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(25/03/2009 17:11:13)

Le cloud d'Amazon directement accessible depuis Eclipse

Les développeurs utilisant Eclipse peuvent désormais prévoir les déploiements dans le 'cloud' d'Amazon, EC2, directement depuis leur environnement de développement favori. Un billet sur le blog officiel d'Amazon Web Services annonce en effet la publication d'un plug-in gratuit et Open Source pour Eclipse, AWS Toolkit for Eclipse. « Vous pouvez concevoir un cluster basé sur Tomcat entièrement hébergé dans EC2 directement depuis Eclipse, indique le billet de blog. Vous pouvez spécifier le nombre d'instances désirées et le type d'instance que vous souhaitez. [...] Le plug-in gérera votre cluster, démarrera les instances en fonction des besoins. » Amazon explique ce geste par la popularité de plus en plus grande d'Eclipse au sein de la communauté des développeurs. Néanmoins, cette popularité n'est pas franchement nouvelle. L'élément nouveau serait plutôt à chercher du côté d'Azure, le cloud de Microsoft, directement relié à l'outil de développement maison, Visual Studio. Pour l'heure, le plug-in supporte les déploiements d'applications Java dans le serveur d'applications Tomcat, mais l'éditeur d'EC2 prévoit de « supporter d'autres langages et serveurs d'applications au cours du temps, tels que Glassfish, JBoss, WebSphere et WebLogic ». (...)

(25/03/2009 16:41:37)

Microsoft propose des programmes Open Source, dont PHP, aux développeurs Web

La plateforme d’outils gratuits de Microsoft pour les développeurs Web s’enrichit de programmes Open Source, et notamment des applications PHP. La promotion de ce langage de script par Microsoft, au même niveau que son propre langage ASP.Net, peut surprendre au premier abord. Toutefois, on se souvient que la collaboration de Microsoft avec Zend Technologies, l’inventeur de PHP, ne date pas d’hier. Et que tout comme il l’a fait avec JBoss, Microsoft préfère faire en sorte que les outils populaires – même Open Source et concurrents de ses propres produits - puissent tourner avec le maximum d’efficacité sur Windows, pour ne pas laisser le champ libre à Linux. En l’occurrence, la version bêta de Microsoft Web Platform Installer 2.0 comprend donc, outre les propres outils Web gratuits de Microsoft (le serveur Web IIS, la base SQL Server 2008 Express, le framework .Net et l’atelier Visual Web Developer Express), une version de PHP pour Windows, ainsi que plusieurs outils Open Source et/ou gratuits écrits en .Net ou en PHP, pour mettre en place un blog (Wordpress, dasBlog, SubText, BlogEngine.Net), gérer du contenu (DotNetNuke, Umbraco, Acquia Drupal, SilverStripe CMS), supporter un wiki (ScrewTurn Wiki) ou une galerie photo (Gallery). (...)

(25/03/2009 15:12:13)

Octo Technology : « Les RIA de Microsoft et Adobe ont un niveau de maturité assez exceptionnel »

L’internétisation des applications de gestion a beau être un néologisme barbare, il s’agit aussi d’une réalité. Qui a souvent mal tourné, les interfaces HTML n’offrant pas la même productivité que leurs prédécesseurs sur clients lourds. Aujourd’hui, estime Djamel Zouaoui, architecte senior d’Octo Technology dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, les technologies d’applications Internet riches (RIA) offrent la productivité attendue à la fois par les utilisateurs et par les développeurs. Djamel Zouaoui animera, en duo avec son collègue David Alia, une session sur le sujet des RIA lors de la prochaine Université du SI d’Octo Technology (les 1er et 2 juillet prochains à Paris, en partenariat avec LeMondeInformatique.fr). Le propos des deux consultants, focalisé sur Flex d’Adobe et Silverlight de Microsoft, privilégie le pragmatisme. Au risque de susciter une petite polémique, car ce choix délibéré écarte de fait plusieurs autres solutions, notamment en Open Source, mais aussi et surtout des technologies plus respectueuses des standards, alors qu’Adobe comme Microsoft s’appuient chacun sur leur ‘player’. Interview à lire et à commenter sur le blog Ingénierie logicielle. (...)

(19/03/2009 20:14:56)

IBM-Sun : Le monde Java inquiet et HP menacé

Et si IBM achetait Sun pour 6,5 Md$ ? Depuis hier que la rumeur circule, le grand bal habituel des réactions et analyses a débuté. Bien qu'aucune des deux firmes n'aient encore souhaité commenté cette hypothèse, plongeons au coeur de ses possibles conséquences. Pour commencer, et sans surprise, le monde Java s'agite. Même si on peut supposer que MySQL et Glassfish constitueraient des offres Open Source d'entrée de gamme satisfaisantes pour IBM, c'est plutôt l'inquiétude qui domine. Sur le site Javalobby, par exemple, certains s'inquiètent de voir IBM favoriser son environnement de développement Eclipse face au Netbeans de Sun. "Quel intérêt pour un même fournisseur d'avoir deux IDE ? " peut-on lire. "A peine Sun acheté, IBM annoncera qu'il arrête NetBeans pour des questions de budget. Et il en ira de même pour toutes les offres pour lesquelles il a déjà une solution." Pour d'autres commentateurs du blog, le serveur d'applications GlassFish, concurrent de WebSphere, est aussi en danger. « Et quid du support commercial de MySQL ? » s'interroge-t-on. La communauté Java partagée A l'opposé, certains estiment qu'IBM aurait un impact positif sur Java. « Il pourrait injecter davantage d'argent dans son développement, » estime ainsi, sur son blog, Fabrizio Giudici, architecte Java. Pour lui, « les produits Open Source de Sun ont une bonne réputation dans leurs communautés et ils pourraient intégrer de nouveaux projets. Cela pourrait augmenter notre charge de travail (non payée) au début, mais les opportunités de marché arrivent quand on les attend le moins. » En outre, la gestion d'Eclipse par IBM a suscité moins de polémique que la gestion du Java Community Process par Sun. Pour Matt Aslett, analyste du 451 Group, la communauté Sun ne devrait en aucun cas craindre qu'IBM fasse disparaître les logiciels Sun. « Bien sûr, les portefeuilles se chevauchent, mais cela ne devrait pas être un problème parce qu'IBM peut utiliser l'offre de son rival pour générer du revenu. Et Big Blue "a déjà de multiples OS et bases de données dans son offre. Il pourrait reprendre son mantra : 'donner le choix à l'utilisateur.' » Jeffrey Hammond de Forrester Research tempère : « La division logiciels d'IBM devra faire face à certains défis importants pour monétiser le portefeuille Open Source de Sun. IBM ne vend pas à des développeurs mais à des patrons de divisions. Or, ce ne sont pas eux qui décident quand on parle d'Open Source. Ce sont bien les développeurs. Nos études le confirment. Sans oublier qu'IBM va devoir réconcilier son modèle économique middleware avec celui de Sun. Et ils sont très différents. » Enfin, la division logiciels de Big Blue n'est pas « structurée pour monétiser un modèle économique basé sur le support de l'Open Source. Et je me demande s'ils arriveraient à atteindre le niveau de service exigé par les clients en la matière. » Le marketing logiciel d'IBM est décentralisé, divisé en multiples marques et ce serait un vrai « défi pour eux d'appliquer le modèle resserré que Sun met en place pour doper l'adoption de l'Open Source ». Ce qui est sûr, selon un autre observateur, « c'est qu'une union IBM-Sun sera positive pour les clients des deux entreprises, mais il est peu probable qu'elle donne naissance à de nouvelles directions majeures dans le monde du logiciel. » Les serveurs, les datacenters et même le cloud [[page]]Et si le logiciel seul n'était pas la raison de l'acquisition ? Nombre d'observateurs voient dans cette hypothétique opération la création du futur géant des datacenters. Et pourquoi pas du cloud, d'ailleurs. IBM est sans nul doute à la tête d'une des gammes de serveurs les plus denses et les plus complètes du marché. De la machine x86 la plus basique jusqu'au grand système (sous Linux aussi, s'il vous plait) en passant par des serveurs Unix et les inépuisables iSeries (toujours connus sous le nom d'AS/400 malgré d'innombrables changements de nom). Sun apporterait sa technologie de containers pour les datacenters IBM exploite ses propres processeurs Power, spécifiques, mais aussi des cartes électroniques reines du supercalcul, les BlueGene. Et malgré ses performances récentes, le Sparc de Sun pourrait bien être la première victime du mariage, s'il a lieu. Peut-être juste avant Solaris... qui aurait du mal à trouver sa place au milieu des nombreux OS d'IBM dont son propre Unix, Aix. Là encore, le salut de la technologie pourrait venir de la stratégie Open Source entamée avec OpenSolaris. Big Blue a aussi développé depuis quelques temps une forte compétence dans le datacenter qu'il s'est fait une spécialité d'optimiser en matière d'efficacité énergétique (matériel, logiciel, climatisation, service, etc.). Sun a lui aussi déployé beaucoup d'efforts en la matière. Et il apporterait entre autres les technologies de son container qu'il a été le premier à maîtriser. Des qualités essentielles en ces temps d'économie d'énergie et de respect de l'environnement. Les deux géants fondus en un seul pourront par ailleurs facilement mixer leurs clouds car ils n'en sont qu'à leurs balbutiements. Mauvais plan pour Cisco, mais surtout pour HP Ces expertises complémentaires des deux Américains dans le monde des centres serveurs, distribués ou non, associées à leurs compétences logicielles, doit sérieusement inquiéter la concurrence. A commencer par HP qui a choisi de son côté d'avaler une énorme société de services, EDS. Il se tord pour l'instant dans des difficultés qui le conduisent à réduire ses effectifs et diminuer les salaires. Que dire de Cisco ? Qu'il se fait voler la vedette de son entrée dans le monde des serveurs par une simple rumeur ? Mais au delà de ça, l'union du Texan et du Californien pourrait lui barrer la route du datacenter pendant quelques temps. Même si un futur IBM-Sun le met moins en danger que HP. Interrogé par Business Week, Steve Ballmer, le patron de Microsoft, a estimé de son côté que l'opération « donnerait à Microsoft un avantage compétitif pendant toute la durée nécessaire à l'intégration des nombreux actifs de Sun dans une seule entreprise. » Une chose est sûre. L'union d'IBM avec Sun donnerait naissance à une famille recomposée de taille avec quelques enfants indésirables. Les doublons seront légion et les choix, cornéliens. Et c'est sans parler pour l'instant, de la réorganisation commerciale. Enfin, aucune fusion ne va jamais sans réduction d'effectifs. Si elle a lieu, celle-ci se concrétisera en pleine tempête économique et n'échappera pas à des coupes massives. Ce ne sera pas le moindre des maux. (...)

(19/03/2009 16:09:42)

La réponse de Software AG à la crise : réutilisez !

« Nous avons le portefeuille de produits parfait pour la crise ! » Le patron de Software AG parlait cette semaine devant un parterre de ses utilisateurs français et de prospects grands comptes, réunis pour la convention annuelle de l'éditeur à Paris, le Business Innovation Forum. Et s'il n'est pas un tribun, Karl-Heinz Streibich sait toutefois trouver les mots justes pour expliquer aux entreprises comment les architectures orientées services et la gestion des processus métier (SOA & BPM) peuvent les aider à optimiser leurs investissements déjà réalisés et à se distinguer de la concurrence. « Une crise, c'est comme un projet : cela a un début, et une fin. Et cette crise finira tôt ou tard. Les entreprises qui investissent, modernisent et automatisent leurs processus seront les gagnantes lorsque la crise sera finie, prédit Karl-Heinz Streibich. Aucune entreprise ne peut gagner en réduisant son périmètre et ses investissements. » La bonne nouvelle, c'est que cette automatisation des processus s'accommode très bien de l'existant. « Ne remplacez pas l'existant, réutilisez-le ! » Le CEO de Software AG vante ainsi les capacités de ses produits middleware, la gamme WebMethods, à fournir une couche d'agilité au-dessus de l'existant, dans le but de concevoir des processus automatisés allant piocher dans telle ou telle application. Comme l'expliquait une fois Pierre Bonnet, directeur technique d'Orchestra Networks et animateur de la communauté Sustainable IT Architecture, lors d'un Forum SOA organisé par LeMondeInformatique.fr, cette approche présente un risque qualitatif, puisque les processus dépendent de la qualité du système d'information existant. Toutefois, on peut envisager une approche incrémentale - la seule qui soit permise, pourrait-on presque dire, en ces temps de crise où les projets ne peuvent dépasser 6 à 9 mois - où des portions du SI seraient remplacées au fur et à mesure. La couche d'agilité rend cela possible, en désolidarisant les processus du SI sous-jacent. Un service en ligne collaboratif pour capturer les processus de l'entreprise Dans tous les cas, crise ou pas, pour Karl-Heinz Streibich, on ne peut prononcer l'avis de décès des SOA. Pour lui, il s'agit d'un « changement de paradigme IT comme il n'y en a que tous les 20 ou 30 ans », qui a le grand avantage de « rendre les utilisateurs indépendants des monopoles des fournisseurs ». Une façon de souligner le caractère indépendant de Software AG - « qui ne vend pas d'applicatifs ni de matériel » - par rapport à des SAP, Oracle, IBM... Finissant son allocution sur un infime trait d'humour emprunté à un client russe, le patron de l'éditeur allemand a expliqué que « SOA est la perestroïka de l'industrie IT ». Côté annonce produit, Software AG a détaillé un projet évoqué lors du Cebit : Alignspace, un outil collaboratif pour capturer les processus et permettre à toutes les parties prenantes d'un département ou d'une entreprise d'agir dessus et de les commenter. Un outil en amont des outils classiques d'analyse des processus métier, censé remplacer les dessins réalisés avec Visio et promenés de service en service. Proposé en tant que service en ligne, Alignspace pourra aussi être accessible à des intervenants extérieurs, lors de phases de conseil par exemple. Puis, les processus ainsi créés pourront être importés dans des outils de BPM. Alignspace est ouvert aujourd'hui en bêta, pour une disponibilité générale prévue début 2010. (...)

(19/03/2009 12:15:49)

Mix'09 : Silverlight 3 disponible en bêta

A chaque Mix son Silverlight. Microsoft dévoilait sa technologie de client riche lors de Mix'07, nouveau rendez-vous pour les designers et développeurs de l'éditeur. La bêta de la version 2 était dévoilée lors de Mix'08, et le Mix'09 de Las Vegas tient ses promesses avec le lancement de la bêta de Silverlight 3. Alors que Microsoft présentait Silverlight face à Flash, et toute sa plateforme cliente face à AIR (Adobe Integrated Runtime), la technologie de RIA (Rich Internet Application) d'Adobe, voilà que Silverlight 3 se dote d'un mode déconnecté autonome : les applications Silverlight pourront ainsi passer de façon transparente du mode connecté au mode déconnecté. Avec quelques avantages par rapport à ce que propose Adobe, souligne Thomas Serval, directeur de la division Plateforme et Ecosystème de Microsoft France : l'intégration dans Windows sera transparente, puisque les applications SIlverlight seront accessibles depuis le menu Démarrer, et les accès aux ressources de bas niveau seront « très limitées », « Microsoft privilégiant la sécurité ». Silverlight 3 proposera toutefois une accélération matérielle profitant des GPU (puces graphiques). La visualisation est l'un des grands points d'amélioration de cette troisième version de Silverlight, puisque l'outil bénéficiera du support du codec H.264 (utilisé pour la diffusion de vidéo HD) et de la technologie Smooth HD, permettant de diffuser la meilleure qualité possible de vidéo en fonction de la connexion de l'internaute. La « superpreview », pour vérifier le rendu dans tous les navigateurs Les développeurs pourront de leur côté ajouter des fonctions cartographiques - de la Terre comme du ciel - avec le support des technologies maison Virtual Earth et Worldwide Telescope. Les outils dont ils disposent dans Visual Studio seront évidemment mis à jour en conséquence, et Microsoft a continué de financer Soyatec pour étendre le support de Eclipse4SL aux environnements MacOS. Côté designers - où Microsoft sait qu'il doit faire des efforts pour rivaliser avec Adobe - la gamme Expression gagnera quelques fonctions bienvenues. Ainsi, Expression Web permettra de « visualiser le rendu d'une page sur tous les navigateurs du marché », une fonction dite « superpreview », ressemblant à ce que proposait il y a peu un ingénieur d'Adobe. Et Expression Blend offrira un mécanisme de « sketchflow » que Thomas Serval juge « bluffant » : la capacité d'importer des dessins crayonnés et/ou des illustrations venant de Photoshop ou Illustrator, afin de s'appuyer dessus pour définir rapidement le design et la cinématique d'une application, et pouvoir travailler dessus de façon collaborative. A noter enfin que des efforts ont été faits en matière de référencement (SEO, search engine optimization) par les moteurs de recherche, pour lesquels les clients riches représentent généralement des boîtes noires. Là, point d'accord avec les moteurs comme pour Flash, mais les objets manipulés par SIlverlight peuvent ainsi être automatiquement transcrits en équivalents HTML, si bien qu'il est possible de « voir une application Silverlight comme un ensemble de pages ». (...)

(18/03/2009 16:49:38)

Avec son cloud, Sun vise les développeurs et les étudiants

Le Sun Storage Cloud et le Sun Compute Cloud se posent en concurrent des offres S3 (Simple storage service) et EC2 (Elastic cloud computing) d'Amazon. Sun, qui serait en pourparlers avec IBM pour se faire racheter, compte mettre son offre à disposition à compter de l'été prochain. Il s'agit des premières briques d'une stratégie baptisée Sun Open Cloud Platform. Sun justifie le vocable d'Open parce qu'il compte ouvrir largement ses API qu'il publiera sous le régime de la licence Creative Common. Il fait d'ores et déjà appel à l'API WebDAV (Web-based Distributed Authoring and Versioning), extension du protocole http destinée à la gestion des fichiers. Sun précise qu'il continue de collaborer avec Amazon pour maintenir une comptabilité entre les deux offres. Les ressources mises à disposition sur le cloud de Sun le seront sous Linux, Windows et OpenSolaris sur plateformes X64 et Sparc. Contrairement à nombre d'acteur sdu domaine, le constructeur vise en priorité les développeurs, les étudiants et les jeunes pousses. De même, ses offres d'hébergement s'adressent avant tout à des projets en cours de développement et non à l'accueil d'éléments d'infrastructure. Ce positionnement rappelle celui du Sun Grid Computing Utility, la première tentative de Sun dans un domaine qui ne s'appelait pas encore le Cloud computing. (...)

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