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(29/01/2009 12:47:08)

Tribune libre : la micro-formation, avenir de la formation en entreprise

Et si l'avenir de la formation en entreprise reposait sur l'iPhone ? Dans une tribune libre publiée sur notre blog Experts, Frédéric Soussin, consultant indépendant, revient sur le problème de la formation, ou plutôt du manque de formation. Pour lui, une solution simple existe : profiter des outils de communication mobiles comme les smartphones pour prévoir des séances d'auto-formation courtes (ou micro-formation), et tenant dans la poche. Autrement dit, il préconise le « pocket-training ». (...)

(21/01/2009 15:41:07)

L'Efrei forme une soixantaine de chômeurs aux métiers de la BI

Période de crise ou pas, les entreprises sont toujours demandeuses d'outils qui les aideront à mieux analyser leurs activités. Mais les spécialistes de la BI (Business Intelligence- informatique décisionnelle) sont trop peu nombreux pour répondre à l'augmentation de la demande. Pour inverser la tendance, l'Efrei (Ecole française d'électronique et d'informatique) a décidé d'assurer la formation d'une soixantaine de demandeurs d'emploi à ces métiers avec le concours de Pôle emploi (qui réunit désormais Assedic et ANPE) et de l'éditeur d'outils analytiques SAS. Le programme est ouvert à tout demandeur d'emploi inscrit, ayant droit à l'Are (Aide de Retour à l'Emploi) et possédant. une expertise métier et/ou informatique. Les candidats - de niveaux Bac+2 (BTS DUT - DEUG), Bac+3 et 4 (Licence - Maîtrise) ou Bac+5 (DESS - DEA - Grande école - pourront postuler en envoyant lettre de motivation et CV par courriel à l'adresse topp@efrei.fr. Entièrement prises en charge par les ex Assedic, les sessions démarreront à partir du mois prochain à raison de 430 heures sur trois mois. A la clé, une place en SSII Les participants pourront intégrer une équipe projet d'une des SSII partenaires dès la fin du programme : Business & Decision, Umanis, Sopra group, Lincoln, Odesys, Groupe HLi, Acane Consulting ou Micropole Univers. Les salaires bruts iront de 30 à 40K€/an, suivant l'expérience et la formation initiale. (...)

(20/01/2009 10:11:19)

L'Aquitaine peine à trouver ses informaticiens

L'Adeiso, association regroupant plus d'une centaine d'entreprises et de DSI de la région Aquitaine a mené une enquête sur les besoins en recrutement de ses membres. Il manque actuellement sur la région une cinquantaine de postes d'informaticiens de haut niveau : techniciens Java/J2EE, .net « Le phénomène de pénurie existe depuis janvier 2007 et persiste » note Jean-François Esnaud, vice-président de l'Adeiso. Des réflexions ont donc été menées avec la Chambre de commerce de Bordeaux pour identifier les raisons de cette tension. Sur le diagnostic, les éléments sont multiples. Les informaticiens se mettent un peu moins facilement sur le marché en temps de crise. Le nombre de jeunes formés dans la région s'avère insuffisant, malgré la présence d'une école, l'Enseirb et d'un Miage (Méthodes Informatiques Appliquées à la Gestion des Entreprises). Eux-mêmes n'ont pas assez de candidats pour former davantage d'informaticiens et d'électroniciens. Peut être que les formations financières et commerciales, mieux valorisées, on également attiré davantage de candidats ces dernières années. Enfin, la région reconnue pour son cadrer de vie l'est moins pour son potentiel en matière de NTIC. Jean-François Esnaud, par ailleurs directeur commercial pour le secteur Aquitaine de Capgemini Ouest, souligne par exemple que cette SSII, en Aquitaine, gère avec 250 techniciens les allocations chômage pour toute la France pour le compte du nouveau pôle emploi. Ce type d'exemple abonde mais est mal valorisé. (...)

(16/01/2009 16:30:26)

Les responsables des datacenters sous pression

Faire plus avec moins, ainsi se résume le rapport que Symantec consacre aux datacenters. Publiée en pleine crise, la deuxième édition de cette enquête annuelle stigmatise la double pression mise sur les responsables de datacenter. D'un côté, ils doivent réduire leurs coûts, de l'autre la demande des utilisateurs va croissante. Pris dans cette tenaille, ils peinent aussi à recruter les compétences qu'ils recherchent et ils ne parviennent pas à optimiser l'exploitation des ressources serveur et stockage dont ils disposent. Pour achever le tableau, les plans de reprise d'activité (PRA) font figure de parent pauvre. Et le green computing dans tout cela ? Et bien, les motivations qui poussent à opter pour une informatique respectueuse de l'environnement relèvent avant tout des économies d'énergie qu'elle permet. Près de 50% des répondants indiquent qu'ils trouvent plus difficile que l'an dernier de répondre aux exigences des utilisateurs. Et ils sont dans le même temps 34% à avoir comme priorité de réduire les coûts. Pour y parvenir, l'automatisation des tâches quotidiennes arrive en tête (44% des répondants), suivie par la formation des informaticiens à plusieurs compétences (41% ). La première réponse technique, la virtualisation / consolidation des serveurs est à l'ordre du jour de 34% des entreprises. Il est vrai que les estimations actuelles portent sur une utilisation du parc installé à 60% de sa puissance. Ces projets s'inscrivent dans un contexte humain tendu. 37% des responsables déplorent un manque d'effectifs et 48% parlent du gros, voire de l'énorme problème, de trouver des professionnels compétents. Réalisée pendant l'explosion putride de la bulle spéculative, l'enquête indique que les budgets des datacenters étaient, à l'époque, orientés à la hausse dans 53% des entreprises (de 5 à 10% dans 50% des cas). Les postes de dépenses le plus en vue sont ceux des applications, de la consommation électrique et de la qualité de service.Bien évidemment, les responsables de datacenters concentrent leurs efforts sur les serveurs et le stockage. Pour les deux, dans 88% des entreprises, le maître mot est standardisation, avec une couche logicielle identique pour tous. Toutefois, les projets n'en sont qu'aux premiers balbutiements. Même situation en ce qui concerne tant la consolidation des serveurs que leur virtualisation : elles sont l'ordre du jour dans 87% des entreprises, mais elles n'en sont qu'aux prémisses. Enfin le rapport souligne que, plus les entreprises s'intéressent à la virtualisation, plus elles découvrent des écueils. En 2007, 31% déploraient un manque de maturité des solutions proposées, elles sont désormais 42%. Même évolution en ce qui concerne l'administration. Elles n'étaient que 18% à se plaindre de difficultés d'administration en 2007. Elles sont désormais 39%. Pour cette étude, Symantec a demandé à Applied Research d' interroger les responsables de 1 600 sociétés de plus de 5 000 personnes de par le monde. Parmi elles figurent 536 sociétés européennes, dont 95 françaises. (...)

(13/01/2009 17:06:28)

Syntec Informatique prépare son plan d'action pour doper l'industrie du logiciel

C'est le 20 janvier prochain que la commissaire européenne à la Société de l'information Viviane Reding doit recevoir à Bruxelles les différents contributeurs lui ayant transmis des propositions pour développer l'industrie du logiciel en Europe. Parmi eux, le Comité Editeurs de Syntec Informatique, co-présidé par Pascal Rialland (DG de SAP France) et Gérard Claverie (vice-président du conseil de surveillance de Générix), qui a remis le 12 novembre dernier à la commissaire une prise de position commune avec huit autres associations professionnelles IT européennes. Entre-temps, chacune de ces organisations a travaillé localement pour bâtir un plan d'action afin d'avancer concrètement au niveau de chaque pays, dans la droite ligne des propositions faites à Bruxelles. Dans ce cadre, le Comité Editeurs du Syntec Informatique devrait restituer, fin février ou début mars, un premier niveau de plan d'action détaillé répartissant les actions à mener en quatre axes, sous le sigle i3C : Innovation, Client, Croissance et Consolidation. " Le rapport Besson a formalisé qu'il y a création de croissance lorsqu'on investit dans les nouvelles technologies, mais sans mettre suffisamment l'accent sur l'industrie du logiciel ", rappelle Pascal Rialland. D'où l'importance, pour le syndicat professionnel, de renforcer les initiatives propres à doper ce marché sur lequel évoluent une multitude de petits acteurs. Un statut pour les éditeurs et l'extension du crédit innovation En tout premier lieu, dans le domaine de l'innovation, primordial s'il en est, le Comité Editeurs maintient son souhait que soit établi un véritable statut pour les sociétés d'édition de logiciels, dans l'esprit de ce qu'il avait déjà proposé en janvier 2008 dans le rapport réalisé avec le Medef (" Faire de la France un leader de l'économie numérique "). De même, le Syntec Informatique réitère son intérêt pour la création d'un fonds commun de placement (les SOFICIEL) qui permettrait de déduire fiscalement les investissements réalisés dans les sociétés d'édition de logiciels, au même titre que les SOFICA aident à financer l'industrie cinématographique et audiovisuelle. " Cela me paraît simple à mettre en place et pourrait aider bon nombre de création d'entreprises ", juge Pascal Rialland. Il souligne aussi tout l'intérêt d'étendre l'assiette du crédit innovation, au-delà du coût de l'invention, à l'ensemble du coût de développement, ce qui inclut ainsi la réalisation et le test d'un logiciel prêt à la commercialisation (un coût environ dix fois supérieur à celui de la stricte invention). Communiquer sur les travaux de recherche publics " Nous souhaitons aussi que les pouvoirs publics communiquent sur les travaux des centres de recherche publics qui travaillent parfois dans des domaines proches de l'édition de logiciels, poursuit le co-président du Comité Editeurs. Par ailleurs, Syntec Informatique aimerait se rapprocher des pôles de compétitivité pour développer avec eux une approche collaborative et faciliter les synergies avec nos adhérents. " La valeur réside dans ce qui est développé, et non dans le 'business model' [[page]] Toujours dans le domaine de l'innovation, inventaire sera dressé des différents modèles économiques qui existent dans l'industrie du logiciel (Open Source, SaaS, droit d'usage...) en prenant garde à souligner que l'innovation ne réside pas dans le " business model ", mais dans la plateforme développée et dans la " réponse métier " que le logiciel apporte aux clients qui, seuls, déboucheront sur un revenu récurrent et la génération d'un cash-flow positif. Enfin, dans le cadre du financement de l'innovation, le Syntec Informatique va répertorier les aides disponibles pour indiquer à ses adhérents les mieux adaptées à leur situation. Approfondir les relations avec Ubifrance et avec le Cigref Dans le domaine de l'accès aux clients, deuxième rubrique du plan d'action du Comité Editeurs, l'une des premières initiatives consistera à approfondir les relations avec Ubifrance, l'agence française pour le développement international. Après avoir développé son activité sur le territoire national, un éditeur cherche à l'étendre dans les pays de l'Union européenne et dans les pays francophones. Or il s'agit d'une aventure rien moins qu'évidente (voir par exemple la tribune de Julien Victor, d'Effisoft, dans notre blog Experts) dans laquelle Syntec Informatique peut accompagner fort utilement les PME innovantes qu'il compte parmi ses adhérents. " Nous allons également travailler avec le Cigref avec lequel nous avions déjà une charte ", ajoute Pascal Rialland. Le Cigref, club informatique des grandes entreprises françaises, est présidé par Bruno Menard, vice-président IT groupe de Sanofi-Aventis depuis novembre dernier. Des outils pour aider à attribuer une valeur au système d'information [[page]] Le troisième point du plan d'action concerne la croissance. Il est ici question de valoriser le système d'information des clients et de montrer comment celui-ci peut apporter de la croissance aux entreprises. " Dans ce domaine, nous comptons nous rapprocher de l'Observatoire de l'immatériel ", précise Pascal Rialland. Le co-président du Comité Editeurs reconnaît ici une frustration. " Les entreprises apportent une valeur tangible à leur marque, mais elles ne sont pas capables d'attribuer une valeur à leur système d'information ", regrette-t-il. Une méthodologie et des indicateurs vont donc être mis au point pour aider les clients à valoriser leur SI, notamment face à leur banquier ou à des acquéreurs. Favoriser l'apprentissage et la formation en informatique " Nous entendons aussi mettre l'accent sur l'importance du capital humain en renforçant nos relations avec l'association Pascaline ", complète Pascal Rialland. Créée à l'initiative du syndicat professionnel, Pascaline regroupe 61 écoles et entreprises autour de la promotion des métiers de l'informatique. " Nous utiliserons l'interface unique du Syntec Informatique pour favoriser l'apprentissage et la formation en alternance qui permettent de former et de pré-recruter. " Protéger la propriété intellectuelle Enfin, le quatrième point du plan d'action concerne la consolidation. Ce thème recouvre principalement la protection de la propriété intellectuelle, capitale pour les éditeurs de logiciels. " En trois ans, j'ai constaté une évolution ennuyeuse, alerte Pascal Rialland. Il faut être vigilant sur ce terrain et communiquer. Attention, notamment, aux dépassements d'usage sur les logiciels. Je suis inquiet pour les petits éditeurs. Pour vivre dans ce métier, il faut apporter de la valeur ajoutée et faire respecter son modèle. " Enfin, une réflexion est également menée sur les moyens à mettre en oeuvre pour apporter un peu d'air aux éditeurs au niveau de leur trésorerie et de leurs capacités de financement. (...)

(05/01/2009 17:43:10)

Apprentissage : les spécialités de l'informatique ont la cote

500 000 apprentis en 2009. C'est l'objectif qui avait été fixé en 2005 par le ministre du travail d'alors, Jean-Louis Borloo, dans son plan de cohésion sociale. Ce seuil, qui devrait comporter de plus en plus de jeunes gens ayant choisi une spécialité informatique dans les formations du supérieur, n'est pas « hors de portée » vient d'indiquer le ministère de l'Education nationale dans une note d'information de décembre 2008 (D.E.P.P - N°08.33), « L'apprentissage : une voie de formation attractive, entre tradition et mutation ». Il y a deux ans, au 31 décembre 2006, 408 000 jeunes préparaient déjà un diplôme en apprentissage, dans un CFA (centre de formation d'apprentis) sous tutelle pédagogique du ministère de l'Education nationale ou de l'Agriculture. Ces effectifs ont progressé de 13% depuis 2003. Or, cette augmentation se fait à la faveur d'une montée en puissance des formations de l'enseignement supérieur qui concernent maintenant un apprenti sur cinq. +16% sur les formations supérieures en informatique Les spécialités de l'informatique regroupaient 6,1% des apprentis du supérieur en 2006. Ce sont celles qui se développent de la façon la plus dynamique, précise la note du ministère, qui fait état dans ce secteur d'une progression de 16% par an en moyenne entre 2003 et 2006. Les autres spécialités supérieures en hausse notable sont celles de la gestion/finance (+13%) qui regroupent 22,3% des effectifs dans le supérieur. D'ailleurs, tant dans l'informatique que dans la gestion/finance, l'apprentissage n'intervient que dans les formations du supérieur et les progressions les plus remarquables (+35% et +55%) s'observent au niveau I (bac+5 et grandes écoles). Depuis dix ans, de façon générale, le nombre d'apprentis dans les niveaux post-baccalauréat a augmenté de 12% par an en moyenne, contre +1,3% par an dans les niveaux IV (baccalauréat, brevet professionnel ou équivalent) et V (CAP, BEP ou équivalent). Entre 2003 et 2006, les effectifs ont progressé de 60% au niveau I et de 30% aux niveaux II (bac+3 et bac+4) et III (bac+2). Les filles constituent 11,2% des apprentis du supérieur en informatique [[page]] Si les jeunes filles semblent toujours moins tentées par l'apprentissage (elles ne constituaient que 28,8% des effectifs en 1996 et 30,5% en 2006), en revanche la filière est plus féminisée dans les formations post-baccalauréat. Elle s'ouvre fortement sur les spécialités des services telles que la gestion/finance où les filles constituaient 67,5% des effectifs des apprentis du supérieur en 2006. La mixité est moins flagrante dans les formations supérieures de l'informatique et du traitement de l'information où les filles représentaient 11,2% des effectifs. A noter par ailleurs que le développement de l'apprentissage dans le supérieur a relevé l'âge moyen de l'apprenti : la part des 20 ans ou plus est passée de 28,8% en 2003 à 32,3% en 2006. (...)

(05/01/2009 15:18:02)

Concours : les apprentis à l'assaut des TIC dans les PME

Il ne reste que quelques jours aux apprentis des CFA (Centre de formation des apprentis) d'Ile-de-France pour participer à la deuxième édition du concours « Trophées appren'TIC », organisé par leur région. Ils se verront offrir l'opportunité de développer un projet numérique dans l'entreprise qui les emploie. L'imagination et l'innovation sont les principaux critères retenus. Par cette démarche, la région entend soutenir, au moyen d'une subvention pouvant aller jusqu'à 80% du financement du projet, les initiatives qui contribuent à propager l'usage des TIC dans les PME et entreprises artisanales franciliennes. Les dossiers de candidatures peuvent être déposés jusqu'au jeudi 15 janvier par le binôme constitué de l'apprenti et de son maître d'apprentissage, évoluant au sein d'une entreprise de 1 à 249 salariés n'appartenant pas à un groupe industriel de plus de 250 salariés. Mettre en valeur le savoir-faire technologique Dans le même élan, la région veut mettre en valeur « les compétences et le savoir-faire technologique des apprentis de la génération Internet » ; des jeunes qui sont vus comme les ambassadeurs des TIC dans les PME. Attention, l'activité de l'entreprise participante ne doit pas être liée à la mise en oeuvre, la vente ou l'utilisation des technologies numériques. Le 4 décembre dernier, l'édition 2008 de Trophées appren'TIC a distingué, entre autres, la création d'un site Internet, un logiciel de gestion comptable pour une entreprise du secteur automobile, un système de gestion de contenu et une plateforme multimédia. A noter que sur les neuf apprentis couronnés figurent six jeunes filles. Un résultat de bon augure à un moment où les candidatures féminines sont rares dans les filières informatiques. (...)

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