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Emploi
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(07/09/2010 14:27:53)
Les emails ont-ils sonné le glas de la journée de 9 à 17 heures ?
Avez-vous vérifié vos courriels professionnels ce week-end ? Si vous êtes comme la plupart des employés aux États-Unis et Royaume-Uni, la réponse est oui. Dans les pays anglo-saxons, la notion de jour de congé est un concept de plus en plus étrange, car la plupart des employés, et pas seulement les cadres, sont connectées quasiment 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
La notion du jour off et du week-end est pourtant enracinée dans la culture populaire. Lily Tomlin et Dolly Parton, dans un film baptisé « 9 à 5 », avaient fait de cette mesure le standard d'une journée de travail. En 1981, le groupe de rock Loverboy avait réalisé un hit avec la chanson "Working for the Weekend". Même l'expression «Dieu merci c'est vendredi" et son équivalent acronyme « TGIF pour "Thanks God it's Friday » étaient pratiquement omniprésents lors des célébrations du week-end.
42% des Américains consultent leurs mails en maladie
Malheureusement, la culture populaire ne peut être la seule place où la journée de travail et le week-end aient encore un sens. Une enquête menée par Harris Interactive aux États-Unis et par la société Opinion Matters au Royaume-Uni, par l'intermédiaire de l'extension Xobni pour Outlook a ainsi révélé que la journée de travail 9 à 17 heures était un mythe, et qu'il n'existait plus de réelles journées de repos . L'outil Xobni indique même que 72 % des Américains et que 68% des Britanniques consultent leurs courriers électroniques en dehors des heures normales de bureau. Et la moitié des Américains interrogés consulteraient leurs emails pendant les vacances. Pire, un peu plus d'un quart des Britanniques sondés, et 42% des Américains reconnaissent vérifier leurs messageries pendant leur congé maladie. La plupart d'entre eux lisent leurs mails dans leur lit avant de s'endormir ou juste après le réveil.
Mais qui a bien pu générer cette obsession des emails? Les salariés sont-ils tout simplement impatients ou en attendent-ils quelque chose en particulier? Aiment-ils tout leur job au point qu'ils ne savent pas quand arrêter? Eh bien, pas tout a fait. En fait, cela semble être davantage un mélange entre la préservation de leur emploi, et la gestion d'une charge de travail de plus en plus lourde. La progression de la messagerie mobile sur les smartphones et sur les tablettes participerait également à cette tendance.
Des professionnels qui préfèrent le travail en ligne
À l'heure où les suppressions d'emplois et les licenciements sont devenus la norme, ceux qui ont encore des emplois sont susceptibles de travailler deux fois plus dur pour deux raisons. Tout d'abord, ils veulent être des atouts pour leur entreprise et démontrer leur valeur pour éviter d'être au chômage. Ensuite, quelqu'un qui reste doit assumer toutes les tâches effectuées par ceux qui ont été remerciés, bref les employés sont simplement tenus d'en faire plus.
Reste qu'il y existe autre chose que ces mauvaises nouvelles. L'avènement d'Internet et du courrier électronique a également ouvert la porte et nivelé le terrain de jeu pour les travailleurs indépendants. Les entreprises exploitent ces talents extérieurs comme une stratégie essentielle pour faire une partie du travail. L'évolution du marché du travail fait qu'il y a une offre importante de professionnels hautement qualifiés qui préfèrent le mode indépendant.
« Les travailleurs freelances trouvent une certaine satisfaction à contrôler leur propre calendrier et à suivre leurs passions en optant pour un modèle cloud en un nombre record», estime Ellen Pack, vice-présidente marketing de la société Elance. Même s'il est facile de supposer que "freelance" est simplement une façon polie de dire travail précaire ou emploi mal rémunéré lorsque cela est possible, une enquête menée par Elance auprès d'indépendants montre que le ralentissement économique n'est pas le principal facteur pour les professionnels qui choisissent de se tourner vers ce type de carrière. Seules 4% des personnes interrogées travaillent à leur compte jusqu'à ce qu'ils puissent trouver un emploi à plein temps et moins d'un quart (24%) choisissent ce statut comme transition, après un licenciement. Enfin, plus de la moitié (56%) des nouveaux indépendants ont commencé à travailler comme freelance pour être leur propre patron et travailler sur des projets qu'ils aiment.
(...)(01/09/2010 17:14:40)Les offres d'emploi de l'Apec sur iPhone
L'Apec lance son application iPhone dédiée au marché de l'emploi des cadres. Elle permet aux utilisateurs d'accéder gratuitement et à tout moment à plus de 20 000 offres. Cette solution a été conçue pour que les usagers demeurent en alerte sur leur marché et qu'ils ne passent à côté d'aucune opportunité professionnelle. « L'idée de proposer des services de l'Apec sur un smartphone nous trottait dans la tête depuis un certain temps », expose Jean-Pascal Szelerski, directeur des services web de l'Apec, et d'ajouter : « nous souhaitions en effet apporter une réelle valeur ajoutée à nos usagers ».
Pour l'heure, l'organisme semble avoir gagné son pari. « La solution est opérationnelle depuis vendredi dernier, et nous avons déjà noté des tendances plus que favorables en matière d'usage », poursuit le responsable. « Au cours de la seule journée de lundi, plus de 1 500 personnes ont téléchargé l'application », précise-t-il.
Des évolutions vers Android et les Blackberry
Si l'Apec a choisi de s'engager dans le virage de la mobilité, c'est en raison des multiples opportunités que propose des outils tels que l'iPhone. Rechercher des offres par filtres : mots clés, lieux, salaire, fonction, secteur, depuis n'importe quel lieu, que ce soit chez soi, au bureau ou dans le métro. Recevoir des alertes dès qu'une nouvelle offre concernant un candidat est publiée. Opérer un tri des offres par géolocalisation. Bénéficier des conseils de l'Apec depuis leur téléphone, sous forme de vidéos. Et surtout, pouvoir sauvegarder les offres sélectionnées et les synchroniser avec le site Apec.fr pour les consulter ultérieurement. Côté perspectives, l'association pour l'emploi des cadres n'entend pas en rester là. « Après les candidats, nous souhaitons toucher la cible des recruteurs », ajoute Jean-Pascal Szelerski. « Nous envisageons également de basculer vers d'autres plates-formes, telles qu'Android, l'OS de Google, ou vers des terminaux comme Blackberry. »
En attendant, l'application iPhone de l'Apec est disponible sur l'AppStore et elle est gratuite.
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T-Systems supprime plus de 300 postes en France
Rien ne va plus chez T-Systems France. La filiale hexagonale de Deutsche Telekom, qui compte près de 1 600 collaborateurs sur le territoire, va supprimer 324 postes. Les sites de Villepinte et La Défense en région parisienne ainsi que ceux de Lyon et de Toulouse seront sans doute les plus touchés.« Cela fait plusieurs années déjà que la direction annonce des projets stratégiques qui n'ont aucun sens en France », déplore Frédéric Vielle, élu au CE et délégué syndical CGT. Pour le représentant syndical, T-Systems s'adresse à de gros clients - comme la BNP ou Airbus- , et, comme la priorité est à la réduction des coûts, la société n'hésite pas à faire pression sur les sous-traitants.
Un projet professionnel assorti d'un budget formation
L'entreprise n'en est d'ailleurs pas à son premier coup d'essai. En effet, l'an dernier, un plan social portant sur la suppression de 50 postes avait été annoncé, mais il avait été déclaré invalide par la DDTE. «La filiale française se porte mal depuis plusieurs années, poursuit Michel Décossas, responsable syndical CFDT au Comité d'entreprise de T-Systems. Nous avons été informés de la tenue d'un plan social vendredi dernier, mais nous ne connaissons pas encore toutes les mesures d'accompagnement ». Pour l'heure, les représentants syndicaux sont en discussion avec la direction. Ils demandent à ce que chaque salarié au départ puisse disposer d'un projet professionnel, et qu'un budget de formation digne de ce nom soit mis en place. Or, ce dernier point inquiète particulièrement les élus. « A ce jour, la direction ne dispose pas d'un outil de description de poste qui permettrait d'évaluer les besoins de chacun en formation », regrette Michel Décossas.
En attendant, un guichet de départ volontaire devrait être mis en place mais beaucoup d'informaticiens ont déjà quitté l'entreprise. « Chez T-Systems France, le taux de turnover a augmenté au cours des trois dernières années, signale Stéphane Peillon, délégué syndical FO. Depuis 2007, l'entreprise compte entre dix à trente départs par mois».
Contactée par la rédaction, la direction de T-Systems France a mis en avant sont devoir de réserve. En effet, la procédure d'information et de consultation oblige cette dernière à consulter les représentants du CE avant de prendre toute décision importante. Un CE extraordinaire devrait avoir lieu demain, jeudi.
Illustration: le site de T-Systems à la Défense. Crédit photo: D.R
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HP crée 700 emplois en Écosse
Hewlett-Packard va créer 700 emplois supplémentaires sur son site situé à Erskine, dans le Renfrewshire, en Écosse. Le numéro un mondial du secteur IT projette d'accroître son effectif dans cette région en créant un centre de services informatiques qui recevra une subvention régionale de 7 millions de livres sterling. Les fonds proviendront de la Scottish Enterprise, agence écossaise de développement économique appartenant au Scottish Development International (SDI), un organisme d'Etat chargé de promouvoir les investissements étrangers en Ecosse.
Encourager les entreprises étrangères à investir en Écosse
HP précise que les employés du site écossais sont spécialisés dans la chaîne d'approvisionnement, les ventes par téléphone et Internet, le marketing et l'assistance clientèle. Pour leur part, les profils recherchés interviendront dans les applications, les infrastructures, le développement, la maintenance , le support, et les services d'intégration.
« SDI s'est joint à la Scottish Enterprise pour collaborer étroitement avec Hewlett-Packard au cours des douze derniers mois, afin de rendre possible ce nouvel investissement sur le site de l'entreprise situé dans le Renfrewshire » a indiqué David Smith, directeur général de Scottish Development International, dans un communiqué.:« Le régime des subventions fait partie des outils clés dont nous disposons pour encourager les entreprises nationales et étrangères à investir en Écosse».
En septembre 2008, après le rachat d'EDS, le constructeur annonçait la suppression de 24 600 postes dans le monde. Il y a un an, il décidait de couper 6 400 postes, dont 580 en France. Enfin, il y a trois mois, HP décidait d'alléger de nouveau ses effectifs de 9 000 postes au plan mondial, en se concentrant sur une nouvelle opération : se doter de centres de services entièrement automatisés et standardisés.
Illustration: le site d'HP à Erskine. Crédit photo: HP
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Mc2i Groupe recherche 40 consultants
Le cabinet de conseil en systèmes d'information spécialisé dans le pilotage de projets et l'assistance à la maîtrise d'ouvrage mc2i Groupe, prévoit de recruter une quarantaine de collaborateurs sur le second semestre. Les postes sont ouverts à des consultants juniors et confirmés, ainsi qu'à des stagiaires en période de fin d'études. Les nouvelles recrues viendront rejoindre l'équipe actuelle de mc2i Groupe, composée de plus de 225 collaborateurs. Elles accompagneront les clients de l'entreprise dans l'assistance à maîtrise d'ouvrage (AMOA), pour le choix et la mise en oeuvre des systèmes d'information des ressources humaines (SIRH) ou de gestion (SIG), et également de la banque et de la finance.
Afin de rencontrer les profils recherchés, les responsables du recrutement du cabinet de conseil seront présents sur plusieurs forums et salons, dont les Jeudis.com (le 23 septembre au CNIT de Paris la Défense), et les forums UTT (le 12 octobre à Troyes), Epita (le 13 octobre au Kremlin-Bicêtre), Centrale Lille, (14 octobre à Lille) et Comutec UTC ( le 21 octobre Compiègne).
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Davantage d'informaticiens en recherche d'emploi en juillet
Communiquées hier, les données brutes collectées sur le chômage par la Dares* font apparaître une augmentation des inscrits à Pôle Emploi parmi les métiers des systèmes d'information et des télécommunications au mois de juillet 2010, par rapport au mois précédent. Avec 32 000 inscrits, on retrouve un niveau comparable à celui d'avril où 32 200 personnes étaient en recherche d'emploi sur ces fonctions. Ce décompte englobe les personnes sans emploi et les personnes ayant exercé une activité réduite de courte ou de longue durée. En mai et juin, leur nombre avait amorcé une baisse avec 31 800 puis 31 500 inscrits. Il s'agit ici de données brutes, non corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables.
+23,5% d'inscrits en un an selon le nouveau décompte
Le décompte récapitulatif fourni par la Dares montre que, un an plus tôt, 25 900 personnes sans emploi étaient inscrites en juillet 2009 dans les métiers liés aux systèmes d'information et de télécommunications, en englobant les demandeurs d'emploi ayant une activité réduite. Soit, en un an, une augmentation de 23,5% du nombre d'informaticiens inscrits au chômage. Rappelons en outre que la Dares a réorganisé sa classification métiers au début de cette année, faisant passer les professions de l'informatique dans la catégorie « métiers des systèmes d'information et de télécommunication » et reclassant au passage une partie des postes sur d'autres métiers. Ce nouveau décompte avait fait baisser le nombre d'inscrits
assimilés jusqu'alors aux métiers de l'informatique (pour mémoire, la Dares avait totalisé 30 700 inscrits en juillet 2009 parmi les professionnels de l'informatique, contre 25 900 avec le nouveau décompte « SI et télécommunications »).
En juillet 2010, en bornant le décompte aux personnes de la catégorie A, qui n'ont pas eu d'activité dans le mois, même réduite, les métiers des systèmes d'information et de télécommunication atteignent 26 100 inscrits à Pôle Emploi en juillet, soit un peu plus qu'en mai (26 000), alors que juin avait enregistré un léger mieux avec 25 500 inscrits en recherche d'emploi sans activité, même réduite. Le tableau récapitulatif de la Dares indique qu'ils étaient 21 900 en juillet 2009.
*Dares : Direction de l'Animation de la Recherche, des Etudes et des Statistiques, Ministère du travail, de la solidarité et de la fonction publique.
Les catégories A, B et C de la Dares : "La plupart des demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi sont tenus de faire des actes positifs de recherche d'emploi : certains sont sans emploi (catégorie A), d'autres exercent une activité réduite courte, d'au plus 78 heures au cours du mois (catégorie B), ou une activité réduite longue, de plus de 78 heures au cours du mois (catégorie C)."
Les recrutements des jeunes diplômés ont progressé de 32% en 2010
Pasc@line, association créée en 2006 par Syntec informatique pour promouvoir les métiers relatifs aux NTIC, publie les résultats d'une étude conduite par IDC France, sur les perspectives de recrutement des informaticiens. L'enquête, qui a été réalisée de mars à mai 2010, auprès de 304 entreprises (SSII, éditeurs de logiciels, conseils en technologie et entreprises utilisatrices), montre que la tendance est à un net redressement pour l'ensemble des embauches sur les profils d'informaticiens. De l'ordre de +30% en 2010 par rapport à 2009 et particulièrement pour les débutants. Il s'agirait de jeunes ayant moins de 2 ans d'expérience, des profils de niveau Bac+4, des Bac+5, et également des Bac+2. Près des 2/3 des postes à pourvoir proviendrait des SSII et des entreprises de 200 salariés et plus.
Des ajustements revus à la hausse
L'enquête indique parallèlement que les entreprises montrent de fortes incertitudes quant à leurs recrutements. Pourtant, et ce, quels que soient l'activité et les effectifs, elles prévoient toute de même des ajustements, majoritairement à la hausse en 2010. Ainsi, 83% des entreprises qui prévoient d'embaucher en 2010 recruteront des candidats spécialisés en technologies de l'information et de la communication. Cela représente un peu plus de 60 % de la totalité des entreprises (+ 6 points par rapport à 2009). Cette année, 61 % des fournisseurs de logiciels et de services TIC et 49% des entreprises utilisatrices de plus de 1000 salariés (+ 7 points par rapport à 2009) comptent également recruter des informaticiens. Ces prévisions représentent une croissance d'au moins + 25% en 2010 par rapport à 2009 qui avait connu 20 000 nouvelles embauches.
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Par ailleurs, 72% des éditeurs et des SSII déclarent être susceptibles de réviser leurs prévisions de recrutement. Ces chiffres, très supérieurs à ceux de 2009 (50%), montrent les fortes incertitudes qu'affrontent aujourd'hui les entreprises, quels que soient l'activité et les effectifs. Plus significatif, dans la quasi-totalité des cas (89%), il s'agit d'anticipations de révisions à la hausse .Ainsi, en 2009 près de 50% des entreprises avaient modifié le nombre de recrutements de profils TIC par rapport à leurs prévisions initiales. Les modifications les plus importantes concernaient les SSII, le conseil en technologie et les entreprises de 50 à 200 salariés.
Des juniors embauchés massivement par les éditeurs et SSII
Les recrutements de profils TIC devraient représenter 62% du total des embauches d'ici la fin de l'année. Ils se situeront dans une fourchette comprise entre 26 et 29 000 personnes en 2010 (contre 20 700 en 2009), prévoit le rapport conduit par IDC. Le volume global prévisionnel des recrutements de profils TIC par les entreprises utilisatrices devrait s'établir, quant à lui, à près de 4000 cette année, en retrait par rapport à 2009. Les 2/3 des recrutements émaneront des SSII et des entreprises de 200 salariés et plus. L'étude ne relève pas de modifications dans les répartitions par taille et typologie d'entreprises, par rapport à 2009. Les fournisseurs de logiciels et de services TIC de plus de 20 salariés prévoient eux aussi une croissance des recrutements d'informaticiens, soit +38% en 2010, contre +23% l'année précédente.
Ce sont les fournisseurs de logiciels et de services IT qui ont recruté le plus massivement des débutants ayant moins de deux ans d'expérience en 2010, ces derniers représentant 82% du total des embauches.64% des postes concernent des profils de niveaux Bac+5 et plus, 13% des Bac+3 et Bac+4 et 23% des niveaux Bac+2. Au final, les recrutements des jeunes diplômés auront ainsi augmenté de +32% en 2010 par rapport à 2009.
De plus, 31% des éditeurs et SSII prévoyant de recruter auront recours à des débutant, contre 21% pour les entreprises utilisatrices. La part représentée par les débutants s'élève à 29% du total des embauches, soit plus de 6 200 jeunes. La répartition des juniors par niveau de formation ne s'éloigne guère de celle observée en 2009 : 60% de niveau Bac+5 et plus, 21% de Bac+3 et 4, et 19% de Bac+2.
En 2009, les entreprises avaient privilégié les profils expérimentés pour leurs recrutements de profils TIC, conclut le rapport.
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Indicateur mensuel Apec : +15% sur les offres IT en un an
La fonction informatique a représenté un peu plus de 29% des offres d'emploi confiées à l'Apec en juillet 2010, avec 8 452 offres sur un total de 28 819. Par rapport à juillet 2009, l'évolution est nette sur cette fonction : +77% (il y a un an, l'Apec disposait de 4 472 offres dans cette catégorie).
Néanmoins, en chiffres cumulés, sur douze mois glissants, la progression s'élève à 15% sur les offres concernant les cadres évoluant dans le secteur IT (79 888 sur 285 557 offres au total), sur la période allant d'août 2009 à juillet 2010 par rapport à la période allant d'août 2008 à juillet 2009. C'est un peu moins que pour l'ensemble des offres qui ont augmenté de 17% sur douze mois.
Technologies web, en hausse sur douze mois
La catégorie « Informatique de gestion » est toujours celle qui regroupe le plus grand nombre d'offres d'emploi IT : 3 296 en juillet 2010 (en augmentation de 11% sur douze mois glissants). Mais en un an, la demande qui a le plus fortement augmenté reste celle portant sur des postes requérant des compétences dans les technologies Internet et autour des sites web. L'association pour l'emploi des cadres comptait 960 offres dans cette catégorie en juillet, et 7 248 en chiffres cumulés sur douze mois glissants, soit une hausse de 529%.
La catégorie « Informatique industrielle » (1 065 offres en juillet) est en légère baisse (-4%) sur douze mois glissants. Les offres concernant les postes de direction informatique se maintiennent (233 en juillet, 226 en juin). Elles ont été multipliées par trois en cumul sur douze mois glissants (1 750 offres).
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