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(27/09/2010 10:22:33)

Les imprimantes matricielles sourient, les jets d'encres pleurent

« Nous avons eu la surprise de voir nos ventes d'imprimantes matricielles progresser de plus de 20% au cours du premier semestre », explique Gérard Bouhanna, Directeur Général d'OKI France. Jusqu'à présent, les imprimantes matricielles étaient considérées comme une niche incompressible, mais sans croissance. « Ce regain est d'abord expliqué par d'importants renouvellements de parcs, qui avaient été retardés depuis la fin 2008, analyse Gérard Bouhanna, et le faible coût des consommables de ces machines n'incitent pas les entreprises à changer de technologie ». Selon lui, il faut compter 7 euros pour un ruban dont la durée de vie est en moyenne de 6 mois. De fait, les possesseurs d'imprimantes jet d'encre ne consacrent pas le même budget aux consommables.

La poule aux oeufs d'or s'essouffle-t-elle ?

« On constate effectivement une baisse des ventes de consommables jet d'encre sur les marchés professionnels, indique Clément Hering, responsable consommables chez GfK. Selon les mois, elle va de - 5% à - 10%, mais les ventes globales continuent de progresser en volume grâce au dynamisme du marché grand public ». Autre signe d'essoufflement : le prix des cartouches d'encre continue de baisser, alors que selon le dernier baromètre GfK (février à avril 2010), le prix moyen des toners est passé à 96 euros, contre 94 un an plus tôt, ce qui explique que ce marché progresse plus rapidement en valeur qu'en volume.

« L'enjeu des consommables ne concerne pas que l'encre, estime Gérard Bouhanna. Les entreprises sont également très sensibles à la consommation de papier. Elle peut diminuer jusqu'à 50% avec les nouvelles générations de matériels. Dans ce contexte, il n'est pas nécessaire de lancer une guerre des prix sur les lasers et les toners. Les économies générées justifient pleinement que les revendeurs conservent une marge raisonnable sur les ventes de ces produits.»

(...)

(16/09/2010 15:16:54)

Les équipements connectés en DLNA en pleine croissance

Les fabricants de produits électroniques pour le grand public, comme les téléphones mobiles, les lecteurs Blu-Ray, les téléviseurs, les ordinateurs portables, les consoles de jeux et les PC se sont mis à intégrer cette technologie à leurs appareils. La DLNA est une norme qui a été adoptée par environ 250 marques. Cela permet aux consommateurs de partager et d'utiliser des fichiers multimédias comme des vidéos, des documents, de la musique et des photos sur les appareils autonomes compatibles avec ce standard.

Un rapport du 13 septembre du cabinet de recherches marketing In-Stat montre que les téléphones, les PC et les télés numériques constitueront 74% du marché de la DLNA. Les cadres de photos numériques constituent la catégorie qui va connaître la plus grande croissance dans le marché de la DLNA. In-Stat prévoit que plus de 33 millions de cadres numériques compatibles seront vendus en 2014 (contre moins d'un million d'unités vendues en 2009).

Un effort de médiatisation à fournir


« Intégrer la DLNA à Windows 7 va booster le marché », commente Norm Bogen, analyste chez In-Stat. « Cependant, l'adoption de l'UPnP et de la DLNA s'étend au-delà des ordinateurs personnels. Les téléphones et les télévisions numériques rejoignent les PC au rang des catégories de produits qui verront des hausses significatives de nombres de produits compatibles au cours des 5 prochaines années ». Malgré la croissance rapide du nombre de produits connectés sur le marché actuel, la plupart des consommateurs ne sait pas que cette technologie existe, et ne connaît pas ses bienfaits. Seuls 6% des consommateurs ont admis être "très ou assez au courant de la DLNA", selon In-Stat.

(...)

(14/09/2010 11:01:44)

2 heures perdues par semaine à réparer son imprimante

Tout le monde a un jour ou l'autre soupiré, « pesté », râlé même, contre son imprimante, son PC ou tout autre matériel IT. Panasonic a mesuré cette perte de temps. Elle serait comprise entre une demi-heure et deux heures par semaine. En cause : le bourrage papier, le changement de cartouches, ou des problèmes de numérisation. Près du tiers des employés, interrogés par Panasonic, soit 32,7%,  s'en plaignent.

Au « hit parade » des cauchemars IT du salarié, Panasonic a classé en tête la panne Internet et messagerie (35,6%), ensuite celle du matériel informatique (33,7%), et donc, troisième, la panne imprimantes et scanner avec 32,7%.

(...)

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