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(16/01/2009 16:30:26)

Les responsables des datacenters sous pression

Faire plus avec moins, ainsi se résume le rapport que Symantec consacre aux datacenters. Publiée en pleine crise, la deuxième édition de cette enquête annuelle stigmatise la double pression mise sur les responsables de datacenter. D'un côté, ils doivent réduire leurs coûts, de l'autre la demande des utilisateurs va croissante. Pris dans cette tenaille, ils peinent aussi à recruter les compétences qu'ils recherchent et ils ne parviennent pas à optimiser l'exploitation des ressources serveur et stockage dont ils disposent. Pour achever le tableau, les plans de reprise d'activité (PRA) font figure de parent pauvre. Et le green computing dans tout cela ? Et bien, les motivations qui poussent à opter pour une informatique respectueuse de l'environnement relèvent avant tout des économies d'énergie qu'elle permet. Près de 50% des répondants indiquent qu'ils trouvent plus difficile que l'an dernier de répondre aux exigences des utilisateurs. Et ils sont dans le même temps 34% à avoir comme priorité de réduire les coûts. Pour y parvenir, l'automatisation des tâches quotidiennes arrive en tête (44% des répondants), suivie par la formation des informaticiens à plusieurs compétences (41% ). La première réponse technique, la virtualisation / consolidation des serveurs est à l'ordre du jour de 34% des entreprises. Il est vrai que les estimations actuelles portent sur une utilisation du parc installé à 60% de sa puissance. Ces projets s'inscrivent dans un contexte humain tendu. 37% des responsables déplorent un manque d'effectifs et 48% parlent du gros, voire de l'énorme problème, de trouver des professionnels compétents. Réalisée pendant l'explosion putride de la bulle spéculative, l'enquête indique que les budgets des datacenters étaient, à l'époque, orientés à la hausse dans 53% des entreprises (de 5 à 10% dans 50% des cas). Les postes de dépenses le plus en vue sont ceux des applications, de la consommation électrique et de la qualité de service.Bien évidemment, les responsables de datacenters concentrent leurs efforts sur les serveurs et le stockage. Pour les deux, dans 88% des entreprises, le maître mot est standardisation, avec une couche logicielle identique pour tous. Toutefois, les projets n'en sont qu'aux premiers balbutiements. Même situation en ce qui concerne tant la consolidation des serveurs que leur virtualisation : elles sont l'ordre du jour dans 87% des entreprises, mais elles n'en sont qu'aux prémisses. Enfin le rapport souligne que, plus les entreprises s'intéressent à la virtualisation, plus elles découvrent des écueils. En 2007, 31% déploraient un manque de maturité des solutions proposées, elles sont désormais 42%. Même évolution en ce qui concerne l'administration. Elles n'étaient que 18% à se plaindre de difficultés d'administration en 2007. Elles sont désormais 39%. Pour cette étude, Symantec a demandé à Applied Research d' interroger les responsables de 1 600 sociétés de plus de 5 000 personnes de par le monde. Parmi elles figurent 536 sociétés européennes, dont 95 françaises. (...)

(16/01/2009 15:28:30)

Les syndicats de France Télécom craignent de nouvelles suppressions de postes

La direction de France Télécom (115 000 salariés) annoncera t-elle une nouvelle vague de suppressions de postes pour 2009 ? C'est en tout cas ce que craignent les organisations syndicales CFE-CGC et Unsa de l'opérateur historique, qui parlent de 10 000 à 12 000 suppressions de postes pour les trois années à venir, sans fournir d'explication claire sur cette évaluation. « La direction annoncera, le 4 mars, date de la publication de ses résultats annuels, le plan Next II, qui entraînera la perte de milliers d'emplois supplémentaires », a ainsi estimé Pierre Morville, délégué central de la CFE-CGC de France Télécom, à l'occasion d'une conférence de presse organisée hier, jeudi 15 janvier, à une semaine du renouvellement des instances représentatives du personnel. « Depuis dix ans, la déréglementation a détruit de l'emploi et l'a précarisé », a t-il ajouté. Le représentant syndical n'a pas manqué de revenir sur les 22 000 pertes d'emplois qui ont découlé du plan Next 1, sur la période 2006/2008. Pas de suppression de postes à l'étude selon la direction De son côté, Sébastien Crozier, président de la CFE-CGC a pointé le niveau record des délocalisations, tant sur les interventions techniques que sur les infrastructures réseaux « Les centres d'appels sont majoritairement délocalisés vers le Maghreb ou l'Ile Maurice, et la R&D est, elle, déportée en Egypte, en Chine ou à Amman. » Ces informations ont aussitôt été démenties par la direction de France Télécom, laquelle aurait indiqué à l'AFP que des suppressions de postes n'avaient pas été définies pour la période 2009-2011. (...)

(15/01/2009 17:36:05)

Motorola annonce de nouvelles réductions d'effectifs

Motorola a décidé de prendre de nouvelles mesures pour tenter de résister à la chute de ses ventes. Le constructeur a annoncé mercredi soir qu'il allait supprimer 4 000 emplois supplémentaires, dont 3 000 dans sa division téléphonie mobile, après les 3 000 déjà annoncés fin octobre. Avec ce nouveau plan, Motorola espère économiser 700 millions de dollars en plus des 800 M$ visés par le plan précédent. Ce qui porterait la diminution des coûts à 1,5 Md$ en 2009. Le fabricant a également précisé qu'il s'attendait à de nouvelles pertes, au quatrième trimestre. (...)

(15/01/2009 16:07:09)

Google supprime une centaine de postes de sa division recrutement

Google a décidé de lever une partie du voile sur le nombre de sous-traitants qu'il compte remercier. Le géant des moteurs de recherche vient en effet d'indiquer qu'il allait mettre fin à la majorité des contrats passés avec ses fournisseurs de services de recrutement. Selon le billet posté sur le blog officiel de Google, Laszlo Bock, vice-président de l'activité "People Operations" de la firme de Moutain View précisait : « Google continue de recruter, mais à un rythme moins soutenu, compte tenu du climat économique actuel. Ce ralentissement des embauches nous a conduit à réduire la quasi totalité des contrats passés avec les prestataires qui nous fournissaient des services liés au recrutement ». L'entreprise a décidé d'aller plus loin en réduisant la taille de sa division recrutement, décision qui se soldera par la suppression d'une centaine de postes aux RH. Dans son billet, le vice-président de Google reconnaît que ce soudain changement d'orientation sera très difficile pour les personnes concernées, et il espère qu'elles pourront se reclasser au sein de l'entreprise : « Les salariés qui travaillent aux recrutements ont aidé à bâtir cette entreprise, grâce à l'embauche de nouveaux collaborateurs, et nous leur sommes extrêmement reconnaissants pour tout ce qu'ils ont fait ». Pas sûr que la centaine de salariés concernés par ces suppressions de postes soient sensibles à un tel gage de reconnaissance. (...)

(14/01/2009 17:26:09)

Aux Etats-Unis, plus de 200 patrons de la high-tech ont dû prendre la porte de sortie

Les pertes d'emplois qui découlent de la crise économique actuelle frappent bon nombre de salariés de la high-tech, et n'épargnent pas leurs patrons pour autant. Selon nos confrères de Computerworld, sur les 1 500 chefs d'entreprise qui ont perdu leur emploi l'an dernier, 210 dirigeaient des sociétés spécialisées dans les technologies de l'information ou les télécommunications. Pour dresser son analyse, le site s'est appuyé sur des données publiées par Challenger, Gray & Christmas, un cabinet de reclassement américain. Ce dernier estime que les 700 Md$ de fonds accordés par le Congrès américain à l'automne dernier imposent aux entreprises de se pencher attentivement sur les performances de leurs dirigeants et sur la manière dont ils ont été indemnisés. Exit les patrons de Yahoo, VMware, Corel, Symantec Du coup, le cabinet a eu l'idée d'établir la liste des chefs d'entreprises qui ont démissionné l'an dernier dans le secteur des nouvelles technologies : y figurent, notamment, Jerry Yang, l'ex PDG de Yahoo qui vient d'être remplacé par Carol Bartz, suite à une gestion qualifiée de désastreuse, Diane Greene, évincée de la présidence de VMware en juillet dernier, ou encore David Dobson, également pressé de quitter la direction du fournisseur de logiciels Corel l'été dernier. A leurs côtés, Kris Hagerman, ex-PDG du constructeur Symantec, et Michael Fister, anciennement aux commandes de l'éditeur de CAOCadence Design Systems. Le cabinet Challenger s'attend aussi à d'autres départs en 2009. C'est Bill Watkins, PDG de Seagate Technology, qui a ouvert le bal en annonçant, hier, qu'il quittait la direction de son entreprise. (...)

(14/01/2009 12:45:11)

La fonction publique continue de recruter des informaticiens

Crise oblige, les campagnes de recrutement, auparavant massives, ont tendance à se raréfier dans les entreprises informatiques du privé. En revanche, le secteur public, lui continue de recruter, pour répondre aux enjeux de la réforme de la modernisation de l'Etat. C'est le cas du ministère de l'Intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales, qui annonce l'ouverture, pour 2009, de ses concours d'ingénieur des systèmes d'information et de communication. Plus d'une centaine de postes à pourvoir aux Finances Les candidats devront retirer leurs formulaires d'inscription avant le 27 février pour participer aux épreuves, dont la date a été arrêtée au 6 avril. Ils pourront s'inscrire en se connectant sur le site Internet du ministère de l'intérieur, ou bien par voie postale. Le nombre de postes ouverts pour chacun des concours sera fixé par arrêté, ultérieurement. Autre concours pour les informaticiens qui souhaitent intégrer la fonction publique, celui de la direction générale des finances, qui cherche à recruter un peu plus d'une centaine d'informaticiens, des analystes et des programmeurs. La date de retrait des candidatures a été fixée entre le 22 janvier et le 11 février, selon les catégories professionnelles recherchées. (...)

(13/01/2009 17:12:02)

Oracle fait l'objet de rumeurs sur des suppressions de postes massives

La crise ébranlera t-elle l'industrie de l'édition logicielle ? Quoiqu'il en soit, après Microsoft et IBM, c'est au tour du Californien Oracle de faire l'objet de rumeurs sur des suppressions de postes. Vendredi dernier, des sources d'origines diverses ont indiqué que le géant des logiciels d'entreprise s'apprêtait à tailler massivement dans ses effectifs : les consultants et les équipes commerciales seraient les plus touchés, de même que les employés qui ont rejoint Oracle suite aux rachats d'Hyperion Solutions et de BEA Systems. Néanmoins, la lumière reste à faire sur le nombre de salariés qui pourraient être remerciés, car le chiffre varie sensiblement selon les différentes sources et cabinets d'analystes. Ainsi, Tim Klasell, consultant chez Thomas Weisel Partners, table sur plusieurs centaines de suppressions de postes, en tout cas sur un nombre inférieur à 1 000, et ne croit pas aux 8 000 coupes franches évoquées sur certains blogs et forums, qui correspondraient à la suppression de 10% des effectifs d'Oracle (84 000 employés dans le monde). En se référant à à l'historique des acquisitions et des plans de restructurations chez Oracle, l'analyste considère que les départs pourraient intervenir à compter du printemps 2009 et qu'ils s'effectueront non pas en bloc, mais par vagues. Du côté des salariés d'Oracle, on est loin de partager ce point de vue : ainsi, un commercial basé chez l'éditeur aux Etats-Unis aurait appris, en réunion, que le nombre des suppressions de postes était beaucoup plus élevé que les 1 000 mentionnées par l'analyste et qu'Oracle serait contraint d'en passer par là en coupant principalement dans les effectifs très élevés de BEA. D'autant que, selon un document remis le 22 décembre par Oracle à la SEC, l'éditeur se serait engagé à verser 141 M$ d'indemnités de départ à des salariés de BEA. En 2007, BEA décidait de revoir les modalités d'indemnisation des salariés qui auraient quitté l'entreprise moins d'un an après son rachat, modalités estimées entre 3 et 12 mois de salaires, plus le bénéfice d'une assurance santé. De son côté, la direction d'Oracle a refusé de commenter ces informations. (...)

(13/01/2009 14:22:37)

Index Freelance : les spécialistes d'Oracle et de SAP prennent la tête du classement

Sur les premières semaines de 2009, le top 10 des compétences les plus demandées sur des missions ponctuelles subit quelques changements majeurs sur l'index du site Freelance.com qui propose aux entreprises les services d'informaticiens en freelance. Pour la première fois depuis mai 2008, les indépendants spécialistes d'Oracle prennent la tête du classement. ex-aequo avec les consultants en environnement SAP. Du coup, les compétences Unix (analystes, consultants et administrateurs) reculent de la première à la troisième place du palmarès. Autre modification notable en ce début d'année : la sortie du tableau des développeurs Java, victimes d'une forte chute en novembre dernier. Freelance.com note également l'arrivée de quatre nouvelles compétences dans son classement : il s'agit des développeurs spécialistes de Microsoft.Net, des consultants et des chefs de projet maîtrisant IBM MVS, des développeurs WinDev et des chefs de projets en environnement IBM AS/400. La place de marché relève aussi l'entrée en fin de liste des professionnels de DB2 (utilisant le langage SQL) avec une recherche de profils tournée vers le consulting. (...)

(13/01/2009 14:13:54)

Seagate supprime 800 postes et change de tête

L'année 2009 commence par un grand vent de changement pour Seagate. A la suite de ses mauvaises ventes de décembre, le spécialiste du stockage va supprimer 10% de ses 8000 postes aux Etats-Unis. Parmi les premiers employés à partir figurent le PDG, Bill Watkins, et son directeur opérationnel, Dave Wickersham. Les deux hommes ont été remplacés respectivement par Stephen Luczo, actuel président du conseil d'administration de Seagate et ancien PDG de 1998 à 2004, et Robert Whitmore, directeur technique de la société. Stephen Luczo restant président du conseil d'administration, son retour comme PDG n'est peut-être que temporaire, mais l'avenir de Bill Watkins n'est clairement plus chez Seagate. Selon le communiqué officiel, les deux hommes doivent discuter prochainement du rôle, « s'il y en a un », qu'il pourrait jouer dans la compagnie. Outre une conjecture économique désastreuse (Western Digital, le principal concurrent, s'apprête à supprimer 2 500 postes), Bill Watkins paie également certains choix stratégiques comme sa longue opposition à la technologie SSD. (...)

(12/01/2009 12:51:11)

Renault et ses prestataires créent une intersyndicale pour protester contre des non renouvellements de contrats

La crise du marché automobile continue d'inquiéter les syndicats des sociétés de conseils en technologie et en ingénierie et ceux de leurs donneurs d'ordre . Mardi 6 janvier, les organisations syndicales CGT, CFDT, CFTC, et SUD du constructeur Renault, et des représentants syndicaux des sociétés de conseil en technologies et en ingénierie ont décidé de mettre en place une coordination intersyndicale et interentreprises. Il s'agit pour ces dernières, de protester collégialement contre le non renouvellement par Renault du contrat de quelque 1 800 postes de prestataires des établissements d'ingénierie du constructeur. Pour la F3C-CFDT, syndicat des métiers de la communication et du conseil, plus de 1 200 postes pourraient être supprimés sur le seul Technocentre de Renault à Guyancourt par des sociétés de conseil en ingénierie telles Polymont, Assystem, Segula, Akka, Altran, Bertrandt, Idestyle, Alten, NSI, Cergi, Ligeron, ou Consort. D'après l'organisation, Renault justifierait ce plan par la nécessité de « limiter les sorties de cash flow », et de diminuer les dépenses de R&D. Des projets ont été reportés ou annulés, pour plus de 1 000 équivalents temps plein rien que dans l'ingénierie véhicules. Un rassemblement pour la défense de l'emploi aura lieu jeudi prochain à 11 heures devant le Technocentre. (...)

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