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Développement
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(22/05/2009 12:14:37)
Mozilla veut que la conception d'extensions Firefox devienne un jeu d'enfant
Les 12 000 extensions pour Firefox créées par 8 000 développeurs au cours des quatre dernières années ne suffisent pas à Mozilla. L'éditeur du navigateur Open Source lève le voile sur Jetpack, un API conçue pour simplifier la réalisation d'add-on, au point d'en permettre le développement par des enfants. Il faudra certes que les codeurs juvéniles aient quelques notions de programmation. Mais, explique Mozilla, Jetpack sera utilisable par tous ceux qui maîtrisent les principaux langages de programmation du Web : HTML, JavaScript et CSS. Ainsi, quiconque capable de bâtir un site Web sera également en mesure de se lancer dans la réalisation d'extensions pour Firefox. Les possibilités offertes par Jetpack s'intègrent directement dans le navigateur. C'est donc dans une page Web que s'effectue la programmation, en s'appuyant sur Bespin, l'espace de développement en ligne de Mozilla. Le déboguage est, quant à lui, exécutable avec Firebug. Pour l'heure disponible en version 0.1, Jetpack peut d'ores et déjà interagir avec des API externes, comme celles de Twitter ou de Youtube, des sites suscitant l'intérêt des concepteurs d'extensions. (...)
(20/05/2009 17:29:30)Microsoft et la Linux Foundation luttent côte à côte contre la garantie des logiciels
Le 19 mai, l'American Law Institute (ALI) a adopté une position de principe sur les garanties contractuelles des logiciels qui contrarie grandement Microsoft et la Linux Foundation. L'éditeur et l'organisme défenseur de l'Open Source avaient même pris soin, quelques jours avant le vote de l'ALI, de signer une lettre ouverte commune dénonçant les conséquences de cette position et invitant l'ALI à en discuter avec eux. Institution respectée, composée de juristes et d'universitaires américains, l'ALI travaille à la clarification de sujets juridiques, afin d'aider les juges à prendre leurs décisions. En l'espèce, l'American Law Institute se penche sur le sujet de la garantie des logiciels depuis 2004, et vient d'aboutir à un document qui, selon Microsoft et la Linux Foundation, crée plus d'incertitudes qu'il n'en résout. Le document stipule en effet que l'éditeur d'un logiciel ne peut s'exonérer de garantir le logiciel en cas de défaut, ce qui est actuellement la coutume : dans les fameux paragraphes « disclaimers » des licences, il est généralement dit que le logiciel est livré « as is », tel quel. Toujours selon les principes de l'ALI, les logiciels obtenus gratuitement seraient exclus de cette disposition, ce qui ne rassure guère les acteurs du logiciel libre. L'OSI (Open Source Initiative) et la Linux Foundation avaient déjà critiqué cette façon de voir les choses, car cela n'exclut pas totalement les logiciels Open Source : quid des logiciels libres livrés sur un support payant, arguent par exemple les signataires de la lettre ouverte. De la flexibilité pour ne pas entraver le marché Pour Microsoft et la Linux Foundation, le texte de l'ALI est dangereux car il pourrait « faire dérailler un marché qui fonctionne bien, accroître l'incertitude pour les développeurs de logiciels et augmenter les risques de contentieux ». Pour eux, il vaudrait mieux laisser au marché une certaine flexibilité. « Les licences logicielles et les modèles économiques évoluent constamment - certaines sociétés font payer leurs logiciels, d'autres facturent les services et le support, d'autres encore comptent sur les revenus de la publicité. Un cadre juridique statique - qui supposerait par exemple que tous les logiciels seront livrés en boîte plutôt que via Internet - deviendrait rapidement obsolète. [...] Les deux parties [client et fournisseur, NDLR] devraient pouvoir choisir ce qui leur convient le mieux, dans la mesure où ils connaissent le cadre de leur transaction. » En Europe, c'est actuellement la commissaire européenne chargée de la consommation qui réfléchit au fait de doter les logiciels d'une garantie de deux ans. (...)
(20/05/2009 16:19:58)Sun veut son « App Store » pour applications Java
Si Apple a réussi à écouler plus d'un milliard d'applications pour iPhone et iPod alors qu'il n'existe que quelques dizaines de millions d'appareils, pourquoi Sun ne pourrait-il pas faire aussi bien sinon mieux en distribuant des applications Java, alors qu'il estime qu'il y a un milliard d'utilisateurs ? Dans son premier billet depuis l'annonce du rachat de Sun par Oracle, Jonathan Schwartz, le patron de Sun, explique ainsi sur son blog qu'il entend bien poursuivre cette « opportunité de revenus ». Sun a toujours eu du mal à monétiser Java. L'inventeur de la plateforme touche bien des royalties lorsque celle-ci est incluse dans des appareils, mais il a surtout pris conscience de la valeur de sa qualité d'intermédiaire grâce au partenariat avec Google. Ce dernier avait signé un accord afin que sa barre d'outils pour navigateurs soit distribuée en même temps que le JRE (Java runtime environment, l'environnement d'exécution Java). Comme l'explique Jonathan Schwartz, le montant versé par Google a été sensiblement revu à la hausse l'année suivante, et cela s'est avéré tellement profitable pour Google que Microsoft a cassé sa tirelire pour remplacer la Google Toolbar par la sienne. Sun validera la sécurité et le contenu des applications Java et percevra des droits pour leur distribution Sun a donc commencé à réfléchir au projet Vector : un catalogue d'applications en ligne, comme l'App Store d'Apple, qui mettra en relation les développeurs Java et les consommateurs. Vector, « qui sera probablement rebaptisé Java Store », précise Jonathan Schwartz, permettra de toucher « un milliard d'utilisateurs Java dans le monde ». Les entreprises ou développeurs intéressés devront soumettre leur application à Sun, qui validera sa sécurité et son contenu, et l'application sera proposée, gratuitement ou non, aux utilisateurs lors de la mise à jour du JRE. Malin, Sun, en plus d'un pourcentage ou d'un tarif fixe pour la distribution, envisage déjà la possibilité de mettre aux enchères la tête de gondole, autrement dit la possibilité de placer son application en tête de la liste. Le public des utilisateurs de smartphones Java devrait être un bon levier [[page]] Jonathan Schwartz a le bon sens de préciser que peu de gens considèrent Sun comme une entreprise B2C (touchant directement les consommateurs). Néanmoins, il estime que la taille du public visé compense plus ou moins ce handicap : des banques pourraient ainsi créer des applications qui toucheraient quasiment tous les utilisateurs de PC Windows. Cependant Sun est totalement inconnu du grand public, et Oracle ne l'est pas davantage, ce qui n'est pas très encourageant. Quant aux projections financières, elles sont très difficiles à définir. Selon les analystes, Apple aurait réalisé entre... 20 et 200 M$ de chiffre d'affaires grâce à l'App Store. Un chiffre qui devrait bientôt exploser, quand l'iPhone 3.0 autorisera les micro-paiements, sur lesquels la firme de Cupertino percevra aussi son pourcentage. Pour Sun, cela pourrait passer par les utilisateurs de téléphones mobiles : les LG, Samsung et autres fabricants intégrant Java dans leurs appareils n'ont pas encore lancé de véritable service de téléchargement. Les seuls gros concurrents seraient alors Google, qui a commencé à instituer une place de marché pour Android, et les opérateurs partenaires de ce dernier comme SFR. Les spécifications complètes du service devraient être annoncées lors de la conférence JavaOne, le 2 juin prochain. (...)
(19/05/2009 17:56:31)Jboss hisse son moteur de règles au niveau des BRMS
Au pays des règles métier, il y a les moteurs, qui permettent de coder une partie de la logique applicative sous forme de règles, et les BRMS (Business rules management systems), qui sont des outils complets incluant un référentiel et des interfaces accessibles à des utilisateurs avertis. Jboss vient de passer dans la seconde catégorie, avec le lancement de son Enterprise BRMS. Pour Mike Gualtieri, analyste senior chez Forrester Research, il s'agit d'un grand pas en avant, Jboss pouvant ainsi concurrencer des offres comme celles d'Ilog ou de Pegasystems. Le référentiel est en effet indispensable pour gérer à la fois les versions des règles, et pour la traçabilité. Le moteur de règles est issu du projet Open Source Drools. Les règles peuvent donc être écrites en Drools Rules Language, ou bien provenir d'arbres de décision élaborés dans Excel ou OpenOffice. L'interface Web et le référentiel de règles ont été développés au sein du projet Guvnor, hébergé sur Jboss.org. Jboss BRMS prend évidemment toute sa place dans l'offre middleware de Red Hat, qui cherche à s'imposer comme fournisseur d'une plateforme SOA complète en Open Source. Les BRMS donnent en effet de la flexibilité aux systèmes d'information, car la logique applicative peut être modifiée beaucoup plus rapidement - sans passer par un cycle complet de développement. Ils sont notamment recommandés par la communauté S-IT-A (Sustainable IT Architecture) et par le Ceisar. (...)
(18/05/2009 17:52:28)SFR récompense les développeurs Android
En six semaines, SFR a reçu plus d'une centaine de dossiers pour son concours « Jeunes talents développeurs », et finalement récompensé 5 projets d'applications pour la plateforme Android. Les quatre projets distingués par un jury de professionnels se sont ainsi partagé 50 000 euros. Surtout, note Didier Girard, directeur des opérations et de l'innovation de la SSII Sfeir et membre du jury, « cela a permis aux développeurs de se connaître ». Autrement dit, de créer une émulation, une communauté de développeurs avides d'utiliser la liberté donnée par le système d'exploitation mobile de Google. Le grand gagnant, DidUnozat, permet tant aux concepteurs d'applications qu'aux utilisateurs de créer des fiches de type 'trucs et astuces'. L'idée est de faciliter la prise en main des applications, mais aussi d'inciter à partager ses trucs - et partant d'accélérer la diffusion des applications. Il y a donc à la fois un aspect collaboratif et un aspect viral, ce qui a séduit le jury. En 2e place, SOS a aussi une double approche : il s'agit d'avoir sur soi une sorte de carte de santé, avec liste des proches à contacter, mais aussi de pouvoir avertir les secours en cas d'accident, et d'aider à porter secours. En 3e place, DroidTracker permet d'interroger un mobile sous Android à l'aide d'un SMS (écrit depuis n'importe quel mobile). L'inventeur de l'applicatif cite par exemple le patron d'une société de livraison qui pourra ainsi savoir à tout instant où sont ses chauffeurs. « Il s'agit d'une application, explique Didier Girard, qu'on ne pourrait pas trouver sur l'iPhone, qui interdit l'exécution de programmes en tâche de fond. » En 4e position, le jury a distingué AndroPan, qui donne la possibilité d'assembler les photos prises avec un appareil sous Android pour créer des panoramas et les diffuser automatiquement sur le Web. Des applications bientôt mises en avant sur un « appli store » accessible aux mobiles Android [[page]] Le cinquième gagnant, qui se voit lui récompensé par un HTC Magic sous Android, a de son côté été désigné par le public. Avec une note de 3,4 sur 5 (et 152 votes), Hi-Hiker est une sorte de boîte à outils pour le randonneur qui, là aussi, exploite des possibilités non présentes sur l'iPhone (du moins dans sa v2), comme l'exécution d'applications en tâche de fond, ou la boussole. Le jury a également décerné trois mentions spéciales, à Wikitude, qui ajoute des informations aux images vues dans le capteur photo (principe de la réalité augmentée) et à deux applications diffusées en Open Source, Restlet, qui permet d'échanger les carnets d'adresse de téléphone à téléphone, et Shelves, pour gérer sa bibliothèque. D'ici quelques jours, toutes les applications gagnantes seront mises en avant, explique Raphaël Marbeck, responsable des applications sur OS ouverts chez SFR, sur le site SFR Android accessible depuis le Magic. Les autres participants devraient aussi probablement être référencés sur les sites de téléchargement de SFR. Impossible en revanche pour l'instant de connaître les chiffres de diffusion ou les projections de vente des mobiles sous Android. (...)
(15/05/2009 16:54:18)Sapphire : Hasso Plattner prône le stockage vertical et en mémoire
L'information au bout des doigts. SAP, comme les autres, l'avait promis. Au final, les doigts doivent patienter des minutes voire des heures pour obtenir l'information. Hasso Plattner, cofondateur de SAP et président du conseil d'administration, l'a reconnu lors de son intervention à la conférence Sapphire de l'éditeur allemand à Orlando, le 13 mai dernier. Mais il a fait une promesse : si les bonnes technologies sont adoptées d'ici 18 à 24 mois, le patron d'une entreprise de la taille de SAP devrait pouvoir accéder à n'importe quelle donnée du progiciel en moins d'une seconde. Trois piliers technologiques sont nécessaires pour parvenir à ce résultat, selon Hasso Plattner : le multicoeur (et des applications parallélisées), des bases de données en mémoire et du stockage en colonne. Le docteur Plattner a fait précéder son intervention d'une série d'affirmations interpellant l'auditoire (voir en encadré ci-dessous). Son but était de pointer le fait que la puissance de calcul continue d'augmenter, mais que cette puissance est gâchée, du fait de solutions de stockage totalement inadaptées. Le stockage en colonnes, ignoré par tous - « y compris par SAP » Comme Hasso Plattner ne peut guère intervenir sur les supports de stockage, il a fait part d'une expérience menée avec des étudiants d'une faculté scientifique allemande sur la façon de ranger les données en base et d'y accéder. Hasso Plattner a ainsi découvert une technologie « qui existe depuis 15 ans, mais que les éditeurs comme SAP ont ignorée jusque là », le stockage en colonne (ou stockage vertical). Cette technique, mise en oeuvre par quelques bases spécialisées comme Sybase IQ ou Vertica, consiste à accéder aux données par colonnes et non par lignes. Selon les experts du domaine, cette méthode accélère grandement les accès lorsqu'il s'agit de lire les données. C'est pourquoi Sybase l'a implémentée, par exemple, dans sa base destinée aux solutions décisionnelles, ou pourquoi Google s'en est inspiré pour concevoir sa base BigTable qui stocke les éléments de ses pages Web. Vu le taux de compression du stockage vertical, tout peut tenir en mémoire [[page]] En outre, a indiqué Hasso Plattner, le stockage vertical affiche « des taux de compression 10 fois supérieurs à ceux du stockage traditionnel ». Sachant qu'une carte-mère actuelle peut accueillir jusqu'à 144 Go de RAM, « et que cela devrait monter à un demi-téraoctet dans 18 mois », cela ouvre des perspectives intéressantes pour monter toute une base de données en mémoire vive. En revanche, le stockage vertical donne des résultats bien moins bons lorsqu'il s'agit de mettre les données à jour, c'est pourquoi - malgré les rodomontades du fondateur de Vertica, Michael Stonebraker - il n'est pas utilisé pour les applications transactionnelles. Dès lors, les données de production doivent passer par le filtre de l'ETL pour alimenter un entrepôt de données qui servira de support à des applications analytiques ; autant dire, a expliqué Hasso Plattner, que l'information date un peu quand on la présente sous une forme lisible au dirigeant de l'entreprise. Un accès dans la seconde à toute donnée dans 250 millions d'enregistrements Avec son équipe universitaire, Hasso Plattner a décidé de passer outre les traditionnelles objections. « Nous avons étudié les solutions dont on disait qu'elles ne marcheraient jamais. » Au final, ils ont abouti à un prototype dont la démonstration sur scène était plutôt bluffante : une interface Excel 2007 couplée au système de recherches de données T-REX, de SAP, et à une variante - développée pour l'occasion - du langage de requête SQL, permettait d'accéder dans la seconde à des données de production (une base empruntée à un gros client, totalisant 250 millions d'enregistrements). Pour parvenir à ce résultat, Hasso Plattner est parti du principe que les bases transactionnelles avaient rarement besoin de mettre des données à jour : « dans 15% des cas pour les applications de prise de commande, dans 5 à 10% des cas pour les applications financières ». Du coup, la chose peut être réglée grâce à des insertions, ce qui permet de ne jamais verrouiller la base. Parmi les autres avantages, le stockage vertical élimine la nécessité de réaliser des agrégats (sous-ensembles présélectionnés de la base), et élimine aussi la redondance des informations : reprenant des champs couramment dupliqués, Hasso Plattner a expliqué qu'il y a un nombre limité de pays, de devises... ou de sexes. Au final, la base s'en trouve réduite d'un facteur 20. Arguant bien du fait qu'il n'est pas un dirigeant exécutif de SAP, Hasso Plattner s'est refusé à prendre tout engagement sur la transformation de ce prototype en produit. Il espère bien néanmoins pouvoir revenir sur scène dans un an avec un projet mené cette fois par la R&D de SAP. (...)
(15/05/2009 14:57:16)L'Open Database Alliance veut fédérer les énergies autour de MySQL
A l'initiative de Monty Widenius, l'un des fondateurs de MySQL, l'Open Database Alliance (ODA) vient de voir le jour. Alors que MySQL se retrouve dans giron d'Oracle à l'occasion du rachat de Sun Microsystems, cette association à l'ambition de devenir un lieu d'échange pour tous les acteurs gravitant dans l'écosystème de la base données en Open Source. ODA veut ainsi faciliter la coordination des développements et des évolutions autour de ce SGBD. A l'initiative de la création d'ODA, on trouve deux sociétés. D'une part, Monty Program ab, spécialiste de l'ingénierie sur MySQL, qui développe MariaDB, une variante libre de MySQL. D'autre part, Percona, société fondée par Monty Widenius qui propose des prestations de service et de support sur MySQL. (...)
(14/05/2009 16:05:44)Google accuse les navigateurs de mal gérer Javascript
Steve Souders, le "Chief performance engineer" de Google, explique la lenteur d'affichage des pages Web par la façon dont les navigateurs traitent les codes JavaScript intégrés aux pages. Selon ce transfuge de Yahoo, où il exerçait les mêmes fonctions, les temps de réponse des serveurs Web ne contribuent qu'à hauteur de 10 à 20% dans le temps total nécessaire à l'affichage d'une page. Le frein principal provient de la façon dont les navigateurs de "première génération" exécutent les codes Javascript. Leur mode de traitement séquentiel explique leur lenteur. Selon lui, la solution réside dans la combinaison PC de dernière génération, équipé de processeurs multicoeurs, et navigateur dernier cri. Internet Explorer 8 et Google Chrome, ainsi que, bientôt, Firefox 3.5 savent mieux gérer l'exécution des codes Javascript. Malgré les mécanismes de mise à jour utilisés par Microsoft, qui avec ses trois versions de navigateurs détient 50,5% du marché, les anciennes versions, IE 6 et IE 7, restent prédominantes : IE 8 ne totalise que 2,3 % du marché. En sus de l'équipement, une autre méthode permet d'accélérer l'affichage des pages Web. En effet, on oublie souvent que la plupart des codes Javascript embarqués dans une page sont liés aux publicités. En désactivant les codes Javascript de celles-ci, les performances d'affichage s'améliorent nettement. Sur Firefox, l'association des add-on AdBlockPlus et NoScript fait des merveilles. Elle permet de n'autoriser que les codes Javascript émis directement par le site consulté. L'accélération de l'affichage des pages est patente, sans avoir à changer ni de micro-ordinateur, ni de navigateur. En revanche, cela condamne les sites qu'on consulte et qui ne vivent que de la publicité - comme Yahoo, Google... ou LeMondeInformatique.fr. (...)
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