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SSII
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(18/05/2010 09:31:05)
Caliséo se sécurise en rachetant Claritis
Caliséo, intégrateur réseaux basé à Lyon, souhaite atteindre une couverture nationale. En 2007, il rachetait TelData, devenue une agence régionale en Ile-de-France, baptisée Caliséo IDF. Aujourd'hui, il reprend son homologue lyonnais Claritis, qui évolue également sur la Bourgogne et la Franche Conté, sur des prestations de sécurité.
« Nous sommes très complémentaires, souligne Eric Lefresne, Pdg de Caliséo. Nous avions déjà une activité sécurité chez Caliséo, mais Claritis nous apporte ses compétences en sécurité des applications et des données et dans le domaine de l'optimisation des flux ».
Caliséo se donne plusieurs mois pour intégrer Claritis. Pour des raisons juridiques, puisque l'exercice annuel de Claritis s'achève au 31 juillet, celui de Caliséo l'étant au 30 juin. Après ces clôtures de comptes, au cours de l'été prochain, l'intégration se concrétisera. Au plan géographique, cette intégration se réalisera dans les locaux de Caliséo. En terme d'organisation, les équipes de Claritis rejoindront les équipes réseaux et sécurité de Caliséo, qui compte au total une cinquantaine de salariés.
Pour la suite, l'exercice 2010-2011, Eric Lefresne souhaite s'engager sur plusieurs axes de développement. En augmentant l'activité en Ile-de-France qui ne représente encore que 20% des on chiffre d'affaires. En développant ses activités de services, qui représentent 35% du CA et devraient passer à 40% aussi bien en maintenance qu'en analyse et déploiement. Enfin, Caliséo compte se renforcer dans le grand sud pour devenir vraiment un acteur d'ampleur national.
Groupe Open recrute une centaine d'ingénieurs en Rhône-Alpes
La société de services informatiques Groupe Open s'est fixée pour ambition d'atteindre un effectif de 700 collaborateurs en région. Pour cela elle s'est lancée dans une importante campagne de recrutement en Rhône-Alpes. Cette vague concerne plus précisément les sites de Lyon, Grenoble, Saint-Etienne et d'Aix en Provence, qui rassemblent actuellement près de 600 personnes. « L'ambition d'Open est de mieux développer sa valeur ajoutée client, grâce à une taille critique plus importante au niveau régional,» expose Benoît Pain, directeur régional Rhône-Alpes et Sud-Est. « Sur Lyon, notamment, la croissance de ces dernières années s'est poursuivie avec des clients majeurs oeuvrant dans le transport, la banque ou l'industrie. ». Dans la région lyonnaise, les profils recherchés sont principalement des ingénieurs d'études et conception, et des chefs de projet expérimentés sur les technologies Java/J2EE, sur les portails Open Source (Liferay) et Microsoft Silverlight. La SSII cherche, par ailleurs, à embaucher des chefs de projets expérimentés en pilotage de programmes « pour répondre aux besoins de notre activité dont les engagements de résultats sont en forte croissance », souligne le directeur régional.
Miser sur la cooptation pour attirer les profils
A Grenoble, l'entreprise compte activement sur des spécialistes télécoms, des professionnels de l'informatique industrielle et du génie logiciel, et des experts du M2M (Machine To Machine). Reste qu'en dépit de la crise, certains profils demeurent toujours difficiles à trouver, ce qui nécessite de s'appuyer sur différents canaux de recrutement pour trouver les perles rares. «Nous avons planifié une soirée de cooptation nationale qui aura lieu le 3 juin », ajoute Benoît Pain. Des opérations de jobdating se tiendront également à Lyon et Grenoble. « Courant juin, des petits-déjeuners sur le thème du M2M devraient renforcer notre notoriété et nous permettre d'attirer un maximum de candidats. », poursuit Benoît Pain
Regroupant près de 3 700 collaborateurs en France et à l'international, la société de services informatiques née de la fusion, en janvier 2010 , entre Teamlog et Sylis, intégrera, en parallèle, 400 personnes au niveau groupe dans le courant de l'année.
Illustration : implantations du Groupe Open (crédit photo : site web open-group)
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Trimestriels Osiatis: un retour à une légère croissance
Le premier trimestre de l'année 2010 a mis fin à une période de baisse d'activité qui durait depuis le quatrième trimestre 2008 pour la SSII. Toutefois, il n'y pas matière a susciter un sentiment d'euphorie. En effet, le chiffre d'affaires de 60 M€ enregistré lors des trois premiers mois de l'année ne traduit qu'une hausse de 0,7% des revenus d'Osiatis a période comparée de 2009.
C'est l'activité de la SSII en France qui tire ses résultats vers le bas. Le chiffre d'affaires y a atteint 51,1 M€, soit un retrait de 1,5%. En revanche, ses filiales en Autriche, en Espagne et au Benelux ont toutes enregistré une hausse à deux chiffres de leurs revenus qui, cumulés, représentent un montant de 8,8 M€.
Pris par activité, les revenus d'Osiatis reposent à 87% sur les services aux infrastructures. Dans ce domaine, la SSII a donc réalisé un chiffre d'affaires de 52,2 M€ dont la hausse atteint 2,9% par rapport au premier trimestre 2009. L'activité développement nouvelles technologies se replie en revanche d'1 M€ à 7,8 M€.
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Des géants en Ile-de-France mais des nains dans le monde
Commençons par le « verre à moitié plein ». Donc, l'Ile-de-France représente à elle seule plus de 40% des services informatiques en France, qui ont été générés par 28 200 établissements en 2009. La concentration de l'activité apparaît encore plus clairement si l'on se base sur l'implantation des sièges sociaux : sur les 50 premières entreprises du secteur, 42 ont leur siège social en Ile-de-France, selon le cabinet CROCIS, émanation de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Paris. Et si l'on analyse cette concentration au sein de l'Ile-de-France, le résultat est sans appel : Paris et les Hauts-de-Seine pèsent ensemble environ les deux tiers de l'activité, quel que soit le critère retenu (chiffre d'affaires, nombre de sièges sociaux, effectifs...).
Cela étant posé, on doit constater que plus de la moitié des établissements enregistrés sont des sociétés de conseil informatique, et que les éditeurs (censés être les principaux producteurs de richesse), ne représentent que 38% du total.
Ce nouveau recensement des sociétés de services informatiques présentes en Ile-de-France confirme par ailleurs que le niveau de concentration est plus avancé dans ce secteur que dans les autres. Certes, on peut considérer que les établissements qui comptent plus de 10 salariés ne représentent que 20% du total, mais il faut alors rappeler que cette proportion est de seulement 6% si l'on considère l'ensemble des services aux entreprises.
Un autre chiffre témoigne du dynamisme de cette filière en Ile-de-France : le nombre de créations d'entreprises dans ce secteur est quasiment deux fois supérieur au nombre de fermetures (3 674 contre 1 838 en 2008, selon les chiffre de Coface).
Crédits photo D.R.
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Passons maintenant au « verre à moitié vide ». Dans la même étude, le CROCIS rappelle la « violence du choc » subi par les petites et moyennes SSII ces deux dernières années : chute des prix, absence de visibilité sur l'évolution du carnet de commandes, allongement des délais de décision, retards de paiement, baisse des chiffres d'affaires, etc.
Le cabinet d'études en vient à se demander si le modèle économique des services informatiques n'est pas « en bout de course » en ce qui concerne les structures les moins importantes.
Dans ce contexte, CROCIS met en lumière plusieurs tendances : d'une part, les petites et moyennes SSII cherchent à travailler en « réseaux » associant des compétences complémentaires ; d'autre part, le développement de ces écosystèmes permettrait de mutualiser les investissements liés à l'industrialisation des services.
L'enjeu de ces rapprochements non capitalistiques est d'autant plus fort que la valeur des SSII a chuté, ce qui incite les plus grandes à envisager à nouveau des opérations de croissance externe. L'étude indique ainsi que, selon le cabinet AP Management, le nombre de fusions dans les TIC a baissé de 46% en 2009.
Autrement dit, des SSII étrangères jusqu'à présent peu actives en France pourraient saisir l'occasion de racheter à bon compte des sociétés de services françaises fragilisées. (...)
L'off-shore reste mal-aimé en France
« La défiance des dirigeants des plus grandes entreprises françaises vis-à-vis de l'externalisation de leurs services informatiques en Inde est davantage liée à la crainte d'une complexification de leur gestion qu'à des réserves sur les compétences et les capacités professionnelles des prestataires indiens », indique Frédéric Micheau, Directeur Adjoint du Département Opinion et Stratégie d'Entreprise de l'Ifop pour commenter l'étude que cet institut a réalisé sur la perception de l'off-shore pour le compte de la SSII indienne HCL. L'externalisation étant vue comme un moyen de baisser les coûts (74% des répondants) et de se simplifier la vie, c'est tout de même un commentaire très acide pour HCL.
Selon l'Ifop, seulement 37% des moyennes et grandes entreprises françaises (plus de 200 salariés) délèguent leur informatique à un prestataire extérieur au moins. 21% seulement ont recours à l'off-shore, en général en ayant un prestataire français en intermédiaire. Les réticences sont encore vives, même si l'externalisation est vue pour un moyen d'accroître la rentabilité pour 52% des répondants.
Les compétences des ingénieurs indiens sont reconnues comme un atout pouvant inciter à externaliser en Inde pour 19% des répondants, 40% jugeant que l'abondance de ressources humaines est aussi un grand avantage. Le bon rapport qualité/prix des prestataires indiens est reconnu par 77% des entreprises, la qualité intrinsèque par 68% et les compétences comme équivalente aux infénieurs français par 84%. Mais 72% des répondants considèrent qu'il existe des freins importants à l'externalisation en Inde. 49% mettent ainsi en avant la complexité de gérer une relation à distance et 31% la barrière de la langue.
Illustration : Crédits D.R. (...)
Trimestriels Capgemini : Deux-tiers des embauches faites en offshore
La SSII Capgemini a confirmé des signes de reprise lors de la publication de ses résultats trimestriels, malgré un recul de son chiffre d'affaires trimestriels de 6,9%, à 2,049 Md€, par rapport à l'an dernier. Le groupe compte en particulier poursuivre la stratégie de recrutement qu'il a relancée entre fin décembre 2009 et fin mars 2010, et qui a fait progresser ses effectifs mondiaux de 1,4%, à 91 792 collaborateurs. Il a concentré ses recrutements principalement en Inde, et dans d'autres zones situées en offshore. Ainsi, sur un volume de 5 274 nouvelles embauches sur le trimestre, les 2/3 ont été localisées dans les pays dits à bas coûts, soit 2 686 postes créés en Inde et 661 dans d'autres centres situés à l'étranger.
Capgemini a, en outre, intégré 268 employés supplémentaires au travers d'acquisitions et de contrats d'externalisation. La SSII a indiqué qu'elle avait également lancé des campagnes de recrutement en Europe, notamment en France, aux Pays-Bas et en Allemagne.
Plus de 4 800 embauches prévues au 2e trimestre
En termes de secteurs, le nombre d'employés a progressé essentiellement au sein de la division Capgemini Outsourcing, soit +6,6% comparé au premier trimestre 2009 et + 2,3% par rapport à décembre 2009. Pour sa part, l'activité Technologies Services a vu ses effectifs augmenter de 1,8 % sur une base trimestrielle. Ce n'est toutefois pas le cas de l'entité Conseil qui a vu ses effectifs chuter de 2% comparé au premier trimestre de l'année dernière, et reculer de 11,7% par rapport à mars 2009.
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De manière globale, sur le trimestre, Capgemini a également enregistré 4 266 départs (par démissions, licenciements ou en raison de cessions). Le groupe prévoit de poursuivre ses embauches au cours du second trimestre 2010, pour faire progresser ses effectifs de 5,3 %, ce qui correspond à un volume de 4 863 nouveaux employés. Selon Anthony Miller, directeur du cabinet de conseil TechMarketView, interrogé par nos confrères de Computerworld UK, 3 500 de ces nouvelles embauches seront réalisées en Inde. La majorité de ces collaborateurs travaillera dans le domaine des services financiers, principalement pour des entreprises américaines.
Cliquer sur l'image pour l'ouvrir
Sur son premier trimestre fiscal, la SSII a enregistré une hausse de 3,3% sur son activité de conseil, mais un recul de 3,3% sur ses services d'infogérance. Les services de proximité (Sogeti) baissent légèrement, de -0,9%.
Le ratio « prises de commandes sur chiffre d'affaires », qui s'établit à 1,06 de façon globale, est plus encourageant sur l'Amérique du Nord, région sur laquelle il monte à 1,30.
La CFDT de Bull s'attend à un changement de culture sociale
Crescendo Industries, la maison-mère de la société de services Amesys, est devenue le premier actionnaire de Bull, avec 20% des actions, largement devant France Telecom, qui en détient 8 %, et Nec, qui en conserve toujours 2 %. « Contrairement à ce qu'avait annoncé en 2009 Didier Lamouche, lors d'une présentation rassurante d'une prise de contrôle d'Amesys devant les membres du Comité central d'entreprise (CCE) et les salariés de Bull, c'est le groupe Crescendo Industries qui a pris le contrôle de la société en acquérant 20% des actions de celui-ci », s'inquiète la fédération syndicale dans un tract. Selon la CFDT, la démission précipitée du patron de Bull pourrait résulter de désaccords entre le PDG et son actionnaire Crescendo Industries. Les changements à la tête de France Telecom auraient également pesé dans la balance. Par ailleurs, l'hypothèse d'une possible arrivée - à terme - de Philippe Vannier, actuellement PDG d'Amesys, à la tête de Bull reste encore à vérifier.
« Didier Lamouche a créé la surprise en annonçant qu'il quittait son poste, expose Patrick Baradat, coordinateur CFDT du groupe Bull. Nous n'avons pas été informés de sont départ et nous ne disposons d'aucune information sur son successeur. » Aujourd'hui, un groupe de travail, piloté par un représentant de Crescendo Industries au conseil d'administration, a la charge de rechercher un nouveau PDG pour Bull. Selon le syndicaliste, le prochain président du conseil d'administration devra s'attacher à gagner la confiance des salariés du groupe sans laquelle une compagnie investie dans les services informatiques n'aurait pas d'avenir.
« Nous attendons des conditions de travail honnête et regrettons que Crescendo qui relève de la convention Syntec n'ai pratiqué jusqu'à présent dans Amesys qu'une politique sociale a minima. », déplore t-il « Bull [qui est aujourd'hui rattaché à la branche métallurgie, NDLR] a toujours gardé des actionnaires industriels, or, désormais, la société est passée sous la coupe d'une holding financière, ce qui lui fait craindre pour l'avenir de l'activité serveur et de certaines activités déficitaires, notamment dans le desktop et les services. » Rappelons que la situation du groupe s'était redressée, grâce à son repositionnement en constructeur/ intégrateur dans les grands systèmes Gcos, et dans la ligne des serveurs NovaSale introduite depuis 2003.
Crédits photo: Bull
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Observatoire du cloud : CA et IDC scannent la maturité des entreprises
« Après l'évangélisation vient le temps de la mesure régulière de la maturité des entreprises » prévient François Trouillet, directeur marketing Europe du Sud de l'éditeur CA. Dans cette optique, la « cloud academy » organisée deux fois par an par CA et divers partenaires (comme le cabinet Revevol) se dote d'un nouvel outil : un « observatoire du Cloud » réalisé par le cabinet d'études IDC. Publié le même jour que l'étude de Markess, cette synthèse qui arrive après celle réalisée par PAC pour le compte de VMware, Intel et EMC et juste avant le livre blanc du Syntec sur la question (à l'occasion du salon Datacenter Cloud Computing au Cnit les 5 et 6 mai 210). Les nuages sont vraiment dans l'air du temps.
L'adoption du modèle du cloud rentre ainsi dans la norme des autres modèles. La réduction des coûts était la justification quasi-unique du passage au cloud mais retrouve désormais une place plus ordinaire parmi les motivations diverses, derrière, par exemple, l'efficacité du SI, même si les DG sont encore axés sur les coûts avant tout. Amélioration de la réactivité, optimisation de l'infrastructure et du portefeuille applicatif, bref l'agilité, sont des priorités de la DSI quand elle choisit le cloud. Innovation et Green-IT sont, par contre, jugés très secondaires.
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L'infrastructure, de plus en plus complexe, est également de plus en plus externalisée, d'abord pour déléguer cette complexité et l'hétérogénéité induite. L'absence de recours à des prestataires ne concerne désormais plus que 30% des entreprises et continue de chuter même si la délégation totale à des prestataires est encore très marginale (7% seulement).
Le cloud est jugé connu dans ses principes généraux mais les entreprises s'intéressent et connaissent prioritairement le SaaS (27% ont mis en oeuvre et seul un tiers ne s'y intéresse pas encore). PaaS et IaaS n'intéressent pas encore les deux tiers des entreprises et quasiment aucune n'en ont mis en oeuvre. La problématique de la sécurité au sens strict et technique est en régression au profit de la gestion de la confidentialité et des droits d'accès. Même si 55% des entreprises ne peuvent pas envisager autre chose qu'un cloud privé, le principe de « mettre dans les nuages » des éléments du SI n'est plus une hérésie.
Illustration : crédits D.R. (...)
Annuels Nextira One : les applications et les infrastructures sauvent 2009
Le monde des télécoms et des réseaux a vécu une année 2009 plus que difficile avec une baisse de 20% sur le marché de la voix et de la ToIP en Europe (source Canalys) et de -5 à -6% sur celui des réseaux (source Rexecode). « Nous n'avons pas vu de baisse de 20% sur la voix depuis au moins 1993 » commente Foucault de la Rochère, directeur général de NextiraOne France (*). 2009 a été une année difficile pour la profession. Constructeurs et donc intégrateurs ont particulièrement souffert. NextiraOne affiche un chiffre d'affaires 2009 de 325 millions d'euros, en baisse de 4%, mais a préservé sa profitabilité. « Nous ne sommes pas dans l'optique d'une croissance à tout prix » relève le dirigeant.
Sur cette année 2009, l'intégarateur a confirmé sa réorientation entamée en 2005. Entre les deux années, le secteur voix et ToIP est passé de 73 à 52% du chiffre d'affaires, la partie infrastructure de 19 à 29%, les applications de 8 à 19%. Sur ces dernières, NextiraOne les définit comme les communications unifiées (autour des offres de ses grands partenaires Alcatel-Lucent, Microsoft, Cisco) et la vidéo. De nouvelles activités s'amplifient. Celles autour de la recentralisation du Wan, avec une business unit dédiée et des offres IP MPLS autour de Juniper. Le groupe se porte également vers des marchés verticaux, dans le secteur public, avec l'éducation et la santé.
Pour 2010, l'intégrateur se donne trois priorités : la gestion des applications proches du poste de travail (et dans les secteurs santé, éducation, universités), les grands contrats internationaux, le datacenter et la virtualisation des serveurs et du stockage (ce qui est nouveau chez NextiraOne).
La filiale du groupe, NextiraOne Expert, une SSII lancée il y a 18 mois, a terminé son 1er exercice en étant bénéficiaire. Elle a réalisé un chiffre d'affaires de 1,62 million d'euros et compte actuellement 50 salariés. D'autres créations de SSII sont envisagées.
(*) Il est également président de la commission infrastructures du Syntec Informatique.
Trimestriels Altran : des perspectives rassurantes
Le groupe de conseil en technologie a annoncé ses résultats du premier trimestre 2010. Le chiffre d'affaires ressort à 351,6 millions d'euros contre 371,4 millions d'euros l'année précédente, soit une baisse de 5,3%. En excluant les acquisitions et Arthur D.Little, le chiffre d'affaires progresse très légèrement de 0,6% à 325,5 millions d'euros. L'activité française a généré un revenu de 161,8 millions d'euros en baisse de 2,9% par rapport au 1er trimestre 2009. L'international affiche un chiffre d'affaires de 187,1 millions d'euros en recul de 7,3%. A noter les bonnes performances du Royaume-Uni (+2,2%), de l'Espagne (+4,4%), de la Scandinavie (+3,5%) et de l'Italie (+3,8%). Sur le plan des effectifs, le plan personnalisé de départ volontaire en France s'est traduit par 551 demandes de départs acceptés par la société. Il reste 309 départs attendus principalement au cours du 2ème trimestre 2010.
Sur les perspectives, Altran souligne une reprise de l'activité économique, tout en restant prudent face à des « incertitudes macroéconomiques » et élément nouveau « à des pressions renforcées sur les prix ». Par ailleurs des efforts sur les coûts indirects et l'adaptation des ressources devraient améliorer sensiblement la marge d'exploitation du groupe par rapport à 2009.
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