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(27/04/2009 18:41:25)

Syntec : les négociations sur le chômage partiel échouent

La réunion qui se déroulait le 22 avril entre les fédérations patronales du Syntec informatique (syndicat des sociétés d'ingénierie et de services informatiques) et les organisations syndicales CFDT et CGT au sujet de l'extension du droit à la mise au chômage partiel a tourné court. Les syndicats se sont essentiellement battus pour la filière automobile, un secteur qui compte 4 000 prestataires de services actuellement au chômage partiel. Le Syntec quant à lui souhaitait une extension de ce droit à l'ensemble des branches, dont l'informatique. Après trois interruptions de séance, les organisations syndicales ont tout bonnement quitté la table des négociations. « Pour masquer ses divisions, le patronat a préféré demander une ouverture à tout va du dispositif sur l'ensemble de la branche et avait une logique de mise en oeuvre extensive du chômage partiel (cadres au forfait heure ou jour en dehors d'une fermeture totale de l'établissement) », ont indiqué la CFDT et la CGT dans un communiqué commun. Selon eux, le Syntec « revenait très en arrière » et avançait « des propositions insuffisantes sur l'indemnisation des salariés ». Le chômage partiel doit rester une mesure collective, selon le Munci De son côté, Syntec informatique dénonce le manque d'ouverture des organisations syndicales qui ont refusé d'étendre le champ des accords à tous les domaines de la branche touchés par la crise économique actuelle, soit 700 000 salariés. « Le champ d'application de l'accord de branche ne saurait se limiter à la seule filière automobile comme le demandent les organisations syndicales des salariés. Nos entreprises ne sont pas attachées à telle ou telle filière, mais travaillent dans le secteur des services, ont déclaré la fédération Syntec et le CICF (Chambre de l'ingénierie et du conseil de France) dans un courrier adressé aux organisations syndicales. Si nous souhaitons anticiper les effets de la crise, il est nécessaire de ne pas cantonner le périmètre à une seule filière mais de l'élargir à tous les secteurs. » Un avis que la CFDT et la CGT ne partagent pas, craignant un accord revu à la baisse. En plus d'exiger l'extension du droit à la mise au chômage partiel à l'informatique, le Syntec souhaite revoir les conditions d'autorisation de ce dispositif. Normalement applicable uniquement en cas de fermeture de l'établissement, d'un site ou d'un pôle, le Syntec souhaiterait l'étendre aux cadres payés au forfait heures ou jours. Le Munci est partagé quant aux revendications des syndicats. « Que ce soit en termes de maintien intégral de la rémunération ou de droit à la formation, les syndicats ont peut-être placé la barre un peu trop haut, d'où l'échec des négociations », estime Régis Granarolo, président du Munci. Néanmoins, dit-il, « le chômage partiel doit rester une mesure générale, applicable en cas de crise grave et pas seulement parce qu'une SSII voit son activité baisser suite à la perte d'un gros client. Les sociétés informatiques doivent continuer à recourir en priorité à l'inter-contrat. » Prudent, le Munci prévient également que si cette mesure de chômage partiel finissait par s'appliquer à des cas individuels, elle ne devrait pas être autorisée avant d'avoir franchi le cap des 4 à 6 mois d'inter-contrat. Dans le courrier adressé aux organisations syndicales, le Syntec les invite à « reprendre le dialogue social », sans indiquer de date précise. (...)

(27/04/2009 12:57:39)

1 600 postes supprimés dans les Apple Stores au premier trimestre 2009

Si Apple a publié mercredi dernier des résultats satisfaisants pour le deuxième trimestre de l'exercice fiscal en cours, il s'est bien gardé de faire le point sur sa masse salariale. Et pour cause : le constructeur a supprimé 10% des effectifs au cours du premier trimestre de l'année, soit 1 600 postes. En commentant les résultats « historiques » du premier trimestre - clos le 31 décembre 2008 -, Steve Job s'est contenté de préciser qu'il s'agissait « du meilleur trimestre de l'histoire d'Apple, dépassant pour la première fois le cap des 10 Md$ de revenu », sans mentionner que les effectifs de la société étaient passés de 15 600 à 14 000 salariés durant cette période, un chiffre qu'on retrouve dans un rapport envoyé le 28 mars 2009 par Apple à la SEC (Securities and exchange commission, un organisme chargé de surveiller la bourse américaine). Ce sont les CDI de salariés travaillant dans les points de vente Apple qui sont affectés par ces coupes. Les Apple Stores sont en effet moins rentables d'année en année : au cours du deuxième trimestre 2008, un de point de vente générait en moyenne 8,5 M$ de chiffre d'affaires contre 7 M$ un an plus tard, soit une baisse de 17%. La rentabilité par salarié a, quant à elle, chuté de 37%. Face à une marge qui s'érode, Apple, qui chérit fortement la vente au détail malgré les frais de location, de construction et d'entretien, n'a nullement l'intention de les fermer. Deux solutions s'imposent donc : couper dans la masse salariale et ralentir le rythme d'ouverture des magasins. D'ailleurs Apple n'a ouvert qu'un seul point de vente au cours du deuxième trimestre 2009 et quatre au trimestre précédent, alors que Peter Oppenheimer, directeur financier d'Apple, annonçait en début d'année que 25 nouveaux magasins ouvriraient leurs portes au cours de l'exercice 2009, dont la moitié hors des Etats-Unis. Un objectif déjà deux fois inférieur aux chiffres enregistrés en 2008 (50 Apple Stores, dont un toujours en cours de construction en France) et qui semble désormais utopique. (...)

(27/04/2009 12:53:26)

Plan social chez Fujitsu France : les salariés en ordre dispersé

Ce lundi 27 avril, une réunion du Comité d'entreprise de Fujitsu Technology Solutions (FTS), anciennement Fujitsu Siemens Computer (FSC*), doit se tenir à 14 h dans ses locaux de Roissy. Il y a quelques semaines, la direction de l'entreprise a annoncé un projet de réorganisation prévoyant « la suppression de 112 postes sur 171 » et la mise en place d'un plan de sauvegarde de l'emploi. Il semble que la réunion du CE prévue aujourd'hui ne se présente pas sous les meilleurs auspices. Un certain nombre de salariés estime en effet que leurs intérêts ne sont pas défendus par les principaux représentants du personnel. Vendredi dernier, à la suite d'une assemblée générale réunissant 70 personnes et à laquelle participaient les représentants syndicaux CFTC et CGT, le collectif des salariés FSC a appelé le personnel FTS à se réunir dans le hall de l'immeuble Colonnadia (Roissy), ce lundi, un quart d'heure avant le début de la réunion du CE. Il est question, notamment, « de défendre les négociations du plan social et d'empêcher les agissements du Syndicat autonome ». Ces salariés estiment notamment ne pas être suffisamment informés par les membres élus du CE qui se retrancheraient derrière l'obligation de discrétion à laquelle ils sont tenus sur les informations jugées confidentielles par l'employeur (en invoquant l'article L2325-5 du code du travail). Le collectif FSC a donc adressé des courriers au président de Siemens AG et aux directeurs de Siemens SAS France pour les informer de cette situation et leur demander de participer aux négociations en cours. Il prépare également la mise en place d'un moyen de défense collectif des salariés FSC. Il est prévu de mandater un avocat spécialisé dans les plans sociaux dont les honoraires seraient payés par les salariés. (*) Le changement de raison sociale de la filiale est effectif depuis le 1er avril dernier. Il était prévu depuis plusieurs mois, l'Allemand Siemens ayant annoncé qu'il souhaitait se désengager de sa filiale commune avec le Japonais Fujitsu. (...)

(24/04/2009 18:05:39)

Sondage flash : plus de 4 lecteurs sur 10 inquiets pour leur emploi

Vous avez été très nombreux à participer à notre dernier sondage flash en date et à faire part de vos préoccupations pour la pérennité de votre emploi d'informaticien à l'heure où la crise systémique frappe de plein fouet le secteur IT. Sur les 3593 lecteurs du MondeInformatique.fr qui ont répondu à nos questions, la plupart ne cachent pas leur inquiétude : 43,2% indiquent ainsi que le poste qu'ils occupent est menacé. Si, parmi eux, 639 (soit 17,8% des participants) justifient ces craintes par la santé financière délicate de leur entreprise, 912 (soit 25,4% du total) déclarent travailler dans une structure qui se porte bien. Les informaticiens ont donc pris toute la mesure de la crise et, témoins des baisses d'activité affectant jusqu'aux géants de l'IT jusqu'alors inébranlables - et des plans de suppressions de postes afférentes -, considèrent qu'aucune d'entreprise n'est désormais à l'abri. Et ce ne seront pas les 17,2% de nos lecteurs ayant déjà perdu leur emploi qui rassureront leur confrères encore en activité. Ce taux peut certes paraître énorme, notamment lorsqu'on le compare aux 4,2% de chômeurs dans le secteur IT calculés par la Dares à la fin 2008. Il convient cependant de le regarder à la lumière de l'émotivité née de la violence du chômage. Nos lecteurs victimes d'un licenciement auront ainsi naturellement été plus enclins à faire part de leur situation - très légitimement vécue comme une injustice - que leurs pairs navigant pour l'heure sur des flots tranquilles. Ces derniers - les heureux lecteurs du MondeInformatique.fr qui ne se sentent pas menacés dans leur activité professionnelle par la crise - représentent 39,6% des participants à notre sondage flash. Un taux qui se répartit à parts égales entre des informaticiens travaillant dans des entreprises qui ne souffrent pas de la récession, et d'autres estimant, de façon plus étonnante, que la nature même de leur métier les met à l'abri de la crise. Si notre sondage est désormais fermé, vous pouvez néanmoins continuer à débattre de ce sujet et à échanger expériences et conseils sur notre forum. (...)

(22/04/2009 15:31:39)

Yahoo supprime 700 postes pour pallier la dégringolade de ses résultats

Les résultats financiers du premier trimestre 2009 de Yahoo ne sont guère plus reluisants que ceux publiés fin 2008 : le bénéfice net du portail perd 78% (118 M$ contre 537 M$ au premier trimestre 2008) et le chiffre d'affaires passe de 1,89 Md$ à 1,58 Md$ (-13%), légèrement au-dessus des attentes des analystes interrogés par Reuters, qui tablaient sur un CA de 1,2 Md$. Pour redresser la barre, Carol Bartz, PDG de Yahoo depuis janvier dernier, a décidé de tailler dans les effectifs. Comme prévu, après avoir réorganisé l'équipe dirigeante pour en simplifier le fonctionnement, elle allège la masse salariale. Elle a ainsi annoncé la suppression de 5% des postes (Yahoo emploie 13 600 personnes), soit près de 700 salariés qui rejoindront les 2600 personnes déjà remerciées au courant de l'année 2008. « Il s'agit du prolongement naturel des efforts que nous faisons pour simplifier notre structure et éliminer les redondances », a justifié Carol Bartz. L'argent économisé sera réinvesti dans des services qu'elle qualifie de prioritaires : innovation dans la publicité en ligne et amélioration des pages comme celle d'accueil, le sport, les actualités, la finance, les divertissements, la high-tech et la mobilité. Microsoft-Yahoo : no comment sur l'avancée des discussions Carol Bartz explique la médiocrité de résultats de Yahoo par divers facteurs, comme la revente de Kelkoo pour un montant quatre fois inférieur à celui d'achat (soit 475 M€), le ralentissement du marché de la publicité en ligne ainsi que l'introduction en bourse d'Alibaba, un site chinois détenu par Yahoo à hauteur de 40%. Carol Bartz s'est en revanche gardée de faire allusion à la gestion désastreuse de Yahoo par son prédécesseur, Jerry Yang, ainsi qu'à l'échec de l'OPA de Microsoft. Même mutisme sur l'avancée des pourparlers avec Steve Ballmer au sujet d'un éventuel partenariat autour de la recherche en ligne. (...)

(21/04/2009 15:04:23)

Oracle-Sun : 10 000 postes menacés

Selon les analystes de Wall Street, le rachat de Sun par Oracle pour un montant de 7,4 Md$ pourrait déboucher sur la suppression de 10 000 postes. Oracle espère que le rachat de Sun lui permettra de réaliser 1,5 Md$ de marge brute dès 2009 et 2 Md$ l'année suivante. « Cette acquisition sera plus rentable dès la première année que celles de BEA, de PeopleSoft et de Siebel rassemblés » a déclaré Safra Catz, présidente et directrice financière d'Oracle. Mais pour atteindre de tels résultats, Oracle devra licencier, prévient Toni Sacconaghi, analyste chez Sanford C. Bernstein. Depuis plusieurs mois, Sun comme Oracle affrontent chacun de leur côté la crise financière avec plus ou moins de succès. En janvier dernier, Oracle a fait l'objet de rumeurs à propos de 1 000 réductions de postes mais ses résultats trimestriels sont restés satisfaisants, au point que l'éditeur a décidé de reverser une partie de ses dividendes à ses actionnaires. Quant à Sun, l'année 2008 n'aura été qu'une succession de mauvaises nouvelles : en octobre, le fournisseur a publié des résultats trimestriels désastreux (perte nette de 1,37 Md$ contre un bénéfice de 89 M$ un an plus tôt), les plans de restructurations se sont succédé, le dernier ayant entraîné la suppression 1 500 postes. Au total, Sun a réduit ses effectifs de plus de 20% en quelques mois (6 000 salariés) et le titre a perdu 80% de sa valeur. Il n'est donc pas surprenant que des rumeurs de rachat aient éclos le mois dernier autour de Sun, même si le dénouement d'hier en a étonné plus d'un. Les remaniements devraient toucher le marketing et le support Oracle a donc du pain sur la planche. S'il veut rentabiliser ce rachat et atteindre son objectif de 1,5 Md$ de marge brute il n'aura pas le choix, il devra persévérer dans cette voie de licenciements. « Entre 5 500 et 10 000 postes sont concernés, et ce à condition qu'il n'y ait aucune érosion du chiffre d'affaires » estime Toni Sacconaghi, analyste chez Sanford C. Bernstein. Oracle n'a d'ailleurs pas caché qu'il souhaitait « rationaliser les coûts de base ». La plupart des remaniements devraient concerner le marketing et le support. Oracle compte actuellement 84 000 salariés dans le monde et Sun en dénombre plus de 33 550 répartis dans une centaine de pays.

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(17/04/2009 16:55:52)

Les salariés de FM Logistic, sous-traitant de HP, poursuivent les négociations

Des salariés du site de FM Logistic situé à Woippy en Moselle ont retenu hier cinq de leurs dirigeants pendant plusieurs heures, selon l'AFP. Cette implantation de l'entreprise réalise le conditionnement d'imprimantes laser et à jet d'encre destinées au marché européen exclusivement en tant que sous-traitant de HP. C'est à la suite de la décision de ce dernier de délocaliser l'activité en Malaisie que FM Logistic est contraint de procéder à des licenciements. 489 emplois doivent être supprimés d'ici 2010 sur cette plateforme logistique, selon le blog de l'actualité sociale de HP, animé par l'équipe CFTC HP. Les salariés de Woippy réclamaient hier que les négociations portant sur les conditions de départ soient poursuivies en présence de personnes ayant un pouvoir de décision. Une nouvelle réunion se tient aujourd'hui à la préfecture de Metz. (...)

(15/04/2009 17:34:20)

Troisième vague de licenciements en vue chez Yahoo

Yahoo pourrait annoncer une nouvelle réduction de ses effectifs lors de la publication de ses résultats trimestriels, prévue le 21 avril, selon le Wall Street Journal et le New York Times. En 2008, l'entreprise a supprimé 2400 postes en deux étapes (1000 postes en début d'année puis 1400 en octobre). Fin 2008, Yahoo dénombrait 13 600 salariés et n'excluait pas la possibilité de serrer encore davantage la visse si la situation économique le demandait, ce qui s'avère être le cas avec la baisse des dépenses publicitaires en ligne, principale source de revenus de Yahoo. C'est Carol Bartz, PDG de Yahoo depuis janvier dernier, qui sera chargée de préciser le nombre de postes concernés (le New York Times parle de plusieurs centaines). Elle a essentiellement passé son temps à comprendre les forces et les faiblesses du portail tout en promettant de faire le ménage dans une structure qu'elle estime trop inutilement complexe. Elle a déjà réorganisé l'équipe dirigeante en diminuant le nombre d'interlocuteurs, dans le but d'en simplifier le fonctionnement. Il faudra attendre l'annonce des résultats pour savoir si elle aura la main aussi leste pour trancher dans la masse salariale. (...)

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