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Emploi
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(10/11/2008 13:16:41)
Syntec Informatique veut promouvoir l'apprentissage dans les métiers de l'informatique
DSI, responsables des ressources humaines, apprentis et recruteurs ont été invités par le Syntec Informatique à se rencontrer, vendredi 7 novembre, pour étudier les avantages d'embaucher de jeunes diplômés par la voie de l'apprentissage, en présence du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Deux tables rondes, sur la place de l'apprenti dans l'entreprise, et sur la coopération pédagogique entre le monde éducatif et le monde professionnel, ont été organisées. Syntec Informatique a également fait un point sur le versement « en forte évolution » de la taxe d'apprentissage dans le secteur informatique. En 2008, 4 566 dossiers ont ainsi pu être traités, contre 2 923 en 2007 et 548 en 2004. Le montant de la collecte dépasse les 54 M€ contre 45 M€ il y a un an. Mieux informer les entreprises Syntec Informatique a profité de cette journée pour présenter une étude listant les éléments qui freinent encore l'adoption de ce mode de recrutement dans les entreprises ainsi que les moyens d'y remédier. Pour le syndicat, il s'agit surtout d'un manque d'information. Il suggère d'accroître différents axes de communication pour informer les entreprises sur les modalités de l'apprentissage : comment trouver et sélectionner un apprenti, quelles sont les démarches administratives à suivre, comment se déroule le contrat, quels sont avantage du dispositif... Toujours dans le but de promouvoir l'apprentissage auprès des entreprises, Syntec Informatique publie depuis septembre dernier ApprenTIC, un journal trimestriel entièrement dédié à ce mode de formation. Il y a un an, c'était le Campus Syntec Informatique, un site gratuit de diffusion d'annonces, qui était lancé par le syndicat. Ces deux initiatives servent également à alimenter le site passinformatique.com. Valoriser le rôle du maître d'apprentissage [[page]] Valoriser le rôle du maître d'apprentissage Pour Syntec Informatique, il faut également améliorer la coopération entre les CFA (centres de formation par apprentissage) et les entreprises, notamment les PME, assouplir certaines modalités et favoriser l'accès aux offres de contrats d'apprentissage. Syntec Informatique souligne enfin qu'il est nécessaire de reconnaître et de valoriser le rôle du maître d'apprentissage. A cet effet, le syndicat va demander que des formations soient prises en charge par l'OPCA (organisme paritaire collecteur agréé) de la branche. Avec cette journée, Syntec Informatique tente encore une fois de redorer le blason de l'apprentissage, qui souffre toujours d'un manque de reconnaissance dans l'Hexagone, contrairement à d'autres pays européens. Pour le syndicat, ce mode de formation ne doit pas être vu comme une contrainte par l'entreprise car il est également générateur de valeur ajoutée. « L'apprentissage n'est plus une voie de garage, et nous travaillons à ce qu'elle devienne au contraire une voie d'excellence », affirme Syntec Informatique. L'apprenti n'est pas seulement un étudiant, il est force de proposition et peut activement participer à des projets dans un secteur où le manque de main d'oeuvre se fait particulièrement sentir. Dans une étude réalisée avec IDC, Syntec Informatique souligne en effet que chez l'ensemble des acteurs IT, 41% des créations nettes d'emplois prévues en 2008 ne seront pas pourvues. Ce chiffre atteint 60% chez les grands éditeurs, 42% dans les grandes SSII et 36% dans les SSII de moyenne et petite tailles. Selon Jean Mounet, président du syndicat professionnel, cette pénurie pousse de plus en plus les SSII à se tourner vers des solutions alternatives aux écoles d'ingénieurs. (...)
(06/11/2008 12:41:32)AMD coupe de nouveau dans ses effectifs
Le californien AMD vient d'annoncer son intention de se séparer de 500 emplois supplémentaires dans le monde. Les salariés concernés par des suppressions de postes ont appris la nouvelle par courriel, mercredi dernier. "Nous confirmons une réduction de l'effectif dans différents départements, niveaux et lieux", leur a indiqué Mike Silverman, porte-parole d'AMD, sans fournir plus de précisions. Mis à mal par la bonne santé d'Intel et les retards de certains de ses propres produits (Barcelona), AMD peine à engranger des profits. Au cours du mois dernier, le fabricant de puces a accusé une perte de 67M$, son huitième trimestre consécutif de pertes. Pour se remettre de ses problèmes financiers, le constructeur compte sur les nouvelles puces graphiques ATI et sur son nouveau quadri-coeurs pour serveurs Shanghai . Cette vague de suppressions d'emplois à venir est la deuxième cette année pour le fondeur. Après la publication de ses résultats financiers au premier trimestre 2008, AMD avait déjà décidé de tailler 10% de ses effectifs, et de supprimer 1 600 emplois. Début octobre, AMD a aussi entrepris de se séparer de ses usines pour se recapitaliser. (...)
(06/11/2008 11:30:18)Yahoo à Microsoft : "au secours, revenez nous acheter !"
Le feuilleton Microsoft-Yahoo entamé au premier semestre de l'année a pris des allures de soap opera. Le premier a poursuivi le second afin de le racheter pour un montant de 44,6 Md$, se heurtant à des fins de non-recevoir, avant de voir partir Yahoo dans les bras d'un rival, Google en l'occurrence, pour un accord publicitaire. On croyait donc le scenario bel et bien conclu. Mais c'était sans compter sur un rebondissement post-crise économique : abandonné par Google, Jerry Yang, patron de Yahoo, a ravalé hier sa fierté pour pleurer sous le balcon du géant de Redmond. Comme il l'avait déjà fait entendre il a quelques jours, Google a fait savoir hier, 5 novembre, qu'il mettait fin à son accord de publicité avec Yahoo, suite à l'enquête du DoJ (Department of Justice, ministère de la justice américain), qui a décidé d'imposer des conditions décourageantes aux deux acteurs. Dans un communiqué, Yahoo déplore la décision de Google, estimant qu'il aurait pu choisir de défendre cet accord plutôt que de s'en retirer. Délaissé, Jerry Yang s'est empressé de se retourner vers celui qu'il a snobé durant tout le premier semestre, Steve Ballmer, patron de Microsoft. Pas à une contradiction près, Yang compte bien expliquer au géant du logiciel pourquoi il faut absolument qu'il rachète la société. A priori, Steve Ballmer n'aurait qu'un mot à dire pour que Yahoo revienne à la table des négociations. Reste à savoir si Microsoft veut remettre le couvert... Jerry Yang est moins regardant sur la somme que Microsoft pourrait proposer « A ce jour, la meilleure chose à faire pour Microsoft serait de racheter Yahoo, » a tout simplement déclaré Jerry Yang à l'occasion de la conférence Web 2.0 Summit de San Francisco. Interrogé sur le prix qu'il demanderait, le patron de Yahoo a précisé qu'il ne s'en tenait plus à ses exigences du mois de mai. Jerry Yang s'est dit prêt à vendre tout ou une partie de son activité. Microsoft avait proposé avant l'été de récupérer uniquement le moteur de recherche, puisque Yahoo ne voulait pas se vendre en totalité. [[page]] Il faut reconnaître que ces paroles désespérées correspondent à une période noire pour Yahoo. Le pionnier du Web est embarqué dans une deuxième vague de suppressions de postes, qui devrait concerner cette fois 10% des effectifs (contre 20% en janvier dernier), et affiche des résultats dans le rouge (bénéfice net en baisse de 64%). Il accuse par ailleurs un important retard dans les médias sociaux, loin derrière Facebook ou MySpace. Il y a un an, le prix de l'action Yahoo clôturait à 27 $. Aujourd'hui, le titre reste sous la barre des 14 $, ne laissant plus aucun doute sur l'intérêt financier que représentait la dernière offre de Microsoft à 33 $. Steve Ballmer a poursuivi Yahoo durant plus de trois mois, entre février et mai, alors que Jerry Yang n'a eu de cesse de repousser ses avances, trouvant les meilleurs prétextes du monde. Il a évoqué la possibilité d'un rapprochement avec MySpace, il a rencontré Time Warner pour une éventuelle fusion avec AOL , il a expliqué à ses actionnaires la dangerosité de Microsoft (la fameuse 'pilule empoisonnée'), puis il a concocté un parachute doré à ses salariés en cas de réussite de l'OPA avant de s'acoquiner avec Google, ennemi juré de Microsoft. C'est d'ailleurs cette démarche qui a fini par dégouter Microsoft d'une éventuelle acquisition. Pour le moment, le géant de Redmond n'a pas répondu aux avances de Jerry Yang. (...)
(05/11/2008 18:10:46)Entre 3,9% et 5,9% de chômeurs dans l'informatique, selon la Dares
Pour la première fois depuis novembre 2004, le nombre des informaticiens au chômage a progressé par rapport au mois précédent, comme le signale le Munci. L'association professionnelle et syndicale d'informaticiens s'est appuyée sur les tableaux mensuels nationaux publiés par la Dares (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques, Ministère du Travail) pour dresser son analyse. En effet, en consultant l'onglet StocksFluxRome (sources Stmt, Dares, Anpe), on s'aperçoit qu'il existait bien 19 508 demandeurs d'emplois supplémentaires en informatique (cat.1) en septembre 2008 et environ 29 300 (toutes catégories), soit un taux de chômage compris entre 3,9% et 5,9%. Une proportion plus élevée qu'en juin 2008 notamment, où 17 476 demandes avaient été comptabilisées dans l'informatique. Selon une estimation médiane obtenue après cumul des catégories 1, 4 et 6, le Munci arrive à un total de 24 400 demandeurs d'emplois en informatique, soit un taux de chômage moyen d'environ 4,9%. Le Munci note que si le chômage des informaticiens diminue depuis deux ans, il le fait dans des proportions de plus en plus faibles : moins 8 367 demandeurs d'emplois en 2006, moins 5476 demandeurs en 2007, et moins 2 646 au 1er semestre 2008. Un chomage sous-estimé selon le Munci, surestimé selon Syntec Informatique [[page]]Ces demandes d'emploi concernent des contrats à durée indéterminée et à plein temps déposées par des personnes immédiatement disponibles et n'ayant pas exercé d'activité de plus de 78 heures au cours du mois précédent. Néanmoins, le Munci considère que ces données ne concernent pas la totalité des informaticiens, notamment les stagiaires de la formation professionnelle et ceux qui occupent provisoirement un travail à temps partiel. Ce qui laisse présager une sous-évaluation du nombre réel de demandeurs d'emplois dans le secteur. Au contraire, le Syntec Informatique de son côté, estime que le taux de chômage des informaticiens se situe à un niveau beaucoup moins élevé : le syndicat des patrons a en effet évoqué un taux de 1,7% à l'occasion de sa conférence semestrielle bilan et perspectives. (...)
(05/11/2008 12:46:05)Dell fait face à la crise en incitant aux départs volontaires et aux congés sans solde
Dell ne sait plus quoi inventer pour faire des économies. Lundi dernier, Michael Dell, PDG et fondateur du constructeur texan, a adressé une note de service aux salariés pour leur demander de prendre cinq jours de congés sans solde d'ici à la fin janvier. Le lendemain un porte-parole de la société annonçait l'ouverture, d'ici deux semaines, d'un plan de départ volontaire comportant « une meilleure indemnité de départ ». Il s'agit d'un encouragement au départ, et non pas d'une réduction d'effectifs imposée, a-t-il souligné. Pour réduire ses coûts, Dell a également décidé de geler ses embauches, et d'arrêter le recours aux intérimaires. Le constructeur a aussi décidé de redéfinir la priorité de certains projets et dépenses, et de couper dans des budgets (celui des voyages notamment). Toutefois aucune donnée chiffrée n'a été fournie sur les économies qui pourraient être dégagées suite à ces mesures. Des résultats plombés par le ralentissement de la demande Cette annonce intervient alors que Dell doit publier ses résultats trimestriels le 20 novembre prochain. En septembre dernier, le groupe avait indiqué qu'il s'attendait à un ralentissement de la demande de ses ordinateurs. En effet, outre la conjoncture économique internationale, le constructeur peine à assurer le virage du PC de bureau au portable et du portable au netbook, et subit la baisse des prix de ce type de produits. Au point qu'il envisage de fermer certaines usines. Parmi les raisons qui expliquent une telle démarche, les mauvais résultats récents figurent en bonne place. Rappelons qu'il y a un an, le groupe avait annoncé la suppression de 10% de ses effectifs dans le cadre d'un plan visant à réduire les dépenses d'au moins trois milliards de dollars par an d'ici à 2011. Ce plan, qui s'est soldé par la réduction de 8 800 postes, vient tout juste d'être achevé. (...)
(04/11/2008 17:54:56)Le gouvernement instaure une taxe seniors qui pourrait impacter les SSII
A partir de 2010, une sanction financière est prévue contre les entreprises qui n'auront pas négocié d'accord en faveur de l'emploi des seniors. Cette mesure pourrait avoir des conséquences non négligeables sur les SSII, secteur où la moyenne d'age se situe à 34 ans. L'annonce est désormais officielle et elle risque fort d'inquiéter les SSII installées sur le territoire : comme nous l'avions pressenti, toute entreprise qui n'aura pas mis en place un plan d'action portant sur l'emploi des seniors sera financièrement pénalisée. Cette mesure a été conjointement annoncée ce matin par Xavier Bertrand, ministre du Travail et Laurent Wauquiez, secrétaire d'Etat chargé de l'emploi, à l'occasion du coup d'envoi de l'opération « Bonnes pratiques seniors ». Elle prévoit qu'à défaut d'un accord conclu d'ici fin 2009, les employeurs qui ne seront pas proactifs en matière d'emploi des seniors seront taxés à hauteur de 1% de leur masse salariale. Le produit de cette amende sera affecté à la Caisse nationale d'assurance vieillesse. Pour échapper à la pénalité, les entreprises de 300 salariés et plus non couvertes par un accord signé par les partenaires sociaux devront avoir élaboré un plan d'action relatif à l'emploi des salariés âgés a compter du 1er janvier 2010. Un plan d'action à défaut d'un accord de branche [[page]]Les entreprises de moins de 300 salariés n'échappent pas à la règle : elles ne seront pas pénalisées si elles sont couvertes par un accord de branche, par leur propre accord, ou à défaut en élaborant leur propre plan d'action. Les accords, comme les plans d'actions, auront une durée maximale de trois ans. Ils devront être chiffrés, et contenir notamment les modalités de formation des seniors présents dans la société. Les entreprises devront également montrer qu'elles sont favorables au maintien de l'emploi et au recrutement des seniors dans trois domaines d'actions choisis dans une liste fixée par décret : tutorat, aménagement des fins de carrière, bilan de mi-carrière, etc. Cette pénalité intervient dans un contexte où le marché du travail n'est pas très favorable à l'emploi des informaticiens seniors, formés dans les années 80. En effet, d'après les statistiques de l'emploi enregistrées ces dernières années, les quarante ans et plus semblent rencontrer d'importantes difficultés à trouver un emploi. Surtout dans les SSII, secteur où la moyenne d'âge se situe dans une fourchette de 30 à 35 ans. Dans une note d'octobre 2008 sur l'emploi et le chômage des 50-64 ans, la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares, Ministère du travail) ne faisait d'ailleurs que confirmer la tendance : en 2007, sur 314 000 ingénieurs informatiques, 13% seulement avaient plus de 50 ans. Pourtant, le syndicat des SSII et des éditeurs de logiciels estimait que le secteur IT ne faisait pas partie des plus discriminants. « Dans nos métiers, les plus de 50 ans sont plutôt fortement représentés en tant que chefs de projets très expérimentés, d'architectes ou de consultants de très haut niveau », estimait ainsi Alain Donzeaud, président de la commission affaires sociales et formation de Syntec Informatique. La question qui risque fort de poser problème est la différence notable de salaires entre un jeune développeur et un ingénieur expérimenté. (...)
(31/10/2008 16:18:23)Vers un coup de froid sur les embauches en SSII
La crise économique risque-t-elle d'avoir des conséquences sur l'emploi dans les SSII et chez les éditeurs de logiciels ? C'est en tout cas ce qu'a avancé Syntec Informatique, la semaine dernière, à l'occasion de la présentation d'e-competences framework, premier référentiel européen des métiers informatiques. « Le contexte économique actuel va inciter les entreprises du secteur à ralentir le rythme de leurs embauches, estime Alain Donzeaud, président de la commission sociale et formation du syndicat professionnel Syntec Informatique. Certaines d'entre elles ont déjà réagi en décidant de stopper leurs recrutements. » Ainsi, il y a quelques semaines, l'éditeur SAP annonçait un gel de ses embauches et de ses investissements, en raison d'une chute soudaine de son activité. Effet moutonnier et baisse des tarifs de prestations Pour le représentant du syndicat des SSII et des éditeurs de logiciels, un effet « moutonnier » joue déjà sur le comportement des entreprises, un peu comme dans la fable du trappeur et de l'indien qui s'influencent mutuellement sur la rigueur de l'hiver qui arrive. « Ce dicton repose sur des croyances simples que chacun prête aux autres et que tous finissent par appliquer. Comme dans la fable, le pessimisme est contagieux et joue un rôle non négligeable dans l'attitude de certaines entreprises. » L'autre effet pouvant jouer dans la balance concerne la renégociation des tarifs des prestations. « On s'achemine vers une pression sur les tarifs des fournisseurs qui doivent répondre à la demande de clients qui pour certains ne seront pas au mieux de leur forme, prévient Alain Donzeaud. Partant du principe que l'offshore constitue une porte de sortie permettant de pallier cette situation, cela contribuera au ralentissement du rythme des recrutements. » (...)
(31/10/2008 09:20:26)Pillar Data Systems supprime un tiers de ses effectifs
Le spécialiste du stockage haut de gamme Pillar Data Systems supprime 150 postes, soit un tiers de ses effectifs. Mike Workman, son PDG, l'annonce lui-même sur son blog. Son entreprise aurait pris la crise de plein fouet. « Pillar anticipe un climat économique difficile tout au long de 2009 et même jusqu'en 2010. Nous avons donc décidé de nous préparer au pire et de licencier quelques employés », explique-t-il avant d'ajouter plus loin que « la bonne nouvelle pour Pillar et ses clients est la viabilité à long terme assurée par des actions financières prudentes telles que celle-ci. » Selon le site du San Jose MercuryNews, le pdg d'Oracle Larry Ellison, principal actionnaire de la start up dans laquelle il a investi 100M$, approuverait totalement la démarche. (...)
(30/10/2008 16:41:40)Open Wide recherche une vingtaine d'ingénieurs Open Source
Pour accompagner les entreprises dans la mise en oeuvre de solutions en environnements libres, la SSLL Open Wide envisage de recruter une vingtaine de spécialistes du monde Open Source. Les postes à pourvoir sont basés dans les agences lyonnaise et parisienne du groupe et répondront aux besoins des trois entités du groupe. Pour le pôle systèmes d'information de la SSLL, des chefs de projet Java/ J2EE, des ingénieurs expérimentés en développement Java J2EE, des ingénieurs Java junior et des spécialistes du développement sont recherchés. La division OS4I d'Openwide (produits et services destinés aux industriels) recrute des ingénieurs Linux bas niveau, développement Kernel temps réel et Linux embarqué. Enfin Accelance, l'activité infogérance de la SSLL, sera renforcée par des ingénieurs systèmes et réseaux spécialistes des environnements Linux et Open Source. Des postes sont également ouverts aux stagiaires. Rappelons qu'actuellement, il est difficile de recruter dans l'univers très spécifique de l'Open Source. Dans un dossier sur l'emploi dans les logiciels libres, le site Lemondeinformatique.fr pointait les tensions actuelles du marché de l'emploi dans l'Open Source, en particulier sur les technologies PHP et les compétences multiples. (...)
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