Flux RSS

Emploi

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1541 documents trouvés, affichage des résultats 671 à 680.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(20/08/2008 16:56:43)

Sogeti recrute 800 ingénieurs et invite le web 2.0 dans son site d'emploi

Cette année, la plupart des grosses SSII ont annoncé des plans de recrutements pour le moins ambitieux. Sogeti (18.000 collaborateurs dans le monde dont 10.000 en France) n'échappe pas à la règle, avec un total de 4 000 recrutements annoncés d'ici la fin de l'année, dont 2 200 en France. La filiale de Capgemini a déjà intégré 1 400 collaborateurs depuis le début de l'année. Avec 800 nouvelles recrues prévues de septembre à décembre 2008, cette campagne intervient après la signature d'importants contrats pluriannuels (pour 40 M€ environ),dont le projet Total (migration de 65 000 postes de travail sous Vista) remporté par Sogeti en mai dernier. Pour autant, l'an dernier déjà, le groupe annonçait 2 000 nouvelles embauches. De même, en 2009, la barre a déjà été fixée à 2 000 recrutements. Si ces volumes peuvent paraître élevés en soi, ils se situent toutefois dans des proportions raisonnables : «Sachant que Sogeti compte une centaine d'agences dans l'Hexagone, le plan de recrutement 2008 équivaut à une vingtaine de recrutements par agence, soit deux nouvelles embauches par mois, précise le DRH Dominique Duflo. » Les profils recherchés couvrent l'ensemble des métiers de la SSII Les profils recherchés - 30% de jeunes diplômés, 50% de jeunes expérimentés (3 à 5 ans), 20% d'experts - couvrent l'ensemble des métiers des trois branches de la SSII : High tech (informatique scientifique et industrielle), Applications services (conseil et intégration d'applications) et infrastructures (conseil, ingénierie, administration). 40% des candidats sont généralement chassés par la voie de la cooptation, procédé qui fonctionne de mieux en mieux selon la DRH, grâce aux outils du Web 2.0, comme les réseaux sociaux. 30% des embauches suivent des candidatures spontanées. D'autres canaux, comme les forums avec les universités et les grandes écoles ainsi que les salons de recrutement sont également utilisés. Sur le nouveau sites d'emploi, les candidats pourront poster des blogs, des sites et des vidéos [[page]]Pour attirer un maximum de candidats, le groupe travaille actuellement à la refonte de son site d'emploi : «La plupart du temps, les sites d'emploi se contentent de publier les offres et de stocker les CV dans des Cvthèques, indique Dominique Duflo. La refonte de notre 'jobboard' permettra aux candidats d'être davantage mis en valeur, en autorisant la publication de blogs, de sites web, et également de vidéos ». Le DRH considère que l'utilisation des nouveaux outils du Web 2.0 est devenue quasi incontournable. L'idée d'utiliser des outils comme les blogs, wikis et réseaux sociaux constitue l'un des enseignements du premier brainstorming virtuel, un forum de discussions lancé en avril dernier par Sogeti, pour faire émerger les idées de ses collaborateurs. (...)

(20/08/2008 10:54:20)

Intel France perd 19 salariés dont son patron

Intel a mené en toute discrétion un plan de suppression de postes basé sur le volontariat au niveau européen entre les mois de mai et de juin derniers. Résultat, 6% de ses effectifs ont quitté l'entreprise dont 19 personnes en France sur la centaine de collaborateurs que comptait la filiale. Jean-Marc Dubreuil, le président d'Intel France en fait partie. Son successeur ne devrait être désigné que la semaine prochaine à l'issue d'un recrutement effectué au sein de la filiale hexagonale. Parmi les équipes dédiées à la vente indirecte d'Intel, le départ de l'ingénieur commercial Pascale Sauvage est à noter. Tristan Bouchoux, le directeur des ventes indirectes d'Intel France reste donc en poste. Suppression de 10% des effectifs en 2007 Officiellement, ce plan de départ volontaire vise à « dynamiser l'entreprise ». Autrement dit à réduire les coûts. Intel n'en est pas à sa première opération de réduction de ses équipes. La dernière avait eu lieu l'an dernier et concernait 10% de ses effectifs globaux (environ 92 000 personnes à l'époque) à un moment où Intel se trouvait pourtant en situation financière favorable. La situation ne s'est d'ailleurs pas dégradée puisque le fondeur a annoncé un chiffre d'affaire de 9,5 Md$ (+9% sur un an) et un bénéfice de 1,6 Md$ (+25%) au titre de son deuxième trimestre 2008. Le moral des actionnaires peut en outre rester au beau fixe puisque le fondeur table sur des revenus compris entre 10 et 10,6 Md$ pour le troisième trimestre 2008. (...)

(19/08/2008 15:25:54)

Encore un suicide de technicien en reconversion chez France Télécom

Le stress et la souffrance au travail peuvent avoir des conséquences fatales pour certains salariés de l'informatique et des télécoms. Après les suicides relevés cette année chez PSA, Renault et EDF, la série noire se poursuit cette fois chez France Télécom. Ainsi, le 2 juillet dernier, un technicien d'un des centres clients de l'opérateur historique situé dans le Nord de la France mettait fin à ses jours. Depuis février 2008, il s'agirait du septième suicide, les victimes étant toutes des techniciens reconvertis après la suppression ou la sous-traitance de leur activité, selon le syndicat Sud PTT. Chez France Télécom, les chiffres de la sous-traitance viennent tout juste d'être relevés à la hausse, et représentent actuellement plus de 25% des effectifs de l'opérateur dans les unités d'intervention. « Jean-Michel était un ancien technicien dont le site de Bercenay-en-Othe a été fortement restructuré, déplore Sud dans un communiqué. France Télécom avait annoncé la fermeture du site, puis déployé une grande partie du personnel sur les plateaux de Troyes : '1016' et 'Orange'. Au final, le site a été maintenu, mais avec une équipe réduite. Jean-Michel s'est ensuite retrouvé du jour au lendemain transféré sur le plateau du centre client Orange de Troyes. Il a laissé des lettres à sa famille et à une déléguée syndicale où il déclare avoir baissé les bras. » 166 cas de souffrances relevées par des cellules d'écoutes [[page]] Pour le syndicat Sud PTT, le travail ne doit pas être l'enfer décrit par ce technicien, mais plutôt un lieu de vie collective et de solidarité. Compte tenu de cette situation, l'ensemble des organisations syndicales de France Télécom demande la tenue d'un Comité national d'hygiène de sécurité et des conditions de travail (CNHSCT) extraordinaire, au plus tard au mois de septembre, sur les risques psychosociaux . Reconnaissant que la transformation engagée depuis plusieurs années pouvait générer des situations difficiles pour certains salariés, la direction de France Télécom avait pourtant pris les devants en créant des cellules d'écoute en 2007. Après 9 mois de fonctionnement, 101 salariés ont saisi directement ces cellules, et 65 salariés ont été signalés par leurs médecins, managers ou représentants. Sud signale par ailleurs que la moitié d'entre eux ont plus de 50 ans. Le Comité d'hygiène de sécurité et des conditions de travail de France Télécom considère que ces structures ne peuvent pas faire de mal en soi, mais qu'elles ne répondent qu'à des situations individuelles. Vouloir traiter le stress uniquement en créant ce type de structures, c'est, d'une certaine façon, ne vouloir encore une fois aborder le stress que du point de vue de la victime, pas du point de vue de l'organisation du travail, considère le comité. Selon ce dernier, cette pratique permet, en fait, d'instiller le message de l'entreprise dans le psychisme des personnes fragilisées et de renforcer l'individualisme dans lequel sont englués les salariés.

(...)

(19/08/2008 09:18:24)

20% des offres d'emploi concernent Java selon LesJeudis.com

Voilà déjà quelques années que les entreprises s'arrachent des professionnels du langage Java. Dans cette spécialité, la hausse des recrutements devrait continuer sur sa lancée, indiquent certains indicateurs du marché de l'emploi IT. Ainsi, selon le fournisseur de prestations intellectuelles Freelance.com, les développeurs Java figurent au palmarès des dix compétences les plus recherchées sur des missions de courte durée, et ce depuis plusieurs mois. Même constat pour le site d'emploi informatique LesJeudis.com, qui signale qu'actuellement, les offres autour de Java (des CDI pour la plupart) représentent 20% environ de ses annonces, soit 680 offres pour Java, sur un total de 3 596 postes à pourvoir. Des demandes qui concernent l'ensemble des catégories professionnelles de cette filière : une grande majorité d'ingénieurs, mais aussi des développeurs, des techniciens, des chefs de projet et des architectes. « La demande s'est pourtant légèrement rétractée depuis quelques mois, commente Alexandre Ziradakis, directeur marketing des Jeudis.com. En janvier dernier, les offres concernant Java représentaient un quart des annonces diffusées sur le site ». Preuve de l'augmentation de la demande en spécialistes de Java, entre 2004 et 2008, le site a diffusé 50 % d'annonces en plus dans cette spécialité. (...)

(18/08/2008 14:36:58)

L'emploi IT a encore progressé en juillet, selon Monster

L'activité de recrutement en ligne a légèrement reculé dans l'Hexagone en juillet 2008, selon l'index publié par le site d'emploi Monster. Mais ce relâchement du volume des offres n'a en rien affecté la filière informatique. L'indice du volume des offres d'emploi à destination des informaticiens a même progressé de 12 points par rapport à mai 2008 , et de 11 points par rapport à juillet 2007. Une fois encore, c'est en recherche et développement que les recrutements se sont particulièrement intensifiés : l'indice enregistre ainsi son troisième mois consécutif de hausse pour s'établir à 196, gagnant pas moins de 27 points au cours des douze derniers mois de l'année. Cette progression des recrutements en R&D peut être interprétée comme une conséquence du lancement de 70 nouveaux projets industriels de recherche et développement, élaborés par une quarantaine de pôles de compétitivité. Des chiffres à relativiser En toute logique, la dynamique de recrutement observée a profité aux professions intellectuelles et scientifiques : dans ces catégories, l'indice est quasi équivalent à celui enregistré en juin 2008, en hausse de 10 points par rapport à mai 2008 et également juillet 2007. Ces chiffres peuvent néanmoins laisser dubitatif car, dans une note sur les tensions du marché du travail publiée en juillet dernier, la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares, Ministère du Travail), estimait qu'il y avait moins d'offres d'emploi que de demandes dans l'informatique. (...)

(14/08/2008 11:40:41)

France Télécom revoit le poids de ses activités de sous-traitance à la hausse

Chez France Télécom, la sous-traitance pèse plus lourd que prévu. Le bilan social 2007 de France Télécom affichait, en effet, quelque 8 856 « travailleurs extérieurs » et le total de la sous-traitance sur le périmètre de l'Unité économique et sociale FT-Orange était supposé totaliser 9 370 « Equivalents temps pleins » (ETP). Un chiffre pourtant sous évalué puisque la direction a reconnu, lors du CE extraordinaire du 15 juillet dernier, 22 522 ETP sur le même périmètre. Pour le syndicat Sud, la sous-traitance représenterait plus de 25% des effectifs de France Télécom dans les unités d'intervention. « La direction avance des motifs comme des missions limitées dans le temps ou des compétences inexistantes pour légitimer l'appel à la sous-traitance, déplore Sud dans un communiqué. L'existence de métiers furtifs dans notre secteur d'activité est largement discutable et la question des moindres coûts vérifiée uniquement sur les centres d'appel. » Davantage de sous-traitants dans les grandes banques Pour Régis Granarolo, président du Munci, association réunissant des professions informatiques et télécoms (IT), 25% de sous-traitance est un taux peut-être élevé en soi... mais qui ne représente pas grand-chose si on le compare avec celui des grandes banques. « A la BNP, 13 000 informaticiens étaient répartis de la manière suivantes sur l'année 2007, signale-il : 7 500 employés en interne et 6 500 prestataires. Et, sur les 13 000 personnes travaillant pour l'environnement informatique, deux tiers sont de vrais informaticiens qui interviennent au développement, support technique et production, dont une bonne part viennent des SSII. Soit une activité de sous-traitance beaucoup plus importante dans la banque que dans d'autres secteurs.» En fait, le problème soulevé par Sud concerne surtout le paradoxe qu'il y a à recourir à la sous-traitance à grande échelle alors que se profile un plan social drastique (22000 suppressions d'emplois annoncés sur trois ans). (...)

(12/08/2008 16:54:10)

Toujours moins d'offres d'emploi que d'informaticiens au chômage selon la Dares

Alors que la plupart des indicateurs font apparaître une situation qui frise le plein emploi dans le secteur IT, le chômage n'épargne pas les informaticiens pour autant. Dans sa dernière note sur les tensions du marché du travail observées au cours du premier trimestre 2008, la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares, Ministère du Travail), montre en effet qu'il y a moins d'offres d'emploi que de demandes dans l'informatique. Ainsi, le ratio du flux d'offres d'emploi sur le flux de demandes d'emploi était de 0.85 au cours des trois premiers mois de l'année (en baisse de 4.7% par rapport au trimestre précédent mais en hausse de 8.6% par rapport à l'année précédente). Cela signifie que, pour un informaticien enregistré comme demandeur d'emploi à l'ANPE au cours de ce trimestre, il y a moins d'une offre d'emploi déposée pendant la même période. La Darès relève toujours de fortes inégalités selon les fonctions dans la filière IT. Ainsi, chez les ingénieurs, le rapport est de 1,28 offre par demandeur d'emploi (en forte baisse de 7.9% par rapport au trimestre précédent), alors que pour les techniciens, le ratio s'établit seulement à 0,63 offre pour un demandeur d'emploi. La diminution des effectifs étonne le Munci Le Munci, association réunissant des professions informatiques et télécoms (IT), a épluché la dernière étude Darès et s'est étonné, par ailleurs, d'une forte diminution du volume global des effectifs d'informaticiens en France (salariés + demandeurs d'emplois, hors administrations) : « L'effectif était de 469 000 informaticiens en 2007, soit une diminution très surprenante de 32 000 par rapport à l'effectif fin 2006, et même de 35 000 par rapport à l'étude du 4ème trimestre 2007 », s'étonne Régis Granarolo, président du Munci. Une telle évolution se situe totalement à contre-courant de la tendance positive que connaît l'emploi informatique depuis quelques années, et notamment de la baisse du chômage des informaticiens observée sur l'année 2007. » Le fondateur du Munci suggère trois explications : le manque de fiabilité de l'enquête Emploi réalisée par sondage (« pour une population de 500 000 personnes, cela représente environ 1 100 questionnaires, donc une variation de 35 000 personnes », note-t-il), une forte régression de l'emploi informatique dans les entreprises utilisatrices (transferts d'emplois du fait du recours croissant à la sous-traitance et à l'externalisation...), ou bien encore un chiffre de 501 000 informaticiens qui aurait été surévalué par l'Insee jusqu'en 2007. « L'explication la plus plausible est probablement... un mélange des trois », conclut Régis Granarolo. (...)

(11/08/2008 12:13:12)

La hausse de 2,9% des minima proposée par Syntec fâche les syndicats

Dans la filière informatique, employeurs et syndicats ne sont toujours pas en accord sur la question des salaires. Le 24 juillet 2008, la fédération Syntec Informatique devait conclure avec les représentants syndicaux (CFDT, CFTC, CGC et FO) un nouvel accord sur les bas salaires. Mais, alors que l'ensemble des organisations syndicales avait, lors des réunions précédentes, affirmé qu'aucune négociation ne pouvait se dérouler en deçà de l'inflation (3,6% sur la série française en juin selon l'Insee et 4% sur le comparatif Européen selon l'Insee), Syntec propose de relever les minima de 2,9% seulement, à compter du 1er janvier 2009. La CFDT a fait savoir son opposition, à la fois sur la date d'application « qui transforme 2008 en année blanche sur les salaires », et sur le montant qui ne couvre même pas l'inflation. En réaction, tous les syndicats ont signifié leur désaccord en quittant la table des négociations. Par ailleurs, la CFDT rapporte que Syntec n'aurait pas été en mesure de faire des propositions sur la rémunération des jeunes en contrat de qualification, rendant impossible la signature des deux accords, alors que la réforme de la gouvernance de la formation est qualifiée par la CFDT d'essentielle sur le secteur. Le syndicat patronal avait déjà fait, début juillet 2008, une proposition d'augmentation des minima qui avait suscité la grogne des représentants syndicaux : 2,2% applicable au 1er janvier 2009. (...)

(23/07/2008 09:43:12)

Bilan Apec T2 2008 : la baisse des recrutements se confirme, sauf dans les SSII

Dans son bilan trimestriel, l'Apec observe qu'après quelques mois fastes, le marché global de l'emploi des cadres se stabilise. 54% des entreprises de plus de 100 salariés ont embauché au moins un cadre au courant du deuxième trimestre de l'année, et 44% d'entre elles comptent en recruter au trimestre suivant. Le bilan est toutefois contrasté en fonction des secteurs. Contrairement à l'industrie ou au BTP, les activités de conseil dans la high-tech se laissent un peu gagner par le ralentissement. Elles restent dynamiques et en phase avec le reste du marché en ce qui concerne les intentions de recrutement (54%), mais perdent 16 points par rapport à l'an dernier, en atteignant le niveau le plus bas jamais observé sur ce secteur. Cette récession frappe surtout l'ingénierie et les bureaux d'études techniques, alors qu'elle épargne les SSII (92% d'intention d'embauche), et pas seulement en raison taux de turn-over qui règne dans ce secteur : selon l'Apec, 89% d'entre elles recruteront des cadres pour des postes fraîchement créés. L'informatique est également une filière friande en nouvelles compétences (65%). Tous secteurs confondus, les profils les plus recherchés sont les professionnels dotés d'une expérience de 5 à 10 ans, mais l'Apec remarque également une recrudescence de l'intérêt des entreprises pour les profils ayant une expérience de 10 à 20 ans (43% contre 29% l'an dernier), voire plus de 20 ans (25% contre 18%). Les SSII dérogent à la règle, 61% d'entre elles s'intéressent principalement aux jeunes diplômés. Dans l'informatique, une offre ne draine pas plus de 20 candidatures L'étude de l'Apec souligne en outre la pénurie qui frappe le secteur de l'informatique. En 2003, une offre attirait plus de 100 candidatures, aujourd'hui elle en draine à peine 20, notamment à cause de la raréfaction de certaines compétences technico-commerciales. Ce chiffre reste également très en dessous de la moyenne générale de 40 candidatures par offre. Cette pénurie de réponses explique pourquoi 80% des recruteurs se plaignent de ne pas trouver le bon profil. La R&D enregistre le taux de conversion d'annonces en embauches le plus médiocre : seuls 54% des postes proposés sont pourvus entre trois et six mois après la diffusion de l'offre, contre 66% en moyenne pour les autres secteurs. La R&D souffre par ailleurs d'une part très importante d'abandon (12%), notamment en raison de la lourdeur des procédures de recrutement. (...)

(23/07/2008 09:30:54)

Indice Apec de juin : l'emploi s'essouffle légèrement dans l'IT

L'indice emploi publié mensuellement par l'Apec a gagné deux petits points entre juin 2007 et juin 2008, mais il est en léger retrait par rapport au mois de mai (- 9). Le secteur informatique se maintient avec 7 913 offres (88 918 en un an), ce qui représente un tiers des annonces diffusées par l'Apec. Ces chiffres sont en hausse de 14% entre mai et juin 2008, et de 34% sur 12 mois. Ils sont essentiellement portés par les filières « Exploitation et maintenance » (+88%) ainsi que « Systèmes et réseaux » (+57%). En termes de nombre d'annonces, l'informatique de gestion reste en tête du palmarès, avec 4 309 nouvelles offres pour le mois de juin, mais sa progression (24%) est plus modeste que celle observée entre avril et mai. C'est la chute libre en revanche pour les postes de direction informatique, qui perdent 31% en un an (seulement 431 places à pourvoir). En Recherche & Développement (15% de l'ensemble des offres) le nombre de postes à pourvoir s'envole, en gagnant 69% entre mai et juin, contre une hausse de 49% en avril et mai. Les fonctions « Recherche, études techniques » (2 610 offres) et « Projets, affaires » soutiennent cette performance, avec des progressions respectives de 56 et 58% par rapport au mois précédent. L'Apec souligne également une explosion de la demande dans la catégorie « Brevets » (+153%, avec 603 offres). (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >