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Emploi
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(28/11/2008 09:16:28)
Les tops et les flops du recrutement vus par trois spécialistes RH
La déferlante des nouveaux outils du Web 2.0 - réseaux sociaux, salons virtuels, blogs RH, vidéos - a entraîné un profond bouleversement des techniques de recrutement. C'est sur ce thème que trois spécialistes du recrutement - l'éditeur Taleo, l'agence RH TMPNeo et le moteur de recherche d'offres d'emploi Wanajob - ont débattu à Paris hier matin, 27 novembre, lors d'une conférence de presse intitulée « Les nouvelles pratiques des recruteurs ou l'art de réinventer son métier ». Premier enseignement : aux Etats-Unis, les réseaux communautaires (sites, cooptation) seraient devenus le principal vecteur d'approche utilisé par les entreprises pour trouver des candidats potentiels. Les flops : CV vidéo, sites d'emploi/mobilité, blogs RH et « viviers » Pour les trois experts, les réseaux sociaux, la vidéo et le monde virtuel de Second Life sont considérés comme les plus performants. A l'inverse, ils n'ont pas hésité à utiliser le terme de flop pour qualifier les CV vidéo, les sites d'emploi (jobboards)accessibles via la téléphonie mobile, les blogs RH et les « viviers » de candidatures. « Le principal problème du CV vidéo, c'est qu'il est fortement consommateur de temps, a souligné Thomas Delorme, responsable de la stratégie interactive chez TMPNeo. D'autant qu'au final, les contenus sont souvent d'un niveau qui frise le pathétique. » Le constat n'est guère meilleur s'agissant des blogs RH : « Ce type d'outil était considéré comme un must, voire une révélation, par les entreprises, rappelait Stéphane Labrouche, PDG de Wanajob. Encore fallait-il veiller à les alimenter et à assurer leur mise à jour régulière pour asseoir leur crédibilité, ce qui n'a pas été fait ». En outre, un blog d'entreprise ne doit pas se contenter de faire passer des messages dictés par la maison mère. « En tant que plateforme d'échanges, il doit s'ouvrir à la communauté et abandonner le contrôle sur son contenu, en acceptant les critiques et les commentaires des internautes », estimait également le PDG de Wanajob. Les bases de données (viviers) de CV ont également essuyé des critiques assez sévères de la part des trois interlocuteurs : « Les viviers de candidatures se contentent de fonctionner comme de simples composteurs de CV ! regrettait le responsable de la stratégie interactive de TMPNeo. La plupart du temps, les CV stockés dans les bases de données ne sont plus mis à jour par les recruteurs, qui se contentent de les numériser et de les archiver. » Les candidatures papiers résistent toujours [[page]] Malgré tout, certains bons vieux outils font encore partie des habitudes des recruteurs, comme des candidats. En 2008, une étude de Robert Half montrait que 42% des entreprises - tous pays confondus - préféraient recruter des candidatures papier. En France, ils n'étaient que 47 % à recruter sur format électronique ! Cette tendance se vérifie également dans notre dernier sondage flash : d'après les résultats de notre enquête, 44% des candidats indiquaient préférer la voie classique des petites annonces pour chercher un emploi. être visible sur les moteurs de recherche En 2009, les recruteurs devraient continuer à développer le sourcing et rechercher les candidats sur plusieurs plateformes avec des outils différents. Le défi des entreprises consistera également à être visibles dans les moteurs de recherche. D'après le PDG de Wanajob, les entreprises devront maîtriser les règles du référencement pour figurer dans les deux premières pages de Google de manière à assurer leur visibilité auprès des candidats potentiels. Crise oblige, Stéphane Labrouche pense que les employeurs auront également tendance à miser sur la mobilité interne. (...)
(27/11/2008 14:18:23)Xerox baisse ses prévisions pour 2009 et supprime 3 000 emplois
Pour faire face à la crise et à une année 2009 moins bonne que prévu, Xerox, envisage des mesures d'économies. Sur son quatrième trimestre 2008, le constructeur a provisionné une charge exceptionnelle de 400 millions de dollars. Xerox a parallèlement revu ses prévisions à la baisse pour l'année 2009: sur cette période, le groupe table sur un bénéfice opérationnel qui pourrait se situer entre 1,4 et 1,7 milliard de dollars. Le constructeur a également indiqué aux investisseurs que les restructurations annoncées il y un mois lui permettraient de dégager 200 millions de dollars d'économies à partir de l'année prochaine. Fin octobre, Xerox avait annoncé la suppression de quelque 3.000 emplois dans le monde (...)
(25/11/2008 13:13:29)Lawson Software supprimera 8 à 10% de ses effectifs d'ici à fin mai 2009
Touché par la crise financière, Lawson Software, éditeur américain de progiciels d'ERP qui a racheté en 2005 le Suédois Intentia et son ERP Movex, vient d'annoncer que la baisse attendue de son chiffre d'affaires le contraignait lui aussi à restructurer ses équipes et à mettre en place des mesures de réduction de ses dépenses (de déplacement notamment). D'autres éditeurs, parmi lesquels SAP et Microsoft, ont déjà annoncé des plans de réduction de coûts et des embauches, mais pas de licenciements. Lawson, lui, programme d'ici la fin de cette année le départ de 200 salariés, soit 5% de ses effectifs globaux. Et d'ici le 31 mai prochain, il devrait, au total, réduire sa masse salariale de 8 à 10%, en tenant compte des « départs volontaires anticipés ».
Une réduction d'effectifs inférieure à 1,5% en Europe du Sud
Dans un communiqué, Frédéric Champalbert, vice président de Lawson pour l'Europe du Sud, précise que toutes les filiales et tous les métiers (services, ventes, R&D, départements administratifs) de l'éditeur sont concernés tout en soulignant que la France et l'Espagne sont moins touchées que d'autres pays, avec une réduction prévue des effectifs inférieure à 1,5%.
A l'échelle mondiale, Frédéric Champalbert précise que 6% des salariés seront directement concernés par les suppressions de postes, tandis que les départs volontaires compteront pour 2 à 4% des réductions d'effectifs. Le dirigeant européen ajoute que seul le recrutement des postes clés sera maintenu. Entre restructurations, licenciements et autres mesures de contrôle des coûts, l'éditeur pense économiser entre 40 et 50 M$ sur son exercice.
Trésorerie et bilan sain
Commentant les licenciements dans un communiqué, Harry Debes, PDG de Lawson, a de son côté parlé de décisions difficiles (évoquant l'impact sur les familles des salariés touchés), mais nécessaires en raison du contexte économique. 800 salariés travaillent notamment au siège social de Lawson, à Saint Paul (Minnesota) et près de 10% d'entre eux devront quitter leur poste. Harry Debes ajoute que sa société, financièrement solide, affiche une trésorerie et un bilan sains. Le dirigeant affirme qu'il maintiendra le niveau de support de ses clients et ses efforts d'innovation sur les produits et qu'il continuera à investir dans son système d'information.
(...)
Les informaticiens Crédit Agricole mobilisés sur les salaires depuis cinq jours
Cela fait près d'une semaine que les informaticiens du GIE (Groupement d'intérêt économique) Exa (360 salariés) sont mobilisés, dans le Sud de la France. Le mouvement, qui a démarré le 18 novembre, a rassemblé plus d'une centaine de grévistes sur les sites d'Exa à Albi, Rodez, Maurin et Montpellier. Leurs revendications portent principalement sur la question des salaireset sur le contexte difficile issu du regroupement des trois entités. « Depuis la fusion des trois entreprises Apis-Crédit Agricole, Exaprod et Inforsud, le GIE assure l'informatique de huit caisses régionales du Crédit Agricole, expose Philippe Benacquista délégué syndical CGT d'Exa. Or, à métier et ancienneté comparables, les écarts de salaire sont en moyenne de 30% en défaveur des bassins d'emploi tarnais et aveyronnais. Plus de la moitié de l'effectif est concerné par cette discrimination. ». 5 000 € brut répartis de façon égalitaire En réaction, une enveloppe de 0,95 % du budget d'Exa, équivalent à 5 000 € brut par an, à effet immédiat, et répartie de façon égalitaire, a été demandée à la direction, de même qu'une politique de rattrapage des salaires sur 3 ans. En plus de l'harmonisation des rémunérations, les syndicats demandent à ce que les accords signés au mois de juin 2008 restent en vigueur tels que prévus initialement. Ils dénoncent également un contexte difficile de fusion et une mauvaise organisation du travail. « Les nouveaux process liés au nouvel ensemble sont générateurs de stress, et pèsent lourdement sur la santé physique et morale des salariés », ajoute Philippe Benacquista. La direction a finalement décidé de participer aux négociations dès ce matin. Mais l'appel à la grève a tout de même été maintenu. (...)
(24/11/2008 16:08:18)Palm supprime encore des postes à l'échelle mondiale
Palm annonce un plan de restructuration mondial qui se traduira par un nombre encore indéterminé de suppressions de postes. Un porte-parole du célèbre fabricant de PDA a confirmé que les premiers départs interviendraient cette semaine, « pour permettre à l'entreprise de mieux répondre aux enjeux de l'industrie et revenir à la rentabilité et à la croissance sur le long terme». Jeudi denier, le blog PalmInfocenter, citant des sources anonymes, a indiqué que 200 salariés avaient déjà quitté la société. Ces coupes s'ajoutent aux quelque 250 suppressions de postes déjà réalisées par Palm au cours des premier et troisième trimestres 2008. A terme, l'entreprise ne comptait plus que 1050 employés à la fin du mois de mai. Crise économique et forte pression concurrentielle Ces suppressions interviennent dans un contexte de détérioration du climat économique, et également de forte pression concurrentielle. Alors que Palm continue de travailler à un nouveau smartphone basé sur Linux, dont la sortie devait être annoncée à la fin de l'année dernière, Android, l'OS de Google a déjà fait son entrée sur le marché. Le constructeur paye également le tribut d'autres d'erreurs comme celle du Foleo. A peine un mois avant la sortie de cet ordinateur hybride censé servir de compagnon aux smartphones, Palm annonçait qu'il ne verrait jamais le jour. Seules notes positives : le lancement du Palm Centro, smartphone peu coûteux destiné au grand public, et celui du Treo Pro, premier modèle du constructeur doté de capacités WiFi et GPS (avec Google Maps). (...)
(24/11/2008 12:55:27)Le ministère de la Recherche lance son 11e concours d'aide aux entreprises innovantes
Entreprises innovantes à la recherche de financement, le ministère de la Recherche s'intéresse à vous. En collaboration avec Oseo, le ministère lance la 11e édition de son concours national d'aide à la création d'entreprises de technologies innovantes. Une initiative dont les lauréats seront gratifiés d'un chèque pouvant atteindre 450 000 €. Comme l'année dernière, le concours est ouvert à deux catégories de projets. D'un côté, les projets en émergence, qui nécessitent encore une phase de maturation et doivent valider certains aspects techniques, économiques ou juridiques avant d'aboutir. Ils seront sélectionnés en fonction de leur caractère innovant et de la motivation du candidat à franchir les étapes le séparant de la concrétisation de son idée : acquisition des compétences d'entrepreneur, prise en compte des contraintes économiques et juridiques, notamment en ce qui concerne la propriété intellectuelle. Ces projets, s'ils sont sélectionnés, pourront bénéficier d'une subvention allant jusqu'à 45 000 €. Une somme destinée à financer des études de faisabilité ou de propriété intellectuelle, des plans d'affaires, formations ou autres conseils. Le montant de l'aide ainsi octroyée ne peut dépasser 70% des dépenses relatives à la mise en oeuvre du projet. Les projets création-développement constituent l'autre catégorie visée par le concours. Ces initiatives sont censées aboutir, à court terme, à la création d'une entreprise. Cela implique que la faisabilité du concept sur lequel elles reposent ait été éprouvée et validée. Les lauréats seront sélectionnés en fonction de la viabilité économique de leur projet, de leur motivation et de leur capacité à diriger une entreprise, de leur maîtrise des questions juridiques et de la qualité de l'équipe mise en place pour la concrétisation de l'idée de base. Dans cette catégorie, les projets sélectionnés pourront se voir accorder une aide pouvant atteindre 450 000 €. Les candidats peuvent déposer leur dossier à partir du 1er décembre sur les sites du ministère de la Recherche et d'Oseo, et auprès des délégations régionales à la recherche et à la technologie (DRRT) et des directions régionales d'Oseo. Le dépôt des candidatures sera clos le 29 janvier 2009. La précédente édition du concours a permis à 150 prétendants d'être récompensés, lesquels se répartissent à parts égales entre les deux catégories (projets émergents ; projets création-développement). (...)
(24/11/2008 12:16:20)Tribune libre : utiliser les conversations numériques pour trouver le bon employeur
Comment se faire une bonne idée des conditions de travail dans une entreprise, en-dehors du discours officiel de l'employeur ? En utilisant à bon escient Internet et ses multiples possibilités de conversations numériques, répondent Luc Bretones et Stéphane Dieutre, dans une tribune libre publiée dans notre Blog Experts. Ce que les auteurs ont nommé, dans une tribune précédente, « troisième âge conversationnel » s'applique aussi au recrutement : le buzz numérique permet désormais de se faire une idée très précise de ce que les collaborateurs d'une entreprise vivent en son sein. Dans le même ordre d'idées, on rappellera que les nouveaux forums LeMondeInformatique.fr contiennent des centaines de témoignages sur les conditions de travail dans les SSII et les entreprises utilisatrices. (...)
(20/11/2008 15:15:52)Les informaticiens américains voient fondre leurs primes et bonus
Aux Etats-Unis, les informaticiens travaillent plus pour gagner moins. C'est la tendance relevée par Computerworld, suite à la publication d'une enquête annuelle sur les salaires menée auprès de 7 000 informaticiens en 2008. Celle-ci montre qu'outre Atlantique, le niveau de rémunération globale des professionnels de l'IT (salaires + primes) n'a augmenté en moyenne que de 3,5% cette année contre + 3,7% en 2007. Mais c'est surtout sur les primes que les informaticiens ont perdu en pouvoir d'achat : en effet, leurs bonus n'ont augmenté en moyenne que de seulement 0,2% en 2008, contre + 3,4% en 2007. Au final, dans l'informatique, le salaire médian annuel de base s'élève à 72 450 dollars aux Etats-Unis, selon les données de l'US Census Bureau. Néanmoins, la faiblesse de l'économie et un taux d'inflation d'environ 5% pénalisent tous les types de métiers, y compris ceux de l'IT. Une hausse de la demande autour des profils orientés décisionnel « Les professionnels de l'informatique doivent se faire à l'idée que la belle époque qu'ils ont connue et qui n'aura duré qu'une décennie, est bel et bien révolue », estime David Van De Voort, spécialiste du recrutement pour le cabinet de recrutement Mercer à Chicago. D'autres cabinets spécialisés, comme Aberdeen Group ou Robert Half Technology notamment, considèrent, eux, que pour relever leurs salaires, les informaticiens doivent participer au retour sur investissement de leur entreprise, en aidant ces dernières à améliorer leur productivité et leur efficacité opérationnelle. Ils s'attendent donc à une hausse de la demande et des salaires concernant les compétences autour des applications décisionnelles (Business Intelligence) qui peuvent aider les entreprises à concevoir et développer des tableaux de bord, afin de suivre les ventes ou les dépenses de plus près. Le salaire reste le premier facteur de motivation Malgré cette baisse sur leurs bonus, 60% des personnes ayant répondu à l'enquête de Computerworld déclarent qu'ils sont soit satisfaits, soit très satisfaits, du niveau actuel de leurs rémunérations. Reste que plus de la moitié (52%) indiquent qu'ils cherchent actuellement de nouveaux jobs aux rémunérations plus élevés ! Le salaire constitue même le premier facteur de motivation pour 63% d'entre eux. Cette tendance à la suppression de bonus commence à gagner les entreprises françaises de la IT. Selon le site syndical Miroir social, la direction d'Oracle vient par exemple de confirmer la disparition du programme d'intéressement des salariés pour l'année 2008. (...)
(19/11/2008 16:35:34)Le Fafiec dévoile les nouveaux axes de la formation professionnelle dans la branche IT
Promouvoir les dispositifs de formation actuels, développer l'accompagnement des TPE/PME et améliorer sa couverture territoriale. Telles sont les priorités de formation définies par le Fafiec (un organisme assurant le financement de la formation professionnelle dans les métiers de l'informatique, de l'ingénierie, des services informatiques, des études et du conseil) avec les partenaires sociaux, d'ici trois ans. La première des mesures consiste à promouvoir les dispositifs prioritaires, à savoir la professionnalisation et le DIF (droit individuel à la formation). La branche souhaite dans un deuxième temps renforcer l'aide, le conseil et l'accompagnement des TPE/PME dans la mise en oeuvre de leurs actions de formation professionnelle. La couverture territoriale du Fafiec sera donc étendue en région grâce à la création de quatre nouveaux bureaux de liaison (à Lille, Strasbourg, Aix-en-Provence, Sophia-Antipolis). Déploiement de 70 actions collectives à partir de 2009 En plus de ces évolutions, des axes d'action permettront d'accompagner les grandes familles de métiers, chacune de ses filières ayant fait l'objet d'une étude particulière de ses besoins prioritaires en formation. Dans l'informatique, des actions collectives (des programmes de formation clés en main, les coûts pédagogiques étant financés à 100 % par le Fafiec) seront lancées pour répondre aux évolutions technologiques, aux nouvelles exigences du marché, aux besoins d'accompagner l'évolution des collaborateurs et également pour répondre aux spécificités régionales. Au final, près de 70 actions collectives (50 actions collectives nationales déployées en Régions, et 20 actions collectives régionales) seront proposées à partir de 2009. Des formations spécifiques autour des technologies seront également mises sur pied. Elles auront pour thèmes les langages, les outils, les réseaux, la sécurité... De plus, les Certificats de Qualification Professionnelle (CQP) seront élargis : aux CQP « Administrateur Réseaux » (dont option Web) et « Administrateur Systèmes » viendront s'ajouter en 2009 trois nouveaux CQP, celui de développeur nouvelles technologies, d'administrateur base de données, et d'architecte technique. Les instances paritaires de la Branche souhaitent que les fonds du Fafiec soient à 85% affectés aux priorités ainsi définies. (...)
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