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(15/07/2008 14:24:33)

Dossier recrutement dans le Libre : l'enseignement pointé du doigt

Faut-il des compétences spécifiques pour travailler dans le domaine de l'Open Source ? A en croire les sociétés que nous avons interrogées, la réponse est oui et, visiblement, l'offre n'est pas suffisante pour répondre à la demande. Beaucoup nous ont confié devoir recruter à l'étranger pour compléter les effectifs. La faute, apparemment, à l'enseignement supérieur, pas suffisamment prompt à prendre en considération les besoins spécifiques des éditeurs de logiciels Open Source et des SS2L. Il existe bien quelques cursus spécialisés mais, comme nous l'explique Alexandre Zapolsky, président de la Fédération nationale de l'industrie du logiciel libre : « Des efforts doivent être faits pour pallier le sérieux retard pris par la formation initiale. Les cursus, trop généralistes, ne collent pas aux besoins actuels des entreprises. » L'état des lieux complet dans notre dossier : Attention à la pénurie de compétences en logiciels libres. (...)

(15/07/2008 12:39:46)

Sun licencie 1000 salariés américains, l'Europe va suivre

Sun vient de licencier 1000 salariés aux Etats-Unis et au Canada. Ces licenciements avaient été annoncés lors de la présentation des résultats du troisième trimestre fiscal, début mai dernier, au cours duquel le groupe a perdu 34 M$. Au total, le groupe a prévu de se séparer de 1500 à 2500 personnes, soit, au pire, 7,5% de ses 34 400 salariés, d'ici à la fin de l'année civile. Le département marketing serait un des plus touchés. Ce plan de licenciements est loin d'être une nouveauté chez Sun : quand Jonathan Schwartz a succédé à Scott McNealy au poste de PDG en avril 2006, le groupe comptait 38 000 collaborateurs. Il reste aujourd'hui 500 à 1500 départs envisageables. Le groupe cherche désormais à supprimer des postes dans ses filiales à l'étranger. Autrement dit en Europe, en Asie-Pacifique et en Amérique latine. Au total, Sun compte économiser 150 M$ avec tous ces départs. Et redorer son image auprès des investisseurs : le cours de l'action a subi une sévère chute ces derniers mois. L'action cotait 8,78$ hier 14 juillet 2008 au Nasdaq, contre 24,92$ le 12 octobre 2007. Un porte-parole de Sun a précisé que, parmi les licenciements déjà effectués, figurent des cadres dirigeants. Mais les noms de ces vice-présidents et de ces directeurs ne sont pas connus. D'où des rumeurs sur le départ de Jonathan Schwartz, le PDG. D'autres commentateurs s'interrogent sur la pertinence d'un rapprochement capitalistique entre Sun et Fujitsu, son partenaire dans le domaine des serveurs d'entreprise. (...)

(10/07/2008 16:25:23)

LesJeudis.com entrent dans le giron de CareerBuilder.com

Le site français de recrutement en ligne Lesjeudis.com a été racheté mardi 8 juillet par CareerBuilder.com, l'un des plus grands portail d'emploi généraliste aux Etats-Unis. Le montant de la transaction n'a pas été communiqué. « Nous voulions nous adosser à un acteur de poids sur ce secteur depuis un moment, notamment pour améliorer notre visibilité dans les médias et nous positionner en tant que site de recrutement plus généraliste », explique Cédric Barbier, PDG des Jeudis.com. LesJeudis.com conserveront leur nom, ainsi qu'une « grande indépendance par rapport à CareerBuilder », détaille Cédric Barbier, qui continuera à diriger l'entité. CareerBuilder apportera son expertise en termes de marketing, de communication et de connaissance du marché, notamment au niveau international. Créé en 1997, la société regroupe six sites spécialisés IT et dans d'autres filières (LesJeudis.com, CAO-emplois.com, Erecrut.com, Ingenieur-Emplois.com, Phonemploi.com et RecruLex.com) et s'occupe de trois salons de recrutement dans la high-tech. Elle est surtout connue pour ses offres d'emploi en informatique et ingénierie (5 000 annonces sur les 7 000 publiées chaque mois), et couvre également d'autres segments qu'elle souhaiterait voir monter en puissance, comme le BTP, la santé, l'environnement ou la restauration. LesJeudis.com développeront ces différentes marques, en recrutant des commerciaux affectés à un secteur bien défini. Lesjeudis.com devraient par ailleurs refondre leur site dans les mois qui viennent, afin de le rendre plus ergonomique. « Ces améliorations étaient toutefois prévues, et n'ont rien à voir avec le rachat par CareerBuilder », précise Cédric Barbier. (...)

(10/07/2008 16:08:57)

Le Munci anticipe un recul majeur sur les acquis sociaux

Le texte de loi qui sera débattu entre les 17 et 25 juillet sur la réaménagement du temps de travail risque fort d'avoir des effets néfastes sur les cadres de la IT qui travaillent au forfait jour. « Le projet concerne bel et bien un très grand nombre d'informaticiens de la branche Syntec puisque on estime que 70% à 80% d'entre eux sont au forfait jour (mode 3) et en mi-heures mi-jour (mode 2) », précise Régis Granarolo, président et fondateur du Munci, association qui regroupe des informaticiens. Et ce d'autant plus que la définition des salariés autonomes a été élargie : « Elle concerne les salariés dont la durée du temps de travail ne peut être prédéterminée ou qui disposent d'une réelle autonomie dans l'organisation de leur emploi du temps, précise le président. De fait, le Munci redoute des conséquences néfastes aux nouvelles dispositions relatives au forfait-jour. En premier lieu, le projet permet de déroger à l'accord de branche Syntec du 22 juin 1999 sur la durée du travail qui fixe le plafond initial à 219 jours (en réalité 218 après la loi Aubry II et la journée de solidarité) pour les modes 2 et 3 et qui prévoit que les parties signataires conviennent que les jours fériés sont non travaillés et payés par des accords d'entreprises portant potentiellement le contingent à 235 jours. « Dans ce cas, les salariés dotés d'un tel forfait n'auront plus de jours de repos supplémentaires autres que les cinq semaines de congés payés, ainsi que leurs week-ends et le 1er mai ! s'insurge le fondateur du Munci. Finis les RTT, les congés d'ancienneté et les autres jours fériés ! » Les PME davantage exposées, faute de syndicats Autre effet majeur du projet de loi : la baisse du pouvoir d'achat. « Il va être revu à la baisse puisque les jours travaillés au-delà de 218 jours ne seront majorés désormais que de 10%, au lieu des 25% depuis les lois TEPA pourtant pas si vieilles que çà », considère Régis Granarolo qui parle d'un beau cafouillage du gouvernement. Toutefois, pour mettre en place un nouveau contingent, l'employeur devra passer obligatoirement par un accord qui aura été approuvé par des syndicats représentant au moins 30 % des salariés et n'aura pas rencontré l'opposition de syndicats représentant 50 % de ces salariés. Or, les PME risquent fort de trinquer, par manque de représentativité syndicale. « Pour les grandes entreprises où il y a une représentation syndicale suffisamment forte, il n'y aura pas trop de souci, estime Régis Granarolo En revanche, dans les PME, on risque d'avoir de mauvaises surprises. » Par ailleurs, les accords de branche ou d'entreprise déjà existants devront être réécrits avant 2010 sur les parties concernant les heures supplémentaires et le repos compensateur. Seul aspect positif : la possibilité de comparer les SSII [[page]]Ce recul majeur sur le plan des acquis sociaux a incité le Munci à prendre une nouvelle fois les devants : « Nous n'avons pas eu le temps d'écrire aux députés, mais nous allons faire rapidement le point et écrire aux sénateurs comme nous l'avons fait pour la loi sur la modernisation du marché du travail à propos du CDD à objet défini et du portage salarial, déclare Régis Granarolo. Simplement, à la différence de cette loi, cette fois-ci les syndicats se sont fait entendre auprès des parlementaires, notamment la CFE-CGC, qui prévoit aussi un recours auprès de la Cour européenne des droits de l'homme. » Seuls effets potentiellement positifs de cet amendement pour le Munci : le nouvel élan donné au syndicalisme de masse, et la possibilité de comparer des SSII. L'association travaille actuellement à la mise en place d'un observatoire des SSII qui s'efforcera de comparer les accords d'entreprise (sur le temps de travail notamment) mais aussi le recours aux contrats précaires (CDD à objet défini, CDI de chantier...), ou encore l'offshore. Celui-ci devrait être effectif en septembre 2008. (...)

(09/07/2008 16:21:11)

Aux Etats-Unis, l'emploi informatique fait fi de la crise

A première vue, la crise financière qui sévit actuellement aux Etats-Unis n'a pas encore impacté l'emploi des informaticiens. Alors que la situation de l'emploi se détériore dans la plupart des secteurs, la filière informatique, elle, jouit d'une bonne santé dans ce pays. Les résultats d'une étude menée en juin 2008 par la National Association of Computer Consultant Businesses (NACCB) montrent en effet que les recrutements ont atteint de nouveaux records dans la high-tech : ainsi, près de quatre millions d'employés travaillent actuellement dans ce domaine aux Etats-Unis. Cette situation résulte du dynamisme de l'emploi IT en mai : 43 000 nouveaux emplois ont ainsi été créés sur cette période. Ces recrutements se sont accompagnés, en outre de 1 700 embauches supplémentaires au cours du mois suivant. Seattle sort du lot des villes américaines les plus dynamiques en la matière. Dans la ville de Microsoft, près de 8 000 nouvelles embauches ont été réalisées dans l'informatique entre 2005 et 2006. Au final, l'étude rapporte que sur l'ensemble de l'année 2008, quelque 90 000 emplois ont été créés dans la filière nouvelles technologies aux Etats-Unis. Pourtant, dans le même temps, le marché de l'emploi global accusait une baisse de 440 000 postes. (...)

(09/07/2008 13:00:42)

Les propositions de Syntec sur les bas salaires fâchent déjà les syndicats

La fédération Syntec Informatique devrait conclure avec les syndicats (CFDT, CFTC, CGC et FO) un nouvel accord sur les salaires minimaux, d'ici quelques semaines. Mais les nouveaux seuils proposés par la chambre professionnelle sont loin de satisfaire les représentants syndicaux. « Syntec propose de relever les minima de 2,4%, avec une mise en application fixée au 1er janvier 2009 seulement, s'indigne Yvan Béraud, secrétaire national de la F3C-CFDT. Dans un contexte d'inflation en forte croissance (actuellement à 3,3% sur 12 mois glissants et à 2,27% en moyenne sur l'année), cela semble très faible. A cela s'ajoute le fait qu'il faudra attendre plus d'un an avant une mise en application, ce qui n'est pas acceptable. » Pour une revalorisation des minima de 3% à 4%, applicable dès le 1er janvier 2008 Le syndicat demande une revalorisation annuelle des bas salaires couvrant au moins l'inflation, de 3% à 4%, et applicable à compter du 1er janvier 2008. Il prône la mise en place d'une grille de minima de branche cohérents, et le respect par les employeurs des garanties salariales apportées aux ingénieurs et cadres de mission. «Dans les SSII, les nouveaux embauchés de 2008 ont un salaire plus élevé que les expérimentés recrutés pendant les vaches maigres de 2002 à 2004, déplore Yvan Béraud. Et, pour un travail égal conduisant à un même positionnement dans le référentiel métier de l'entreprise, on voit couramment des écarts de salaire de 1 à 2, voir plus ». Si employeurs et syndicats ne sont pas en accord sur la question des salaires, les négociations sur la formation et de la GPEC semblent, elles, sur le point d'aboutir. Pour construire une politique de formation, les organisations syndicales souhaitent notamment que Syntec Informatique mette en place des DIF prioritaires qui ne pourraient pas être refusés par les employeurs, et une meilleure lisibilité des priorités de formation de la branche. Or, à l'inverse des salaires, le nouvel accord Syntec sur la formation et les compétences devrait remporter l'adhésion massive des syndicats. (...)

(09/07/2008 07:24:15)

L'Isen ouvre une formation en informatique industrielle à destination des apprentis

L'Institut supérieur de l'électronique et du numérique (Isen) de Brest annonce l'ouverture, à partir de la rentrée de 2008, d'une formation en alternance dans les spécialités électronique et informatique industrielle. L'établissement a opté pour cette formule, dont l'accès est gratuit, suite à une expérience similaire menée avec succès à l'Isen Toulon. Les élèves qui choisiront ce cursus seront sous contrat de travail et rémunérés. Les candidats recherchés sont soit des bacheliers pour un cursus en cinq ans, soit des salariés à Bac +2 justifiant d'au moins trois ans d'expérience professionnelle, pour suivre ce cycle sur une période de trois ans. L'alternance, formule qui permet d'accéder au titre d'ingénieur sur les mêmes critères académiques que pour les formations classiques, tout en exerçant une activité salariée, commence à se développer dans les grandes écoles d'ingénieurs. Ainsi l'Ectei, l'une des écoles d'ingénieurs du groupe Ece (Ecole centrale d'électricité) située à Montreuil-Sous-Bois (93), annonçait très récemment l'accessibilité de son Bachelor Sécurité et Réseaux par la voie de l'apprentissage. (...)

(08/07/2008 18:08:40)

L'Imagine Cup met en avant les informaticiennes

Sur les 400 finalistes du grand concours de développement organisé par Microsoft, Imagine Cup, on ne compte que 52 jeunes filles... « C'est mieux que l'an dernier, mais encore trop peu », a déploré Simon Brown, VP du groupe développeurs et plateformes de Microsoft, à l'occasion de la table ronde Women in IT qui s'est tenue le 7 juillet, dans le cadre de la compétition. La proportion de candidates pour Imagine Cup n'est pas anecdotique. La pénurie de femmes dans l'informatique (études et entreprises) est une réalité. Les chiffres manquent pour conforter le constat de terrain. Mais, d'où qu'elles viennent, France, Italie, Pologne, Allemagne, Irlande, Singapour, Corée, Argentine, Nouvelle-Zélande, toutes les étudiantes présentes ont fait le même constat : elles sont en très forte minorité dans leurs promotions. Mais elles adorent l'informatique ! Les jeunes femmes présentes ont mis à mal nombre de stéréotypes. « Rejoignez -nous. Faites de l'informatique ! » Ces jeunes informaticiennes de l'Imagine Cup ont donc tenté de convaincre leurs camarades qui hésiteraient à suivre la même voie qu'elles. « Rejoignez -nous. Faites de l'informatique ! » a même insisté une jeune coréenne. Les jeunes femmes ont raconté leurs parcours, leurs histoires afin de montrer le chemin. Le faible nombre de modèles est en effet une des causes identifiées de la pénurie d'informaticiennes. Cause à laquelle il faut ajouter l'image déplorable généralement véhiculée des « geeks » ou accros de l'informatique qui revient dans presque tous les témoignages. Sans oublier que l'informatique continue d'être considérée comme un métier masculin. Quels remèdes à cette pénurie de femmes dans l'informatique ? Au cours de la table ronde, peu de réponses concrètes ont été apportées, même si la discussion a permis d'ébaucher des idées. « Nous sponsorisons Women in IT depuis quatre ans parce que la présence de plus de femmes dans l'informatique est aussi une opportunité pour notre industrie, confirme ainsi Simon Brown. Nous manquons de compétences techniques de façon globale. C'est d'abord une question d'éducation sur le long terme. Mais à plus court terme, nous organisons du réseautage et du mentoring. Nous avons aussi EveTechs, un réseau social destiné au mentoring et au soutien professionnel des informaticiennes. » Comme remède, de nombreux témoignages de candidates [[page]] Aude de Thuin confirme, quant à elle, qu'il est essentiel d'identifier de nouveaux modèles de femmes dans les sciences et l'informatique, d'organiser des campagnes de communication, et d'innover avec des prix, des récompenses, etc. Aude de Thuin préside et organise le Women's Forum for the Economy and Society dont la prochaine édition aura lieu en septembre à Deauville. Elle rappelle qu'il faut surtout « changer les mentalités. Nous avons encore des réflexes d'il y a 20 ou 30 ans ! » Des témoignages comme ceux des jeunes candidates présentes à Women in IT pourraient bien contribuer à de premiers changements. Une étudiante allemande, installée depuis quatre ans en Nouvelle-Zélande raconte : « Plus jeune, je n'aurais jamais opté pour l'informatique. Je pensais que c'était ennuyeux, pas intéressant. Je voulais être journaliste. Finalement, un jour, mon copain qui fait des études d'informatique m'a proposé d'apprendre un peu à programmer. Cela me faisait moyennement envie. Je ne voulais pas ressembler à tous ces geeks... Puis finalement j'ai appris et j'ai fini par entrer dans une université d'informatique ! C'était très différent de ce que je pensais. C'est un sujet très social, il y a du travail d'équipe. Et la programmation ne représente qu'une toute petite partie de l'IT. » Les étudiants en informatique sont loin d'être d'affreux « geeks » Pour Julie, histoire opposée, mais résultat identique. La maman de la jeune française travaillait chez un éditeur de logiciel. Elle n'a donc pas eu à chercher très loin son modèle ! « Nous avons toujours eu des ordinateurs à la maison, et cela m'a toujours plu, » raconte-t-elle. Depuis toute petite, elle sait qu'elle veut faire de l'informatique son métier. Mais nombreux sont ceux qui lui ont fait remarquer qu'elle ne ressemblait en rien à tous ces geeks... [[page]]Aujourd'hui, elle a 22 ans et vient de terminer l'UTC de Compiègne. Elle va entamer un master à Berkeley en Californie. « Je suis volontairement passée par du développement, très technique, pour pouvoir intégrer une filière de management. J'aimerais m'occuper de stratégie IT. » Au cours de ses études, elle a compris que tous les étudiants en informatique n'étaient pas des étranges et effrayants accros de techniques. « Finalement, quand on commence, nous sommes tous pareils. » Dans sa promotion, les filles ne représentaient pas plus de 10% des 120 étudiants. Claudie Haigneré : « être femme serait plutôt un atout » Claudie Haigneré, ancienne spationaute et ex-ministre de la Recherche et des Nouvelles technologies, a elle aussi été priée de raconter son histoire. « Quand j'étais enfant, j'ai vu un homme à la télévision poser le pied sur la lune, et je me suis dit : pourquoi par moi ? Et quand, en 1985, on m'a proposé de devenir spationaute, ce n'a jamais été une question de femme ou d'homme. J'ai juste pensé : mais pourquoi ne pas le faire ? » Comme Julie, Claudie Haigneré estime qu'être une femme a plutôt été un atout dans son parcours. Puis, la spationaute a ajouté qu'il « ne faut pas oublier que les sciences et la technologie ne sont pas juste des moyens d'obtenir plus de pouvoir. Ce sont aussi des moyens de mieux organiser sa pensée et donc sa vie. Des moyens d'accéder à la sagesse et à la culture.» (...)

(08/07/2008 12:32:34)

Index Freelance.com : Les consultants SAP ont de plus en plus la cote

Les écarts entre les trois spécialités en tête des compétences les plus demandées - Unix, SAP, Oracle- se resserrent un peu plus, en ce début juillet. En effet, moins d'un point sépare actuellement les trois profils. De plus, les besoins des recruteurs en spécialistes de SAP sont une nouvelle fois à la hausse : ces derniers gagnent une place et 2,5 points en deux semaines, avec une recherche orientée principalement vers des consultants. Autre évolution notable au palmarès : l'augmentation des besoins des entreprises concernant les développeurs PHP. Les experts de ce langage accèdent ainsi à la 6ème position et remontent de trois places par rapport au dernier classement. L'index est également marqué cette semaine par l'entrée des spécialistes de Business Object en fin de tableau. Du côté des spécialités, les professionnels des logiciels de gestion reprennent la tête du top 10 . Ils sont suivis de près par les administrateurs de bases de données et les développeurs. Ces trois profils représentent à eux seuls la moitié des demandes enregistrées par Freelance.com en ce début de mois. Méthodologie: les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 533 offres de projets informatiques disponibles au 07 07 2008 (pondération par rapport à l'importance de la demande); (...)

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