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PC et portables
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(15/11/2011 09:49:25)
La vente de PC décline au troisième trimestre 2011 selon Gartner
Comme ailleurs en Europe de l'Ouest, les ventes de PC ont aussi reculé en France lors du troisième trimestre 2011. Durant cette période, le nombre d'ordinateurs commercialisés dans l'Hexagone s'est élevé à 2,7 millions d'unités, soit 2,1% de moins qu'il y a un an. Cela aurait pu être pire, puisque «le dépassement des prévisions sur le segment professionnel a permis aux résultats globaux d'être meilleurs que prévu », note Isabelle Durand, analyste principale chez Gartner. Dans le détail, les chiffres du cabinet d'études montrent que les ventes aux entreprises ont progressé de 10%. Cette belle performance n'a toutefois pas suffi à compenser le recul de 9,2% en volume enregistré sur le segment des particuliers grand public. Pour Gartner, la diminution des ventes de netbooks (-21%) et de PC (-11%) associée à la hausse du nombre de tablettes commercialisées expliquent la mauvaise tenue du marché grand public.
La baisse des ventes atteint -11% en Europe de l'Ouest
Malgré ces mauvais résultats, les acteurs présents sur le marché français des PC trouveront peut-être matière à se consoler en constatant que la situation est pire ailleurs. En Allemagne, par exemple, où les ventes ont reculé de 7,9%. Ou encore, au Royaume-Uni où la baisse a atteint -10,8%. Plus globalement, le marché français du PC a mieux résisté que l'ensemble des marchés d'Europe de l'Ouest dont les ventes cumulées se sont dépréciées de 11,4% en volume à 14,8 millions d'unités. Là encore, la faiblesse du marché grand public est principalement en cause. Les ventes aux particuliers ont en effet chuté de 18,7% alors que celles aux entreprises progressaient dans le même temps de 2,1%. « Ces chiffres sont d'autant plus décevants que le troisième trimestre est traditionnellement fort sur le segment grand public grâce à la période du back-to-school », commente Meike Escherich du Gartner. Analysés par type de produits commercialisés, les résultats de l'étude trimestrielle de Gartner montrent une décroissance de 12,6% des ventes de PC mobiles (de 40% pour les netbooks) et de 8,7% pour celles de desktops.
Asus en plein boom
Dans cette situation préoccupante, HP peut s'estimer heureux d'avoir conservé sa position de numéro un des constructeurs en Europe de l'Ouest. Malgré les incertitudes créées par son projet, aujourd'hui abandonné, de se séparer de sa division PSG, le fabricant a vu la baisse de ses livraisons se limiter à -7,5%. Il conserve ainsi une part de marché de 22,7% contre 21,8% un an plus tôt. De son côté, Acer poursuit sa descente aux enfers. Les ventes trimestrielles du taïwanais ont reculé de 45%. Il reste toutefois encore loin devant son poursuivant immédiat, en l'occurrence Asus qui vient de conquérir la troisième place du classement de Gartner. Auréolé d'une croissance de ses ventes de 20,3%, le constructeur coréen s'arroge 10,6% des livraisons de PC en Europe de l'Ouest et relègue ainsi Dell en quatrième position. Ce dernier dispose d'une part de marché de 9,8%, quasiment inchangée à période comparée de 2010. Apple continue quant à lui d'occuper la cinquième place du podium tout en enregistrant une hausse de près de 2 points de sa part de marché (à 7,6%) grâce à des ventes en hausse de 19,6%.
La vidéoconférence au secours des réunions de CE
En l'occurrence, un représentant du personnel ne se trouvait pas dans l'établissement où avait lieu la réunion et s'est donc joint à celle-ci en utilisant la vidéoconférence. Or cette possibilité n'avait pas été prévue au règlement intérieur et pouvait donc entacher les décisions prises lors de cette réunion. La Cour vient de rejeter cette contestation. Cependant, une limite a été fixée de manière ferme au nom de la confidentialité : il ne faut pas qu'il soit nécessaire de procéder à un vote à bulletin secret.
Fujitsu Forum 2011 : Accompagner toutes les facettes du cloud
Rolf Schwirz, PDG de Fujitsu Technology Solutions explique dans la conférence d'ouverture du Forum 2011 à Munich, « le cloud n'est pas une rupture technologique, il s'agit d'un changement de modèle économique basé sur la délivrance de service IT ». Et le dirigeant entend bien générer du revenu sur ce modèle, d'ici à 2015, le cloud devrait représenter 30% du chiffre d'affaires global de Fujitsu (cela représente 20 milliards de dollars en se basant sur l'exercice fiscal 2010). Une fois planté le décor économique et stratégique, place aux annonces technologiques. Joseph Reger, CTO CEMEA chez Fujitsu Technology Solutions, est revenu sur les présentations du jour.
En premier lieu, Fujitsu a présenté sa boutique d'applications professionnelles, baptisée Business Solution Store. Pour Joseph Reger, « il est nécessaire de créer un écosystème applicatif sur notre offre global cloud (l'offre PaaS de Fujitsu en collaboration avec Microsoft) ». Le constructeur prévoit un millier d'applications provenant d'une centaine de partenaires, qui pourront proposer leurs produits en mode SaaS.
Le groupe se lance aussi en direct en proposant une offre CRM Open Source, qui repose sur le savoir-faire technologique de la société VTiger. « Le cloud doit modifie le régime de licence en passant au modèle de paiement à l'usage, l'offre CRM en Open Source va dans cette direction », souligne Joseph Retzger. Par contre aucun prix n'a été communiqué sur cette offre et sa disponibilité est prévue au début 2012. Par ailleurs, Juan Maria Porcar, vice-président Service Business Groupe nous a indiqué, « il est probable que nous développions d'autres applications comme celle du CRM pour montrer aux fournisseurs de services l'intérêt du cloud ».
Des offres datacenter pré-packagées
Parmi les autres annonces, Fujitsu succombe aussi aux charmes du tout-en-un. Pour faire évoluer ou consolider son datacenter, le constructeur propose DI Blocks, une offre tout-en-un comprenant serveurs (Primenergy), réseau et stockage (Eternus), mais aussi des solutions logicielles pour la virtualisation (VMware ou Microsoft) et l'orchestration des ressources, dans le cadre de la création d'un cloud privé.
Plusieurs types de configuration seront disponibles à partir de début 2012, elles débuteront avec 48 coeurs et pourront atteindre 1 700 processeurs Intel Xeon 5600, la mémoire vive pourra évoluer jusqu'à 21 To et les capacités de stockage pourront embarquer jusqu'à 900 To. Côté connectivité, les systèmes DI Blocks accueilleront des ports 10 Gb Ethernet ou du 8 Gb en FC. Aucun prix n'a été dévoilé sur les différentes configurations. Le constructeur se lance donc dans la même aventure que HP, IBM, ou l'alliance VMware, Cisco et EMC dans l'intégration des différentes stacks au sein d'un même produit.
Supercalculateur 23,2 petaflops et tablette Android
En dehors du cloud, Fujitsu a présenté le supercalculateur PrimeHPC FX10. Il est doté d'une capacité théorique de calcul de 23,2 petaflops. Il a été utilisé au sein du supercalculateur K au Japon, qui revendiquait la première place mondiale en juin dernier. Fujitsu indique que le PrimeHPC FX10 fonctionne avec le processeur Sparc64 IXfx (le japonais avait travaillé sous licence Sun bien avant le rachat par Oracle) avec 16 coeurs cadencés à 1,8 GHz, qui succède au processeur 8 coeurs Sparc64 VIIIfx. Le modèle commercialisé par Fujitsu comprend aussi une capacité de mémoire vive de 32 à 64 Go et deux liens bidirectionnels capables de travailler à 5 Gbit/s pour la liaison entre les serveurs. Chaque serveur intègre un rack qui comprend 96 serveurs. En sachant que le modèle de base comprend 4 racks, la capacité de calcul peut atteindre en version maximale à 90 Teraflops pour une capacité de mémoire de 12 To. Ce supercalculateur utilise un système de water-cooling pour optimiser le ratio performance/consommation d'énergie. Les premiers clients devraient être servis au début de l'année 2012.
Dans un autre domaine, Fujitsu a présenté en démonstration sa tablette sous Android, la Slate PC, qui supporte le VDI via Citrix receiver et est résistant à l'eau. La tablette comprend aussi un slot pour des cartes SD ainsi qu'une carte SIM. Pour l'instant, cette tablette n'existe qu'au Japon avec l'opérateur NTT DoCoMo et il n'existe pas de plan pour développer ce produit. Joseph Reger a expliqué « nous regardons quelles sont les opportunités et nous travaillons aussi sur d'autres OS comme Windows 8 qui apporte une expérience utilisateur intéressante ».
Selon Forrester, les utilisateurs de Mac sont plus productifs
Dans son dernier rapport, l'institut Forrester effectue un volte-face spectaculaire vis-à-vis de l'attitude à employer envers l'utilisation d'ordinateurs Apple en entreprise. En effet, alors que depuis plusieurs années Forrester recommandait aux responsables IT de se concentrer sur la standardisation de leurs systèmes, et donc sur la mise en oeuvre de parcs informatiques tournant sous Windows, l'institut publie aujourd'hui une étude révélant que les utilisateurs d'Apple sont plus productifs que leurs collègues travaillant sous Windows.
Ce sondage, réalisé auprès de 590 responsables IT et dirigeants européens et américains, révèle que les employés qui utilisent un ordinateur Apple - souvent payé de leur propre poche - représentent une population d'employés qui se servent le plus de nouvelles technologies et trouvent des moyens innovants pour augmenter leur productivité et apporter un meilleur service à leurs clients.
Rentabilité supérieure à la moyenneSelon David Johnson, analyste chez Forrester, «La plupart des Mac entrent dans l'entreprise par le biais de managers, vendeurs et autres workaholics qui font partie de ce que nous appelons les «power laptop users», dont la rentabilité est de 44% supérieure à la moyenne, qui utilisent plus d'apps collaboratives et ont toujours sur eux en moyenne trois appareils électroniques». Ces employés acceptent de payer un Mac de leur propre poche afin de gagner en rapidité ainsi que pour soigner leur image de marque.
Selon Forrester, à l'heure actuelle deux entreprises sur cinq découragent totalement l'utilisation de Mac par leurs employés, leur interdisant jusqu'à l'accès à leur email et à Internet. Au vu des conclusions de cette étude, l'institut Forrester recommande néanmoins désormais aux départements IT de faciliter l'utilisation de Mac en entreprise. Même si actuellement le système d'exploitation Windows détient 85% de parts de marché, ce changement de perception vis-à-vis des ordinateurs Apple pourrait à long terme constituer une menace pour la suprématie jusqu'à aujourd'hui incontestée de Microsoft.
ICTJournal.ch (...)(08/11/2011 10:22:31)Une perception aléatoire de la sécurité IT par les cadres dirigeants
Les récentes technologies et pratiques sont mises en vedette dans la dernière livraison de l'étude mondiale de Ernst & Young sur la perception de la sécurité des SI par les dirigeants d'entreprises. Et cela dans un contexte des plus hostiles : 72% des répondants de l'enquête considèrent que les risques externes s'accroissent.
Mais l'insécurité n'est pas un frein à l'adoption de technologies et de pratiques. Ainsi, 80% des répondants pensent implanter des tablettes (14% l'ont déjà fait officiellement avec le support de la DSI) dans leurs organisations alors même qu'ils reconnaissent un niveau de sécurité très perfectible pour ces terminaux. D'une manière générale, seulement 47% des organisations semblent recourir à des techniques de cryptage des données sur des terminaux mobiles (portables, tablettes, smartphones...) alors même que les vols de ces objets sont très nombreux.
De la même façon, la priorité des prochains douze mois sera la sécurité dans le cloud alors même que l'adoption de l'informatique dans les nuages ne cesse de progresser. 61% des répondants déclarent ainsi utiliser ou compter utiliser le cloud dans l'année à venir. Mais plus de la moitié n'ont fait aucune analyse des risques induits par une migration dans le cloud. Et la seule réponse à cette insécurité latente est un contrôle des clauses contractuelles pour 20% des répondants. C'est certain qu'un contrat a toujours arrêté un cybercriminel. Dans 88% des cas, une accréditation par un tiers sera un plus pour accorder sa confiance, dans 45% seulement si cette accréditation se fait selon des standards reconnus.
Les réseaux sociaux inquiètent
L'une des craintes majeures des entreprises reste la pénétration des défenses par l'ingénierie sociale. Or les médias sociaux et notamment les réseaux sociaux sont analysés comme des outils facilitant ce genre d'attaque. La réponse des entreprises est donc d'en couper l'accès durant les heures de travail (53% des répondants), les collaborateurs étant donc réputés oublier toutes les informations professionnelles et ne plus se connecter aux réseaux sociaux dès qu'ils sont hors des locaux de l'entreprise.
Si 59% des répondants pensent accroître le budget de la sécurité, surtout pour perfectionner le PCA/PRA du reste, l'argent ne fait pas tout. Ainsi, seulement 51% admettent disposer d'une stratégie formalisée de sécurité.
Intel et Mips se bousculent pour supporter Android 4.0
On a déjà vu Android 4.0, alias Ice Cream Sandwich, tourner sur un smartphone intégrant un processeur ARM, puce que l'on retrouve dans la plupart des smartphones et tablettes actuelles. Le mois dernier, Google avait montré une version de Ice Cream Sandwich (ICS) tournant sur le futur Galaxy Nexus de Samsung, dont la commercialisation doit démarrer ce mois-ci aux États-Unis, en Europe et en Asie. Google avait choisi de s'appuyer sur Samsung et Texas Instruments, dont la puce double coeur OMAP4460 fait déjà tourner le premier Nexus, pour fournir des dispositifs compatibles ICS. Mais Intel et Mips, en rivalité avec ARM, et tous deux pratiquement absents de ce marché, comptent bien faire en sorte que leurs processeurs soient aussi compatibles avec Android 4.0.
Cette semaine, Intel a fait savoir que le système d'exploitation mobile de Google était prêt pour tourner sur des tablettes et des smartphones équipés de processeurs x86 pour mobiles d'Intel. « Le premier smartphone basé sur une puce Intel est prévu pour le premier semestre de l'année prochaine, » a ainsi précisé Intel. Le fondeur a travaillé étroitement avec Google sur le développement d'une version Android compatible avec les processeurs Intel destinés aux smartphones et aux tablettes, laissant même de côté son propre OS MeeGo pour privilégier Android. « Ice Cream Sandwich a été optimisé pour les architectures x86, si bien que les appareils construits autour de l'architecture d'Intel supporteront le dernier OS mobile de Google, » a déclaré Suzy Greenberg, porte-parole d'Intel. Parmi les tablettes intégrant les processeurs d'Intel, il y a notamment la Slate 2 de Hewlett-Packard, annoncée la semaine dernière, et la Cius de Cisco, qui tourne sous une ancienne version d'Android.
Mips veut également travailler avec Android 4.0
Mips est la troisième architecture processeur à vouloir rivaliser avec ARM sur le marché de la tablette et du smartphone. Il existe déjà sur le marché des tablettes intégrant des processeurs Mips et tournant sous Android 3.0, alias Honeycomb. Et l'entreprise compte également porter Android 4.0 sur ses tablettes. « Une version d'Android 4.0 pour processeurs Mips sera disponible sous peu, » a déclaré Jen-Bernier Santarini, porte-parole de Mips. « La disponibilité de tablettes sous Android 4.0 tournant avec des processeurs Mips dépendra du moment où Google libèrera son OS sous licence Open Source, » a-t-elle expliqué. « Dès que le smartphone de Samsung sera sur le marché, Google pourra libérer le code source d'Android 4.0 et permettre le portage de l'OS sur d'autres puces et d'autres dispositifs. « Si Google libère le code d'ICS en novembre, celui-ci pourra être porté sur Mips une quinzaine de jours après, pour une mise en production sous 3 mois, » a encore déclaré Jen Bernier-Santarini.
Beaucoup de licenciés Mips travaillant avec Android ont déjà terminé le développement de bas niveau sur le noyau Linux et le pilote, et ils n'attendent plus que le code Open Source des couches supérieures d'Android pour compléter le portage. «Dans la mesure où l'architecture d'Ice Cream Sandwitch est très similaire à celle d'Honeycomb, il sera facile de tirer profit de tout le travail effectué par Mips et ses licenciés sur Honeycomb. C'est pourquoi nous pensons que ICS tournera sur nos plateformes très peu de temps après la mise à disposition par Google du code en Open Source, » a ajouté la porte-parole de Mips.
Un portage plus facile
Intel et Mips auront plus de facilité à porter Android 4.0 pour leurs processeurs que cela n'a été le cas pour les versions précédentes d'Android. Au mois de janvier, alors que l'on pouvait voir Android 3.0 sur des tablettes intégrant des processeurs ARM, Intel et Mips travaillaient encore sur le portage de l'OS sur leurs puces, et il leur a fallu plusieurs mois pour mettre au point la version définitive. HTC est l'un des fabricants de smartphones proposant des produits qui supportent Android 4.0. Le constructeur vient de livrer un smartphone Rezound, qui pourra être mis à niveau vers Android 4.0 dès l'année prochaine.
L'OS comprend de nombreuses améliorations, dont une nouvelle interface et un dock qui permet d'accéder et de naviguer plus facilement entre les applications. A noter au nombre des autres caractéristiques, un clavier virtuel amélioré, la possibilité de gérer plusieurs comptes de messagerie, une sécurité renforcée, de meilleures performances pour les applications, une prise en charge plus rapide des photos, l'accès à technologie de communication de proximité (NFC) qui apporte des capacités en paiement mobile, plus l'amélioration des fonctionnalités de reconnaissance vocale speech-to-text.
Dans l'ensemble, les fabricants de smartphones et de processeurs sont très enthousiastes en ce qui concerne Android 4.0. En particulier, parce que le nouvel OS apporte une cohérence entre les versions Android pour tablettes et smartphones qui pourrait contribuer à réduire la fragmentation du système mobile de Google.
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