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Emploi
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(15/12/2010 11:36:37)
Yahoo supprime 600 emplois dans le monde
Ce plan de restructuration salariale représente environ 4 % de l'effectif mondial de la société, explique la société. Un communiqué explique « les modifications de notre masse salariale annoncées aujourd'hui s'inscrivent dans notre stratégie en cours visant à optimiser la position de Yahoo en termes de croissance du chiffre d'affaire et d'augmentation des marges » et d'ajouter « qu'il embauchera de nouveau pour offrir des produits différenciés sur le marché ». La firme a déclaré que les salariés concernés toucheront des indemnités de départ et des services de reclassement.
Début 2008, Yahoo avait refusé la proposition de rachat de Microsoft, aboutissant au départ de son fondateur Jerry Yang. Cependant, les deux entreprises ont signé quelques mois plus tard un accord où l'éditeur de Redmond proposait au portail son moteur de recherche Bing et sa plateforme publicitaire adCenter. Cet accord n'a pas encore contribué à redynamiser la croissance de Yahoo.
Les salariés licenciés ont pu trouver un peu de réconfort sur Twitter, où ils reçoivent des messages de soutien. Ainsi, une brasserie de San Francisco offre une bière gratuite aux gens de Yahoo qui se présenteront avec leurs lettres de licenciement. Beaucoup d'entreprises s'intéressent à ces salariés et les encouragent à postuler chez elles.
Enquête Rennes Atalante : l'emploi IT a progressé de 2,23% en un an
2010 a été marquée par une reprise de la croissance des emplois dans les entreprises technologiques* d'Ille-et-Vilaine. C'est ce qui ressort de l'enquête 2010 menée par la technopole Rennes Atalante auprès de 294 sociétés qui s'y sont implantées. L'étude montre que plus d'un millier d'emplois (1 082) ont été créés par ces entreprises entre octobre 2009 et octobre 2010. Pendant cette même période, 569 emplois ont également été supprimés. Au final, les entreprises de Rennes Atalante ont pu générer un solde positif de 513 nouveaux postes en 2010 ( contre 39 en 2009), soit une croissance de l'emploi de 3,07 % (contre 0,24 % en 2009). Le secteur des technologies de l'information qui représente 76 % des emplois des entreprises interrogées a connu une progression de 2,23 % (soit + 283 emplois).
Reprise des embauches dans les SSII
Très dépendantes de la conjoncture économique, les SSII de Rennes Atalante ont pu bénéficier du redémarrage de l'économie. Elles sont au nombre de 50 dans l'enquête emploi de la technopole rennaise et emploient près de 5 000 salariés. En 2010, 96 postes supplémentaires ont été comptabilisés dans le secteur des services informatiques. Pourtant, malgré une année 2009 diffIcile, les SSII rennaises avaient vu leurs effectifs progresser de 1,43 %, croissance qui s'est finalement établie à 4,15 % en 2010. Si France Telecom et ses filiales font partie des plus gros employeurs IT de la technopole, plusieurs SSII de plus de 300 salariés sont également représentées : parmi celles-ci figurent SII, Capgemini Télécom Média & Défense, Alten Ouest et Atos Origin. Présente depuis la fin des années 70 sur le pôle Rennes Atalante, la division TMD de Capgemini regroupe actuellement plus de 445 collaborateurs qui sont organisés soit en équipe dédiée à un projet, soit en centre de services client. L'entreprise entend recruter 120 collaborateurs en 2011, des jeunes diplômés issus d' école d'Ingénieurs ou d'universités (Bac+3 à Bac+5) et également des profils confirmés justifiant d'une 1ère expérience en développement, architecture ou en conduite de projets informatiques.
Depuis octobre 2009, le réseau de la technopole Rennes Atalante compte 41 entreprises technologiques supplémentaires : 33 sont des créations pures et 8 sont des établissements de sociétés dont le siège est situé en France. 80 % de ces structures travaillent dans le secteur des technologie de l'information. Elles sont le reflet des pôles de compétences forts du territoire, à savoir les technologies logicielles et celles de l'image (vidéo, 3D, TV), le multimédia, les réseaux de communication ou encore la sécurité des systèmes d'information. En outre, l'arrivée en force des smartphones et de terminaux mobiles a permis la création de nouvelles entreprises spécialisées dans le développement d'applications innovantes.
* Les entreprises technologiques de Rennes Atalante sont spécialisées dans les technologies de l'information, et également dans les secteurs de la santé, de la biodiversité, de l'agroalimentaire et de l'environnement.
Illustration : vue aérienne du site de Rennes Atalante Beaulieu. Crédit photo : TDF
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Catalyz : Un salon d'emploi virtuel destiné aux ingénieurs
Lancé en partenariat avec l'Apec, le réseau social des grandes écoles Weavlink, HEC Paris et l'Insa de Lyon, le Forum Catalyz est un salon virtuel totalement gratuit pour les postulants. Pendant 5 jours, du 13 au 17 décembre 2010, les ingénieurs (étudiants, jeunes diplômés, ou professionnels expérimentés) pourront rencontrer plus d'une vingtaine d'entreprises du secteur de la high-tech en ligne. Ils auront la possibilité de chatter avec ces dernières et ainsi découvrir leurs métiers, stages et offres d'emplois, sans avoir besoin de se déplacer. Ce salon reproduira en ligne l'environnement d'un salon de recrutement, l'interactivité en plus, et les inconvénients en moins : accessible 24h/24, en France comme à l'international, il présente l'avantage d'abolir les contraintes géographiques. L'intérêt pour les candidats globe-trotters ? Echanger depuis l'étranger pour trouver un stage plus simplement ou décrocher un job.
Une plus grande réactivité pour postuler rapidement
Le processus de recrutement pourra commencer lors de chats et se poursuivre avec un contact physique peu de temps après. En outre, l'intégration des réseaux sociaux à tous les niveaux du salon (sur les stands, les offres...) autorisera le partage d'informations. Seront présents des acteurs de l'informatique comme Accenture, Alten, Amaris, Atos Worldline, Gemalto, IBM, Logica, Sogeti, ou encore Solucom. Ils seront virtuellement présents pour présenter 5 700 offres IT et un peu plus de 3 700 stages à destination des ingénieurs.. Des postes d'informaticiens seront également à pourvoir dans des entreprises telles que GDF-SUEZ, PSA Peugeot Citroën, EDF, Faurecia, Procter & Gamble, Thalès, ou encore le groupe Eiffage.
Plus d'une centaine de chats seront programmés dans le cadre de cette opération. Les postulants pourront discuter en ligne avec IBM France, le 13 décembre, de 10 heures à midi et de 14 heures à 16heures sur ses offres de stage De son côté, Alten ouvrira le dialogue, le même jour, de 13 heures à 14 heures sur les possibilités de carrière pour les ingénieurs. Le 14 décembre, Sogeti chattera avec ses futures recrues sur les opportunités et les perspectives d'emploi en région. Un test de carrière en ligne permettra également aux visiteurs de connaître les entreprises qui correspondront le mieux à leur attentes.
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Baromètre HiTechPros/CIO : un marché de l'emploi IT toujours à la baisse
Sur une année glissante entre novembre 2009 et novembre 2010, la baisse des demandes dans la catégorie « Nouvelles technologies » (35 % à 28 % des demandes) est compensé par une hausse de la catégorie « Systèmes, réseaux, sécurité » (17 % à 27 % des demandes). Trois catégories de compétences techniques ont cependant particulièrement progressé ce mois-ci : Systèmes, réseaux, sécurité (+49,6 % ), Mainframe (+32,2 %) et Rrecette, support utilisateurs (+4,2 %). A l'inverse, trois autres sont particulièrement affectées par la crise : CRM (- 5,6 %), ERP (-21,4 %) et Nouvelles technologies (- 24 %).
Les femmes sont devenues accros des outils Internet
Les femmes sont toujours sous représentées dans le secteur informatique en Europe, et particulièrement en France. Dans l'Hexagone, la proportion de jeunes filles formées dans les écoles d'ingénieur n'augmente plus depuis cinq ans, alors qu'elle était en constante progression depuis plusieurs décennies Microsoft a choisi de dresser un état des lieux de l'emploi des femmes dans l'IT au cours d'un débat intitulé : « Révolution numérique et emploi des femmes ». Entrepreneuses, blogueuses, spécialistes de la question des femmes, expertes de terrain, toutes s'accordent sur l'approche créative, personnelle, libératrice qu'ont les femmes du numérique. Alors Internet libère-t-il les femmes ? Le numérique permet-il de réduire les inégalités hommes/femmes dans la vie professionnelle ? Pour Isabelle Juppé (à l'extrême-droite sur la photo principale), auteur de la femme digitale, l'appropriation des outils high-tech concerne trois catégories de femmes : «On peut identifier la famille des « utilisatrices », c'est dire celles qui considèrent les produits IT comme des simplificateurs de vie compliquée, expose-t-elle. Viennent ensuite les « actrices », des femmes qui travaillent dans l'univers du numérique et qui sont créatrices de sites Internet, des scientifiques ou des informaticiennes. Puis, la catégorie « des magiciennes », qui se sont réinventées une vie professionnelle grâce aux possibilités offertes par la Toile, en créant leurs blogs ou en étant actives sur des réseaux sociaux.»
En France, 50% des internautes seraient des jeunes filles
Natacha Quester-Séméon, journaliste, productrice, vidéo blogueuse et co-administratrice de plusieurs initiatives humanistes, estime pour sa part que les nouvelles technologies sont de plus en plus présentes dans le quotidien des femmes : « La distinction hommes/femmes tend à s'estomper dans l'IT », considère t-elle. Plus de la moitié des internautes sont des jeunes filles. Elles sont 8% de plus que les garçons à être en ligne et une grande majorité d'entre elles indique préférer investir dans un ordinateur plutôt que dans d'autres produits. » D'après Natacha Quester, les femmes seraient plus présentes que les hommes sur les réseaux sociaux (75,8%) et passeraient davantage de temps sur des sites de microblogging comme Twitter (55% de femmes contre 49% d'hommes). Les raisons de cet engouement ? Les enfants qui conduiraient une grande majorité de mamans (73%) à maîtriser les outils du web.
20% de femmes dans l'IT
En revanche, en Europe, comme aux Etats-Unis, l'utilisation des smartphones reste l'apanage des hommes. Les téléphones intelligents équipent 60% de garçons contre 40% de femmes.. Pourtant, même si les PC et le Net sont parvenus à faire partie du quotidien de certaines femmes, elles restent encore largement sous-représentées dans les filières scientifiques, surtout dans la fonction informatique. « En France, les femmes qui travaillent dans l'IT ne représentent que 20% de la population active », faisait remarquer Valérie Dagand, présidente du réseau Cyberelles. A l'opposé, en Nouvelle Zélande ou en Malaise, elles représentent 50% des effectifs, car ces métiers sont considérés comme importants pour des questions de représentation culturelle. En outre la part des femmes ingénieurs dans l'Hexagone recule d'un point chaque année : «Dans l'ingénierie, le pourcentage des femmes est passé de 17,5% en 2007 à 16% dans les années 2009 et 2010 », regrette Valérie Dagand. Elles seraient également deux fois plus nombreuses que les hommes à quitter la filière informatique Pour Valérie Dagand, les raisons de cette désaffection sont à mettre sur le compte du phénomène du « plafond de verre ».Elles seraient seulement 9% à faire partie de la population des dirigeants, soit 11%% de moins que leurs homologues masculins. En outre, il existerait peu de modèles de réussite au féminin dans la population des ingénieures.
«Dans la filière informatique, les aspects éducation et formation doivent impérativement être renforcés », a insisté Isabelle Juppé. La transmission du savoir est particulièrement importante. Les outils du numérique sont devenus de plus en plus complexes ». Pour cette dernière, le secteur de la formation high-tech pourrait d'ailleurs être un champ possible d'emploi pour les jeunes femmes en recherche d'emploi.
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Akka embauche une centaine de stagiaires en CDI
AkkaTechnologies est en pleine dynamique de recrutement. La société d'ingénierie et de conseil en technologies (5 527 personnes dans le monde, dont 5 000 en France), qui a réalisé 1 000 embauches au cours des 9 et 11 premiers mois de 2010, entend étoffer ses équipes de 1 500 nouveaux collaborateurs en 2011. « Nous recherchons essentiellement des ingénieurs issus des grandes écoles ou des universités, précise Thomas Hénaut, directeur du recrutement. 40% des postes concernent des candidats expérimentés ayant entre 3 à 8 ans d'expérience, 30% des offres s'adressent à des jeunes diplômés (possédant de zéro à 2 ans d'expertise), la part restante vise des seniors ayant 8 ans d'expérience. » A l'instar d'autres acteurs de l'IT, l'entreprise peine à trouver certaines spécialités : « Les ingénieurs d'études et développement Java/J2EE, .Net et C Sharp sont toujours difficiles à trouver, précise-t-il. Le constat est similaire pour les compétences électroniques en temps réel et systèmes embarqués, de même que pour les consultants technico-fonctionnels spécialistes d'ERP comme SAP BW. Sur ces profils, la situation est proche de celle rencontrée dans les années 1998 à 2001. »
300 jeunes ingénieurs ont répondu présent
En plus d'emmener tous les ans une trentaine d'étudiants de grandes écoles d'ingénieurs (comme Centrale Paris et Lyon, l'Ensta, l'Isae, l'Insa, ou les Arts et Métiers) sur les pistes de ski de Serre-Chevalier dans le cadre de son concours Challenge, la SSII a lancé sa première opération de recrutement à destination de stagiaires : plus de 100 offres leur ont été proposées en France et à l'international au cours de trois soirées organisées à Paris, Lyon et Toulouse les 23, 25 et 30 novembre derniers. Le concept semble avoir séduit puisque plus de 300 étudiants de grandes écoles d'ingénieurs ont répondu présent à l'invitation. « Les stages à pourvoir sont de tout type, précise le directeur du recrutement. Nous proposons aux jeunes candidats d'assumer des fonctions techniques au sein de nos centres de services, sur des prestations nécessitant des obligations forfaitaires ». Des missions plus fonctionnelles et des postes d'ingénieurs d'affaires juniors leur sont également ouverts. Au final, 90% des stages se soldent par des embauches en CDI.
Illustration : Thomas Hénaut, directeur du recrutement d'Akka Technologies
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Etude Ipsos/Microsoft : les femmes restent sous équipées en outils informatiques
Les femmes ont-elles une relation particulière aux technologies numériques ? Microsoft et l'institut de sondage Ipsos se sont penchés sur la question en se basant sur les résultats d'une étude intitulée « le numérique, facteur de réduction de l'inégalité professionnelle hommes/femmes ». Cette enquête a été menée auprès de 500 femmes actives. « La typologie des usages numériques a éé effectuée sur quatre grande familles de femmes, a indiqué Brice Teinturier, directeur général délégué d'Ipsos à l'occasion d'un point presse. « Tout d'abord, les femmes numériques (61% de l'échantillon), très attirées par la technologie et disponibles dans leur travail : 100% d'entre elles disposent par ou pour leur travail d'au moins un outil numérique, dont 95% qui ont accès à un ordinateur. » Le responsable de l'institut de sondage a également indiqué que plus de la moitié d'entre elles (56%) ont suivi une formation IT. Elles sont souvent titulaires d'un CDI à temps plein. En outre , 65% de ces « femmes numériques » travaillent dans un bureau ou en télétravail et 78% ont un niveau Bac et supérieur. Plus souvent entrepreneuses, cadres ou cadres supérieures, elles viennent le plus souvent de l'agglomération parisienne.
Une situation professionnelle améliorée via l'IT
A l'opposé, 91% de la population des femmes dites « techno-sceptiques » (17% des sondées), ne pensent pas qu'utiliser davantage le numérique pourrait leur permettre d'améliorer leur situation professionnelle. 69% ne possèdent aucun outil IT et près de 90% n'ont jamais suivi de formation informatique. Près de la moitié de ces femmes travaillent à temps partiel, dont 43% en temps de travail subi.
Quant à la classe des personnes dites techno-défavorisées (12% du panel), elles sont nombreuses (62%) à estimer que le recours aux équipements IT leur permettrait d'améliorer leur situation au travail. 72% ont une formation initiale de niveau inférieur au égal au bac. 74% n'ont pas été formées à l'high-tech et 40% ne possèdent aucun équipement par ou pour leur entreprise. Enfin, un peu plus d'une femme « techno-demandeuse » sur deux (56%) souhaiterait s'appuyer davantage sur du matériel numérique pour améliorer sa situation au travail. Elles sont 81% à exprimer le besoin de mieux savoir les manier. Actuellement en recherche d'un emploi et souvent mères de famille, 53% d'entre elles estiment probable qu'un employeur considère qu'elles sont moins disponibles que leurs collègues hommes. Ce sentiment d'indisponibilité prédomine chez toutes les personnes interrogées : quatre sur dix indiquent se sentir moins disponibles que leurs collègues hommes, un facteur à mettre sur le compte des enfants ( pour 56% des sondées). Des progrès sont également à faire concernant le taux d'équipement à destination de la population féminine : si 72% des femmes possèdent un PC et logiciel de traitement de texte, elles ne sont qu'un peu plus de la moitié à disposer d'une messagerie électronique personnelle. En outre, seules un peu plus d'un tiers (37%) disposent d'un accès Webmail sécurisé. Enfin, elles sont encore moins nombreuses (9%) à être pourvues d'un smartphone.
Illustration : Brice Teinturier, directeur général délégué d'Ipsos. Crédit photo: Ipsos
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Micropole favorise l'embauche en CDI de stagiaires
La société de services informatiques Micropole (1 200 collaborateurs) a décidé de favoriser l'embauche de stagiaires. La SSII, qui a déjà réalisé 300 recrutements en 2010, intègre chaque année une soixantaine d'étudiants en stage de pré-embauche pour des postes de consultants juniors. Le taux de transformation de ces stages en CDI avoisine les 85%. Pour la DRH, l'intégration des étudiants est prise très au sérieux. « Nous sommes pleinement conscients que ces jeunes sont avant tout des stagiaires, indique Nathalie Choux, directrice des ressources humaines. Nous passons donc beaucoup de temps à compléter leurs connaissances théoriques Notre institut de formation se charge de les accompagner durant leur intégration dans l'entreprise, et ils sont également soutenus tout au long de leur parcours par des experts. »
Chez Micropole, le stage se découpe en deux phases. La première, qui dure trois mois, est une période de montée en compétences et de transformation des acquis scolaires : c'est l'adaptation au milieu professionnel. Durant la seconde partie le stagiaire est intégré dans les équipes de travail au même niveau que les autres collaborateurs, en continuant à être suivi par un responsable pour tous les aspects relatifs à son stage : rédaction du rapport, présence lors des soutenances
Pour l'aider à trouver des candidats, le groupe a choisi de se rapprocher des écoles et des universités. « Nous travaillons en étroite collaboration avec des équipes pédagogiques sur des modules spécifiques, précise Nathalie Choux, Nous intervenons également sur de la réalisation de projets à partir de la 3ème et de la 4ème année du cursus universitaire » La SSII accueille des élèves d'écoles d'ingénieurs, telles l'UTC, l'Eisti ou l'Esme Sudria mais aussi d'universités, comme l'Institut Galilée université Paris XIII Villetaneuse. L'objectif de ces stages porte sur l'acquisition des méthodes agiles (Scrum, Kanban, méthodes internes...) et de compétences techniques se rapportant aux nouvelles technologies (Java/J2EE, .Net, etc.)
Une formation assurée tout au long du stage
Côté candidats, le constat semble positif. Alexandre Bourgneuf, embauché depuis un an en CDI comme consultant MDM (Master data management - gestion des données de référence), après avoir obtenu un Master en ingénierie informatique à Paris VII Diderot, raconte : «Après avoir passé des entretiens dans les grosses sociétés informatiques du marché, j'ai préféré intégrer une entreprise à taille humaine. J'ai aussitôt travaillé sur le MDM, un domaine que je ne connaissais pas, mais cela ne m'a pas posé de problèmes car j'ai été formé dès la première semaine sur ses différents concepts ». Pour ce jeune universitaire, l'accompagnement a su faire la différence :
« Mon chef de projet m'a coaché tout au long de mon stage. Il m'a appris ses méthodes de travail et également à écouter pour mieux comprendre les besoins des clients, En outre, j'ai pu rejoindre l'équipe de développement non pas en tant que stagiaire mais comme développeur, avec des responsabilités qui ont été crescendo. » Actuellement en mission chez un client comme responsable de l'application MDM, ce consultant junior est en relation avec la maîtrise d'ouvrage qui lui demande de faire du développement en fonction de ses spécifications. Il souhaite progresser dans son métier pour mieux conseiller ses clients et évoluer, à terme, vers du pilotage d'équipes.
Photo : Nathalie Choux, DRH de Micropole. Crédit photo : Jim Wallace,
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TRSB table sur 200 embauches en 2011
La société de services informatiques TRSB (550 collaborateurs en France) poursuit le rythme de ses recrutements. Après avoir réalisé un peu plus de 200 embauches en 2010, le groupe, qui table sur un volume similaire pour l'année prochaine, organise une soirée spéciale le 9 décembre prochain à Paris. Cet évènement donnera aux candidats la possibilité d'échanger autour des expertises métiers que la SSII entend développer, dans les secteurs banque/assurance/finance, énergie/média/transport, industrie et distribution.
40% de postes à pourvoir en région
La plupart des offres sont localisées sur Paris et sa région, mais des opportunités de postes (40%) concernent également la province (Rhônes-Alpes, PACA, Languedoc-Roussillon). La palette des profils recherchés est variée : il s'agit d'ingénieurs systèmes en environnements Unix/Windows et Microsoft, de spécialistes en messagerie et groupware sur Domino/Exchange, d'administrateurs bases de données Oracle, d'ingénieurs de production et d'exploitation, d'experts réseaux et télécom, de chefs de projets systèmes et réseaux, et également de responsables d'équipe.
TRSB a enregistré un chiffre d'affaires de 17,1 M€ au cours du premier trimestre, en hausse de 53% par rapport à la même période un an plus tôt, dont 22,5% de croissance organique.
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