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(19/01/2010 09:31:07)

Lotusphere 2010 : IBM propose la bêta de sa suite bureautique gratuite Symphony 2.0

IBM profite de la conférence Lotusphere, qui se tient du 17 au 21 janvier à Orlando, pour dérouler la feuille de route de la prochaine version de sa suite bureautique gratuite, Symphony, basée sur le code d'OpenOffice.org 3.x. Actuellement en version bêta sous le nom de code Vienna, celle-ci sera disponible au plus tard à la fin du mois de juin 2010. Symphony inclura le support du format Open Document 1.2, la compatibilité avec les objets OLE, les macros VBA, et de nouveaux plug-ins. L'éditeur indique que l'importation de documents Office 2007 sera améliorée. La suite comportera également de nouvelles fonctionnalités de tableaux, offrira des fonctions de rendu pour les objets graphiques et comprendra des API Java et LotusScript plus riches. Un installeur pour Notes sera fourni. Symphony continuera à supporter le format .docx, au coeur d'une bataille judiciaire opposant Lotus à Microsoft à propos des droits du brevet i4i concernant ce format de document. Vienna -Symphony 2.0 en version finale- sera aussi dotée de fonctions de tables liées. La suite supportera l'affichage multiple de documents, ainsi qu'un nombre de 1 024 colonnes maximum dans sa fonction tableur. Enfin, elle gèrera le support multi-moniteur et son module de présentation disposera de fonctions audio et vidéo. [[page]] IBM Lotus qui présente les trois applications - Documents, Tableur, Présentation - de Symphony, comme une alternative bon marché à Microsoft Office et à Google Docs, affiche aussi son intention d'assurer un avenir pérenne à sa suite logicielle. Ainsi l'éditeur fait savoir que Vienna sera suivie de deux mises à jour d'ici à mars 2011 avec une longue liste de nouveautés déjà prévues au programme. La première, Amsterdam, annoncée pour la fin septembre, disposera de macros VBA plus affinées et offrira une meilleure compatibilité avec Office 2007. Elle inclura aussi des filtres pour le format HTML et des API pour la gestion de la présentation et des documents, plus efficaces. Enfin, elle sera dotée d'une bibliothèque de modèles pour l'entreprise, et d'outils de management. Au cours du premier semestre 2011, IBM/Lotus publiera une seconde mise à jour à sa suite Symphony sous le nom de code actuel de Berlin. Celle-ci arrivera avec des macro VB renouvelées et une meilleure intégration avec les autres logiciels de Lotus, notamment Foundations et Connections, sans compter des API encore plus performantes. La version bêta de Symphony sera téléchargeable dès cette semaine gratuitement à partir du site web d'IBM pour plateformes Mac, Windows, Ubuntu Linux, Red Hat Linux et SUSE Linux. (...)

(18/01/2010 14:09:19)

Trophées Le Monde Informatique / CIO 2010 : déposez votre candidature !

Les Trophées Entreprises et Société de l'Information récompensent chaque année l'apport de l'informatique aux métiers de l'entreprise. Cette manifestation est organisée par les rédactions du Monde Informatique, de CIO et de Réseaux et Télécoms. Sur le site suivant, vous pouvez télécharger le dossier de candidature à l'édition 2010. La saisie des informations prend moins d'une heure. Le dossier est à transmettre avant le 21 février 2010, au format PDF exclusivement pour en simplifier la lecture. Une caractéristique importante de cet événement réside dans la diversité des profils des nominés et des lauréats. Qu'une organisation soit de petite ou de grande taille, qu'elle soit une entreprise privée, une administration, une association ou une structure parapublique, ce qui compte avant tout est la valeur ajoutée apportée au métier par l'informatique. Plusieurs axes peuvent être mis en avant par les candidats dans leurs dossiers, par exemple : - La stratégie du SI et son alignement sur le métier et la stratégie générale de l'entreprise, de l'association ou de l'administration ; - La transformation de l'entreprise, de ses méthodes et de son organisation, grâce au SI, notamment pour gagner en agilité ou réduire ses coûts ; - Le développement de la responsabilité sociétale de l'organisation (moindre empreinte carbone, recyclage des déchets électroniques...) ; - L'innovation au service des métiers. Une amélioration de rupture dans un processus déjà bien établi. - La conduite du changement : suite à une transformation du SI, il est nécessaire d'accompagner l'évolution des métiers avec les formations adéquates. Un fournisseur de solutions informatiques ne peut pas être candidat mais peut encourager l'un de ses clients à postuler. (...)

(15/01/2010 12:34:30)

MDM : Talend veut refaire le coup de la démocratisation

« La situation est très proche de celle qu'on a connue il y a quatre ans dans l'intégration de données, explique Fabrice Bonan, cofondateur de l'éditeur : il y a sur le marché du MDM des éditeurs qui vendent très cher des solutions fermées, et finalement, le principal concurrent sur ce marché, ce sont les développements informatiques internes aux entreprises. »

Talend, qui revendique aujourd'hui 1,5 million de téléchargement de son offre ETL (Extract, transform and load, extraction, transformation et chargement de données) couplée à ses outils de qualité de données, réalise son chiffre d'affaires en vendant des modules complémentaires de plus haut niveau. L'éditeur fera exactement la même chose pour le MDM, un marché très prometteur : Gartner estimait le marché à 1 Md$ en 2007, et le voyait grimper à 2,8 Md$ en 2012.

Le principe du MDM est de constituer une base de données de référence, consultable par les différentes applications (opérationnelles ou analytiques) et parties prenantes d'une entreprise. Cela implique des outils de récupération de ces données, de nettoyage et d'enrichissement, mais aussi de publication. Talend s'appuie donc pour ce faire sur ses propres outils, ainsi que sur les actifs de la société Amalto, rachetés il y a quelques mois.

Une gestion différenciée des rôles et des possibilités de workflow

L'offre Open Source, dite Community edition, sera téléchargeable gratuitement dans une dizaine de jours. Elle comprendra l'essentiel pour mettre en oeuvre un projet de MDM : les outils de modélisation graphique, les connecteurs et outils d'intégration, les indicateurs de qualité et les outils de recherche et de création de formulaires Web. Le tout est piloté depuis le studio Talend. Si l'offre paraît solide pour un prototype ou un projet départemental, elle risque de s'avérer rapidement insuffisante pour un projet un peu plus ambitieux. De fait, outre des possibilités avancées de nettoyage des données, l'édition Entreprise comporte les outils nécessaires pour une utilisation à plus grande échelle : console de supervision, connexion à l'annuaire Active Directory et gestion différenciée des autorisations selon les rôles, gestion des versions et possibilités d'audits, et enfin mise en oeuvre de workflows, grâce à un partenariat OEM avec BonitaSoft.

Petit Poucet sur un marché dominé par des gros acteurs du middleware (SAP, Oracle, IBM...) et des acteurs spécialisés dans le CDI (Customer data integration, intégration des données clients) ou le PIM (Product information management, gestion des données produit), Talend a recruté un spécialiste de ce marché, Jim Walker, ancien d'Initiate Systems, pour faire connaître sa solution. Comme pour l'ETL, les cibles visées en priorité sont les entreprises de taille moyenne, mais comme pour l'ETL, Talend espère bien que les plus grandes entreprises suivront naturellement. La tâche de Jim Walker sera facilitée par l'arrivée d'un autre acteur sur ce secteur avec les mêmes ambitions de démocratisation : Microsoft. La version 2008 R2 de SQL Server, attendue ce semestre, comportera en effet des outils de MDM sans supplément de prix. « Qu'un acteur de cette taille arrive avec une offre accessible, s'enthousiasme Jim Walker, cela valide notre approche. »
(...)

(14/01/2010 11:40:45)

Les clients des RIA Adobe témoignent : productivité et fluidité sont au rendez-vous

Plus de productivité en interne et davantage d'interactions avec les clients : Flash n'est pas là que pour faire joli, et Adobe veut le faire savoir. L'éditeur a organisé pour la deuxième fois consécutive à Paris, en fin d'année, une journée consacrée aux applications Internet riches (RIA), Adobe Business Exchange RIA 2009. De nombreux représentants d'entreprise ont encore une fois répondu à l'appel et, malgré un criant manque de démonstrations 'live', couvert les différents aspects de la solution, de la réflexion en amont jusqu'aux résultats obtenus. En ouvrant cette journée, Rachel Hunt, directrice de recherches pour IDC Financial Insights EMEA, a expliqué que les RIA peuvent avoir autant d'intérêt sur Internet et intranet : « Cela permet de différencier l'entreprise vis-à-vis des utilisateurs externes, et cela apporte plus d'efficacité en interne. » Une étude menée par IDC en Europe détaille ainsi les principaux avantages des RIA : collaboration accrue entre départements d'une entreprise (47%), productivité accrue (46%), plus d'interactions avec les clients (45%), capacité donnée aux employés de prendre des décisions en temps réel (34%), meilleur moral des employés (33%)... Directeur technique d'Orange Vallée, structure d'incubation de projets innovants liés à Internet haut débit, filiale de France Telecom, Jean-Guillaume Birot a évoqué un aspect primordial pour les développeurs d'applications : la possibilité de fournir « une expérience utilisateur coordonnée sur les quatre écrans (ordinateur, smartphone, MID [appareil connecté à Internet] et set-top box [boîtier connecté à Internet branché sur la télévision]) avec une grande richesse fonctionnelle et ergonomique ». Pour lui, les RIA sont la réponse à ce problème ; elles évitent d'avoir à porter un projet d'une technologie ou d'un type d'écran à l'autre. Flash présente ensuite le double avantage de pouvoir servir à réaliser rapidement des prototypes, et d'être adapté pour « des gens qui viennent du monde J2EE ». Une promesse de client universel encore dure à tenir sur les mobiles et les set-top box Tout n'est pas encore merveilleux, a toutefois noté Jean-Guillaume Birot. « Il y a besoin d'outils rapprochant le design et le développement. » A cette fin, l'équipe d'Orange Vallée explore Flash Catalyst, un tout nouvel outil dans la gamme d'Adobe, permettant d'assembler des éléments graphiques pour créer des interfaces Flash prêtes à intégrer pour les développeurs. Autre inconvénient des RIA : leur insertion dans un site remet en cause les politiques d'optimisation pour les moteurs de recherche, les formats publicitaires et les choix de gestionnaires de contenus. Enfin, côté mobiles, le déploiement des RIA reste problématique, la faute à « l'hétérogénéité des technologies et des contraintes des opérateurs » ; idem pour ce qui est des set-top box et autres MID, souvent basés sur Linux, un OS « où on attend les mêmes performances », a remarqué Jean-Guillaume Birot. Toujours chez Orange, une autre équipe a choisi les RIA non pas pour harmoniser différents écrans, mais pour intégrer plusieurs comptes et services au sein d'un même écran : le portail Next eCare, où le client Orange doit pouvoir gérer à la fois son abonnement au fixe, au mobile, à Internet... Côté client, a expliqué Franck Mendras, directeur du projet, « l'objectif est de lui simplifier la vie ». Mais l'intérêt est surtout pour l'équipe marketing, qui peut ainsi « cibler les offres en fonction de chaque client ». Et de rappeler qu'un site plus attrayant, c'est un facteur d'économies (Orange prévoit d'éviter 6 millions d'appels au call-center entre 2008 et 2011, soit 19 M€ d'économies), mais « cela devient aussi un vecteur de vente ». Des interfaces rapidement prises en main par les utilisateurs [[page]] Parmi les autres projets, on peut encore noter que chez BNP Paribas Assurance, les RIA servent d'interface Web à une application de workflow Tibco. Cela permet de décliner l'interface en fonction des rôles, d'offrir aux utilisateurs un système de défilement d'écrans plus convivial qu'en HTML simple (avec un panneau latéral pour revenir à une étape, par exemple), de réaliser des glisser-déposer, de visualiser des données sous forme graphique... Dict.fr, plateforme d'échanges de documents dématérialisés, a de son côté remplacé l'application PHP/MySQL datant de 2002, « en limite de son potentiel », afin de pouvoir « multiplier la charge par 5 minimum ». Le développement a été effectué en Flex, la transmission des données confiée à LiveCycle Data Services, entre le front-end en Flash et le back-end, réalisé cette fois en J2EE, sur Jboss et PostGreSQL. Les concepteurs de l'application louent la compatibilité de leur solution avec les différents systèmes d'exploitation et navigateurs du marché, la possibilité de réaliser simplement des cinématiques complexes et un temps de formation des clients à l'outil divisé par deux. En revanche, notaient-ils, cela demande de forger de nouvelles compétences, pour appréhender le framework Flex, pour associer ergonomie et technique, et enfin pour traquer les fuites mémoire ! Le DSI de Virgin Mobile avoue avoir dû également optimiser le code pour obtenir des performances correctes. Chez cet opérateur virtuel, les RIA ont servi à améliorer les capacités de qualification lors d'un appel au service après-vente. Les préposés au SAV avaient du mal à qualifier les incidents et proposer un diagnostic. « Le client riche a simplifié le travail du service informatique en rendant l'arbre de diagnostics configurable par les utilisateurs métier, a expliqué le DSI, Franck Lohez. Aujourd'hui, 500 questions sont paramétrées. » Surtout, cela évolue chaque semaine, les utilisateurs affinant eux-mêmes l'application. Le succès a été rapidement au rendez-vous, puisque « le retour sur investissement a été atteint en deux mois et demi ». Les applications paraissent plus fluides alors que seules leurs interfaces changent Au-delà de Flash, on aura pu retenir de cette journée deux faits marquants. D'abord, les RIA, de par leur attrait, leur ergonomie, leur convivialité, font paraître les applications plus fluides, plus rapides, quand bien même la logique applicative ou le processus sont restés inchangés : « Les utilisateurs disent que les processus de gestion sont plus fluides, alors qu'on a juste changé l'interface ! » témoignait par exemple Ludovic Charre, responsable socles à la Maaf. Pire, chez Canal Plus, pour l'application Web de recommandation des programmes, on a constaté que « les effets de transition ralentissent un peu l'application, mais paradoxalement les utilisateurs trouvent ça plus fluide ». Ensuite, les méthodes agiles sont les meilleures alliées des développements d'interfaces riches. Prototypage rapide, projet itératif, parmi les grandes entreprises et leurs prestataires venus témoigner, tout le monde ou presque a insisté sur cette alliance RIA/méthodes agiles, jugée parfaitement naturelle. Comme l'a confié Ludovic Charre, « les maquettes permettent d'alimenter la discussion ». Les possibilités graphiques des RIA permettent d'envisager sereinement plusieurs présentations pour les mêmes données : « c'est un grand avantage pour nous par rapport aux besoins des gens du marketing ». Chez France Telecom, c'est la volonté de faire travailler ensemble les équipes métier et informatique qui a conduit « à innover dans la conduite de projet », et à choisir les méthodes agiles, avec des itérations de 4 à 6 semaines. Même constat pour Dict.fr, pour qui le développement itératif a permis de renforcer l'interactivité avec la MOA dans la phase de conception des IHM. (...)

(13/01/2010 16:56:52)

Springsource confie à Eclipse son dmServer

Bonne nouvelle pour les utilisateurs de dmServer, le serveur d'applications Java de Springsource : la version 2.0 est disponible depuis hier, et sa base installée pourrait bien s'accroître grâce à un changement de licence. L'éditeur, désormais filiale de VMWare, a en effet annoncé qu'il confiait le développement de dmServer à la communauté Eclipse, sous le nom de projet Virgo. Selon Springsource, cela répond à la volonté d'accélérer l'adoption des standards OSGi en entreprise (mis au point par un consortium d'éditeurs, OSGi vise à simplifier le développement modulaire et l'intégration dans le monde Java). Dans les faits, cela signifie aussi que le logiciel passera du système de la licence duale (Open Source GPL et commerciale, suivant l'exemple de MySQL) à la licence Open Source d'Eclipse, EPL. Cela met donc de côté les risques liés à la viralité de la GPL. Des développeurs d'applications qui souhaitaient s'appuyer sur dmServer et devaient acquérir une licence commerciale pour ne pas avoir à ouvrir leur propre code à cause des clauses de la GPL pourront désormais utiliser et redistribuer le code du logiciel libre. Au côté des produits largement utilisés de Springsource - le framework Spring, le conteneur Web Tomcat, le langage Groovy... - dmServer avait plus de difficulté à s'imposer sur un marché déjà bien occupé, même en Open Source (Jonas, GlasFish, Jboss...). Malgré ce qu'en dit Springsource, il n'est pas sûr que le changement de marque en faveur d'Eclipse accroisse vraiment son adoption. Le changement de licence le fera plus probablement, mais aux dépens du chiffre d'affaires de l'éditeur. On peut donc en conclure que la filiale de VMWare a fait une croix sur les revenus potentiels de la technologie avec l'espoir qu'elle devienne un standard de fait. Du côté d'Eclipse, Mike Milinkovich, président de la Fondation, se réjouit en pensant que cela décuplera les efforts de l'organisation pour mettre au point une plateforme d'exécution modulaire pour Java, ce qui est en tête des projets stratégiques en ce moment. (...)

(11/01/2010 14:40:56)

Progress s'offre Savvion, un «leader» du BPM

Rick Reidy avait prévenu en prenant les rênes de Progress Software : il ferait en sorte que la gamme de logiciels d'infrastructure de l'éditeur ait l'air d'une véritable suite, déclinée selon des besoins métier. Au besoin, cela continuerait de se faire au travers d'acquisitions : c'est le cas aujourd'hui, puisque Progress achète pour environ 49 M$ nets Savvion, acteur du BPM (Business process management, gestion des processus métier) classé par Gartner comme un des leaders du secteur. Progress comble avec ce rachat un manque évident par rapport à la direction que l'éditeur souhaite prendre : il lui faut en effet, après avoir accumulé les briques d'infrastructure (rachats de Xcalia, Iona, Apama, Actional...), évoluer vers des solutions de plus haut niveau, capables de gérer des règles métier et des processus. Et après l'acquisition de Lombardi par IBM, il restait peu d'acteurs déjà bien implantés sur le marché du BPM à la portée d'un acquéreur de taille moyenne. Gartner dit ainsi de Savvion BusinessManager 7.5 qu'il s'agit d'une des suites de BPM les plus matures, et qu'elle est capable de gérer de grands volumes de flux. Autre avantage pour Progress, le logiciel de Savvion est basé sur les standards et conçu selon une orientation services, ce qui le rend théoriquement simple à intégrer avec les autres produits. Suite à l'acquisition, qui intervient quelques jours après la clôture de l'année fiscale, Progress prévoit une légère hausse de son chiffre d'affaires pour 2010 par rapport aux estimations formulées à l'annonce des résultats : la fourchette est de 538 à 548 M$ (normes Gaap), contre 520 à 530 M$ (normes Gaap) attendus précédemment. Faible hausse, donc, mais qui ne doit pas masquer le mouvement de bascule à l'oeuvre chez Progress. En 2008, la gamme d'outils de développement OpenEdge était encore largement majoritaire dans le chiffre d'affaires de Progress, avec 331 M$ sur 518 M$. En 2009, elle est descendue à 276 M$, alors que dans le même temps, la gamme de logiciels d'infrastructure grimpait de 85 à 128 M$ (sur un chiffre d'affaires total en baisse, à 497 M$). (...)

(31/12/2009 12:36:32)

Interview exclusive de Scott Guthrie, le père de Silverlight

Après l'annonce surprise de la version 4 de Silverlight à la conférence PDC de Los Angeles, Scott Guthrie, père de la technologie de client riche de Microsoft, a entamé une tournée européenne pour présenter la stratégie et les développements à venir. Dans un entretien exclusif avec LeMondeInformatique.fr, il expose sa vision, et positionne Silverlight par rapport à WPF (la technologie d'interface apparue avec Vista et dont il est issu), Flash/Flex (les concurrents d'Adobe), HTML 5 (en cours d'adoption par les navigateurs)... Une version longue de l'entretien, publiée sur le blog Ingénierie logicielle, aborde également les évolutions de .Net 4 et Visual Studio 2010, dont la sortie est prévue au plus tard en avril 2010. - L'interview sur Silverlight 4 - La version intégrale de l'entretien (...)

(29/12/2009 13:37:57)

Monty Widenius lance une pétition pour « sauver MySQL »

« Sauvez MySQL ! » C'est un appel au monde entier que lance Monty Widenius. Le père de MySQL a en effet mis en place un site appelant les internautes à signer une pétition, dont une première version sera remise dès le 4 janvier prochain aux autorités de régulation de l'Union européenne. Plusieurs pages, traduites en français, expliquent pourquoi la base Open Source, et partant ses utilisateurs, auraient à souffrir si l'UE autorisait en l'état l'acquisition de Sun par Oracle. Michael 'Monty' Widenius prend d'ailleurs largement le temps de répondre à l'argument numéro un de Larry Ellison, le patron d'Oracle, qui soutient que puisque MySQL est Open Source, il n'y a aucune inquiétude à avoir. Chacun est libre de créer un 'fork' (une version dérivée), reconnaît le développeur et homme d'affaires finlandais, mais il ne pourrait bénéficier du nom (Monty Widenius a d'ailleurs lui-même repris le code de MySQL dans MariaDB) et donc de la notoriété de la marque, et serait condamné à gagner sa vie sur les services, alors que MySQL proposait aussi des outils associés vendus sous licence propriétaire. C'est pourquoi, explique-t-il, personne n'a concurrencé MySQL avec un 'fork', et pourquoi Sun a dépensé un milliard de dollars pour racheter un éditeur Open Source. « MySQL doit être cédé à une tierce partie ou publié sous licence Apache » A l'inverse, dit-il, une licence plus permissive que la GPL, telle qu'une licence Apache, permettrait vraiment à l'écosystème de se maintenir. On peut bien sûr objecter à Monty Widenius qu'il a lui-même choisi la GPL au départ. Mais les circonstances ont changé, dans la mesure où Oracle réalise la majeure partie de ses astronomiques bénéfices avec sa base de données. Quel intérêt aurait-il à promouvoir MySQL, interrogeait Monty Widenius dans un entretien publié le mois dernier sur LeMondeInformatique.fr. La pétition laisse les gens libres de choisir une ou plusieurs options permettant d'assurer un meilleur avenir à MySQL. Trois propositions sont formulées : « MySQL doit être cédé à une partie tierce appropriée qui pourra continuer son développement sous les termes de la GPL », ou « Oracle doit s'engager à permettre une exception de linkage pour les logiciels qui utilisent MySQL avec des librairies clientes (pour tous les langages de programmation), pour les greffons et libmysqld. MySQL en lui même reste sous licence GPL », ou encore « Oracle doit publier toutes les versions précédentes et futures de MySQL (jusqu'en décembre 2012) sous la licence Apache Software License 2.0 ou une licence permissive similaire afin que les développeurs de logiciels et de versions dérivées (forks) puissent avoir une flexibilité concernant leur code ». (...)

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