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(17/11/2010 12:37:05)

Cisco adapte ses solutions de vidéoconférence à la virtualisation

L'utilisation croissante de la vidéo et de la vidéoconférence dans les échanges professionnels a obligé les constructeurs comme Cisco à chercher des produits adaptés à la virtualisation qui permettent à leur tour de stocker les données et d'améliorer les applications quand elles sont placées sur des serveurs au sein des datacenters pour fonctionner en même temps sur des bureaux virtuels et des applications pour appareils mobiles. « En général, la voix et la vidéo ne passent pas très bien en mode virtualisé depuis un datacenter, » a déclaré Barry O'Sullivan, vice-président de Cisco pour les technologies Voice. « Mais avec la nouvelle architecture de virtualisation VXI - pour Virtualization Experience Infrastructure - nous pensons avoir résolu ce problème. » Selon lui, le VXI pourra améliorer de 60% la densité des bureaux virtuels sur les serveurs. Disponible de suite, on sait encore peu de chose sur le VXI.

Premier des deux dispositifs, le VXC 2200 se présente comme une tour autonome de moins de 12 cm de hauteur, dotée de quatre ports USB et de deux ports vidéo. « Celle-ci peut trouver sa place entre un téléphone de bureau et un système de téléprésence, » a déclaré Barry O'Sullivan. Le VXC 2100, plus petit, se fixe quand à lui sur le dos d'un téléphone IP Cisco, peut être connecté à deux écrans de bureau traditionnels, et dispose de quatre ports USB pour être notamment relié à un clavier. Tous deux sont alimentés via un port Power over Ethernet et chacun est doté d'un processeur intégré permettant le décodage des protocoles de virtualisation. « Cela signifie que les entreprises peuvent conserver leurs données sur les serveurs dans les datacenter, plutôt que sur l'ordinateur de bureau ou le dispositif mobile de leur salarié, » a déclaré le vice-président de Cisco. Le VXC 2200 et le VXC 2100 devraient être disponibles en mars 2011 pour un prix inférieur à 500 dollars, avec clavier USB, souris et licence client. Ils supporteront VMware View 4.5 et Citrix XenDesktop.

Teleprésence, webconference, iPad et Cius


Cisco a par ailleurs annoncé deux nouvelles solutions de videoconference : le système de TelePresence EX60 et le système 500-32 pouces. Disponible d'ici fin 2010 au prix de 6 900 dollars, le EX60 et son écran 21 pouces haute définition peut facilement servir de moniteur de bureau. Quant au CTS 500 32 pouces, également disponible d'ici à la fin de l'année au prix de 23 900 dollars, il est plutôt destiné aux dirigeants pour leurs besoins de vidéoconférence. Il peut être fixé au mur ou placé sur un pied. Ces dispositifs pourront être géré par le système unifié Cisco Unified Communications Manager. Ce qui signifie que ce système de contrôle d'appel unique pourra être utilisé à la fois pour la vidéoconférence et la voix.

Une autre innovation combine WebEx de Cisco avec la vidéo de haute définition. Dans la nouvelle interface, il est possible d'agrandir l'image de la personne qui parle à l'écran et apporte plus de souplesse dans la manière dont sont organisées les images des documents partagés par les participants. Cisco a également annoncé que le nouveau WebEx Meeting Center et sa vidéo haute définition seront compatibles avec l'iPad d'Apple dès le mois de décembre, puis avec la tablette Cius attendue en mars prochain. L'équipementier a profité de l'occasion pour signaler que sa tablette serait compatible avec VMware View, Citrix Receiver, et avec le logiciel de virtualisation Wyse Pocket Cloud et serait capable d'interagir avec tout ordinateur sous Windows utilisé dans un datacenter. Enfin, Cisco travaille aussi à rendre ses outils de vidéoconférence interopérables avec les terminaux standards de l'industrie, y compris ceux de concurrents comme Polycom et LifeSize.

 

Illustration: VXC 2200

Crédit Photo: Cisco

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(28/10/2010 10:42:38)

1er baromètre GFK sur les contenus numériques

Premier enseignement du baromètre GFK, l'ordinateur est encore l'écran privilégié pour consulter les contenus numériques. Et de loin.  Pour 93% des internautes interrogés, c'est le bon vieil ordinateur qui permet d'accéder aux réseaux sociaux, aux blogs, ou de partager des contenus. 5% préfèrent nettement le smartphone. Celui-ci a connu un succès indéniable mais l'ordinateur garde une écrasante supériorité. Elle  se retrouve même pour des applications comme la vidéo à la demande ou la consultation de YouTube, réalisées par 71% des internautes avec  leur bon vieux PC, 23% préfèrant la « téloche », 9% optent pour les tablettes.

Le cabinet étudie ensuite, sur les cinq types de contenus observés (livre, vidéo, musique, réseaux sociaux, presse), la manière dont les internautes les consultent et pour quels types de besoins. Concernant la musique, 47% des internautes qui écoutent de la musique téléchargée se la procurent sur des sites de peer-to-peer (Emule, Torrents, Rapidshare, ...). 46% optent pour des magasins en ligne (iTunes, Virginmega.fr, Amazon.fr, Fnac.com, Qobuz,...). Ils sont 29% à passer sur des sites de réseaux sociaux ( Facebook, MySpace). 27% sur des sites  d'éditeurs ou d'artistes. 13% vont sur des blogs. 12% sur des sites d'opérateurs de téléphonie mobile. 11% enfin préfèrent une application téléchargée sur le téléphone portable ou la tablette. GFK scrute ensuite le web 2.0. Ici 96% des internautes utilisent l'ordinateur (choix multiples), 93% en tant qu'écran principal. Le téléphone portable recueille 34% des choix (à l'intérieur d'un choix multiple), 5% si la question est de le choisir en premier. La télévision est à 12% et 1%, la tablette (iPad, HP Slate, Dell Streak) à 9 et 1, le e-book (ex: Amazon Kindle, Sony Reader, Bookeen..) reste dans des chiffres infimes.

14% des internautes sont inscrits sur les réseaux sociaux mais n'y vont jamais !

L'utilisation de ces réseaux sociaux, en revanche, donne lieu  à des réponses plus larges. 56% des internautes déclarent entretenir leurs relations. 55% suivent l'actualité de leurs contacts. 47% regardent des photos. 40% partagent leur actualité avec leurs contacts. 32% regardent des vidéos. 29% se créent des contacts. 20% écoutent de la musique. 14% s'adonnent aux jeux vidéo. 14% sont inscrits mais n'y vont jamais !

Last but not least, GFK se préoccupe de la presse (merci !). Pour remarquer que sur 10 heures passées à lire la presse, 8% des internautes vont exclusivement sur la presse numérique, 12% exclusivement sur la presse papier. 44% de l'ensemble des personnes  interrogées vont plutôt sur le numérique et 56% plutôt vers la presse papier. La presse consultée en ligne est d'abord la presse quotidienne nationale (73%), la presse quotidienne régionale (38%), les news magazine (34%), la presse people (26%), celle spécialisée en sports (24%), la presse féminine (19%), la presse professionnelle (17%), la presse masculine (8%).

(*) Etude rédigée après des interviews menées sur 1 000 internautes français âgés de 15 à 65 ans.

Illustration : Baladeur tactile iPod nano d'apple avec 8 ou 16 Go de mémoire de stockage. Crédit photo : D.R.


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(25/10/2010 13:48:57)

Air France KLM optimise ses impressions et sa gestion documentaire

« Il y a cinq ans, notre parc d'imprimantes était hétérogène, il y avait des scanners qui trainaient ici ou là... » se souvient Jean-Claude Cathelineau, directeur aux achats de systèmes d'information chez Air France KLM. Face à cette situation, OptiPrint 1 et 2 avaient pour buts d'atteindre l'excellence en terme de services autour du document (impression, partage, accès...), d'innover autour du circuit du document et de prendre en compte la responsabilité sociétale et environnementale (RSE) de la compagnie. Ce dernier point consistait notamment à diminuer considérablement le nombre d'impressions. Bien entendu, tout cela s'accompagne d'une volonté claire de baisser les coûts.

OptiPrint 1 a d'abord été testé dans deux services. Les imprimantes et les scanners y ont été remplacés par des multifonctions départementales. Au bout de six mois, les résultats obtenus ont incité à généraliser le dispositif en France. Un appel d'offres a alors été lancé et Ricoh a été retenu parmi sept fournisseurs candidats. Le nombre d'imprimantes et de copieurs est passé de plus de 10 000 à environ 3 700. Certains bureaux ont cependant conservé des imprimantes en propre pour des raisons de confidentialité, comme la DRH notamment.

Jean-Claude Cathelineau indique : « après avoir réduit les coûts directs -de l'ordre de 30%- nous avons attaqué une logique de coût total de possession. » De plus, durant cette phase, Optiprint est devenu un plan international pour toutes les implantations d'Air France KLM (à ce jour, le déploiement des solutions n'est pas achevé dans tous les pays).

Une phase 2 orientée green, accompagnement et social

Au-delà du déploiement des multifonctions avec scan-to-mail et recto/verso noir et blanc automatique, Air France KLM a mis en place une GED centralisée qui s'interface avec les copieurs multifonctions. La sortie par impression sur papier n'est donc plus qu'un des traitements possibles d'un document circulant sur la GED, le multifonction devenant ainsi un périphérique d'entrée (grâce au scanner) que de sortie. La GED est gérée en direct par Air France dans ses propres infrastructures tandis que les multifonctions sont infogérés par Ricoh.

La phase actuelle d'Optiprint 2 consiste à réaliser des « reportings green » en cours de mise au point. « Il est possible d'effectuer des rapports par typologie de document, par service, etc. pour responsabiliser les différentes entités du groupe » se réjouit Jean-Claude Cathelineau. Air France KLM teste également la possibilité de n'imprimer que sur déverrouillage par badge. « L'avantage, c'est que le badge commun (qui sert aussi pour la cantine, l'accès aux bâtiments...) permettant seul le déblocage de l'impression, il y a moins de gâchis de documents et plus rien de confidentiel ne traine ; l'inconvénient, c'est que l'on est obligé d'attendre son impression devant la machine au lieu que cela sorte pendant qu'on s'y rend » stipule le responsable.

Enfin, une dernière fonctionnalité est actuellement testée : l'impression mobile. Il s'agit d'utiliser le fait que les imprimantes sont gérées via la GED pour permettre d'imprimer à partir de smartphones. Cette possibilité est plutôt regardée comme une possibilité de nouveau service destiné aux passagers dans les aéroports.

Une grille tarifaire à deux niveaux

« Les technologies que nous employons sont disponibles depuis des années et le vrai problème était donc de mener une véritable conduite du changement des comportements » observe Jean-Claude Cathelineau. Le sponsor des plans Optiprint est membre du Comité Exécutif du groupe puisqu'il s'est agi du directeur général délégué aux achats. Jean-Claude Cathelineau se réjouit : « c'est lui qui a expliqué les enjeux ». Mais la communication a été intense. Ainsi, un camion de formation s'est déplacé sur les différents sites d'Air France pour expliquer aux salariés les nouveaux process et distribuer des brochures ainsi que des affiches.

Sur Optiprint 1, le modèle tarifaire de Ricoh comprenait une partie fixe et une partie variable lié au volume. Sur Optiprint 2, tout a été intégré dans un prix à la page imprimée. Après les 30% d'économie du premier plan, le deuxième a permis d'économiser en « pied de la facture » environ 5% de plus. L'un des facteurs de choix de Ricoh pour infogérer les multifonctions a d'ailleurs été sa capacité à s'impliquer proactivement dans cette gestion du changement.

Le fabricant s'est également engagé à confier 20% du montant de sa prestation à des entreprises adaptées (ex-CAT, centres d'aide par le travail, pour travailleurs handicapés). « Nous avons l'habitude de ce genre de partenariat dans les achats de services de blanchisserie mais c'est la première fois dans l'informatique » indique Jean-Claude Cathelineau.

Après une première année « difficile », les personnels semblent aujourd'hui satisfaits. Optiprint 2 phase 1 est déployé à ce jour à hauteur de 85% des implantations de la compagnie. Mais, selon le dirigeant, « il reste encore une marge d'optimisation du nombre d'impressions ».

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