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Infrastructure serveur
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(03/08/2011 09:48:35)
L'Etat aurait trouvé des partenaires pour son cloud
Le gouvernement souhaite localiser des données en France, donc susciter des investissements en infrastructures sur le territoire national. Vendredi dernier, selon l'Agence France Presse, un accord aurait été signé entre l'Etat et un consortium de trois partenaires : Orange, Thalès, Dassault Systèmes.
Cet accord ne sera rendu public qu'à l'automne, après consultation des instances représentatives du personnel. Il s'agit en effet de transférer dans ce consortium des structures et des personnels, en datacenters, déjà existants. Le financement et la gouvernance du consortium restent également à définir.
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Dossier : Vos datacenters sont-ils prêts pour le cloud ?
Le datacenter est un actif stratégique pour une entreprise, il devrait l'être davantage avec l'arrivée massive des services clouds programmée sur plusieurs années. En effet, selon Markess International, 27% des entreprises françaises ont utilisé des services Cloud en 2010. Ce chiffre passera à 38% en 2011 et 49% en 2012. Dans ce contexte, les datacenters se doivent d'être opérationnels pour accueillir tous ces besoins. Mais, à en croire nos intervenants, c'est encore loin d'être le cas. Plusieurs défis restent à relever. Déjà, l'infrastructure informatique doit évoluer pour fournir un datacenter virtualisé doté d'outils d'orchestration. Ensuite, le centre de calcul réclame des méthodologies et des compétences nouvelles pas toujours faciles à appréhender. Enfin, le datacenter doit faire face au défi énergétique... (...)
(28/07/2011 14:45:34)Une appliance OpenStack pré-annoncée par Nebula
Alors que Dell vient d'annoncer une plate-forme cloud privé Open Source basée sur OpenStack, Chris Kemp, ancien directeur technique de la Nasa et co-fondateur de Nebula développe une appliance OpenStack censée faciliter la mise en place de clouds privés dans les entreprises à construire des nuages privés.
L'idée est d'éliminer le paramétrage nécessaire pour construire la plupart des clouds privés, a déclaré Chris Kemp, PDG et fondateur de Nebula, la société proposant le serveur dédié. «Afin de voir les entreprises adopter les clouds privés, on doit passer aux clefs en main. On ne peut plus être dans la situation où il est nécessaire de passer par énormément de conseils et de développement pour obtenir un cloud personnalisé », a-t-il expliqué.
Un OpenStack plus sécurisé
Nebula a chargé OpenStack sur un serveur et ajouté des fonctionnalités de sécurité et de gestion pour permettre à l'appliance de s'intégrer dans les entreprises en respectant les procédures de sécurité existantes. Cette plate-forme a été conçue pour fonctionner avec les serveurs les moins chers du marché. Chaque appliance possède un switch 10 Gigabit Ethernet avec 48 ports et peut donc se raccorder à 24 serveurs 2U selon Chris Kemp.
Les utilisateurs pourraient théoriquement connecter une centaine de ces appareils entre eux pour travailler avec des dizaines de milliers de noeuds de calcul et des pétaoctets de stockage, a-t-il ajouté. La start-up travaille déjà sur la prochaine version du produit, qui supporterait le stockage distribué, a-t-il encore précisé.
L'appareil est conçu pour fonctionner avec les serveurs les moins chers du marché, tels que les modèles Dell de série C et tous ceux qui respectent le cahier des charges Open Compute Project de Facebook. À l'origine de ce projet, ce dernier a décidé de partager les spécifications techniques de ces serveurs low cost avec tous ceux qui désirent construire des datacenters plus économes.
Illustration principale : Chris Kemp, co-fondateur de Nebula, crédit photo D.R.
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Chris Kemp espère que l'appliance Nebula permettra aux entreprises de travailler avec un matériel moins coûteux et plus efficient comme le font les géants du web Google et Facebook. Au cours des 25 dernières années, les applications d'entreprise ont commencé à s'appuyer sur des infrastructures très haute disponibilité, ce qui a obligé les directions informatiques à acheter du matériel coûteux avec des éléments inefficaces, comme les alimentations redondantes, a-t-il dit.
«Les Net compagnies ont fait le contraire. Ils ont dit, nous allons construire des infrastructures que nous pourrons étendre et qui reposeront sur du matériel à la fiabilité non garantie. Donc ce que nous proposons aux entreprises, c'est d'adopter cette même architecture, utilisée par les grandes compagnies Internet ».
Disponible au second trimestre 2012
Le serveur dédié OpenStack de Nebula ne sera pas disponible dans le commerce avant l'année prochaine. La start-up commencera en septembre une série de tests avec des entreprises dans les biotechnologies, les services financiers, l'énergie et les médias, a ajouté Chris Kemp. Le projet pilote se déroulera au cours du premier trimestre de l'année prochaine et le produit final sera commercialisé juste après.
Nebula ne livre pas encore de tarifs pour son appliance. La start-up a décidé de commencer à parler de son produit bien avant sa date de sortie, en partie pour essayer d'attirer des talents, a expliqué le dirigeant. «Nous avons besoin de recruter les personnes les plus intelligentes au monde pour construire cette plate-forme. Nous cherchons à recruter des personnes qui ont construit l'infrastructure utilisée par les Net compagnies ».
La start-up compte déjà parmi ses employés des ingénieurs et des cadres issus de Google, Amazon, Dell, Rackspace et Microsoft.
Signalons enfin que l'autre ingénieur co-éeveloppeur d'OpenStack, Joshua McKenty, a fondé la start-up Piston Cloud Computing pour pour apporter des capacités de cloud aux entreprises.
APX va compléter ses vPack pour créer son cloud privé
La SSII APX a lancé ses vPack en mai dernier, des offres de cloud privé clés en main qui repose sur la solution unifiée de VMware (vSphere 4.1 et vSphere 5 à la rentrée), EMC (VNxe et VNx) et Cisco (UCS), plus connu sous l'acronyme VCE "Virtual Computing Environnemment". Yves Pellemans, directeur technique d'APX, souligne « de plus en plus de nos clients souhaitent transformer leur infrastructure vers du IaaS, nous avons donc répondu par l'offre vPack ». Cette dernière se décline en trois niveaux suivant le profil de l'entreprise, le vPack 25 supporte de 20 à 35 machines virtuelles (à destination des petites entreprises), le vPack 50 supporte de 35 à 75 machines et enfin le vPack 100 supporte de 75 à 199 VM.
Yves Pellemans nous a précisé en avant-première que dès la rentrée deux packs supplémentaires seraient ajoutés, le premier est nommé End User et s'adressera aux postes de travail (aux offres VDI), le deuxième est baptisé PRA et accompagnera les entreprises dans la mise en place d'une politique de reprise d'activité. Sur le plan tarifaire, les vPack sont facturés 130 euros par VM et par mois en infogérance. Ces offres donnent également accès à la hotline 24/7, le maintien en condition opérationnel et la supervision.
Ce lancement découle aussi des retours des clients qui ont assistés aux ateliers de travail au sein de la solution datacenter d'APX. Il y a un peu plus d'un an, la SSII avait créé cette structure dans ses locaux autour des solutions VCE (VMware, Cisco et EMC). Yves Pellemans constate que depuis le 1er octobre dernier, 64 ateliers ont été réalisés et explique « nous avons de plus en plus de demande pour des POC (proof of concept) et sur des ateliers très spécifiques ».
Il lustration: Yves Pellemans, directeur technique d'APX
Crédit Photo: D.R
(...)(27/07/2011 14:39:45)Boston IT 2011 : Sauvegarde de postes mobiles chez Copiun
Le marché de la sauvegarde ne connaît pas de temps mort. Après les serveurs, les baies de stockage, les images virtuelles, des PC, les messageries en ligne... c'est au tour des terminaux mobiles d'attirer l'intérêt des éditeurs. Fondée en 2008 par d'anciens salariés d'EMC, Puneesh Chaudhry (CEO) et Sanjay Jain (CTO), la start-up Copiun (pour copie unique) a lancé son produit en octobre dernier qui permet de sauvegarder, synchroniser et partager les données d'une flotte hétérogène de terminaux portables dans un cloud privé. 128 entreprises dont Saks Fifth Avenue ou le Monitor Group utilisent déjà leur solution de back-up en ligne pour sécuriser les données conservées sur les postes mobiles : PC portables, smartphones, tablettes...
La prolifération des informations stockées sur ces terminaux pose à son tour le problème de la sauvegarde régulière de ces données. Comme l'explique Puneesh Chaudhry « la progression rapide des smartphones et des tablettes dans les entreprises, nous a fait passé dans un univers ou les salariés disposent de deux ou trois terminaux. Toute cette masse de données finit par créer un problème de sécurité pour l'entreprise qui se demande comment sauvegarder ces équipements ». Un agent système installable sur les plateformes Windows et iOS (Android et Mac OS X sont attendus au troisième trimestre) assure la sauvegarde et la synchronisation avec le cloud de Copiun reposant sur l'offre Mozy d'EMC « Nous sommes chez Mozy, mais nos clients possèdent déjà leur solution de stockage quant ils viennent nous voir. Nous pouvons leur proposer d'installer notre solution sous la forme d'une machine virtuelle (vSphere ou Hyper-V). En dessous de 2000 utilisateurs, le gateway peut être une appliance virtuelle » précise Puneesh Chaudry.
Accès sécurisé avec ou sans VPN
Toutes les données des clients sont sauvegardées et dédupliquées en mode objet (logo, PDF, images...) dans le datacenter utilisé par Copiun. L'autosynchronisation est assurée par la plate-forme logicielle de l'éditeur. L'administration est simplifiée pour l'utilisateur qui peut accéder à ses données via un lien VPN classique crypté en AES 128 bits. Le 256 bits est réservé au mode d'accès sans VNP via une passerelle privée créée entre l'agent système installé sur le terminal et le Copiun Data Manager dans la DMZ. « Cette méthode permet d'éviter l'ouverture de ports au niveau du firewall de l'entreprise, limitant les risques d'attaque », souligne Punieesh Chaudhry. Et pour parer à toute attaque, aucune donnée ni aucune clé de chiffrement ne sont stockées sur cette passerelle. De plus, chaque terminal possède deux formes d'authentification avec un token pour l'utilisateur et un autre pour le poste utilisé. Ainsi si le terminal est perdu ou volé, son accès peut être définitivement bloqué.
À ce jour, Copiun compte un peu moins de 30 000 utilisateurs. Si la solution est vendue 50 dollars par poste (+ 6 dollars par utilisateur pour le Data Manager), une version d'essai gratuite est proposée en test sur le site web de l'éditeur.
(...)(27/07/2011 12:16:26)
Dell lance son offre cloud privée Open Source
Avec OpenStack Cloud Solution, Dell propose une plate-forme reposant sur OpenStack et sur ses solutions matérielles, logicielles et services que les entreprises peuvent utiliser pour déployer leurs propres IaaS (Infrastructure-as-a-Service). Il s'agit de la troisième proposition du texan après les services cloud reposants sur Joyent SmartDataCenter et Microsoft Windows Azure.
Principale différence, et non des moindres, Dell propose une plate-forme reposant sur des composants Open Source et apporte même un élément de plus baptisé Crowbar, qui devraient aider les entreprises à déployer leurs propres configurations OpenStack sur du matériel Dell. Le pack inclut la suite cloud complète avec les logiciels OpenStack, fonctionnant sur Linux Ubuntu 10.10, et installé sur les serveurs Dell PowerEdge C. Crowbar est également inclus dans le package. Dell et Rackspace, qui propose déjà Cloud Builders, assureront la partie services. Le Texan proposera une architecture de référence, ou un plan d'accompagnement pour aider les entreprises à concevoir leurs propres clouds. «Comme les [besoins des] clients évoluent, nous pourrons ajouter d'autres briques » a déclaré Joseph George, directeur du marketing cloud chez Dell.
Installer plus rapidement son cloud
Le logiciel Open Source Crowbar, que Dell a placé sous licence Apache 2.0, permet d'automatiser l'installation et la configuration d'OpenStack sur plusieurs noeuds, l'exécution de tâches telles que la configuration du Bios, les systèmes RAID, et la découverte du réseau. Crowbar permet également aux utilisateurs « de déployer très rapidement déployer un cloud OpenStack multi-noeud sur des serveurs équipés d'hyperviseurs de type 1, poursuit Joseph George. L'utilisation de ce logiciel peut réduire les temps de déploiement OpenStack d'un jour ou deux à quelques heures, précise le responsable marketing.
Les administrateurs peuvent également utiliser Crowbar comme un outil de gestion OpenStack, pour exécuter des tâches telles que la surveillance d'état, les performances de collecte de données, et remonter des alertes. Crowbar emprunte certaines de ses lignes de code à deux autres programmes Open Source de supervision de réseau, Naglios et Ganglia.
Pour les serveurs Dell uniquement
« Crowbar est suffisamment intelligent pour voir si quelque chose a changé, et il s'adaptera à cet environnement », a déclaré George. Si un nouveau serveur apparaît sur le réseau, par exemple, Crowbar peut automatiquement le prendre en charge dans OpenStack et l'intégrer au cloud.
Bien que le logiciel ait été conçu principalement pour travailler avec les serveurs Dell, Crowbar a été conçu comme un programme modulaire. Des parties tierces peuvent construire leurs propres modules pour étendre les fonctionnalités du programme ou ajouter le support de serveurs non-Dell.
Crédit photo D.R.
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Dell prévoit que les fournisseurs d'hébergement et de services, tels que les compagnies de télécommunications, seront parmi les premiers à acheter ces systèmes. « Cela semble être le marché où la flexibilité et la technologie massivement évolutive d'OpenStack est la mieux indiquée » a poursuivi l'américain. Les clients peuvent commencer par tester la plate-forme avec six noeuds et ajouter ensuite plus de noeuds pour accompagner l'augmentation des charges de
Lancé à l'origine par la Nasa et Rackspace, OpenStack est un ensemble de logiciels Open Source conçu pour faciliter le déploiement de clouds. Il comprend toutes les briques nécessaires pour gérer la virtualisation, le stockage et la connectivité.
Trimestriels SAP : Résultats en hausse et prévisions relevées
Franck Cohen, président SAP pour la zone EMEA, qualifie de « bons résultats » la publication des éléments financiers du second trimestre et du premier semestre 2011. Les revenus tirés des logiciels progressent de 26% à 802 millions d'euros pour le trimestre et de 1,385 milliards d'euros sur le semestre. La partie support augmente de 10% à 1,7 milliards d'euros au 2ème trimestre et de 14% à 4,9 milliards d'euros sur le 1er semestre 2011. En ce qui concerne le chiffre d'affaires global, le 2ème trimestre a vu les revenus progresser de 14% à 3,3 milliards d'euros et sur le 1er semestre de 17% à 6,3 milliards d'euros. Le résultat d'exploitation affiche une hausse de 10% sur le trimestre à 857 millions d'euros et de 9% sur le semestre à 1,45 milliards d'euros.
Franck Cohen voit dans ces résultats « le début d'une période d'investissements de la part des entreprises vers le software. Le cloud va libérer des capacités financières et devrait profiter aux logiciels ». Interrogé sur la répartition de la croissance en fonction des régions, le dirigeant EMEA précise que la hausse est uniforme aux Etats-Unis, en Europe et dans la zone Asie-Pacifique. Sur les différentes gammes de produits de SAP, Franck Cohen donne des indications de croissance « la Business Intelligence a des revenus en forte progression de 40%, la Business Line (qui regroupe le CRM, le supply chain et les logiciels de ressources humaines) de 30%. » Les bons résultats impactent aussi le recrutement de nouveaux clients, Franck Cohen précise que ceux-ci sont en croissance de 30% et de revoir à la hausse ses estimations sur la partie grands comptes et sur les PME-PMI.
Fort de ces bons résultats, SAP a relevé ses ambitions pour le reste de l'année 2011. La firme de Walldorf confirme la fourchette de croissance des revenus issus des logiciels et des services associés entre 10 et 14%. Elle estime que les résultats seront dans le haut de la fourchette. Idem pour le résultat d'exploitation qui est prévu entre 4,45 et 4,65 milliards d'euros.
Illustration: Franck Cohen, président SAP EMEA
Crédit Photo: D.R
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