steria accompagnera cette mise à disposition d'une offre de services associés. Les niveaux de contrats de services dépendront de l'usage.

Plusieurs acteurs proposent déjà des offres de PaaS, Amazon faisant figure de pionnier dans ce domaine avec EC2 (Elastic Compute Cloud). Parmi les annonces des derniers mois, en France, figurent notamment celles d'Orange, de Microsoft et d'Atos Origin. De son côté, SGI propose d'accéder en ligne à un environnement HPC pour le calcul scientifique et Bull prévoit de le faire sous peu.

Illustration : François Enaud, PDG de Steria

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(22/04/2010 09:42:02)

STS Group acquiert Deal IT, spécialiste de la location informatique

A peine a-t-il redressé Risc Group, que l'éditeur STS Group prend le contrôle d'un loueur informatique : Deal IT. La situation est aux antipodes, Deal It est une société saine qui a réalisé 12 millions d'euros de chiffre d'affaires lors de son dernier exercice clos  le 30 septembre dernier, avec 150 000 euros de bénéfice net. Deal IT devient une filiale de STS Group, ses offres de financement seront complémentaires des offres de Risc, c'est la raison du rachat.

Les dirigeants de STS ne débarquent pas en terre inconnue.  Le Pdg lui-même, Bertrand Calvignac,  est un ancien de ECS et d'Econocom . Le nouveau président de Deal It, Alain Blaise a évolué chez Arius (groupe BNP Paribas) et dirige les activités de STS au Bénélux ainsi que la partie Business partners de Risc Group, celle des ventes en indirect.Outre cette connaissance du métier de la location informatique, STS Group estime que le financement devient une partie essentielle de l'activité du logiciel. Financer permet d'étaler les paiements, c'est également un moyen de passer au Saas et de conforter la vente et le partenaire en indirect.  Intégrer cette activité évite également, tout simplement, de la confier à des tiers.

Ce rachat est donc complémentaire de celui de Risc Group et va prendre tout son sens avec la réorganisation de cette société opérée en quelques semaines par STS.  Risc est désormais déployé en trois activités qui pourront toutes faire appel à Deal IT : Inbox (la sauvegarde pour TPE-PME de moins de 100 postes) qui pourra en totalité recourir aux activités de financement, IT Solutions (dédiée aux moyens et grands comptes et introduite en bourse) dont les ventes pourront être re-finançables, business partners (ex MonDsi) qui fait appel à plus de 300 partenaires, potentiellement intéressés par le financement. (...)

(21/04/2010 12:46:47)

Le cloud computing, un enjeu national pour l'Afdel

Les applications du cloud computing se concrétisant de plus en plus nettement, différents acteurs français de la IT expriment tour à tour l'urgence d'en maîtriser les enjeux. L'Afdel, association française des éditeurs de logiciels, vient en particulier de publier un livre blanc intitulé « Cloud computing - Une feuille de route pour la France ». Cette brochure illustrée de 80 pages doit être adressée aux pouvoirs publics et aux principales organisations professionnelles, dont le Medef et le Cigref.

L'Afdel souhaite une consultation publique sur ce sujet, afin de définir les orientations des appels à projets dans le cadre du Grand Emprunt. Rappelons que ce dernier doit consacrer 2,5 milliards d'euros aux contenus et aux usages innovants du numérique, tandis que 2 milliards contribueront à déployer des infrastructures Internet à très haut débit.

Le début d'une autre ère de l'informatique

La semaine dernière, l'association a réuni ses adhérents à Paris pour leur présenter les conclusions de son groupe de travail sur le cloud computing. En substance, l'association prend acte que celui-ci annonce « la fin d'une ère de l'informatique, celle des systèmes d'information juxtaposés, de façon parfois chaotique (...) et le début d'une autre » qui se présente sous la forme de services numériques « disponibles en tout lieu, à la demande et pour toute organisation, quelle que soit leur taille ».

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Le SaaS (software as a service) est pour l'instant le principal moteur du cloud, souligne Patrick Bertrand, président de l'Afdel, en préface du livre blanc. Il rappelle que cette évolution est évidemment poussée par le développement des usages grand public (webmail, messagerie instantanée, réseaux sociaux) : « L'informatique de demain sera donc 'user friendly' ou ne sera pas... », d'où l'importance du logiciel, notamment, qui reste la dernière interface avec l'utilisateur.

Mais, au-delà, « si l'informatique de demain devient une industrie lourde, celle de datacenters géants, nous devons en relever le défi, insiste Patrick Bertrand. La France a besoin d'une politique industrielle [...] créatrice d'emplois ». Le président de l'Afdel pointe le risque de voir les services suivre la délocalisation des emplois industriels.

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(21/04/2010 12:24:41)

Apec : reprise modeste confirmée pour l'informatique

Avec 76120 annonces publiées par l'Apec au cours du premier trimestre 2010, le marché des offres d'emploi cadre enregistre à nouveau une hausse : +27 % par rapport à la même période de 2009. C'est ce qu'indique la note de conjoncture trimestrielle publiée aujourd'hui par l'organisme pour l'emploi des cadres. Pour la plupart des fonctions et des secteurs dont le volume d'offres avait fortement décru en 2009, la tendance s'inverse en ce début d'année.

Dans l'informatique, la moitié des entreprises qui recrutent déclarent que leur capacité de recrutement est actuellement plus élevé qu'il y a un an, ce qui pourrait témoigner d'une reprise dans ce secteur : ainsi,  les activités informatiques (24 % des offres), dont le volume des offres était en recul au quatrième trimestre 2009 (-17 %) progressent à nouveau au début de l'année 2010 (+19%) Au niveau de la diffusion des offres, au cours du premier trimestre 2010, 18 174 postes étaient à pourvoir dans l'IT, contre 15 321 annonces durant de 2009. L'informatique (près de 3 offres sur 10) enregistre ainsi une progression proche de la moyenne (+ 25 % par rapport au premier trimestre 2009).

Reste que toutes les fonctions ne profitent pas de cette hausse : c'est notamment le cas de la filière maîtrise d'ouvrage et fonctionnel qui accuse un recul de 23 %. À l'inverse, la demande en informatique de gestion et dans les systèmes, réseaux, données progresse respectivement de 21 et 20 %. Les études et la R & D (13 % des offres) affichent toujours un léger recul au premier trimestre 2010 ( - 8 %). Les projets scientifiques et techniques, moins touchés, sont proches de la stabilité (- 2 %), tandis que la conception, recherche et la fonction test, essai, validation, expertise reculent plus fortement (respectivement - 16 % et - 15 %).

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Pourtant, les perspectives d'une reprise lente se confirment, puisque 82 % des entreprises de la high-tech prévoient de recruter des cadres au cours deuxième trimestre 2010 contre 74 % au deuxième trimestre 2009. De plus, la moitié des entreprises qui recrutent déclarent que leur volume de recrutement est actuellement plus élevé qu'il y a un an, ce qui pourrait témoigner d'une reprise dynamique dans le secteur.

Un marché de l'emploi moins tendu

Un certain optimisme est également de retour dans l'ingénierie-R & D (13 % des offres). avec des prévisions de recrutement au deuxième trimestre 2010 en hausse de 16 points par rapport au deuxième trimestre 2009.  Si la  gestion du turn-over reste en général le principal motif d'embauche de cadres, il constitue le motif principal des recrutements pour seulement  20 % des entreprises de l'informatique. Dans ce  secteur, le fonctionnement par projet prédomine, et le développement de l'activité reste, en effet, le principal motif d'embauche.

Cette tendance à la détente du marché de l'emploi cadre est totalement confirmée par le sentiment des recruteurs quant à la difficulté à trouver des candidats adaptés aux postes à pourvoir. Cette tendance affecterait moins le fonction informatique, dont le taux de difficultés à recruter a reculé par rapport à 2009, passant en un an de 81 % à 61 %. On peut faire le lien avec le nombre de candidatures par offre, qui a fortement augmenté dans la filière au cours de la même période, passant de 21 candidatures à 40. Après une période de flottement et des ajustements, les recruteurs se trouvent à présent face à un marché de l'emploi cadre moins tendu, avec des volumes moindres et plus de candidats disponibles.

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(20/04/2010 13:00:21)

Trimestriels IBM : les services reprennent doucement

IBM a enregistré une hausse de 13% de son bénéfice net sur son premier trimestre fiscal, clos le 31 mars dernier. Son chiffre d'affaires a progressé de 5,3%, à 22,86 Md$, par rapport au premier trimestre 2009. Big Blue le doit principalement à sa division Global Technology Services (GTS qui regroupe les services IT, la maintenance, le conseil en infrastructure et l'outsourcing), dont le chiffre d'affaires a augmenté de 6,3%, à 9,3 Md$, ainsi qu'à sa division Logiciels, en hausse de 10,6%, à 5 Md$. Cette dernière regroupe la partie Information Management (Cognos, DB2, l'ECM avec FileNet, Informix et Infosphere), mais aussi les offres Lotus, Rational, Tivoli, WebSphere, ainsi que les logiciels destinés à ses mainframes System z. La marge brute de sa division GTS s'établit à 34,4% et celle de sa division Logiciels est toujours aussi élevée : 84,6% (84,2% au premier trimestre 2009). A noter la hausse de 23% sur les ventes de logiciels d'administration Tivoli et de 13% sur les produits middleware WebSphere.

En revanche, le chiffre d'affaires de l'autre activité de services, Global Business Services (GBS, soit le conseil et l'intégration de systèmes et d'applications) reste pratiquement étal, à 4,41 Md$. Prise dans son ensemble, l'activité services d'IBM, qui rassemble GTS et GBS et pèse 60% du chiffre d'affaires global, n'aura donc progressé que de 4,2% sur ce premier trimestre, à 13,7 Md$. Big Blue souligne néanmoins qu'il a signé sur la période treize contrats de services dépassant les 100 M$, ce qui atteste tout de même d'une certaine reprise des investissements.

Hausse sur les projets décisionnels et Smart Planet

Sur ce trimestre, Sam Palmisano, le PDG d'IBM, attire l'attention sur les bons résultats obtenus par le groupe dans trois domaines : les activités liées aux applications analytiques (BI), les solutions Smarter Planet (projets de développement durable dans les villes autour d'une meilleure gestion de l'énergie, des transports et des questions de sécurité) et, enfin, les économies en croissance. Les revenus de la zone Asie/Pacifique ont augmenté de 10% à 5,3 Md$ (mais de 1% seulement à taux de change constant). La zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) a progressé de 5% à 7,6 Md$ (-2% à taux de change constant) et la zone Amériques de 2% à 9,5 Md$ (étal à taux de change constant).

Illustration : Sam Palmisano, PDG d'IBM (crédit photo : IBM)[[page]]
System x en hausse, System p et z en baisse

La division Systems & Technology qui couvre son activité matériel a de son côté augmenté de 4,9% par rapport à l'an dernier, à 3,385 Md$. Sur cette partie, les performances sont inégales. Ainsi, les ventes de System x (plateformes x86 sur processeurs Intel et AMD, systèmes de stockage) ont grimpé de 36%, mais celles réalisées sur les technologies 'maison', les System z (mainframes) et Power (pSeries et iSeries), ont chuté de 17%. IBM escompte toutefois une remontée sur ces matériels un peu plus tard cette année, avec la livraison des prochains System z.

Quant à l'activité Global Financing d'IBM, qui ne représente que 2,3% de son chiffre d'affaires global, elle recule de 7,1%, à 537 M$, mais avec une marge brute de 49,8%.

Pour Dov Levy, analyste financier chez CM-CIC Securities, ces résultats mitigés confirment que le groupe n'a pas encore profité de la reprise de la demande « qui s'annonce progressive ». Il estime cependant que celle-ci devrait s'accélérer à partir du deuxième semestre si l'on considère « la forte progression des prises de commandes dans le conseil qui montre que les grands groupes recommencent sérieusement à réfléchir » à réactiver « leurs projets de transformation ».

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(19/04/2010 10:29:21)

Annuels 2009 : Micropole-Univers en demi-teinte

Micropole-Univers est l'une des rares SSII à publier des chiffres  positifs sur 2009. Son chiffre d'affaires progresse de 2% à 94,2 millions d'euros (M€). Le résultat opérationnel courant est de 3,6 M€ en 2009, contre 4,4 en 2008, représentant 3,8% au lieu de 4,8%. Le résultat net est pratiquement stable : 2,7 M€ contre 2,8 M€ soit 2,9% contre 3%.

La SSII fait également ressortir sa situation financière. Le coût de l'endettement a été divisé par trois sur la période. L'endettement net est de 1,1 M€ en fin d'exercice (31 décembre 2009) contre 2,3 à la fin du précédent.  Micropole-Univers  dispose de 53,1 M€ de fonds propres et d'une trésorerie de 16,2 M€.

Pour 2010, Micropole-Univers anticipe une « croissance organique significative ».

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