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(25/05/2010 12:50:14)
L'Isep intègre deux pôles de compétitivité
2010, c'est l'année de la recherche à l'Isep. L'école parisienne d'ingénieurs en technologies de l'information et communication a rejoint les deux pôles de compétitivité Cap Digital (pour les contenus et services numériques), et System@tic Paris-région. L'équipe de recherche et développement en informatique de l'établissement travaille actuellement, aux côtés de la SSII Atos Origin et du Secours Catholique, sur le projet « Solimobile » de Cap Digital. Il s'agit d'une offre Internet mobile qui s'adresse à un public précaire, demandeurs d'emploi en difficulté, titulaires du RSA, etc. La solution vise à offrir l'accès, depuis un téléphone portable, à un portail de services globaux et personnalisés en fonction du profil de chacun. L'Isep se charge d'intervenir sur la recommandation et l'adaptation de l'offre individualisée. Avec System@tic, les chercheurs de l'Isep sont, par ailleurs, mobilisés sur le projet "Mcube", qui doit permettre la supervision d'installations agricoles pour une agriculture raisonnée, ainsi que la supervision de centrales photovoltaïques.
Des modules d'initiation à la recherche
L'Isep n'entend pas s'arrêter là : depuis 2000, l'école recrute, en interne et en partenariat avec des entreprises, une partie de ses thésards dans les domaines qui sont les siens. En outre, entre 2008-2010, elle a plus que doublé le nombre de ses enseignants-chercheurs titulaires d'un doctorat, passant ainsi de 8 à 18 professeurs. L'Institut a également créé, dans le cadre de ses parcours pédagogiques de 2e et 3e années du cycle ingénieur, des sessions spécifiques « recherche » pour les élèves intéressés et des modules d'initiation à la recherche pour amener davantage d'étudiants à s'orienter vers la recherche ; un accord de partenariat avec Supélec a d'ailleurs été passé en 2009 pour un Mastère 2 recherche SAR (Systèmes avancés de radiocommunications). Enfin, l'école sera partenaire d'Iscas 2010, colloque sur les dernières avancées en matière de recherche dans le domaine des circuits et systèmes, qui aura lieu du 30 mai au 2 juin à Paris.
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Cesames donne les clés de l'architecture des systèmes
L'association Cesames (Centre d'Excellence sur l'Architecture, le Management et l'Economie des Systèmes), créée en Juillet 2009, vient de lancer ses activités. Elle vise à « faire connaître aux décideurs les méthodes de l'Architecture des Systèmes pour leur permettre de mieux maîtriser la vitesse et le risque d'exécution dans leurs programmes technologiques », au premier rang desquels les projets informatiques.
« L'Architecture des Systèmes est une discipline qui permet de construire des solutions en appréhendant la complexité technique et humaine induite par l'intégration de produits et de services interconnectés de plus en plus nombreux » précise l'association.Elle organise des groupes de réflexion, des ateliers, des soirées-débats et une conférence internationale « Complex Systems Design & Management ». Elle publie également une revue quadrimestrielle (« Architecture et complexité »). Enfin, elle contribue à la formation à l'architecture d'entreprise et à l'architecture des systèmes.
Fondée et dirigée par Daniel Krob, professeur de l'Ecole Polytechnique, responsable de la chaire d'enseignement et de recherche Ecole Polytechnique-Thales « Ingénierie des Systèmes Complexes », l'association Cesames bénéficie de l'adhésion et du soutien de spécialistes et d'entreprise de l'industrie (Thalès), du conseil et de l'édition de logiciels (Mega International, Belle Aventure).
Thierry Moncoutié arrive à la tête de l'Association des ingénieurs de l'Ensea
Située à Cergy-Pontoise depuis 1977, l'Ecole nationale supérieure de l'électronique et de ses applications (Ensea) a, depuis sa création en 1952, diplômé plus de 5 000 ingénieurs. Ceux-ci sont surtout présents dans les secteurs de l'électronique (pour 32 % d'entre eux), de l'informatique (24 %) et des réseaux & télécommunications (20 %).
Créée dès 1955, l'Association des ingénieurs de l'Ensea (AIEnsea) rassemble l'ensemble des anciens élèves diplômés de l'École nationale supérieure de l'électronique et de ses applications (Ensea). Elle vise à l'entraide et aux échanges entre diplômés de l'Ensea et à la valorisation des formations de l'école. Sa dernière Assemblée Générale a renouvelé le bureau et élu Thierry Moncoutié (en photo, 42 ans) président. Cette association avait depuis douze ans comme président Sylvain Rambault (50 ans), diplômé en 1986, ancien directeur informatique d'Amec-Spie Ile-de-France avant de devenir consultant indépendant.
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Le nouveau président vient, lui, du côté des fournisseurs : responsable marketing & communication du constructeur de cartes audio-numériques Digigram, puis de la SSII Business & Decision, avant de rejoindre Lectra, le leader mondial des logiciels et équipements de CFAO pour les industries de l'habillement, où il est chef de produit CAO 2D/3D depuis 2007. Diplômé de l'Ensea en 1990, il est par ailleurs titulaire d'un DESS information & communication (Bordeaux 3).
Le conseil d'administration comporte en tout 16 membres dont Damien Moubêche (diplômé en 2007), chef de produit chez Oberthur Technologies, qui reste secrétaire et Pierre Croizé (diplômé en 1955) trésorier. Ce dernier oeuvre depuis plus de 50 ans pour l'Association.
Signe de la féminisation de la profession d'ingénieur, une jeune diplômée de 2009 est devenue la première femme vice-présidente : Marie Blanc, ingénieur télécom chez Alten. (...)
Le Cigref et l'Inhesj ouvrent une spécialisation en sécurité
L'Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (Inhesj) s'est associé au Cigref (Club informatique des grandes entreprises françaises) pour ouvrir un cycle de spécialisation en sécurité informatique. Objectif visé par cette formation : délivrer les savoir-faire visant l'identification, l'évaluation et la maîtrise de l'ensemble des risques et des malveillances informatiques au sein des entreprises. L'ensemble des enseignements comportera un volume de 112 heures réparties sur 16 jours, à raison de deux jours par mois, d'octobre 2010 à mai 2011. Ils s'organiseront sous forme de cours magistraux - au siège de l'Institut à l'Ecole militaire, à Paris - et de retours d'expériences au sein desquels interviendront des représentants d'administrations centrales, des policiers et gendarmes, des membres des services de sécurité de l'Etat, et des cadres d'entreprises. Seront notamment abordés, des sujets tels que les missions de police sur le Web, le rôle de la défense sur Internet, les risques informationnels, les attaques informatiques, les règles et procédures qui s'imposent en matière de sécurité des systèmes d'information.
L'assiduité aux cours et la remise d'un rapport écrit individuel, dont le sujet sera arrêté par le département sécurité économique de l'Inhesj en début de cycle, viendront valider cette formation. Cet enseignement sera sanctionné par la délivrance d'un certificat signé conjointement par l'établissement public et le Cigref. Les candidats seront recrutés sur dossier et devront s'acquitter de 3 500 € de frais d'inscription.
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L'école des Mines ouvre une formation TIC autour du monde de la santé
L'Institut Telecom, l'école des Mines d'Alès, l'université de Montpellier 2 (UM2) et l'université de Montpellier 1 (UM1) associent leurs compétences pour créer un pôle de formation et de recherche en technologies de l'information et de la communication et leurs applications appliquées au domaine de la santé. Le projet consiste , dans un premier temps, dans la mise en place d'une filière de dernière année d'ingénieur, suivi d'un projet d'école en 2012. Ainsi, dès la rentrée 2010, les élèves ingénieurs de l'Institut Telecom et des écoles partenaires pourront suivre leur dernière année de formation à Montpellier sur le campus de l'UM2 et obtiendront le diplôme de leur école d'origine. Un diplôme d'université sera créé à la même occasion et permettra d'accueillir des étudiants d'autres cursus. L'école a également annoncé la mise en place de nouveaux cycles de formation : la signature d'un partenariat avec l'université de Liège permettra aux étudiants d'obtenir un Master d'ingénieur architecte. Enfin, le rapprochement des Mines avec l'école supérieure de commerce de Clermont-Ferrand et l'école de management de Nantes conduira à un double diplôme d'ingénieur-manager
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Arismore recrute 40 ingénieurs et consultants
La société Arismore, spécialisée dans le conseil et l'intégration de systèmes autour de la transformation et de la sécurisation des SI, recrute 40 ingénieurs et consultants notamment pour ses activités portant sur l'architecture du SI, la gestion des accès, des identités et de la qualité de services, et le pilotage de projets.
Cette campagne de recrutement concerne d'abord quinze architectes techniques, logiciels et fonctionnels expérimentés. Les profils techniques, possédant cinq années d'expérience professionnelle minimum, devront savoir construire et gérer des solutions techniques dans leur globalité. De leur côté, les profils fonctionnels seront familiers d'UML et des outils de modélisation, et feront valoir leur expérience dans la conduite de projets informatiques, tant au niveau applicatif que sur le plan des infrastructures.
Arismore recherche également dix chefs de projets juniors et expérimentés, dix ingénieurs projets débutants et experts en sécurité réseaux et qualité de service, ainsi que cinq ingénieurs développement logiciel débutants et experts. Ces derniers auront la possibilité d'évoluer vers des postes d'architectes applicatifs, techniques ou chefs de projet. Des formations aux métiers d'architecte et chef de projet leur seront proposées.
Une formation axée management des opérations informatiques
Orsyp, spécialiste du management des opérations informatiques, annonce son partenariat avec les écoles des Mines (Mines ParisTech, écoles des mines de Nancy et de Saint-Etienne) et France Télécom dans le cadre du mastère spécialisé Ipiso (Ingénierie production et infrastructures en systèmes ouverts). Créé en 2004 à l'initiative de l'opérateur historique, ce cursus vise à former les ingénieurs à l'exercice des responsabilités dans le contexte d'une production informatique de grand groupe. Il propose donc une approche méthodologique et opérationnelle des systèmes informatiques, complétée d'une expérience concrète par le biais de projets et d'un stage en entreprise. Outre sa participation aux orientations pédagogiques, Orsyp anime un module de cinq jours dédié au management des opérations informatiques. L'éditeur de solutions d'automatisation participe, par ailleurs, à une journée de sensibilisation sur le même thème dans le cadre du mastère spécialisé Msit (Management des systèmes d'information et technologies) commun à Mines ParisTech et HEC. (...)
(26/04/2010 14:23:42)Forum MSemploy.fr : 1 200 postes à pourvoir autour des technologies Microsoft
Pour faire face à une difficulté croissante de ses partenaires à recruter des compétences sur ses technologies, Microsoft France vient d'organiser la dernière édition de son Forum emploi. Exclusivement dédié aux partenaires de l'éditeur, ce salon a rassemblé, le 20 avril dernier, dans les locaux d'Issy-les-Moulineaux (92), une vingtaine d'entreprises, notamment Capgemini, Conix, Groupe Hélice, Logica, Neurones, Axoa, Degetel, SQLI, de même que l'organisme public Pôle Emploi. L'occasion de proposer aux 1 013 visiteurs présents un peu plus de 1 200 postes autour des technologies maison. « La crise nous a conduit a annulé les deux éditions 2009 du Forum emploi, sur les trois prévus chaque année », rappelle Laurent Pénisson, responsable de l'activité formation et certification chez Microsoft France. « Actuellement, la tendance s'est inversée, le marché de l'emploi IT repart et on peut même parler de tension sur certains profils ».
Ainsi, alors que plusieurs dizaine de milliers d'informaticiens recherchent encore un emploi, les difficultés de recrutement sont tangibles et certains postes ne sont pas pourvus. Pour Laurent Pénisson, les profils sous tension sont ceux liés aux récentes évolutions de l'éditeur : «On manque actuellement d'ingénieurs, de consultants et de développeurs spécialistes du travail collaboratif , de l'informatique décisionnelle (BI), du cloud computing (virtualisation notamment) et des solutions ERP. Les compétences sont devenues complexes et multiples, les candidats doivent à la fois maîtriser nos technologies et les métiers de nos clients, et les difficultés à recruter sont bien réelles. »
« Aujourd'hui, la tension est partout », ajoute Pierre François, directeur général de Vascoo, entreprise spécialisée en recherche et développement de compétences IT et organisateur de l'évènement. « Les technologies changent, or les efforts de formation n'ont pas toujours été faits, et le niveau d'expertise requis est devenu très élevé. On ne peut donc que constater une inadéquation entre l'offre et la demande. »
Fort de ce constat, Vascoo s'est fixé pour objectif de remettre à niveau les compétences en mettant notamment sur pied Homecom reconversion, un programme visant à faire progresser le niveau technique et fonctionnel des informaticiens pour accroître leur employabilité, afin de sécuriser leur carrière ou de retrouver un emploi. Conçus en étroite collaboration avec Microsoft et les sociétés qui recrutent, les cursus préparent les candidats aux certifications (SharePoint, SQL BI, HyperV, Dynamics NAV, MS CRM). Le financement des différentes sessions est réalisé par les conseils régionaux, les fonds de gestion des congés individuels de formation, et également le Pôle Emploi. Un service interne est, en outre, dédié à la recherche d'emploi et assiste les stagiaires dans leur démarche allant de la rédaction du CV jusqu'à la négociation du contrat en passant par la conduite d'entretien.
Toutefois, pour les demandeurs d'emploi la garantie de décrocher un job n'est pas automatique pour autant: «L'informatique est un milieu où les entreprises recherchent des profils immédiatement opérationnels, souligne Luc Suligoj, chargé d'affaires à la direction client services et partenariats Pole entreprises de Pole Emploi. Les nouvelles technologies imposent un renforcement permanent des compétences. Or, les demandeurs d'emploi âgés de plus de 50 ans qui ont passé de nombreuses années dans la même entreprise n'ont pas toujours le niveau de formation requis, malgré leur degré d'expertise, et peinent à se faire embaucher. »
Crédit photo: Microsoft France
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Enquête BMO 2010 : 48 500 projets de recrutement dans l'IT
L'enquête Besoins en main d'oeuvre (BMO) 2010 publiée le 14 avril par Pôle emploi dénombre pas moins de 48 564 projets de recrutement IT cette année dans l'Hexagone, sur un total de 1,7 million projets toutes fonctions confondues. Malgré des prévisions plus optimistes que l'année dernière, presque 40% des prévisions d'embauche sont toujours assorties de difficultés de recrutement selon les déclarations des employeurs. Ainsi, pour 56,9% des entreprises, les cadres et les ingénieurs d'études, les spécialistes de la R & D et les chefs de projets informatiques, font partie des profils difficiles à trouver, avec 14 897 projets d'embauches jugés difficiles. Également concernés, mais dans une moindre mesure, les techniciens d'études et de développement informatique (webmasters, programmeurs), avec près de 9 000 prévisions d'embauches déclarées en 2010 et un peu plus de 3 500 recrutements complexes à réaliser, soit un taux de 39,7%.
La difficile adéquation offre et demande
Selon les employeurs concernés, les difficultés de recrutement actuelles sont avant tout liées au profil inadéquat des candidats (dans 42% des cas), ou, tout simplement à une pénurie de candidats (pour 40% des employeurs). Pour les entreprises, la formation s'impose donc comme la première solution aux difficultés d'embauche rencontrées. La formation des candidats venant de l'extérieur (32%) étant privilégiée à celle des salariés déjà présents dans l'entreprise (18%). Certains recruteurs potentiels s'estiment même sans recours face aux difficultés de recrutement : 10% d'entre eux déclarent n'avoir aucune solution et 13% préfèrent différer l'embauche. Enfin, les anticipations des entreprises quant à l'évolution de leur activité sont plutôt favorables dans l'informatique : ainsi, pour près d'un employeur sur deux, les nouvelles technologies constitueront, cette année, l'un des domaines de renforcement des besoins en compétences.
Crédit photo: Pôle emploi
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