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Développement
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(08/02/2010 17:15:38)
Moonlight 3.0, la technologie Silverlight sur Linux, arrive en version alpha
Selon une information publiée sur le site du projet Mono, la version 3.0 de Moonlight, le plugin pour navigateur Internet qui permet de développer des applications web riches dans un moteur de rendu vectoriel, est maintenant disponible en version alpha. Cette mouture permet de porter d'exécuter les applications web développées avec Microsoft Silverlight - un concurrent de Flash, de Flex, de JavaFX et de Quicktime - sur les plateformes Linux et Unix. Selon un communiqué publié par Novell, le sponsor du projet Mono, la version bêta annoncée pour cet été, sera suivie de la version finale à l'automne. « La nouvelle édition comporte des capacités d'infrastructure qui rapprochent Moonlight 3 de Silverlight 3, » a déclaré Novell. Précisons toutefois que Microsoft vient de dévoiler la béta publique de Silverlight 4. Moonlight 3.0 supporte aujourd'hui le démultiplexeur MP4, bien qu'il n'existe pas encore de codecs associés, à moins qu'un développeur ne se charge de les créer à partir du code source et rende le plugin capable d'interpréter les codecs de FFMpeg. Le communiqué signale aussi la présence d'un début de virtualisation de l'interface utilisateur et d'une couche noyau au sein de la plate-forme. « Le coeur de Moonlight est maintenant séparé du moteur qui gère le système de fenêtrage. Cela devrait permettre aux développeurs qui ne sont pas en X11/Gtk+-centric de faire le portage de Moonlight » a déclaré Miguel de Icaza. La version alpha 3.0 supporte également le Binding/BindingExpression (l'interfaçage) et la mise à jour des API. Un outil de développement SVN (Subversion) de Silverlight 3.0 apporte le support du pixel shader, un système qui travaille sur la luminosité individuelle des pixels développé par David Reveman. La page de téléchargement de Moonlight 3.0 insiste sur le fait que le projet n'en est qu'à un stade alpha et appelle les utilisateurs à la prudence. Elle indique notamment qu'il y a « plusieurs nouveaux sous-systèmes dans Silverlight 3 (comme la gestion des pixel shaders, la messagerie locale, la couche client HTTP) qui mettent en oeuvre des vecteurs d'actions qui n'ont pas encore été ni implémentées ni vérifiées et conseille de les faire tourner sur des ordinateurs qui ne sont pas utilisés en production. Selon le texte, cette situation va progressivement évoluer au cours des versions bêta. Les développeurs peuvent d'ailleurs consulter « l'état des dispositifs de sécurité de Moonlight sur la Moonlight Status Page». (...)
(03/02/2010 11:22:41)BeeCreative, deuxième édition du concours des entreprises innovantes de Lozère
Le Polen (Pôle Lozérien d'Economie Numérique) lance le deuxième concours d'entreprises innovantes BeeCreative. Visant à attirer de jeunes entreprises innovantes dans ce département très rural, il permet aux trois lauréats de gagner un hébergement de deux à quatre ans (dont six mois pris en charge) dans un incubateur, l'appui de plusieurs structures locales (dont un suivi scientifique et technique par l'Ecole des Mines d'Alès), un soutien financier et l'hébergement pendant six mois d'une famille de quatre personnes (pour faciliter les emménagements des créateurs sur place). Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 17 mai 2010. Les gagnants seront connus fin juin et les lauréats pourront emménager début septembre. (...)
(02/02/2010 10:55:08)WinGineer 2010 : gagner ses frais de scolarité à l'Esiea ou In'Tech Info
Comme l'an dernier, le groupe Esiea (Ecole supérieure d'informatique électronique automatique) a lancé son concours WINgineer, une épreuve de programmation en langage Netlogo. Le premier prix, pour celui ou celle qui l'emportera, couvre entièrement les frais de scolarité dans l'une des deux écoles du groupe : l'Esiea ou In'Tech Info (Ecole supérieure d'ingénierie informatique). Selon la catégorie dans laquelle le candidat est inscrit, cela correspond à trois ou cinq années d'études. WINgineer est en effet ouvert à deux groupes d'étudiants. Il s'adresse d'une part, aux lycéens en Terminale, futurs bacheliers scientifiques et technologiques, éligibles au processus d'admission de l'école d'ingénieurs en 1ère année /1A (en 2009, WINgineer a été gagné par un élève de terminale STI Electronique). L'épreuve concerne d'autre part les étudiants ayant déjà deux années d'études supérieures post-bac, éligibles au processus d'admission parallèle de l'Esiea en 3e année /3A). Les gagnants des 2e et 3e prix se verront offrir une bourse couvrant respectivement 50% et 25% des frais de scolarité. Bataille de tanks par groupes de vingt candidats Aux participants, il est demandé de « programmer un code permettant d'agir sur des éléments d'un jeu vidéo ». Le langage utilisé, Netlogo, « présente le double avantage d'être simple pour ceux qui n'ont jamais programmé et peu connu pour les initiés », selon Hubert Wassnet, enseignant chercheur à l'Esiea et concepteur du jeu. Cette année, le scénario choisi est une bataille de tanks. Les programmes des candidats sont placés dans une arène et s'affrontent, par groupes de vingt ; des scores sont attribués à la fin de chaque partie. Le concours comprend une épreuve de présélection, qui se déroule sur le site Web de l'organisateur. Ouverte depuis le 5 décembre 2009, celle-ci s'achève le 5 mars 2010 à midi. Pour y participer, il faut s'inscrire avant le 1er mars 2010. La deuxième partie de l'épreuve aura lieu à l'Esiea (Ivry-sur-Seine), le samedi 13 mars 2010, avec deux groupes de vingt candidats finalistes. Le règlement précise qu'il s'agit d'un concours individuel et déconseille de ce fait aux participants de partager leur code. (...)
(01/02/2010 16:47:36)Forrester : les architectes français en pointe sur la transformation des entreprises
« Une nouvelle génération d'architectes est en train d'émerger, de plus en plus impliquée dans les objectifs stratégiques de l'entreprise. » Et les architectes français ont pris de l'avance sur ce terrain de la « business architecture » (ou architecture métier). Le constat tiré par Forrester, lors d'une table ronde organisée en fin de semaine dernière, est plutôt encourageant pour ce métier qui a souvent du mal à trouver ses marques, entre des équipes projet qui veulent pouvoir avancer comme elles le souhaitent, et des directions métier qui ne comprennent pas forcément leur rôle. Pour Henry Peyret, analyste chez Forrester, le modèle organisationnel des entreprises est en train d'évoluer, et les architectes sont appelés à devenir un rouage essentiel de cette évolution. Selon le cabinet, nous entrons dans l'ère du « smart computing », qui fait suite aux trois premières phases : informatique centralisée, informatique personnelle et informatique en réseau. Dans l'ère Smart computing, des flots de données sont produits par des capteurs, les événements sont filtrés et analysés en fonction de règles métier, déclenchant le cas échéant d'autres événements ou actions, et le tout est consigné à des fins d'audit. Cette nouvelle façon de faire circuler l'information impose une évolution des systèmes d'information, mais aussi de l'organisation des entreprises elles-mêmes. A condition de bien se positionner sur le créneau de la « business architecture », les architectes ont une belle carte à jouer, estime Henry Peyret. Néanmoins, prévient-il, il faudra qu'ils fassent connaître et accepter leur rôle. L'enquête annuelle Forrester sur l'architecture d'entreprise, réalisée en septembre-octobre dernier auprès de 416 informaticiens professionnels de grandes entreprises (et connaissant le domaine de l'architecture), montre un déficit de reconnaissance de la part des directions métier. En France, l'architecture d'entreprise serait quelque chose d'inconnu pour la moitié d'entre elles. Seulement 13% disent l'accepter et 13% lui apporter un support actif. En revanche, le soutien du management est manifeste : 56% des directions informatiques soutiendraient les architectes. Chez Bouygues Telecom, un budget pour nettoyer le SI Le rapport difficile avec les directions métier est probablement lié au rôle de gardien des standards que l'architecte peut endosser, lorsqu'il s'agit de faire en sorte qu'un projet s'inscrive dans l'orthodoxie des investissements déjà réalisés et des plateformes et technologies en place. Vincent Brenet, architecte en chef chez Bouygues Telecom, a apporté lors de la table ronde une réponse à ce problème : les architectes acceptent qu'il y ait des exceptions, afin de ne pas freiner les projets, mais disposent en contrepartie d'un budget pour procéder à un nettoyage régulier du système d'information. « En obtenant de la part de la direction générale un budget consacré à la simplification du SI, les architectes de Bouygues Telecom concourent à l'agilité requise par les directions métier. Le SI peut être considéré comme un actif de l'entreprise, dont la gestion patrimoniale par les architectes doit garantir la pérennité et l'alignement permanent avec les enjeux business et l'environnement concurrentiel. » Un budget pour aider les projets métier à respecter les standards architecturaux [[page]] Pour rendre viable cette gestion des exceptions, « il faut que les architectes soient plus transparents sur les points de synchronisation possibles », prévient Henry Peyret. Une partie du budget alloué par la direction générale peut également servir à co-financer les projets métier, afin que ces derniers se conforment précisément aux règles d'architecture et respectent les standards. « Le système d'information est un patrimoine, explique l'analyste. Et comme tel, il doit être entretenu. Sinon, tout tombe en ruines. » Et s'il est complexe d'obtenir un budget avec cette métaphore sur le patrimoine architectural, on peut aisément démontrer, selon Vincent Brenet et Henry Peyret, que la simplification s'inscrit dans une tendance au « Lean », déjà comprise et acceptée par les directions métier, et procure une plus grande agilité. Concilier les exigences des métiers et la viabilité à long terme du SI Ce rôle de conciliateur entre les exigences fluctuantes du métier et la nécessité de préserver la viabilité à long terme du SI est plus répandu en France que dans le reste du monde, révèle l'étude de Forrester. Probablement une conséquence de l'expérience acquise en France avec le concept d'urbanisme. Christophe Longépé, président du Clud Urba-EA, constate en effet que « les entreprises françaises deviennent vraiment matures en matière d'architecture d'entreprise. Désormais, les architectes, qui étaient surtout cantonnés à de l'architecture de projets, participent au pilotage de la transformation de l'entreprise, en rendant compte au management (DSI ou DG) ». Ces nouveaux architectes d'entreprise devront faire en sorte « non pas d'aligner le SI sur le métier, car ça signifierait qu'il est toujours en retard, mais plutôt de chercher à synchroniser les deux », explique Henry Peyret. « L'architecte d'entreprise aura un rôle clé, pour proposer, et éventuellement maîtriser les risques. » C'est en tout cas une belle voie de reconversion pour des gens qui ont des années de maison, et une vision à la fois technique et métier de leur entreprise. (...)
(29/01/2010 16:10:11)Microsoft AppFabric et Velocity en action chez JM Bruneau
C'est l'un des premiers déploiements d'AppFabric en France ; et pour cause, l'offre middleware de Microsoft n'est pas encore officiellement disponible. La société de conseils Expertime, spécialisée dans les technologies Microsoft, a en effet préconisé cette solution lors de la refonte du système d'information du vépéciste JM Bruneau. Elle interviendra d'ailleurs à ce sujet lors des Techdays (conférence utilisateurs Microsoft France, du 8 au 10 février à Paris). Fournisseur de mobilier et matériel de bureau, JM Bruneau propose plus de 15 000 références à 900 000 clients, pour un chiffre d'affaires dépassant les 300 M€. Le commerce électronique prenant une place de plus en plus importante, JM Bruneau voulait industrialiser ses processus métier - en permettant notamment une livraison directe depuis le fournisseur jusqu'au client sans passer par du stock - et augmenter le taux d'achats parmi ses visiteurs : le vépéciste compte aujourd'hui 1,5 million de commandes par an, pour 2,5 millions d'interactions enregistrées chaque année sur son site. Le DSI, André Etchemendy, a voulu profiter de cette refonte pour « urbaniser les domaines fonctionnels », en s'attachant à « bien modéliser les processus en amont » et appliquer les préceptes des architectures orientées services (SOA) : « Les domaines fonctionnels exposent leurs services métier à travers de WCF [Windows communication framework, le protocole d'échange interapplicatif de Microsoft], et tous les échanges se font via le bus. » La liaison avec les applicatifs, Microsoft et autres, s'effectue au travers de Biztalk Server. Une administration unifiée des technologies WCF et WWF Les technologies Microsoft ont donc été choisies à la fois pour exposer les services, orchestrer les échanges et présenter les écrans (avec WPF, Windows Presentation Framework). « Il y a un an, nous aurions sans doute été voir des technologies tierces, explique Philippe Lacroix, directeur technique d'Expertime. Mais nous sommes entrés dans le programme TAP de Microsoft. » En vertu de ce programme, quelques partenaires peuvent utiliser en amont les technologies de Microsoft et bénéficier du soutien de l'éditeur. Pour Philippe Lacroix, Windows Server AppFabric tombait à point nommé pour ce type de projet. Avec ce logiciel serveur, Microsoft fédère en effet ses outils middleware pour présenter un véritable serveur d'applications (nom de code Dublin) doublé d'outils de communication interapplicative (WCF), de workflow (WWF, Windows Workflow Foundation) et d'administration « Une réponse largement suffisante pour le démarrage d'un projet SOA » [[page]] « Les SOA exigent de la fiabilité, des capacités d'administration, etc., et AppFabric permet de pérenniser ce choix », indique le directeur technique d'Expertime. Car, dit-il, « AppFabric donne la capacité de suivre le déploiement et l'exploitation ». Jusqu'à présent, il fallait recourir à des solutions tierces, type Amberpoint, au ticket d'entrée bien plus élevé. « Bien sûr, on ne dispose pas de toutes les fonctionnalités d'un Amberpoint, mais il s'agit d'une réponse très intéressante en termes de coût et de couverture fonctionnelle. Cela suffit largement pour le démarrage d'un projet SOA. » Le pré-requis d'AppFabric est d'installer la version 4.0 de .Net (dont la disponibilité générale sera annoncée en même temps que l'atelier Visual Studio 2010, d'ici quelques semaines). Mais « la migration se fait facilement », selon Philippe Lacroix. « Il a juste fallu réaliser quelques aménagements, modifier des espaces de nommage. » Les débuts de Velocity, système de cache distribué Avec .Net 4 et AppFabric vient aussi Velocity, le système de cache distribué que Microsoft élabore depuis plus de deux ans. Pour Philippe Lacroix, dont les équipes suivent le produit depuis sa genèse dans l'équipe SQL Server, il s'agit d'une immense avancée. « .Net disposait d'un système de cache client. Là, il s'agit d'un vrai système de cache à haute disponibilité, avec toutes les avancées que vous pouvez attendre en matière de clustering et d'équilibrage de charge. » La mise en oeuvre est assez simple, explique encore Philippe Lacroix, puisqu'il suffit de déployer Windows Server en lui attribuant ce rôle de cache distribué. Velocity répartit alors les données dans les mémoires vives des noeuds du cluster, tout en offrant une vue unifiée aux applications. Un moteur SQL permet par ailleurs de libérer de la mémoire en assurant la persistance des données sur disque dur. Philippe Lacroix n'attend désormais qu'une chose : la sortie officielle des produits, qui marquera leur stabilisation. Et à l'avenir, espère-t-il tout de même, « encore un peu de simplification ». (...)
(28/01/2010 16:56:15)Adobe cherche des idées d'applications développées en Flash pour iPad
La technique de compilation d'applications développées en Flash pour les iPhone peut tout à fait convenir aux iPad, explique Michael Chou, chef produit chez Adobe, sur le blog Adobe Flash Platform. Sourd aux demandes d'Adobe concernant les iPhone, Apple n'a en effet pas davantage ouvert sa tablette présentée hier, l'iPad, au format Flash. Comme le regrette le responsable marketing Adrian Ludwig dans un autre billet sur le même blog... On se souvient que Steve Jobs expliquait ses réticences par le fait que Flash consommait trop de ressources ; or, la tablette est beaucoup plus puissante que les iPod Touch et iPhone. En outre, le projet Open Screen a fait évoluer les choses, et la dernière version du client Flash a drastiquement réduit ses exigences. Il s'agit donc bien d'une volonté délibérée d'Apple de ménager ses propres options pour la diffusion du contenu. En effet, si les applications Web en Flash devenaient librement accessibles, cela remettrait en cause la raison d'être de l'App Store. Néanmoins, pour ne pas couper ses utilisateurs du marché de l'iPhone, Adobe a prévu dans la prochaine version de sa suite pour créatifs CS5 un outil, Packager for iPhone, capable de compiler un projet Flash afin qu'il puisse tourner sur iPhone. Il pourra donc servir aussi pour l'iPad mais, prévient Michael Chou, il ne pourra pas tirer parti, dans un premier temps, de sa définition plus importante (1024x768, contre 480x320 pour les iPhone et iPod Touch). Michael Chou invite néanmoins les développeurs ayant des idées d'applications à le contacter, dans le but « de les soumettre à l'iTunes App Store au cours des deux prochains mois ». Soit juste avant que ne soit commercialisé l'iPad. (...)
(22/01/2010 17:04:09)Le MIT invente la programmation par copier-coller de captures d'écran
Si les ordinateurs étaient dotés du sens de la vue, on pourrait leur montrer ce qu'on attend d'eux. C'est en quelque sorte le postulat d'un professeur du MIT, Rob Miller, qui, avec l'aide du post-doc Tsung-Hsiang Chang et de Tom Yeh de l'université du Maryland, a mis au point Sikuli, un outil de programmation par copier-coller de captures d'écran. Lors de la première présentation du projet de recherche, les inventeurs de Sikuli ont proposé l'exemple d'utilisation suivant : une employée de bureau souhaite être prévenue par un sms lorsque le bus qu'elle prend arrive à un point particulier de la rue. Elle se rend alors sur le site de géolocalisation fourni par la compagnie de bus, fait une capture d'écran de la carte où figure le point qui l'intéresse, et une autre capture de l'icône représentant le bus. Dans Sikuli, elle doit tout de même écrire un peu de Python, mais surtout coller les images ; le programme comprendra que lorsque l'icône apparaît sur le morceau de carte, alors il doit déclencher l'action (image ci-dessus). Sikuli peut également servir à simplifier des recherches. Il sera parfois plus simple de coller une image que de recourir à des mots-clés dans un moteur de recherche. Les inventeurs du programme expliquent qu'un éditeur de logiciel pourra ainsi proposer un système d'aide beaucoup plus intuitif : il suffira de copier-coller telle icône ou tel autre élément de l'interface graphique pour obtenir des informations dessus. La technologie peut également servir en ingénierie logicielle, lors des phases de tests de non régression, les scripts de tests pouvant alors être réalisés à l'aide de captures d'écran. Le mot Sikuli est emprunté à l'Amérindien (les Huichol du Mexique), et signifie « oeil de Dieu », capable de voir et de comprendre l'inconnu. De fait, les chercheurs du MIT s'appuient sur des travaux d'intelligence artificielle permettant à l'ordinateur de distinguer les motifs graphiques. Dans l'exemple du bus suivi par GPS, le programme ne cherche pas à transcrire en données XML ou autres la capture d'écran : il surveille véritablement les pixels, à la manière d'un observateur humain. Les chercheurs reconnaissent que la technique reste à perfectionner. Notamment, Sikuli peut être perdu si des éléments graphiques qu'il doit reconnaître sont changés à cause d'un thème utilisateur, ou cachés par d'autres fenêtres. Mais cette première avancée du « picture-driven computing » laisse entrevoir d'étonnantes possibilités. (...)
(20/01/2010 14:10:42)LeMondeInformatique.fr recherche un responsable des développements web
IT News Info, qui édite les sites Internet LeMondeInformatique.fr, CIO-Online.com, Réseaux-Télécoms.net et Distributique.com recherche son responsable des développements web. A la tête de notre pôle de compétences techniques, composé d'un développeur et d'un graphiste/intégrateur, vous assurez la direction des projets de développement web, et réalisez l'interface avec les différents interlocuteurs internes dans le cadre des missions suivantes : - Élaboration, mise en oeuvre et suivi des plannings de production - Intégration des problématiques de coûts, de délais et de qualité/stabilité dans les choix techniques, - Participation aux travaux de développements quotidiens (optimisation des sites, résolution de problèmes techniques, etc.), - Prise en charge des développements liés à la mise en ligne d'opérations marketing (Partner Zone, Webcast, etc.), Coordination et participation aux projets de refonte de sites, - Management opérationnel de l'équipe technique. Afin de réaliser vos missions, vous disposez de solides compétences techniques, qui vous permettent de participer aux développements, et d'assurer les choix technologiques au sein de votre équipe. Vous maîtrisez absolument les langages et outils de programmation web, dont : PHP 5 / MySQL (maîtrise impérative de la programmation orientée objet), JavaScript, AJAX, HTML,CSS, Photoshop, Merise ainsi que les solutions Open Source. Issu(e) d'une école d'Ingénieur en Informatique, vous justifiez d'une expérience probante dans la gestion de projet Internet et dans le travail en équipe (minimum 3 ans). Vous avez nécessairement déjà créé des sites Internet à forte visibilité, notamment pour les besoins d'une activité média. Force de proposition au quotidien, vous faîtes preuve d'une grande disponibilité et d'une réactivité appréciée par vos collaborateurs. Vous souhaitez participer à des projets d'envergure et maîtrisez d'ores et déjà les compétences techniques qui vous permettront d'intégrer un rôle central au sein de notre structure. Ce poste est à pourvoir début 2010, à Puteaux (92). Salaire à négocier en fonction de votre profil. Adressez vos candidatures (CV + lettre + prétentions salariales) par mail à mathieu.puderecki@adthink-media.com (...)
(19/01/2010 09:50:54)Lotusphere 2010 : IBM promet ses API pour étendre les services de LotusLive
Lotusphere vient de démarrer sa dix-septième édition à Orlando sur la toute fraîche nomination d'un nouveau patron pour la division Lotus Software. En ouverture de la conférence, Bob Picciano, jusqu'alors directeur général de l'entité Lotus, a ainsi passé les rênes à Alistair Rennie, qui était jusque-là vice-président du développement et du support. Lui-même prend la tête des ventes mondiale d'un IBM Software réorganisé en deux divisions : l'une axée sur les solutions, incluant les logiciels Lotus, l'autre gérant les produits middleware. Jusqu'au 21 janvier, près de 7 000 personnes sont attendues à Orlando : partenaires de Lotus et utilisateurs de Notes, QuickR, Sametime et Connections, ou des outils de collaboration en ligne LotusLive annoncés l'an dernier sur Lotusphere 2009. IBM dit aujourd'hui compter 18 millions d'utilisateurs de LotusLive dans une centaine de pays. Parmi les derniers en date, Panasonic a annoncé il y a quelques jours avoir choisi ces outils en ligne pour ses équipes internationales. A terme, quelque 380 000 salariés accéderont de cette façon à leur messagerie, ainsi qu'à des fonctions de web conférence, dialogue en direct, partage de fichiers et gestion de projets. Encore plus satisfaisant pour IBM, en concurrence frontale avec Microsoft sur ces solutions, ce sont en partie des utilisateurs d'Exchange que Panasonic fait ainsi migrer vers la messagerie de LotusLive. Le fabricant de produits électroniques doit aussi mettre en place LotusLive Connections pour constituer un réseau social avec son écosystème et avec ses fournisseurs. LotusLive s'ouvre davantage aux partenaires IBM offre de nouvelles perspectives à ses partenaires tentés par LotusLive. A partir du deuxième semestre 2010, des API seront accessibles à tous pour ajouter des services à ces outils de collaboration en ligne ou les inclure dans un processus métier. Auparavant, il fallait passer par un programme spécial (Lotus Design Partner) pour y accéder. Parmi les prochains services attendus figure une fonction d'appel téléphonique proposée par Skype (annoncée pour le deuxième trimestre). Certains partenaires pourront par ailleurs commercialiser les services de LotusLive en complément de leurs propres offres. [[page]] Pour imaginer le futur de LotusLive, ses utilisateurs sont par ailleurs mis à contribution. A l'instar d'autres éditeurs, comme SAP (avec Business Objects) ou Google, IBM propose de donner son avis sur des technologies en incubation au sein de ses équipes de R&D. Déjà, le LotusLive Labs (où se conjuguent les ressources d'IBM Research et de Lotus) livre quatre versions, qualifiées de « pre-alpha », que les utilisateurs enregistrés peuvent tester. On y trouve Slide Library, qui a déjà été montrée par IBM lors de précédentes conférences. Le logiciel sert à constituer une bibliothèque de 'slides' qui seront utilisées pour créer de nouvelles présentations. Collaborative Recorded Meetings enregistre et retranscrit les conférences pour permettre ensuite les recherches. Avec la technologie Composer, on bâtit des mash-up à partir de services LotusLive. Quant au logiciel Event Maps, il permet de visualiser des plannings de conférences de façon interactive. Au deuxième trimestre, un cinquième logiciel sera livré à l'appréciation : Project Concord proposera d'élaborer et partager en ligne documents, tableaux et présentations. Un accès plus souple à LotusLive Notes Enfin, une prochaine version (multitenant) du client de messagerie Notes sur LotusLive (basé sur Lotus Notes Hosted Messaging) permettra de combiner les déploiements sur site et dans le cloud, en supportant de façon standard la synchronisation entre les annuaires gérés sur site et dans le cloud. Chaque utilisateur pourra choisir entre un client Notes ou un navigateur pour accéder à sa messagerie. Et IBM assouplit les conditions d'accès au service. Le nombre d'utilisateurs minimum pour s'abonner à LotusLive Notes passe ainsi de 1 000 à 25 utilisateurs. Cette offre fournira par ailleurs une capacité standard de 5 Go pour stocker les mails et comportera les fonctions de messagerie instantanée de Sametime. La version bêta sera disponible au deuxième trimestre. (...)
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