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(02/09/2008 17:58:58)

Rentrée des classes : les enseignants deviendront managers de la connaissance

Un parfum numérique devait flotter dans l'air en ce premier jour de rentrée des classes. Chaque lycée, chaque collège et chaque école, a fait voeu d'inclure un volet « numérique » à partir de cette rentrée 2008. Le développement des espaces numériques de travail (ENT) notamment constitue l'une des phases du chantier ambitieux lancé en février dernier par le gouvernement. Dans les années à venir, un « projet d'école ou d'établissement numérique » à part entière devrait voir le jour, négocié avec la collectivité locale de référence et les autorités académiques, avant d'être mis en oeuvre. La Région Midi-Pyrénées est particulièrement impliquée dans le développement et le déploiement des nouvelles technologies, lorsqu'elles sont liées à l'enseignement. Elle a ainsi développé sur son territoire des Environnements numériques de travail (ENT). Aussi appelés « cartables électroniques », ce sont des services en ligne sécurisés accessibles 7 jours sur 7 par les enseignants, élèves et parents. Cette question de la généralisation des environnements numériques de travail (ENT) dans le secondaire en France a été abordé lors d'une table ronde organisée fin août à l'occasion de l'université d'été Ludovia. Le numérique exige un accompagnement du changement [[page]]Les intervenants ont indiqué que d'ici 2012, près de 500 000 utilisateurs, élèves, parents, enseignants, répartis dans plus de 270 établissements scolaires, auront accès à un ENT, dans la région Midi-Pyrénées. Mais si l'idée paraît simple sur le papier, son application s'avère difficile à mettre en oeuvre. « Les projets d'ENT en sont actuellement au stade de l'expérimentation, avant de pouvoir être généralisés, rappelle Eric Fourcaud, chef de projet à l'université d'été Ludovia. Mais si l'élaboration du socle de base - fichier unique d'inscription, cahier de texte électronique, cahier de notes numérique - est relativement simple à mettre en oeuvre, en revanche, l'intégration d'un ENT dans la démarche pédagogique risque fort de poser problème, et de bouleverser les pratiques du corps enseignant. Le passage au numérique exige un accompagnement du changement, dans la mesure où il induit une nouvelle façon d'enseigner, basée sur le partage de la connaissance et le travail en mode collaboratif. Il faudra donc réfléchir à l'évolution en parallèle des pratiques professionnelles des enseignants qui deviendront des managers de la connaissance ». Un nouveau rôle et un nouveau métier en perspective pour les futurs enseignants du numérique. (...)

(27/08/2008 16:12:14)

Xerox relance ses écoles de ventes

« Nos concessionnaires et nos partenaires doivent faire face à un déficit de bons commerciaux et c'est notre rôle de les aider, sachant que la formule des écoles de ventes Xerox a déjà fait ses preuves », explique Nathalie Taieb, Directrice de Xerox Office France. La première promotion comptera une centaine de futurs vendeurs, de niveau bac+2, répartis dans des villes comme Lyon, Montpellier, Nantes, Toulouse ou Paris. Cette formation de un an compte 450 heures, dont 110 seront dispensées par des partenaires agréés Xerox. Dans un premier temps, les étudiants seront accueillis en alternance par le réseau des 104 concessionnaires Xerox, mais la formule pourra par la suite être étendue aux partenaires du constructeur. Dans cette perspective, le nombre d'étudiants devrait passer de 100 à 200 dès la deuxième année. Comme c'était le cas auparavant, les apprentis vendeurs sont sélectionnés par Xerox et « pré-embauchés » par les concessionnaires candidats. « Cette initiative nous permet également de revaloriser les métiers de la vente et de démontrer qu'ils offrent d'importantes opportunités de carrière », ajoute Nathalie Taieb. (...)

(12/08/2008 12:03:44)

Telecom ParisTech ouvrira deux mastères spécialisés en octobre prochain

L'école de télécommunications Telecom ParisTech annonce l'ouverture de deux nouveaux mastères spécialisés de niveau Bac +5 en octobre 2008 : l'un en partenariat avec Orange, l'autre avec l'Essec Business School. Executive. Le premier, intitulé Executive MS ATOMS (Architecte télécom orienté multiservices) fournira un socle de compétences techniques et business favorisant la transformation du métier d'architecte télécom vers une nouvelle génération d'architecte, dite « transverse » ou « global ». La formation encourage une approche de la pratique de l'architecture reposant sur le dialogue entre urbanisme, prescriptions et projets opérationnels. Elle pointe les implications concrètes sur les pratiques professionnelles des architectes (la dimension opérationnelle), en évolution rapide avec le passage au tout IP, la convergence entre fixe, mobile, Internet et contenus multimédia, les contraintes réglementaires, le rapprochement entre réseau, SI et services, etc. Le programme comprend une période de cours à temps partiel de 60 jours étalée sur 12 mois à Telecom ParisTech, suivie d'une période à temps plein en entreprise, de 4 à 6 mois. Un Executive MS co-organisé avec l'Essec Le second programme de formation proposé par Telecom ParisTech dès la rentrée de 2008 est un Executive Mastère Spécialisé IASIT - Ingénierie des affaires en systèmes d'information et en télécom, co-organisé avec l'Essec. Les deux écoles ont réuni leurs compétences pour élaborer un cursus de haut niveau ciblant les métiers de la vente aux grands comptes et aux entreprises, qu'il s'agisse de produits et de services relatifs aux réseaux de télécommunication, ou bien aux systèmes d'information associés. L'Executive Mastère Spécialisé IASIT comporte une période d'enseignement de 60 jours répartis sur 10 mois, en alternance avec une activité professionnelle, et la réalisation d'une mission en entreprise, à plein temps après la période d'enseignement, sur une durée de 4 mois minimum. (...)

(15/07/2008 14:24:33)

Dossier recrutement dans le Libre : l'enseignement pointé du doigt

Faut-il des compétences spécifiques pour travailler dans le domaine de l'Open Source ? A en croire les sociétés que nous avons interrogées, la réponse est oui et, visiblement, l'offre n'est pas suffisante pour répondre à la demande. Beaucoup nous ont confié devoir recruter à l'étranger pour compléter les effectifs. La faute, apparemment, à l'enseignement supérieur, pas suffisamment prompt à prendre en considération les besoins spécifiques des éditeurs de logiciels Open Source et des SS2L. Il existe bien quelques cursus spécialisés mais, comme nous l'explique Alexandre Zapolsky, président de la Fédération nationale de l'industrie du logiciel libre : « Des efforts doivent être faits pour pallier le sérieux retard pris par la formation initiale. Les cursus, trop généralistes, ne collent pas aux besoins actuels des entreprises. » L'état des lieux complet dans notre dossier : Attention à la pénurie de compétences en logiciels libres. (...)

(11/07/2008 13:51:45)

L'Emsi délivre une formation de responsable d'activité des SI en alternance

L'alternance, formule qui permet d'accéder au titre d'ingénieur sur les mêmes critères académiques que pour les formations classiques, tout en exerçant une activité salariée, continue à se développer dans les grandes écoles d'ingénieurs de l'Hexagone. Après les annonces récentes de l'Ectei et de l'Isen, c'est au tour de l'Emsi, école du management et des systèmes d'information située à Grenoble (Isère), d'annoncer l'ouverture, en octobre 2008, d'un programme accessible par la voie de l'alternance. La formation de responsable d'activité SI de l'Emsi se déroule, en effet, sous le régime du contrat de professionnalisation au rythme de 14 semaines de cours et de 37 semaines en entreprise, sur une année universitaire. Il propose à des étudiants titulaires d'un bac +2 ou possédant 120 crédits ECTS (European Credits Transfer System - système de points développé par l'Union européenne visant à faciliter la lecture et la comparaison des programmes d'études des différents pays européens), d'obtenir un titre certifié niveau II de responsable d'activité en systèmes d'information, correspondant à un niveau licence professionnelle. Les modules dispensés par le programme répondent à la volonté de privilégier l'acquisition de connaissances pratiques au sein de l'entreprise. Pour respecter cet objectif, l'impact du contrat de professionnalisation est renforcé par la mobilisation d'intervenants qui appartiennent tous aux centres de formation des sites concernés. Le partenariat signé dans la foulée entre l'école et l'éditeur Cegid prendra la forme d'enseignements dispensés par des consultants Cegid qui viendront animer tout au long de l'année les cours de ce nouveau cursus. Les étudiants utiliseront notamment les solutions de comptabilité, d'immobilisations, de gestion commerciale et de gestion de la relation client développées par l'éditeur. (...)

(09/07/2008 07:24:15)

L'Isen ouvre une formation en informatique industrielle à destination des apprentis

L'Institut supérieur de l'électronique et du numérique (Isen) de Brest annonce l'ouverture, à partir de la rentrée de 2008, d'une formation en alternance dans les spécialités électronique et informatique industrielle. L'établissement a opté pour cette formule, dont l'accès est gratuit, suite à une expérience similaire menée avec succès à l'Isen Toulon. Les élèves qui choisiront ce cursus seront sous contrat de travail et rémunérés. Les candidats recherchés sont soit des bacheliers pour un cursus en cinq ans, soit des salariés à Bac +2 justifiant d'au moins trois ans d'expérience professionnelle, pour suivre ce cycle sur une période de trois ans. L'alternance, formule qui permet d'accéder au titre d'ingénieur sur les mêmes critères académiques que pour les formations classiques, tout en exerçant une activité salariée, commence à se développer dans les grandes écoles d'ingénieurs. Ainsi l'Ectei, l'une des écoles d'ingénieurs du groupe Ece (Ecole centrale d'électricité) située à Montreuil-Sous-Bois (93), annonçait très récemment l'accessibilité de son Bachelor Sécurité et Réseaux par la voie de l'apprentissage. (...)

(08/07/2008 18:08:40)

L'Imagine Cup met en avant les informaticiennes

Sur les 400 finalistes du grand concours de développement organisé par Microsoft, Imagine Cup, on ne compte que 52 jeunes filles... « C'est mieux que l'an dernier, mais encore trop peu », a déploré Simon Brown, VP du groupe développeurs et plateformes de Microsoft, à l'occasion de la table ronde Women in IT qui s'est tenue le 7 juillet, dans le cadre de la compétition. La proportion de candidates pour Imagine Cup n'est pas anecdotique. La pénurie de femmes dans l'informatique (études et entreprises) est une réalité. Les chiffres manquent pour conforter le constat de terrain. Mais, d'où qu'elles viennent, France, Italie, Pologne, Allemagne, Irlande, Singapour, Corée, Argentine, Nouvelle-Zélande, toutes les étudiantes présentes ont fait le même constat : elles sont en très forte minorité dans leurs promotions. Mais elles adorent l'informatique ! Les jeunes femmes présentes ont mis à mal nombre de stéréotypes. « Rejoignez -nous. Faites de l'informatique ! » Ces jeunes informaticiennes de l'Imagine Cup ont donc tenté de convaincre leurs camarades qui hésiteraient à suivre la même voie qu'elles. « Rejoignez -nous. Faites de l'informatique ! » a même insisté une jeune coréenne. Les jeunes femmes ont raconté leurs parcours, leurs histoires afin de montrer le chemin. Le faible nombre de modèles est en effet une des causes identifiées de la pénurie d'informaticiennes. Cause à laquelle il faut ajouter l'image déplorable généralement véhiculée des « geeks » ou accros de l'informatique qui revient dans presque tous les témoignages. Sans oublier que l'informatique continue d'être considérée comme un métier masculin. Quels remèdes à cette pénurie de femmes dans l'informatique ? Au cours de la table ronde, peu de réponses concrètes ont été apportées, même si la discussion a permis d'ébaucher des idées. « Nous sponsorisons Women in IT depuis quatre ans parce que la présence de plus de femmes dans l'informatique est aussi une opportunité pour notre industrie, confirme ainsi Simon Brown. Nous manquons de compétences techniques de façon globale. C'est d'abord une question d'éducation sur le long terme. Mais à plus court terme, nous organisons du réseautage et du mentoring. Nous avons aussi EveTechs, un réseau social destiné au mentoring et au soutien professionnel des informaticiennes. » Comme remède, de nombreux témoignages de candidates [[page]] Aude de Thuin confirme, quant à elle, qu'il est essentiel d'identifier de nouveaux modèles de femmes dans les sciences et l'informatique, d'organiser des campagnes de communication, et d'innover avec des prix, des récompenses, etc. Aude de Thuin préside et organise le Women's Forum for the Economy and Society dont la prochaine édition aura lieu en septembre à Deauville. Elle rappelle qu'il faut surtout « changer les mentalités. Nous avons encore des réflexes d'il y a 20 ou 30 ans ! » Des témoignages comme ceux des jeunes candidates présentes à Women in IT pourraient bien contribuer à de premiers changements. Une étudiante allemande, installée depuis quatre ans en Nouvelle-Zélande raconte : « Plus jeune, je n'aurais jamais opté pour l'informatique. Je pensais que c'était ennuyeux, pas intéressant. Je voulais être journaliste. Finalement, un jour, mon copain qui fait des études d'informatique m'a proposé d'apprendre un peu à programmer. Cela me faisait moyennement envie. Je ne voulais pas ressembler à tous ces geeks... Puis finalement j'ai appris et j'ai fini par entrer dans une université d'informatique ! C'était très différent de ce que je pensais. C'est un sujet très social, il y a du travail d'équipe. Et la programmation ne représente qu'une toute petite partie de l'IT. » Les étudiants en informatique sont loin d'être d'affreux « geeks » Pour Julie, histoire opposée, mais résultat identique. La maman de la jeune française travaillait chez un éditeur de logiciel. Elle n'a donc pas eu à chercher très loin son modèle ! « Nous avons toujours eu des ordinateurs à la maison, et cela m'a toujours plu, » raconte-t-elle. Depuis toute petite, elle sait qu'elle veut faire de l'informatique son métier. Mais nombreux sont ceux qui lui ont fait remarquer qu'elle ne ressemblait en rien à tous ces geeks... [[page]]Aujourd'hui, elle a 22 ans et vient de terminer l'UTC de Compiègne. Elle va entamer un master à Berkeley en Californie. « Je suis volontairement passée par du développement, très technique, pour pouvoir intégrer une filière de management. J'aimerais m'occuper de stratégie IT. » Au cours de ses études, elle a compris que tous les étudiants en informatique n'étaient pas des étranges et effrayants accros de techniques. « Finalement, quand on commence, nous sommes tous pareils. » Dans sa promotion, les filles ne représentaient pas plus de 10% des 120 étudiants. Claudie Haigneré : « être femme serait plutôt un atout » Claudie Haigneré, ancienne spationaute et ex-ministre de la Recherche et des Nouvelles technologies, a elle aussi été priée de raconter son histoire. « Quand j'étais enfant, j'ai vu un homme à la télévision poser le pied sur la lune, et je me suis dit : pourquoi par moi ? Et quand, en 1985, on m'a proposé de devenir spationaute, ce n'a jamais été une question de femme ou d'homme. J'ai juste pensé : mais pourquoi ne pas le faire ? » Comme Julie, Claudie Haigneré estime qu'être une femme a plutôt été un atout dans son parcours. Puis, la spationaute a ajouté qu'il « ne faut pas oublier que les sciences et la technologie ne sont pas juste des moyens d'obtenir plus de pouvoir. Ce sont aussi des moyens de mieux organiser sa pensée et donc sa vie. Des moyens d'accéder à la sagesse et à la culture.» (...)

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