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(26/04/2011 10:35:08)

La SSII Icare Informatique intègre le GIE VDN

La SSII et éditrice strasbourgeoise Icare Informatique rejoint le GIE (Groupement d'intérêt économique) VDN  compte désormais 19 adhérents. Créée en 1993, Icare Informatique affiche plusieurs spécialités : le bâtiment avec un progiciel de gestion de chantier, Onya, la santé avec un progiciel de saisie d'actes, l'industrie avec un progiciel de gestion de production, les points de vente là encore avec un produit spécifique. Icare déploie également des compétences télécoms, internet et en formation.

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(22/04/2011 10:20:23)

Annuels TCS 2010/2011 : Un environnement économique dynamique

La SSII indienne Tata Consultancy Services publie ses résultats annuels (exprimés en dollars US), son exercice fiscal s'est achevé au 31 mars dernier. Le chiffre d'affaires se monte à 8,2 milliards de dollars US en hausse de 29,1%. Le bénéfice net s'élève à 1,9 milliards  en progression de 31,1%, le bénéfice opérationnel étant de 2,3 milliards, en hausse de 35,5%. La marge nette progresse de 23,3%.

Le CEO N. Chandrasekaran explique que l'environnement économique continue d'être dynamique. « Notre organisation agile avec notre stratégie orientée uniquement sur les services et les solutions à forte valeur ajoutée nous donne une excellente plateforme pour soutenir la croissance. Nous continuons d'investir dans les technologies de nouvelle génération comme la mobilité, l'analyse, les médias sociaux et les solutions de développement durable ». Tous les secteurs verticaux ont retrouvé la croissance annonce la société.

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(20/04/2011 14:51:54)

CIO.PDF 35 : Les réseaux sociaux d'entreprises en plein essor

Le réseau social d'entreprise ou RSE fait évoluer les modes de collaboration au sein des organisations. Va-t-il tuer l'e-mail ? Il devrait en changer l'usage car le RSE ne remplace pas les outils existants, il les complète. L'e-mail va perdre sa fonction de transport de la valeur ajoutée et se muer en système d'alerte, pensent certains experts. Souvent déployé en mode Saas, le RSE s'épanouit alors loin des managers IT. Jusqu'au moment où il faudra intégrer ses informations avec les systèmes de GRC et de GED existants.


Pour lire CIO.PDF 35, sur abonnement

Au sommaire de ce numéro :

RETOUR D'EXPÉRIENCES: SPÉCIAL RSE
- Les réseaux sociaux s'implantent en entreprise
Avec les témoignages de : Fabrice Poiraud-Lambert (Lyonnaise des eaux), Philippe Giorgi (Bouygues Telecom), Jean-Pascal Szelerski (APEC), Marc Merlini (JCDecaux).
- « L'intranet disparaîtra au profit du réseau social chez Lagardère Publicité »
Avec le témoignage de Valérie Blondeau (Lagardère Publicité)

GESTION DE CARRIÈRE : « Maîtrisez les coûts ou démissionnez! » (interview de Robin Johnson, CIO groupe de Dell)

INTERNATIONAL : Intégrer les médias sociaux à la relation clients est difficile

SYSTÈME D'INFORMATION ET MÉTIERS : « Le DSI doit être un facilitateur pour l'entreprise »

HUMEUR

Pour lire CIO.PDF 35, sur abonnement (...)

(19/04/2011 16:16:49)

La signature électronique d'un zip zappée par la justice

Voilà une jurisprudence récemment publiée qui va faire hurler plus d'un spécialiste de la signature électronique et plus d'une entreprise répondant de manière dématérialisée à un appel d'offres dans le cadre d'un marché public. Le tribunal administratif de Toulouse a, dans le cadre d'un litige opposant le CNRS et le cabinet MC2I, jugé que, en l'état actuel du Droit, la signature électronique devait être apposée sur chaque document transmis dans le cadre d'une réponse à un appel d'offres. Signer numériquement un conteneur zip intégrant tous les documents de réponse n'est donc pas valable, pratique qu'avait suivi MC2I.

Signer « en bloc » l'ensemble des documents contenus dans un conteneur zip est pourtant plus rapide et plus simple. Lorsque de très nombreux documents sont envoyés, ce qui peut arriver dans une réponse à un marché public, la pratique est moins fastidieuse qu'une signature individuelle de chaque document. De plus, tous les formats de documents ne supportent pas nativement une signature électronique et devoir signer chacun implique, dans la pratique, de tout transmettre en format PDF et de rejeter les formats de type image par exemple.

Une prévention ministérielle


Sur le plan technique, la signature électronique, garantissant l'intégrité du tout, un conteneur zip en l'occurrence, assure nécessairement l'intégrité de chaque partie de ce tout, donc chaque fichier contenu dans le conteneur zip. Mais la signature veille aussi à garantir l'approbation du signataire. De ce fait, il faut certifier que ce dernier a bien approuvé chaque document et pas seulement leur regroupement dans un conteneur. Le ministère de l'Economie a d'ailleurs rappelé ce point dans un communiqué en juillet dernier.

Le tribunal a donc estimé que la décision du CNRS d'écarter la réponse de MC2I à son appel d'offres était fondée. De plus, s'il pouvait demander une retransmission signée convenablement par MC2I, le CNRS n'y était nullement obligé.

Le raisonnement du tribunal ne reposant que sur une interprétation de l'article 1316-4 du Code Civil, cette jurisprudence peut être étendue à tous les échanges du domaine privé.

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(19/04/2011 09:42:01)

PAC constate une reprise prudente pour les SSII et intégrateurs

Pendant la crise, au cours de ces deux dernières années, les entreprises clientes ont imposé un régime draconien à leurs prestataires, en particulier aux SSII. Les directions achats imposant jusqu'à 20 à 30% de baisse sur les prestations en services et conseils informatiques. Tout l'enjeu, aujourd'hui, est de savoir si les prix repartiront suffisamment fort pour au moins rattraper ces baisses drastiques.

Apparemment, le climat se détend, avait indiqué récemment le Syntec Numérique, après avoir interrogé la plupart des SSII et des intégrateurs. Mais ils restent prudents. Les prix repartent à la hausse, mais cette reprise est légère, hétérogène suivant les secteurs, les entreprises, les profils et les postes concernés. En clair, cette hausse, quand il y a augmentation, est difficile à localiser et loin de compenser les baisses des deux années précédentes.

Le cabinet Pierre Audoin Consultants publie la 7ème édition de son Observatoire des Prix  (prestations de services informatiques). Elle confirme et précise le très léger début de détente observé sur les prix pratiqués dans les prestations de services informatiques en étudiant le TJM (Taux journalier moyen) sur une trentaine de profils. Certains restent très bas, comme la maintenance, d'autres semblent portés par une hausse plus réelle des prix : sécurité, ingénieur d'études Cobol dans certains secteurs industriels, ingénieurs d'études SAP, spécialistes logiciels embarqués ou applications mobiles.

Vitale pour les SSII

Cette possible hausse des prix est vitale pour les SSII. Laminées durant la crise, elles veulent retrouver des marges. Les baisses de prix leur ont imposé des efforts drastiques sur leurs coûts de fonctionnement. Certaines d'entre elles pratiquent encore des prestations à perte pour remporter ou conserver un marché. Elles ne retrouvent pas encore le « juste prix » souhaité pour la qualité de leurs prestations.

« Peut être devraient-elles communiquer différemment, sur des projets plus globaux ou des projets innovants », suggère Simon Philibert auteur de l'étude chez Pierre Audoin. « La vision TJM est la vision des acheteurs, une vue à très court terme qui rend difficilement compte du travail des SSII ».

Guy Mamou-Mani et son équipe ont engagé une démarche pour en discuter avec les représentants du Medef, faire reconnaître leur métier, la qualité de leurs prestations et aboutir, à terme à la revalorisation des prix pratiqués. La sortie de crise est donc  loin d'entraîner un rattrapage pour les SSII.  Même si elles font état de nombreux projets d'embauche, ils se font sur des profils juniors, qui correspondent mieux aux tarifs encore pratiqués. Un profil confirmé, 3 à 5 ans d'expérience, est encore jugé trop cher.

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(15/04/2011 17:14:52)

HP fourbit ses services pour moderniser les applications

HP s'attelle à convaincre les entreprises de rénover leur patrimoine applicatif. C'est l'un des axes de sa stratégie Instant-On, définie fin 2010, dans laquelle s'inscrit aussi l'évolution vers les environnements de cloud. Pour apporter de l'eau à son moulin, le groupe IT cite une étude* récemment conduite auprès de 312 cadres dirigeants (DG, DAF et DSI) des secteurs publics et privés. 56% d'entre eux jugent que la modernisation des applications est le premier domaine dans lequel investir pour disposer de processus plus flexibles, propres à favoriser l'innovation indispensable à leur croissance. « La réactivité au niveau applicatif doit être plus forte », commente-t-on chez HP France en rappelant qu'en Europe, 55% des applications ont entre cinq et dix ans (ou plus). Une partie d'entre elles, dans des proportions parfois significatives, sont parfois jugées dépassées par les DSI et susceptibles d'être mises hors service, comme le montre un autre rapport, publié cette semaine avec Capgemini.

Pour accompagner les entreprises sur la voie de cette modernisation, HP vient d'annoncer de nouveaux services ou produits dans son portefeuille de solutions « Application Transformation ». Le premier service, Application Portfolio Management, vise à évaluer le patrimoine applicatif dont l'entreprise n'a pas toujours établi ou conservé une vision consolidée au fil des fusions/acquisitions. L'objectif est de déterminer quelles sont les applications qui doivent être réarchitecturées, réécrites, migrées vers un environnement plus ouvert ou tout simplement arrêtées. Pour réaliser cette évaluation, qui intègre les aspects « coûts de possession », et proposer une feuille de route au client, l'entité services de HP s'appuie sur un outil maison accessible en mode SaaS (en attente de brevet). « Sur le marché français, nous réalisons cette analyse du parc applicatif et de sa rationalisation dans le secteur des télécommunications, de la banque/assurance et de l'automobile, avec des objectifs business fixés par les comités de direction », indique Sylvain Faligand, directeur applications services chez HP France. C'est le genre de chantier que HP a lui-même mené en interne. Après avoir entrepris de consolider ses datacenters, le groupe a dressé un état des lieux et drastiquement décidé de supprimer une de ses applications sur deux. 

Intégration des outils de sécurité Fortify

L'un des autres services annoncés concerne la transformation des applications pour le cloud. « En fonction de 32 critères business et technologiques -liés à la sécurité, aux performances, aux interfaces, aux règlementations, etc.- et en nous appuyant sur des outils et méthodes HP, nous déterminons si l'application est candidate pour être portée vers le cloud public, pour être installée sur un cloud privé géré par HP ou par le client, et nous identifions le meilleur chemin de migration de l'infrastructure », explique Sylvain Faligand. Dans le domaine des solutions de sécurité, indispensables à ces déploiements, HP annonce par ailleurs l'intégration des produits de sécurité de Fortify avec les siens.

Pour automatiser le cycle de vie des applications dans ces environnements hétérogènes, le groupe IT va proposer le logiciel HP Cloud Service Automation qui permettra de créer un portail de services pour déployer et surveiller applications et infrastructure au sein d'environnements hétérogènes.

HP intervient aussi sur la modernisation des postes de travail. Dans ce domaine, il propose de mettre en place dans un cloud privé des services de messagerie basés sur Exchange 2010 de Microsoft. Cette offre de services s'étend à la solution de gestion de la relation client, Microsoft Dynamics CRM, également proposée dans un environnement de cloud privé.

(*) Une étude conduite par Burson-Marsteller pour HP, réalisée à partir de 312 interviews menées entre février et mars 2011 au niveau mondial (et incluant la France).
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(14/04/2011 15:09:38)

Palmarès Great Place To Work 2011 : Octo Technology rafle la 1ère place

Depuis sa création il y a treize ans, Octo Technology accorde une attention particulière au bien-être de ses consultants. Ce n'est donc pas le fruit du hasard si le cabinet  de conseil en SI  a été élu, pour sa première participation, en tête du palmarès Great Place to Work 2011 des entreprises de moins de 500 salariés. L'enquête qui récompense chaque année les entreprises où il fait bon travailler, est menée dans 45 pays à travers le monde. Pour recevoir le label les participants doivent se démarquer par un attachement à trois valeurs essentielles : la confiance des salariés envers les managers, la fierté de ces derniers par rapport à leur propre contribution, à celle de leur équipe et de leur entreprise, et la convivialité dans une atmosphère où règne un climat positif et de coopération.

Pour mesurer ces critères, l'institut Great Place to Work  se base sur 2 indicateurs : le « Trust Index », qui compte pour 2/3 de la note finale et qui s'appuie sur des questionnaires envoyés aux salariés de l'entreprise de manière anonyme. Et le « Culture Audit », participant à 1/3 de la note, qui évalue de façon qualitative la culture de l'entreprise et les pratiques managériales à travers  un dossier rempli par la direction de l'entreprise.

Faire du conseil informatique autrement

Octo et 97% de ses salariés ont répondu à l'enquête. Ses dirigeants semblent convaincus qu'il est possible de mener des projets informatiques autrement et aspirent à redonner leurs lettres de noblesse et leur valeur aux ingénieurs informaticiens, « Chez Octo, la valeur humaine est primordiale », assure Ludovic Cinquin, directeur général. « En préférant nos consultants à nos clients, nous sommes en totale rupture avec les grosses SSII qui externalisent les ressources qu'elles n'arrivent pas à maîtriser en interne. Or pour qu'un projet aboutissent, il faut posséder des équipes informatiques agiles. D'où notre credo : réduire la sous-traitance, monter de petites équipes, et décloisonner la maîtrise d'oeuvre et la maîtrise d'ouvrage. Plutôt que de pratiquer de la délégation de ressources, nous vendons un positionnement sur l'informatique à nos clients. »   « En France, les développeurs sont perçus comme des marchandises interchangeables »,  regrette Vincent Coste, consultant chez Octo. « A l'inverse, des Etats-Unis où  être informaticien est synonyme de réussite.»

Des notes de 1 à 5 pour s'améliorer

Pour que la proximité entre chaque consultant s'installe et se perpétue naturellement,  le cabinet utilise différentes recettes : «Un kifomètre », organisé tous les jours sur le plateau projet, et une fois pas mois pour les équipes en interne, mesure le degré de satisfaction des collaborateurs . « De la même manière que les méthodes agiles favorisent le feedback utilisateur, ce procédé mesure le retour des équipes », indique David Alia, directeur du pôle Médias/Internet.

En réunion d'équipe, une note de 1 à 5 permet de s'améliorer et de détecter au plus tôt les notes les plus basses. « Nous considérons qu'on  peut toujours mieux faire », poursuit Ludovic Cinquin. « C'est pourquoi notre politique est basée sur la notion  de partage, d'entraide et de dynamisme collectif. » Un ouvrage collectif ( Partageons ce qui nous départage), paru fin 2010 et disponible en librairie, illustre les valeurs de la société. L'aventure a duré 3 mois et a entraîné dans son sillage une trentaine de collaborateurs.

La société de conseil IT compte aujourd'hui 153 collaborateurs en France et une quinzaine d'autres dans ses filiales au Maroc, Belgique, Suisse et Brésil. Depuis sa création, le groupe connaît une croissance de ses effectifs relativement soutenue: 20% par an, profils juniors et seniors confondus pour collaborer sur des innovations technologiques, des architectures de systèmes d'information, des architectures web, des applications mobiles, du cloud computing, ou des  méthodes agiles.

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(12/04/2011 12:07:20)

Pour muscler son offre cloud, Capgemini s'offre Artesys et Avantias

Capgemini se renforce en France. Le groupe se services informatiques a annoncé coup sur coup l'acquisition de 100% du capital de deux sociétés françaises, Artesys et Avantias. La première est spécialisée dans l'architecture et l'intégration de solutions logicielles d'infrastructures. La seconde, dans la mise en place d'outils ECM (Entreprise Content Management). Le montant total de ses deux rachats s'élèvent à 40 millions d'euros. Ils seront financés sur la trésorerie nette du groupe.

Ces deux acquisitions s'inscrivent dans la stratégie de développement des deux lignes de services mondiales de la SSII.  Il s'agit de Business Information Management (BIM) et d'Infrastructure Transformation Services (ITS), une activité qui a pour objectif d'aider les entreprises à accéder aux bénéfices du cloud computing. Cette dernière, qui a vu le jour en janvier 2011, est pilotée par Daniel Chaffraix au niveau mondial. En s'offrant Artesys, Capgemini couvrira l'ensemble du cycle de vie des infrastructures, de leur conception à leur exploitation en termes de services d'infrastructures, en passant par l'adoption de transformations (virtualisation, automatisation, orchestration,...) qui permettent la mise en oeuvre de  modèles de type cloud computing.

«En France, nous manquions de capacité en terme d'exécution de services de transformation d'infrastructures », commente Daniel Chaffraix. « Nous sommes aussi  positionnés via notre filiale Sogeti. Nous avons porté notre choix sur Artesys pour ses capacités à comprendre le monde de la gouvernance via son outillage de solutions ITIl, pour ses compétences et également pour son portefeuille de références en termes de projets aboutis ».

25 millions de CA en 2010

Autre raison qui a motivé le rachat : le fait qu'Artesys ne soit pas dispersée sur trop de multiples partenaires.  « A l'opposé d'autres intégrateurs  Artesys a choisi de limiter ses opérations de partenariat en s'appuyant uniquement sur les outils de BMC et  de HP Software », souligne Daniel Chaffraix. Ceci lui a permis de développer rapidement des compétences de façon plus approfondie et pertinente.

Illustration: Daniel Chaffraix, directeur mondial des activites Infrastructures Transformation Services (ITS) du groupe Capgemini. Crédit photo: Capgemini

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Créée en 2000, Artesys emploie 131 collaborateurs et compte parmi ses clients de grandes entreprises françaises, notamment dans les secteurs financier, industriel et public. En 2010, son chiffre d'affaires  a atteint les 25 millions d'euros. Daniel Chaffraix table sur un doublement de la croissance organique des effectifs d'ici fin 2012.  Eric Chenneveau, PDG d'Artesys, deviendra directeur des activités ITS de Capgemini en France.

+20% pour les activités ECM de Capgemini

L'acquisition d'Avantias permettra également à la SSII de se renforcer sur le marché mondial des logiciels d'ECM ;  « Capgemini entend développer ses parts en France sur un secteur en forte croissance, qui devrait connaître une hausse de 10% par an, jusqu'en 2014, » tient à souligner Christian Becht, directeur  de la  ligne de services Business Information Management pour la France. «Nous tablons sur  une croissance annuelle de ces activités ECM de Capgemini proche des 20%. » Le marché des applications de gestion de contenu d'entreprise est tiré par la demande de clients de différents secteurs d'activité, comme la banque/assurance, les télécoms, l'énergie/utilities, l'industrie pharmaceutique ou encore le secteur public.

«Les entreprises s'appuient sur ce type d'outils pour disposer d'une meilleure efficacité de leurs processus de traitement, de valorisation et de contrôle de l'information alors qu'elles doivent faire face à une forte augmentation des volumes de données et à des exigences réglementaires renforcées », précise le dirigeant.  « Nous avons donc créé une ligne de services dans une logique de vision à 360 degrés de l'information. »

Jusqu'à présent, sur ce marché, Capgemini disposait d'une force de frappe de 75 personnes en France. Le rachat d'Avantias lui permettra de disposer de 120 collaborateurs supplémentaires. Ils viendront s'ajouter à la cinquantaine de recrutements qui auront lieu dans le courant de l'année. Crée en 2006, la société Avantias a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 13,6 millions d'euros, en croissance de 34% par rapport à 2009. Elle possède des bureaux à Paris et Rennes, New York, Londres et Oslo. Philippe Franchet, directeur général d'Avantias, prendra en charge l'offre ECM au sein de Capgemini en France. A noter que l'acquisition d'Avantias n'inclut pas sa filiale spécialisée en géo-intelligence Galigeo.



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(08/04/2011 10:46:25)

Annuels 2010 Proservia : une année de recentrage

La SSII Proservia publie ses comptes 2010. Avec 47,8 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA), la société  enregistre une progression organique de 7,6% et une croissance globale de 8,3%. Le résultat opérationnel passe de 0,6 ME à 2,5 entre 2009 et 2010. La marge opérationnelle bondit de 1,5% à 5,2% d'une année à l'autre.

En 2010, la société s'est recentrée sur son activité d'infrastructures, cédant WizTiVi et en rachetant NetLevel et Lynt. Pour 2011, la société indique simplement vouloir continuer sa croissance, renforcer sa politique de maîtrise des coûts et les synergies développées avec ses filiales NetLevel (infrastructures complexes) et Ovialis (MOA, architectures et décisionnel).

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(08/04/2011 10:22:22)

Annuels 2010 Micropole : une pression sur les prix persistante

Le PDG de Micropole en présentant les résultats annuels a utilisé des expressions qu'on ne lui soupçonnait pas : « après le passage devant la DSI, si cette dernière a signé pour un projet, nous ne sommes plus obligés d'endosser un ciré pour nous rendre dans les directions achats, et prendre une rafale ».

En clair, fin 2009, les prix ont baissé en moyenne de 2%, surtout en France. Une baisse confirmée au 1er semestre 2010, mais regagnée au second semestre par une hausse tarifaire. La pression sur les prix, qui, au-delà de la baisse ou du report des projets, a handicapé tout le secteur, semble s'être estompée. Micropole pense regagner encore quelques points, le taux d'occupation remonte également, il reste à moduler un troisième critère, celui des salaires internes dans le secteur.  Réduite au pain sec depuis plusieurs années, la profession retrouvera un état normal après deux années et demi de crise.

Le paysage s'adoucit donc et Micropole affiche pour son exercice 2010 une croissance de 6,8% de son chiffre d'affaires, à périmètre et change constants, de 8,8% au total, avec un chiffre d'affaires de 102,5 millions d'euros. Dans un secteur à peine  positif en 2010, Micropole reste au-dessus du lot. Et surtout, la société affiche des CA  constamment positifs sur 5 ans : +13% en 2006, + 18% en 2007, +2% en 2008, + 9% en 2009 et donc + 8,8% en 2010.

Seul motif de désespoir, le cours de bourse

La rentabilité 2010 vient conforter cette trajectoire. Le résultat opérationnel courant se monte à 6,3 ME, contre 3,6 ME un an auparavant, soit 6,2% du CA, contre 3,8% en 2009. Le résultat opérationnel s'élève à 5,1 ME contre 3 ME. Enfin, le résultat net se monte à 4,2 ME, contre 2,5 ME, soit 4,1% du CA, contre 2,6%. Seul motif de désespoir, le cours de bourse, mais ceci est un autre sujet, commun à de nombreux acteurs des logiciels et services.

Sur sa lancée, Micropole se dote d'un plan de développement à trois ans. L'objectif est d'atteindre les 150 ME de CA, à la fois par croissance organique et par croissance externe. Sur le 1er volet, la société s'appuie sur ses trois activités : la BI (45%), le web IT (45%), l'ERP et la formation, sans exclure d'en développer de nouvelles. Elle tient à se distinguer en fuyant la stratégie « prix-volume » pour une approche métier plus différenciée avec des facturations  plus élevées. Quant à la croissance externe, elle se fera en France ou à l'international (22% de l'activité actuelle). Visiblement l'Allemagne est en ligne de mire. A l'international, Micropole s'est renforcée en Belgique avec l'acquisition du spécialiste SAP Oasis (4ME de CA et 14% de résultat d'exploitation). Micropole est également présente en Suisse.

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