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(24/06/2009 13:19:47)

MySpace supprime 300 postes et ferme quatre bureaux

MySpace va supprimer 300 postes en dehors des Etats Unis, soit les deux tiers de ses effectifs, alors que le site communautaire parlait de 30% il y a quelques jours à peine. La société a également annoncé qu'elle allait fermer quatre bureaux, sans toutefois préciser lesquels. La France pourrait être concernée (avec l'Argentine, le Brésil, le Canada, l'Espagne, l'Inde, l'Italie, le Mexique, la Russie et la Suède - le Japon et la Chine ne sont pas menacés). MySpace souhaite concentrer ses activités au sein de trois bureaux, à Londres, Berlin et Sydney. « Nos effectifs ont trop gonflé et ont entravé notre fonctionnement, a commenté Owen Van Natta, PDG du groupe depuis deux mois. Nous voulons nous recentrer sur l'innovation, nos utilisateurs et nos produits. » Filiale du groupe américain News Corp (depuis 2005) détenue par le milliardaire Rupert Murdoch, MySpace a longtemps été le réseau social plébiscité par les internautes américains. Avec 200 millions de membres Facebook l'a dépassé en termes de popularité, aux Etats-Unis comme dans le monde. Ces sites éprouvent toujours beaucoup de difficultés à bâtir un modèle économique solide et à monétiser leur audience. (...)

(24/06/2009 10:56:22)

France Télécom formalise le télétravail

France Télécom et les organisations syndicales du groupe (CFDT, CFE-CGC, CFTC et FO) ont signé hier un accord sur le télétravail. Ce dernier repose sur trois principes : le volontariat, la possibilité de retourner à une position classique dans des délais raisonnables et le maintien du lien social (par la formation ou par une présence dans les locaux de l'entreprise deux jours par semaine). De son côté, le salarié demandeur doit être autonome et exercer une activité quantifiable et contrôlable à tout moment. En France, le groupe compte près d'un millier de télétravailleurs (à domicile ou dans un bureau au sein de l'entreprise, mais autre que le lieu habituel), soit moins de 1% de ses effectifs. A travers cet accord, il souhaite encadrer un mode de fonctionnement qui existe donc déjà, mais aussi se donner davantage de moyens techniques pour permettre aux salariés d'effectuer tout ou partie de leur travail à distance. Le groupe leur fournira un bouquet de technologies à cet effet (xDSL, Business Everywhere, Internet Everywhere , la 3G, le WiFi...). Au début du mois de juin, les députés français ont adopté une proposition de loi visant à consacrer l'entrée du télétravail dans le Code du travail. L'Hexagone est en retard à ce sujet. Seuls 7% des salariés bénéficient d'un tel type d'aménagement des conditions de travail, contre 13% dans l'ensemble de l'Union européenne. (...)

(23/06/2009 15:45:03)

Altran pousse 500 salariés vers la sortie

Les actionnaires d'Altran Technologies se réunissent aujourd'hui, mardi 23 juin, en assemblée générale, notamment pour parler du plan de départ de 500 personnes, un plan exclusivement basé sur le volontariat. « Cette formulation est une manière de maquiller des licenciements purs et simples, dénonce Williams Osters, délégué syndical CFE CGC. La direction culpabilise les salariés en inter-contrat, ayant quinze ou vingt ans de maison, avant de les pousser gentiment vers la sortie. » Les syndicats redoutent que ne se reproduise, à grande échelle, ce qui s'est passé pour Altran CIS (consulting and information services), la branche conseil de la SSII. « Une trentaine de postes ont été supprimés sous couvert de volontariat au cours des derniers mois », selon Williams Osters. Les syndicats dénoncent également les orientations prises par le groupe, comme la mise en place de formation « bidons, conçues pour leur prise en charge avantageuse par les fonds mutualisés », plutôt que de recourir à des formations qualifiantes et certifiantes. Les suppressions de postes concernent essentiellement les consultants qui travaillent pour des clients dans le secteur automobile. En raison de la crise économiques qui a fortement marqué ce marché, Altran a enregistré en 2008 un bénéfice net en recul de 47%, à 11,4 M€. Lors de la publication de ses résultats, le groupe indiquait qu'il « ne s'interdisait pas d'appliquer des mesures similaires à d'autres pays et d'autres secteurs si ces derniers subissent une forte dégradation tout au long de l'année 2009 ». Autrement dit, Altran envisageait de faire appel aux départs volontaires et au chômage partiel. La mise en oeuvre de ce programme sera débattue avec les représentants du personnel le 26 juin à Paris et le 29 juin à Toulouse. Les syndicats pourraient de leur côté manifester leur inquiétude et leur mécontentement dès aujourd'hui, au pied de la Tour Libertis qui abrite le siège social d'Altran à Levallois-Perret. (...)

(22/06/2009 14:56:32)

SQLI muscle son pôle formation avec le rachat d'Aston Education

Le pôle formation de SQLI s'agrandit avec le rachat d'Aston Education, un spécialiste des technologies Microsoft basé à Bagneux et à Boulogne-Billancourt. Ce rachat, d'un montant de 1,8 M€, permet à la SSII française d'enrichir son catalogue de formations de 200 cours supplémentaires, qui recouvrent diverses technologies comme le décisionnel, le Web 2.0, les ERP, l'Open Source, le SaaS, le Cloud Computing, Java et Microsoft. « Nous avons sélectionné Aston Education pour son expertise dans la gestion des formations et aussi parce qu'elle est la seule société à être agréée par Microsoft en France pour délivrer des formations concernant l'ensemble de l'offre de l'éditeur, des logiciels les plus basiques aux solutions les plus pointues (comme Sharepoint) », explique Nicolas Rebours, directeur administratif et financier de SQLI. Les deux dirigeants d'Aston Education, Marc Augier et Jean-François Castelluccia, prennent la tête de SQLI Institut, le pôle formation du groupe. Cette entité compte désormais 200 consultants (dédiés, comme le veut le modèle économique de SQLI, ou occasionnels, comme le pratique Aston Education en faisant appel à des prestataires externes) et devrait réaliser un chiffre d'affaires supérieur à 7 M€ en 2009. La SSII possède désormais douze centres de formation en France et en Suisse. Malgré un contexte économique difficile (résultat net en recul de 40% en 2008), la SSII maintient sa politique de croissance externe et réalise sa treizième acquisition depuis 2005. D'ici à la fin de l'année, SQLI n'exclut pas la possibilité de procéder à d'autres opérations pour se renforcer sur des marchés verticaux comme SAP (un pôle que la SSII a récemment agrandi avec l'intégration de Naga Conseils), la santé (plus particulièrement l'informatisation des processus de soins en hôpital) et le MCO (maintien en conditions opérationnelles), qui s'adresse essentiellement aux secteurs militaire, de l'énergie et du nucléaire. Pour l'ensemble de l'année, la SSII table sur un léger repli de son chiffre d'affaires. Au premier trimestre 2009, le CA (qui n'inclut pas Naga Services) s'établit à 38,9 M€, en baisse de 2,7% sur un an. (...)

(19/06/2009 17:17:07)

HP et Alcatel-Lucent proposeront des offres de services communes

HP et Alcatel-Lucent ont signé hier, jeudi 18 juin, un accord mondial pour proposer des offres de services communes. Cet accord sera concrétisé au second semestre de cette année. Il comporte un volet annexe sur l'externalisation de l'informatique d'Alcatel-Lucent chez HP avec transfert d'effectifs. D'une durée de dix ans, cette « global alliance » entre les deux sociétés devrait générer des revenus de plusieurs milliards d'euros, à la fois pour HP et pour Alcatel-Lucent. C'est la seule précision chiffrée donnée par les deux partenaires qui se refusent à tout commentaire. Trois points sont plus particulièrement évoqués. D'abord, il est question d'une proposition aux opérateurs de télécoms, destinée à transformer leurs réseaux actuels en réseaux de convergence. Les deux partenaires créeront également des services pour les réseaux actuels et pour les réseaux anciens. Ensuite, HP et Alcatel-Lucent mettront sur le marché des solutions de communication destinées aux grands comptes, aux entreprises de taille moyenne et au secteur public. Le communiqué commun balaye large et parle d'un rapprochement entre les solutions IT de HP et celles d'Alcatel-Lucent dans la téléphonie sur IP (ToIP), les communications unifiées, la sécurité, la mobilité et les centres de contacts. Enfin, des solutions de bout en bout seront également mises au point, que ce soit pour le marché des opérateurs ou pour celui des entreprises. La distribution de ces nouvelles solutions se fera en direct et par des forces de ventes dédiées. Sauf la deuxième partie qui passera également par les revendeurs HP ou par des services en ligne, en mode SaaS. (...)

(19/06/2009 17:08:10)

La CFTC de HP France juge déloyal le projet de baisse des salaires

Des assemblées générales d'information ont réuni environ 800 salariés de HP France sur les sites franciliens et grenoblois de la société, hier, jeudi 18 juin, à l'appel des organisations syndicales. Entre transferts de salariés vers EDS, suppressions de postes et demandes de baisse de salaires, l'actualité sociale des derniers mois a été plutôt dense pour l'entreprise. En ce moment même, les représentants du personnel de HP sont consultés sur la baisse de salaire des contributeurs individuels, rappelle Jean-Paul Vouiller, délégué syndical CFTC chez HP France, dans un article publié le 17 juin sur le site Miroir social. D'ici fin juin, les salariés devraient donc se voir soumettre une proposition de baisse de salaire reposant sur le volontariat, avec application en septembre. Les managers de la société ont déjà été consultés sur le sujet. Par ailleurs, dans un sondage mené sur le blog de la CFTC de HP, sur 1700 votants, seuls 3% ont accepté l'idée d'une baisse de salaire. Les efforts financiers demandés aux collaborateurs avec l'objectif de conserver à l'entreprise ses ressources n'empêchent pas l'ombre d'un nouveau plan de licenciement de planer sur l'entreprise (15 000 suppressions de postes sont prévues en Europe sur deux ans). Dans ce contexte, la CFTC HP-EDS « rejette le projet de baisse de salaire présenté dans les CE » qu'il juge déloyal. Jean-Paul Vouiller rappelle que les réductions opérées seront définitives et sans contrepartie et que, en cas de départ, les indemnités seront calculées sur le salaire diminué. Le délégué syndical insiste aussi sur le fait que ces mesures reposent sur le volontariat et qu'un refus de la part d'un salarié ne pourra en aucun cas entraîner son licenciement. Malgré tout, les élus du CE européen redoutent les conséquences d'un refus et demandent notamment à la direction que les managers n'exercent pas de pression sur les salariés sur ce sujet. Pour la CFTC, ces démarches sont immorales, au regard des rémunérations perçues par les dirigeants de HP et des bénéfices réalisés par l'entreprise. Deux autres assemblées générales se tiendront sur les sites de Lyon et de Sophia-Antipolis de HP, les lundi 22 et mardi 23 juin prochain. (...)

(18/06/2009 17:13:36)

D'anciens managers IT créent un site pour l'emploi des seniors

Pour sortir de l'ornière un important projet informatique chez un client, réaliser l'intégration IT d'une société tout juste acquise ou attaquer un nouveau marché, les SSII doivent trouver des profils expérimentés. Des missions qu'elles pourraient tout particulièrement confier à des seniors. C'est sur cette idée que s'est créé le site emploi « it-senior-manager.fr », animé par un réseau de neuf associations d'anciens managers et dirigeants d'entreprises du secteur IT. Depuis son ouverture, il y a un mois, une dizaine d'annonces ciblées ont été diffusées vers les membres du réseau, après un filtrage assuré par ses bénévoles. En se regroupant, ces associations constituent un vivier d'expertise de 3 000 personnes, entre 45 et 65 ans, qui ont fait leurs armes chez Oracle, Steria, Unilog, Capgemini, Xerox, Apple France, SG2, Sun et Accenture. Leur pouvoir d'attraction sur les employeurs est sans conteste plus important que celui de chaque groupe agissant chacun de son côté, argumente Franck Lacombe, responsable du projet et président d'Escape, l'association des anciens de CapGemini. Agir ensemble et promouvoir d'autres formes d'employabilité « 10% environ des membres de nos différentes associations sont à la recherche d'un emploi ou ont envie de bouger. Après avoir mené séparément diverses initiatives, nous avons décidé d'agir ensemble et d'essayer de promouvoir d'autres formes d'employabilité, comme le CDD, le portage salarial ou le management de transition, auxquels les SSII n'ont culturellement pas l'habitude de recourir ». Dans le secteur des services, il n'y a pas le réflexe de l'interim managérial tel qu'on peut le trouver chez les petits éditeurs de logiciels, explique-t-il. Les éditeurs se sont souvent créés sur une innovation technologique apportée par des ingénieurs. « Il manque parfois la composante financière ou marketing qui amène le fonds d'investissement partenaire à faire appel à l'intérim managérial. Cela n'existe pas vraiment en SSII », poursuit Franck Lacombe, qui est aussi associé fondateur d'Evolena, une société spécialisée dans le conseil aux dirigeants de l'IT. Les entreprises ayant besoin de ressources IT expérimentées peuvent déposer leurs offres sur le site « it-senior-manager.fr ». Celles-ci sont ensuite routées vers les associations partenaires. Le réseau propose aussi un coaching RH pour accompagner et développer les « talents » retrouvés. (...)

(18/06/2009 16:03:45)

Alcatel-Lucent transfère son informatique et plus de 1000 salariés chez HP

Selon notre confrère Les Echos, Alcatel-Lucent annonce la signature d'un accord avec HP au travers duquel il confie ses équipements informatiques dans le monde. Selon le quotidien, qui cite des sources syndicales, il devrait découler de cette décision le transfert de 1 022 salariés d'Alcatel-Lucent vers le groupe américain. En France, cela devrait concerner 200 personnes. Le partenariat entre les deux groupes, d'une durée de 10 ans, les conduira à proposer ensemble des prestations informatiques et télécoms conjointes. A noter que HP a confirmé récemment la suppression de 5 700 postes en Europe. En France, il a proposé des baisses de salaires à l'ensemble de ses salariés. (...)

(12/06/2009 17:35:44)

Le Syntec ébauche un projet sur le chômage partiel

Les négociations sur le chômage partiel entre les fédérations patronales du Syntec Informatique et les organisations syndicales se poursuivent. Elles ont repris le 7 mai, après une séance houleuse et brutalement interrompue le 22 avril . Une première esquisse de projet, découpée en cinq articles, a été ébauchée par le Syntec, le CICF et cinq fédérations syndicales (CFE/CGC/FIECI, CFDT/F3C, CGT, CFTC/CSFV et FEC/FO) regroupés au sein de l'OPIIEC (Observatoire paritaire des métiers de l'informatique, de l'ingénierie, des études et du conseil). L'accord tel qu'il est actuellement rédigé stipule que le décret du 29 avril 2009 sur le chômage partiel s'applique « à toutes les entreprises de la branche affectées par la crise économique et qui se trouvent contraintes d'y recourir ». Une introduction prometteuse après les discussions avortées en avril dernier. Les deux camps - fédération Syntec et syndicats - s'étaient mutuellement accusés d'avoir fait capoter les négociations. Les premiers souhaitant étendre le champ d'application du chômage partiel à tous les métiers de la branche, qu'ils soient directement ou indirectement touchés par la crise (informatique, ingénierie, automobile, BTP, immobilier, industries manufacturières... soit 700 000 emplois de services qualifiés). Les syndicats, quant à eux craignaient que cette généralisation ne dévalorise les conditions d'indemnisation des salariés. Dans un souci d'éviter les recours excessifs au chômage partiel - autre source d'inquiétude des partenaires sociaux -, l'accord énumère une série de recommandations aux entreprises, en complément des dispositions légales encadrant déjà ces mesures. Le chômage partiel doit être limité dans le temps, car il répond à une situation conjoncturelle particulière, et il doit s'inscrire dans une logique de sauvegarde des emplois. Le décret adopté par le ministère de l'Economie, des Finances et de l'Industrie permet quant à lui aux entreprises qui adhérent à cette convention professionnelle de bénéficier d'allocations complémentaires venant de l'Etat et de l'Unedic afin de les aider à mieux indemniser leurs salariés. En contrepartie, les entreprises doivent s'engager sur plusieurs points comme le maintien de l'emploi, l'accès facilité à la formation ou la généralisation du bilan professionnel. L'application de cet accord doit être soumise à l'obtention d'une convention tripartite entre patronats, syndicats et pouvoirs publics. Il entrera en vigueur à compter du premier jour du mois suivant la publication de l'arrêté ministériel d'extension au journal officiel. Contacté par la rédaction, le Syntec Informatique n'a pas été en mesure d'avancer une date sur la présentation de ce projet, notamment en raison des changements engendrés par le renouvellement de son conseil d'administration. (...)

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