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(19/04/2011 13:20:03)

Microsoft a ouvert une « marketplace» avec la bêta d'Office 365

Avec l'élargissement du programme de test d'Office 365, sa suite collaborative et de communication dans le cloud, Microsoft a presque doublé le nombre de pays concernés par la version bêta de l'offre en ligne. Celle-ci peut désormais être testée par les utilisateurs de 38 pays avec une interface disponible en 17 langues. L'éditeur de Redmond a également ouvert un catalogue d'applications et de services, baptisé Office 365 Marketplace. La place s'est ouverte hier sur une centaine d'applications et 400 services professionnels proposés par des développeurs et des partenaires.

Office 365 donne accès aux versions hébergées de SharePoint, Exchange et Lync, ainsi qu'aux Office Web Apps. En s'ouvrant à de nouveaux pays, le programme bêta vient de franchir une étape significative. Il s'adresse maintenant à des centaines de milliers d'entreprises ou d'administrations ayant des millions d'utilisateurs, souligne Betsy Webb, directrice générale de la division Online Services de Microsoft. « C'est une véritable rampe d'accès vers la disponibilité générale des services qui sera effective au cours de cette année ». Jusqu'à maintenant, environ 70% des participants au programme bêta étaient de petites entreprises. Microsoft leur propose de partager leurs expériences dans le cadre d'un concours, « Ready for Work ». Cinq gagnants recevront des outils marketing d'une valeur de 50 000 dollars, la gratuité d'Office 365 pendant un an et, en prime, un cadre de l'équipe Microsoft qui travaillera une journée pour les entreprises lauréates.

Si la place de marché Office 365 propose bien un catalogue de produits et services, les transactions en revanche s'opèrent sur les sites des partenaires, dans le cas où les utilisateurs décideraient d'acheter une application ou de s'engager sur une prestation, a expliqué Betsy Webb.

Version 2010 de SharePoint

Pour les entreprises ayant moins de 25 employés, Office 365 sera facturé à partir de 5,25 euros par utilisateur et par mois. Pour les plus grandes entreprises, l'offre démarre à 9 euros pour Exchange, SharePoint et Lync Online, et de 22,75 euros pour la version la plus complète incluant un abonnement mensuel à Office Professionnel Plus 2010. Pour ces grands clients, Microsoft propose par ailleurs une option de base comportant seulement l'e-mail à destination des employés qui n'auraient pas besoin d'autres logiciels (à partir de 1,75 euros par personne et par mois).
A terme, Office 365 devrait inclure l'offre de gestion de la relation client Dynamics CRM Online. Microsoft prépare aussi une version d'Office 365 pour l'éducation, sous la forme d'une mise à jour à la suite de collaboration et de communication hébergée Live@edu.

Alors que les applications de l'actuel service BPOS (Business Productivity Online Suite) sont basées sur les versions 2007 d'Exchange, SharePoint et Office Communications Server, les composants d'Office 365 reposent sur les éditions 2010 de ces logiciels. L'offre Lync a pris la suite d'Office Communications Server.

Avec l'arrivée d'Office 365, la concurrence va encore monter d'un cran, entre Microsoft et la Google Apps suite, mais aussi avec les autres acteurs du marché, IBM/Lotus ou encore, surtout aux Etats-Unis, Cisco, Novell, Jive, Socialtext et Box.net.

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(19/04/2011 11:05:23)

John Wookey, responsable des offres OnDemand, quitte SAP

Ancien collaborateur d'Oracle, John Wookey (en photo) est arrivé chez SAP il y a deux ans et demi pour développer la stratégie « software as a service » en direction des grandes entreprises. Son départ a été annoncé hier par l'éditeur allemand de solutions de gestion. Peter Lorentz, sous la responsabilité duquel il opérait, supervisera la division SaaS pour grandes entreprises jusqu'à la nomination de son remplaçant, a indiqué Jim Denver, porte-parole de SAP.

Vice-président exécutif, responsable de la ligne de produits On Demand, John Wookey quitte l'entreprise pour des raisons personnelles, précise l'éditeur. « Cela ne modifie absolument pas notre engagement sur l'activité on-demand, a affirmé Jim Denver en rappelant que, dans ce domaine, plusieurs étapes avaient déjà été franchies.

Sales On Demand, issu de l'équipe Wookey

C'est un haut profil que SAP avait recruté en novembre 2008, avec John Wookey. Auparavant, celui-ci avait été impliqué au sein d'Oracle dans le démarrage de Fusion Applications (gamme de composants de gestion intégrés notamment accessibles en SaaS), projet de longue haleine qui débouche en ce moment. Chez SAP, il a travaillé sur une série d'applications SaaS destinées à étendre les fonctionnalités du produit de gestion phare, la Business Suite.

L'un des premiers produits à être sorti de l'équipe de John Wookey est l'application de gestion de la relation client (CRM) Sales OnDemand, présentée à l'occasion du Cebit de Hanovre, en mars dernier. D'autres devraient être évoquées lors de la prochaine conférence Sapphire à Orlando, le mois prochain.

L'analyste Ray Wang, PDG de Constellation Research, estime que son départ est une « perte importante pour SAP » car il avait su constituer une équipe intéressante, incluant des anciens d'Oracle et de Salesforce.com, et insuffler « le bon esprit de corps pour aller de l'avant ».

Un positionnement clé pour SAP

Pour sa part, Jon Reed, analyste indépendant qui suit SAP de près, considère que John Wookey faisait vraiment partie des cinq personnes les plus importantes au sein de SAP. « Il était très inventif, mais son travail n'était pas réalisé, c'est le problème ». Même si la stratégie SaaS de SAP pour les grandes entreprises ne va pas générer une part importante de revenus cette année, il s'agit d'un positionnement clé pour l'éditeur, un domaine où il se présente autrement que comme un vendeur de logiciels vivant de la maintenance d'applications (installées pour une partie depuis plusieurs années). A noter que les applications SaaS pour les grands clients (Sales OnDemand, notamment) sont hébergées sur la plateforme de Business ByDesign, après avoir commencé leur parcours dans d'autres directions avec d'autres technologies.

Illustration : John Wookey, « vice-président exécutif, Line of Business On Demand » chez SAP à l'occasion du Cebit 2011 (source : SAP)
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(19/04/2011 09:43:12)

Le marché des semi-conducteurs en pleine forme en 2010 selon Gartner

Plusieurs facteurs expliquent cette forte croissance, selon Peter Middleton, analyste chez Gartner. Le secteur est reparti à la hausse avec une demande non attribuée, une récession économique qui freinait les investissements et donc le besoin de reconstituer les stocks. Le marché a commencé son ascension au second semestre 2009, « cela a continué presque frénétiquement au 1er semestre 2010 » commente le Gartner, avec une demande partie en flèche et des prix également en augmentation.

Côté constructeurs, Intel reste en tête pour la 19ème année consécutive, avec 14% des parts de marché, Samsung est deuxième avec 9,4%, mais en croissance de 58,3%. Les suivants se tiennent à quelques décimales : Toshiba 4,1 %, Texas 4%, STM 3,5%, Renesas 3,4%, Hynix 3,3, Micron 2,7%, Qualcomm 2,4%, Broadcom 2,2%.

Intel fléchit


Intel perd des points, il était à 14,6% de parts de marché en 2009. Samsung, en revanche, a connu une forte croissance avec le marché de la DRAM et celui des mémoires flash Nand. Les mémoires représentent environ 80% de ses ventes expliquant ses bonnes performances. Sur la troisième marche du podium, on trouve Toshiba avec une augmentation de son activité dans les mémoires flash Nand pour les mobiles. Toutefois, son activité dans l'Asic a diminué avec la baisse du marché des jeux vidéo. Le Gartner souligne également la performance de la société Broadcom qui s'est hissée à la dixième place.

Dans cet exercice de distribution des prix, le Gartner possède un instrument particulier, son indice RIP qui mesure les plus grands écarts à la hausse ou la baisse par rapport aux attentes. Quatre fournisseurs se développent mieux que prévu, 10% au-dessus de la prévision : Broadcom, Marvell, Samsung Electronics et NXP. Inversement, quatre autres ont manqué les attentes du marché de plus de 10% : Rohm, Renesas Electronics, Nvidia et MediaTek.

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(18/04/2011 13:53:21)

Intel et Micron annonce des mémoires Flash Nand en 20 nm

Pour démarrer, Intel et Micron ont conçu un modèle test de 8 Go dont les composants ont été gravés en 20nm, lequel devrait être produit à grande échelle dès le second semestre de cette année. Les deux partenaires devraient également produire une unité de 16 Go. En théorie, ils pourraient faire tenir jusqu'à 128 Go de mémoire flash sur un disque SSD de la taille d'un timbre-poste.

La mémoire flash en 20 nm permet d'obtenir plus de capacité de stockage dans un espace plus fin et à moindre coût. Il y a un an environ, IM Flash Technologies avait introduit la technologie flash à 25nm - doublant alors la capacité de mémoire par rapport au procédé précédent. Juste au moment où les concurrents parviennent enfin à rivaliser avec la mémoire flash à 25nm, Intel et Micron mettent la barre encore plus haut.

Dans le communiqué de presse publié par IM Flash Technologies annonçant le 20nm, on peut lire : « la réduction de la taille du support de stockage flash permet une plus grande efficacité au niveau du système. Elle offre également aux fabricants de tablettes et de smartphones la possibilité d'utiliser l'espace supplémentaire pour améliorer d'autres éléments, par exemple inclure une batterie de plus grande taille, un écran plus grand ou ajouter une puce supplémentaire pour gérer d'autres fonctionnalités. »

Recensement des avantages du 20 nm

Appliquée à la mémoire flash, la technologie à 20 nm nécessite, à capacité égale, 30 à 40 % d'espace en moins que son homologue à 25 nm équivalente. Les fabricants de périphériques peuvent tirer parti de ce facteur pour développer des appareils encore plus petits que les dispositifs mobiles actuels.

Des appareils moins chers : la mémoire flash à 20 nm coûte trois fois moins chère à produire que la mémoire actuelle à 25nm. Les fabricants peuvent réaliser des marges plus élevées sur leurs produits, ou encore répercuter les économies réalisées en baissant leurs prix, ou faire un peu des deux.

Une plus grande fonctionnalité : la nouvelle mémoire prend donc 30 à 40 % d'espace en moins pour une capacité de stockage identique, à un tiers du coût actuel. Les fabricants de smartphone et de tablettes peuvent profiter de l'espace disponible et de la différence de coût pour ajouter de nouvelles fonctionnalités aux dispositifs existants sans affecter leur taille actuelle ou leur prix.

Les concurrents n'ont plus maintenant qu'à chercher à atteindre la barre des 20 nm. Sauf qu'IM Flash Technologies aura déjà une longueur d'avance sur eux : l'entreprise se prépare à dévoiler un processus à 16nm plus tard cette année. A se demander ce qui pourrait advenir si la mémoire flash atteignait la taille de 1 nm...

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(15/04/2011 17:14:52)

HP fourbit ses services pour moderniser les applications

HP s'attelle à convaincre les entreprises de rénover leur patrimoine applicatif. C'est l'un des axes de sa stratégie Instant-On, définie fin 2010, dans laquelle s'inscrit aussi l'évolution vers les environnements de cloud. Pour apporter de l'eau à son moulin, le groupe IT cite une étude* récemment conduite auprès de 312 cadres dirigeants (DG, DAF et DSI) des secteurs publics et privés. 56% d'entre eux jugent que la modernisation des applications est le premier domaine dans lequel investir pour disposer de processus plus flexibles, propres à favoriser l'innovation indispensable à leur croissance. « La réactivité au niveau applicatif doit être plus forte », commente-t-on chez HP France en rappelant qu'en Europe, 55% des applications ont entre cinq et dix ans (ou plus). Une partie d'entre elles, dans des proportions parfois significatives, sont parfois jugées dépassées par les DSI et susceptibles d'être mises hors service, comme le montre un autre rapport, publié cette semaine avec Capgemini.

Pour accompagner les entreprises sur la voie de cette modernisation, HP vient d'annoncer de nouveaux services ou produits dans son portefeuille de solutions « Application Transformation ». Le premier service, Application Portfolio Management, vise à évaluer le patrimoine applicatif dont l'entreprise n'a pas toujours établi ou conservé une vision consolidée au fil des fusions/acquisitions. L'objectif est de déterminer quelles sont les applications qui doivent être réarchitecturées, réécrites, migrées vers un environnement plus ouvert ou tout simplement arrêtées. Pour réaliser cette évaluation, qui intègre les aspects « coûts de possession », et proposer une feuille de route au client, l'entité services de HP s'appuie sur un outil maison accessible en mode SaaS (en attente de brevet). « Sur le marché français, nous réalisons cette analyse du parc applicatif et de sa rationalisation dans le secteur des télécommunications, de la banque/assurance et de l'automobile, avec des objectifs business fixés par les comités de direction », indique Sylvain Faligand, directeur applications services chez HP France. C'est le genre de chantier que HP a lui-même mené en interne. Après avoir entrepris de consolider ses datacenters, le groupe a dressé un état des lieux et drastiquement décidé de supprimer une de ses applications sur deux. 

Intégration des outils de sécurité Fortify

L'un des autres services annoncés concerne la transformation des applications pour le cloud. « En fonction de 32 critères business et technologiques -liés à la sécurité, aux performances, aux interfaces, aux règlementations, etc.- et en nous appuyant sur des outils et méthodes HP, nous déterminons si l'application est candidate pour être portée vers le cloud public, pour être installée sur un cloud privé géré par HP ou par le client, et nous identifions le meilleur chemin de migration de l'infrastructure », explique Sylvain Faligand. Dans le domaine des solutions de sécurité, indispensables à ces déploiements, HP annonce par ailleurs l'intégration des produits de sécurité de Fortify avec les siens.

Pour automatiser le cycle de vie des applications dans ces environnements hétérogènes, le groupe IT va proposer le logiciel HP Cloud Service Automation qui permettra de créer un portail de services pour déployer et surveiller applications et infrastructure au sein d'environnements hétérogènes.

HP intervient aussi sur la modernisation des postes de travail. Dans ce domaine, il propose de mettre en place dans un cloud privé des services de messagerie basés sur Exchange 2010 de Microsoft. Cette offre de services s'étend à la solution de gestion de la relation client, Microsoft Dynamics CRM, également proposée dans un environnement de cloud privé.

(*) Une étude conduite par Burson-Marsteller pour HP, réalisée à partir de 312 interviews menées entre février et mars 2011 au niveau mondial (et incluant la France).
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(15/04/2011 16:40:04)

Recap IT : le PaaS à l'honneur, les annonces de Microsoft Mix, Intel pro-actif sur les tablettes

Dans le cloud, il existe plusieurs modèles d'accès aux ressources informatiques, le plus basique étant le SaaS (software as a service). Les éditeurs se tournent maintenant vers le PaaS (plateforme as a service). Pour concurrencer des acteurs comme Microsoft qui disposent déjà d'outils comme Windows Azure, VMware a annoncé le téléchargement de la version bêta de sa plateforme Open Source, Cloud Foundry. Le spécialiste de la virtualisation insiste sur la variété des frameworks (Spring pour Java, Ruby on Rails, etc.) compatibles avec sa solution. Autre acteur qui va tenter de séduire les développeurs de l'Open Source, Red Hat qui a des ambitions dans le PaaS avec le rachat il y a quelques mois de Makara. L'éditeur devrait en dévoiler un peu plus lors de sa conférence à Boston prévu au début du mois de mai. Il ne faudrait pas non plus oublier dans ce concert d'annonces, la création de la start-up Piston cloud computing par un ancien du projet Nebula qui souhaite donner un second souffle au programme OpenStack.

Microsoft Mix et Intel à fonds dans les tablettes


Dans un autre registre, l'édition 2011 de Mix de Microsoft a mis à l'honneur les prochains produits de la firme. Des éléments d'Internet Explorer 10 ont pu ainsi être observés. Idem pour la mise à jour de l'OS mobile, baptisé Mango, qui supportera plus de langues ainsi que HTML5.

Côté tablette, la semaine a été marquée par l'Intel Developper Forum à Beijing où le fondeur de Santa Clara a dévoilé sa puce Oak Trail Z670 pour les tablettes. Intel entend bien concurrencer ARM sur ce marché et pour cela accélère ses efforts et ses investissements dans le domaine. Ce marché est devenu important au point d'impacter les ventes de PC notamment les netbooks et les portables d'entrée de gamme selon les analystes. D'autres acteurs ont annoncé la commercialisation de leurs produits comme Acer. RIM a présenté quant à lui sa Playbook, mais les premiers retours sont assez mitigés.

Enfin, terminons par la sécurité, avec une période calme où seuls deux lots de patchs, celui de Microsoft et celui d'Oracle sont à recenser. Et dans une moindre mesure, Apple a aussi corrigé quelques bugs à travers la publication d'iOS 4.3.2.

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(15/04/2011 16:00:50)

Apple débauche le responsable des datacenters de Microsoft

Kevin Timmons, directeur général de l'activité datacenter chez Microsoft, aurait rejoint Apple. Selon le blog All Things Digital du Wall Street Journal, ce dernier a quitté l'éditeur cette semaine. Microsoft a confirmé l'information sans pour autant fournir de détails sur les raisons de son départ ni dévoiler le nom de l'entreprise qui l'avait débauché. Dans un communiqué publié aujourd'hui, Microsoft a ainsi déclaré : « Kevin Timmons a décidé de poursuivre d'autres opportunités de carrière et ne travaille plus dans l'entreprise. Nous apprécions les contributions qu'il a apportées à Microsoft durant le temps qu'il a passé chez nous. »

Un passage chez Yahoo

Le recrutement de Kevin Timmons constitue une excellente  opportunité pour Apple. Il jouit d'une très bonne réputation dans l'industrie et fera son entrée avec un CV impressionnant qui inclut un passage à Yahoo où il a dirigé son datacenter.
Apple a confirmé travailler actuellement sur des services de cloud computing. La firme de Cupertino est également sur le point  de terminer la construction d'un datacenter d'une surface de 4 650 mètres carrés en Caroline du Nord, dont les analystes disent qu'il pourrait être utilisé pour des services de streaming, incluant iTunes.

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