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(26/12/2008 16:19:43)

La plus jeune certifiée Microsoft est une enfant de 9 ans

Une certification professionnelle Microsoft, l'une des fameuses MCP (Microsoft's certified professional), vient d'être obtenue par une jeune demoiselle de 9 ans habitant dans la région de Tamil Nadu, en Inde, rapporte le magazine américain PC World. Jusque-là, ce record était détenu par une Pakistanaise de 10 ans. La nouvelle diplômée explique son histoire dans une vidéo diffusée sur Youtube. (...)

(23/12/2008 12:17:32)

La crise automobile préoccupe les sociétés de conseil, selon la CFDT

La crise du marché automobile, qui frappe déjà l'industrie des semiconducteurs, affectera-t-elle aussi les sociétés de conseils en technologie et en ingénierie ? Il semblerait que oui, estime la F3C-CFDT qui table sur un ralentissement des investissements dans le développement de nouveaux modèles. Le syndicat des métiers de la communication et du conseil considère en effet que les décisions de donneurs d'ordres, comme Renault, de cesser brutalement tout achat de prestations en 2009, risquent d'affecter les entreprises du secteur comme Akka Technologies, Altran, Assystem, Sogeti High Tech, Alten, ABMI, Polymont ou Segula Technologies, et entraîner la suppression de milliers d'emplois. Mobilisation le 15 janvier sur le site de Renault Dans un communiqué, l'organisation syndicale considère que « la branche Syntec, qui regroupe les 750 000 salariés prestataires, doit apporter aux entreprises et à leurs salariés les moyens de construire un nécessaire redéploiement des compétences ». Elle a donc décidé de saisir la Commission paritaire nationale pour l'emploi de la branche Syntec afin d'étudier l'action propre à la branche en matière de formation, de validation des acquis de l'expérience (VAE), de support en matière de construction de PSE (Plan de sauvegarde pour l'emploi) et d'action cohérente vis-à-vis des pouvoirs publics tant nationaux que régionaux. La F3C-CFDT appelle également les salariés touchés par des cessations de prestations à se mobiliser le 15 janvier 2009, sur le site de Renault à Guyancourt. (...)

(17/12/2008 15:07:36)

ITS Group recrute 270 informaticiens et encourage le reclassement des chômeurs

La société de conseil et de services informatiques ITS Group accélère sa politique d'embauche amorcée en 2008 (200 collaborateurs supplémentaires) en annonçant vouloir recruter 270 informaticiens en 2009. Les profils recherchés sont des chefs de projet techniques, des ingénieurs systèmes Unix et Microsoft, des ingénieurs de production confirmés, ainsi que des développeurs sur MySQL, .Net, Java et PHP. Un candidat sur six devrait être un junior (la SSII travaille étroitement avec des écoles comme l'Epitech ou encore l'ETNA - école des technologies numériques appliquées). Le pourcentage restant concernera des profils expérimentés et des séniors. ITS Group renouvelle sa contribution au reclassement de chômeurs La SSII a lancé en avril dernier un programme de reclassement destinées aux personnes en recherche d' emploi. Les candidats ayant répondu présents avaient des parcours très divers (chimistes, mathématiciens, biologistes, physiciens...), ITS Group s'est donc engagé à les former aux métiers de l'informatique. Devant le succès de l'opération (actuellement huit personnes sont en formation, cinq scientifiques et trois diplômés des sciences humaines), la SSII a décidé de réitérer l'expérience en 2009. ITS Group a réalisé un chiffre d'affaires de 50,3 M€ en 2007 (en hausse de 41%) et espère franchir le cap des 100 M€ d'ici à 2011. La société emploie actuellement 630 personnes en France dans cinq agences (Paris, Nantes, Lyon, Lille et Laval). (...)

(10/12/2008 14:20:27)

Forte mobilisation des IUT contre la réforme de l'Université

La mise en application de la loi « Libertés et Responsabilités des Universités » (LRU) inquiète vivement les 116 IUT de l'Hexagone. Craignant une forte diminution de leurs moyens financiers, étudiants et directeurs des IUT manifestent depuis déjà quelques semaines dans plusieurs villes françaises. Selon le site des IUT de France, 25 manifestations et assemblées générales se seraient tenues dans l'Hexagone depuis la fin du mois de novembre. Hier, mardi 9 décembre, le mouvement a réuni quelque 2 000 grévistes à Toulouse, 1 500 à Lyon et plusieurs centaines à Toulon, Nantes, Colmar, Tours, Grenoble, Poitiers, Montpellier, Belfort, Rennes, Besançon, Saint Nazaire, Valenciennes, et Vannes, notamment. A Paris, un rassemblement s'est tenu à l'appel de l'UNEF (Union nationale des étudiants de France) devant le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Moyens spécifiques et mise en place d'une autorité de régulation nationale Les IUT de France considèrent qu'en mettant fin à l'affectation directe à leurs moyens, le gouvernement donne la liberté aux Universités de répartir leur budget comme elles le souhaitent, sans aucune garantie de maintien des ressources financières. Or, chaque IUT, quel que soit son rattachement universitaire et sa situation géographique, devrait pouvoir bénéficier des mêmes moyens financiers et d'actions pour un même diplôme préparé. En conséquence, les IUT revendiquent la garantie de moyens spécifiques par étudiant inscrit en IUT ainsi que la mise en place d'une autorité de régulation nationale destinée à assurer le caractère national des DUT (Diplôme universitaire de technologie) et des licences professionnelles. Une réunion est prévue ce soir à Paris, devant le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Rappelons que les 116 IUT de France accueillent aujourd'hui plus de 140 000 étudiants (dont 36% de boursiers). (...)

(02/12/2008 11:01:31)

Open World Forum : Les métiers de l'Open Source privilégient l'expérience

Le Forum mondial du Libre (Open World Forum) se tient jusqu'à ce soir à Paris, à la Maison de la Chimie. En une quarantaine de sessions réparties sur une dizaine de « cheminements » thématiques (sécurité, éducation, qualité, offres...), la manifestation a cherché à couvrir l'ensemble des domaines du logiciel libre. Si le public est essentiellement français, il faut mentionner la forte présence de délégations étrangères, notamment en provenance d'Inde ou du Brésil. La session d'ouverture, hier, a été consacrée à la problématique des ressources humaines dans le domaine des logiciels libres, avec notamment la question de la formation et de la reconnaissance des compétences acquises. Selon Cyril Pierre de Geyer, de Anaska Formation, les prestations de formation en logiciels libres croissent ces derniers temps de près de 30% par an. Mais les disparités sont fortes : les formations autour du « poste de travail » (OpenOffice, Thunderbird...) sont en déconfiture, les produits ne nécessitant aucune formation particulière lors d'une migration depuis des produits propriétaires ; celles dédiées aux infrastructures sont presque stables, en légère croissance, marque d'une maturité du créneau ; à l'inverse, la formation aux progiciels et surtout au décisionnel sont en pleine explosion. Pour Rodolphe Quiédeville, du site emploi Lolix, les demandes en compétences se recentrent d'ailleurs sur les progiciels et délaissent les langages (Java notamment). L'expérience prime toujours sur les diplômes L'une des particularités du domaine des logiciels libres est la grande place donnée à l'expérience par rapport aux diplômes. Le meilleur moyen d'être reconnu et d'obtenir des missions ou un emploi autour des logiciels libres semble être, aussi bien en Europe qu'en Inde ou au Brésil selon les différents intervenants, d'intervenir dans des développements communautaires. Les diplômes ne sont pas un sésame. Cette situation en devient presque un handicap car développer correctement un logiciel suppose d'avoir de bonnes bases théoriques (algorithmique...). D'un autre côté, l'enseignement en informatique en général et en logiciel libre en particulier est globalement déficient. Jean-Pierre Archambault, enseignant et chargé de mission à l'Education Nationale, a ainsi regretté qu'on puisse être ingénieur sans avoir de réelle formation en informatique au delà des basiques de la bureautique et qu'il n'existe peu ou pas de formation aux questions relatives à la propriété intellectuelle et aux modèles économiques. Mais il est vrai que rien n'est fait pour faciliter l'enseignement précoce en informatique, notamment au lycée (même s'il y a, dans les cartons, un projet de module informatique dans les lycées pour la rentrée 2009) : il n'existe ainsi aucun corps d'enseignants certifiés ou agrégés en informatique dans l'Education Nationale. (...)

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