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(18/01/2011 14:55:52)

Les entreprises gaspillent toujours autant de papier

En France, les entreprises peinent à adopter les technologies qui leur permettraient d'optimiser leurs coûts d'impression. Tel est le principal enseignement d'une étude menée par le fabricant d'imprimantes Oki auprès de 1 740 professionnels dans 16 pays européens, dont 240 entreprises françaises.  L'enquête montre d'abord que dans l'Hexagone, plus de 72% des utilisateurs ne connaissent pas la politique d'impression de leur entreprise. Ainsi, 64,5% des personnes interrogées pensent qu'il n'existe pas de règles internes dans ce domaine, et 7,6 % avouent n'en avoir aucune idée. Seules 27,9% des entreprises sondées savent que  des règles s'appliquent pour le recto-verso ou la couleur par exemple. En outre, ils ne sont qu'un peu plus de 16% à imposer l'indication « réfléchissez avant d'imprimer » dans leurs  emails.

20% des entreprises n'utilisent pas le recto-verso

Le document révèle également que près de 20% des professionnels externalisent leurs travaux d'impression par manque de temps, en faisant appel à des sous-traitants pour éditer des cartes de visite, des brochures des posters ou des bannières, alors qu'ils pourraient aisément les éditer en interne. De plus, près d'une entreprise sur  cinq n'utiliserait quasiment jamais la fonctionnalité recto/verso. Pourtant, 36,1% des sondés déclarent posséder des imprimantes capables de publier des documents dans ce mode et ont donc les capacités de véritablement réduire la consommation de papier. Même constat pour les éditions couleur avec 20% d'utilisateurs qui déclarent ne jamais utiliser cette fonction. Enfin, à la question « quel serait le premier changement que vous effectueriez dans le processus d'impression ? », 31,3% des personnes interrogées souhaitent une imprimante capable de prendre en charge différents types de papier. Pour 28%, l'ajout de capacités multifonctions (imprimante/photocopies/scanner/fax) serait un plus indéniable.

(...)

(10/01/2011 15:27:28)

CES 2011 : L'USB 3.0 de plus en plus présent sur les équipements

D'une certaine façon, au cours de l'année passée, l'attente pour profiter de l'USB 3.0 et de son bus plus rapide a pu sembler interminable. Les disques durs intégrant cette norme sont arrivés lentement sur le marché, et les systèmes chargés de les accueillir ont été un peu à la traîne, aussi bien du côté des OS que des machines. Mais, à en juger par ce qui a été dit et montré au cours du CES 2011 de Las Vegas, qui a clôturé ses portes le 9 janvier dernier, l'adoption de l'USB 3.0 progresse en réalité plus vite que son prédécesseur l'USB 2.0, si l'on compare l'état de ces deux technologies une année après leur lancement.

USB 3.0 : rapidité et économie d'énergie

Le grand avantage de l'USB 3.0, c'est bien sûr sa vitesse et les perspectives qu'il ouvre en matière de gestion de la vidéo haute-définition, de la musique, et des applications d'imagerie numérique. Mais une autre amélioration de l'USB 3.0 concerne l'énergie. En effet, l'USB 3.0 ne transmet des données que lorsque c'est nécessaire. Si bien que les périphériques peuvent rester en mode faible puissance lorsqu'ils ne sont pas utilisés, à la manière d'un scanner à plat en veille. Du fait de cette spécificité, l'USB 3.0 ne consomme qu'un tiers de l'énergie nécessaire à un appareil USB 2.0. Le gain de vitesse apporté par l'USB 3.0 est aussi impressionnant, puisqu'en théorie il multiplie par 10 les taux de transfert de l'USB 2.0 existant. L'USB 3.0 peut atteindre jusqu'à 4,8 Gbit/s (600 Mo/s), alors que l'USB 2.0 parvient à des vitesses théoriques maximum de 480 Mbit/s. Certes les performances en matière de stockage de données sont toujours conditionnées par le type de disque choisi. De sorte que, par exemple, on obtiendra de meilleurs taux avec des disques durs en RAID ou des SSD, qu'avec un disque externe unique connecté à un ordinateur en USB 3.0 (voir test du Iomega eGo 2 To).

Toujours plus de produits certifiés et bientôt une parité de prix avec l'USB 2.0

Surtout, selon Jeff Ravencraft, le patron de l'USB Implementers Forum, « ce qui est remarquable, c'est que, il y a à peine plus d'un an, il n'y avait qu'un seul produit certifié - un contrôleur USB créé par NEC/Renesys - et cette dernière année, nous avons certifié plus de 165 produits, dont des notebooks, des cartes mères, des cartes d'extension compatibles, et des disques durs. Sans compter les nombreux produits non certifiés présents sur le marché. » Lors du CES 2010, 17 produits USB avaient été ajoutés. Aujourd'hui, avec l'introduction d'un autre contrôleur hôte certifiée USB 3.0 - de Fresco Logic cette fois -, le choix des fournisseurs est devenu plus important. Il y a aussi plus de concurrence sur les prix. Selon Jeff Ravencraft, NEC avait prévu de fournir 20 millions de contrôleurs en 2010, et Gigabyte a livré 5 millions de cartes mères compatibles USB 3.0 pour équiper des ordinateurs de bureau ou des portables avant la fin de l'année 2010. «Le rythme d'adoption par le marché a été phénoménal. C'est même le plus rapide du genre, toutes technologies confondues. Bien plus rapide que celui de l'USB 2.0, » a dit le patron de l'USB Implementers Forum.

Celui-ci prédit par ailleurs qu'en 2011, le prix des produits USB 3.0, actuellement plus chers que ceux en USB 2.0, va s'éroder jusqu'à se placer à niveau égal, en partie à cause de la chute du prix des composants nécessaires à la fabrication de l'USB 3.0. Initialement, l'intégration de cette interface revenait à 7 dollars aux fabricants, contre moins de 2 dollars actuellement, à un niveau de prix qui devance de trois ans les projections faites par In-Stat. Pour Charles Klinker, directeur du marketing chez Verbatim, « c'est le moment de surveiller les rayons des revendeurs, qui renouvellent généralement une grosse partie de leurs produits au cours du premier trimestre de l'année, et qui risquent de remplacer l'USB 2.0 par du 3.0. »

L'imagerie numérique, prochaine étape de l'USB 3.0

Le CES 2011 a permis de constater aussi que le nombre d'ordinateurs de bureau et de portable supportant l'USB 3.0 était en nette augmentation. De nombreux fabricants proposant des appareils intégrant la puce Intel Sandy Bridge, ont ajouté aussi l'USB 3.0 à leurs machines. Et si, en 2010, il était difficile de trouver un ordinateur portable proposant de l'USB 3.0, ce ne sera plus le cas en 2011. « Soyez patients, » conseille même Jeff Ravencraft, « d'autres appareils comme les  appareils photo, les caméscopes, les téléviseurs, vont bientôt intégrer de l'USB 3.0. » Selon lui, il va y en avoir beaucoup et bientôt. « Il est évident que les premiers appareils concernés sont les unités de stockage et les ordinateurs, » dit-il. « Certains produits, qui ne nécessitent pas des débits élevés, comme les claviers, les souris, les imprimantes, prendront un peu plus de temps. Mais, à mon avis, dès le début du second semestre, nous verrons apparaître des téléviseurs HD, des caméras, des caméscopes proposant ce format. Ces produits concernés par des contenus riches, ont besoin d'évoluer vers une technologie permettant des transferts de données hauts débits. Et l'USB 3.0 est tout à fait approprié. »

Illustration principale : Contrôleur USB 3.0 NEC/Renesys, crédit D.R. (...)

(07/01/2011 10:52:23)

Avec la Surface 2.0, Microsoft tente de sortir du simple gadget

Lancée il y a un peu plus de deux ans auprès des professionnels (hôtels, restaurants, salons d'exposition, marques automobiles, etc.), la table Surface 1.0 de Microsoft permet de manipuler des images, des fichiers ou des catalogues en glissant ses doigts sur l'écran en surface. Un peu léger quand on connait le tarif annoncé à l'origine par MS : 12 000 dollars HT environ. Aujourd'hui Microsoft et samsung commercialisent la Surface 2.0/SUR40 à 7 600 dollars HT.

L'américain qui s'est associé à Samsung pour la seconde génération de sa table basse high tech, propose une mise à jour de taille. La Surface 2.0 s'enrichit de la technologie PixelSense. Alors qu'auparavant, la détection du toucher s'effectuait via plusieurs caméras placées sous l'écran, cette mouture transforme chaque pixel de l'écran en petit capteur sensitif. Cette grande tablette peut ainsi scanner, reconnaître et interagir avec vingt doigts évoluant en même temps. Elle est également capable d'analyser des objets posés sur l'écran. Les textes imprimés sont également reconnus et numérisés. Outre la technologie PixelSense, la Surface est présentée comme plus puissante, plus réactive et plus performante. C'est un des gros reproches qu'on pouvait faire au produit après quelques minutes d'usage. Elle est également plus fine (10 cm d'épaisseur) que la version précédente, et peut s'utiliser en position horizontale, comme une table de restaurant, ou verticale, comme un écran de télévision.



Coté technique, on a affaire une écran tactile multipoint d'une diagonale de 40 pouces, reposant sur un processeur Athlon II X2 à 2,9 GHz épaulé par une carte graphique Radeon HD 6700M. Le système d'exploitation retenu est Windows 7 Pro 64 bits. Avec ces avancées, Microsoft élargit les champs d'application de sa table numérique (hôpitaux, services administratifs, lieux touristiques, éducation, etc.), d'autant que le système sera accessible à la communauté des développeurs. Microsoft a d'ores-et-déjà fait savoir que la Royal Bank of Canada déploiera les nouvelles Surface 2.0 dans certaines de ses agences. Les clients pourront par exemple, déposer un coupon sur l'écran, et ce dernier leur annoncera s'ils ont ou non gagné un prix de leur banque.

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