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Développement
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(26/04/2010 09:48:37)
Alcatel lance un concours pour l'interface de son 1er GooglePhone
Pour se lancer sur le marché des smartphones Android, plateforme créée par Google, Alcatel fait appel, sous la forme d'un concours, aux développeurs du monde entier pour lui créer son interface.
A la clé, le gagnant remportera 4.000 euros et partira une semaine en Chine pour finaliser l'intégration de l'interface avec les équipes de TCT Mobile, développeur et distributeur d'Alcatel.
Les développeurs inspirés ont tout le mois de mai pour présenter leur projet sur le site Internet dédié, My-alcatel-android-home.com. Dès le mois de juin, le gagnant partira pour la Chine. Le constructeur précise que l'OT-980 sera le premier modèle de la marque à fonctionner sous cette interface.
Crédits photo : Alcatel (...)
Conférence F8 : Une API pour mailler Facebook aux autres sites
Facebook a modifié sa plateforme de développement d'applications pour que le réseau social puisse mailler les informations de ses utilisateurs avec les données d'autres sites web afin accroître encore ses capacités de personnalisation et de valorisation. Ainsi, un internaute se rendant sur un site d'actualités ou de partage de titres musicaux pourra se voir proposer un contenu tenant compte des préférences qu'il aura indiqué sur Facebook ou sur d'autres sites inclus dans la boucle.
Ou encore, il pourra accéder à la liste de ses amis Facebook déjà enregistrés sur le site et, pourquoi pas, consulter les commentaires qu'ils y ont postés. De cette façon, un accueil personnalisé sera mis en place, au hasard des sites que l'on visite, a expliqué Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, à l'occasion de sa conférence développeurs F8 qui s'est tenue le 21 avril à San Francisco
C'est la nouvelle interface de programmation (API) Open Graph, remplaçant Facebook Connect, qui va permettre aux développeurs d'interfacer le réseau social et les activités des utilisateurs avec les autres sites web.
Illustration : Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook lors de la conférence F8 (Crédit photo : DR)
Talend intègre son MDM dans sa suite et lève huit millions de dollars
Il y a trois mois, Talend lançait son offre de gestion des données de références (MDM, master data management) en affichant son ambition de démocratiser l'accès à ces outils avec une proposition technologique plus abordable que celles des autres acteurs du marché. Il ne lui aura pas fallu beaucoup de temps pour l'insérer dans son offre existante. L'éditeur français de solutions Open Source vient de livrer la version 4.0 de sa plateforme de gestion des données qui englobe désormais son ETL (solution d'extraction, de transformation et de chargement), ses outils de gestion de la qualité des données et, donc, sa toute récente offre de MDM. Ces trois solutions peuvent toujours être acquises séparément ; en revanche, pour qui souhaite en combiner l'utilisation, les produits bénéficient d'une « forte intégration et d'une interface commune », souligne Fabrice Bonan, co-fondateur et directeur général (COO) de Talend. Il rappelle que la technologie d'Amalto, dont les actifs ont été acquis en 2009 pour construire l'offre de MDM, « avait une philosophie très proche de celle de Talend, basée sur le langage Java et sur Eclipse, notamment pour les interfaces, ou encore GWT. Les standards que nous utilisons sont très cohérents avec ceux d'Amalto. »
Analyse d'impact et lignage de données pour la 4.0
Avec la version 4.0 de sa plateforme, l'éditeur a ajouté des fonctions importantes « qui prennent leur ampleur dans le cadre d'une suite : l'analyse d'impact des modifications et le data lineage [lignage des données qui permet à l'inverse de remonter à la source] ». Talend 4.0 propose pour l'ensemble des trois produits un studio unique de développement reposant sur Eclipse, ainsi qu'un référentiel commun de métadonnées pour la gestion de la documentation, le partage des métadonnées applicatives, des règles métiers et des règles de transformation et de validation. La suite dispose aussi d'un environnement de déploiement unifié avec un modèle d'exécution distribué, une console de contrôle et un reporting en temps réel sur l'exécution.
Talend 4.0 est disponible dans ses versions communautaire et commerciale. Sur son site, on peut télécharger librement Talend Open Studio (ETL), Talend Open Profiler et Talend MDM Community Edition.[[page]]Depuis son lancement, en janvier, l'éditeur a enregistré plus de 4 000 téléchargements de son offre de MDM. Au nombre des tout premiers utilisateurs ayant testé la solution avant sa sortie, le groupe Bolloré est passé en production dans trente pays. « Cela nous a permis de valider fonctionnellement l'offre ; c'était l'objectif du programme 'early adopter' », explique Fabrice Bonan. La version commerciale, disponible depuis peu, a reçu un bon accueil. « Il y a eu un 'upsale' relativement immédiat entre notre offre d'intégration de données et le produit de MDM », assure le dirigeant.
Le 4e tour de table réunit 8 millions de dollars
Talend vient par ailleurs d'annoncer un nouveau tour de table d'un montant de 8 millions de dollars (le précédent remonte à janvier 2009). Celui-ci voit les investisseurs historiques -Allianz Private Equity, Galileo Partners et Balderton Capital- remettre des capitaux dans la société, au prorata de ce qu'ils avaient respectivement apporté. Rappelons que Bernard Liautaud, fondateur de l'éditeur Business Objects (racheté par SAP), et associé de Balderton, est entré l'an dernier au conseil d'administration de Talend.
« L'objectif de l'opération, c'est d'être rentable cette année, confie Fabrice Bonan. Entre 2008 et 2009, nous avons réalisé 120% de progression et nous prévoyons la même évolution cette année. Nous pensons avoir constitué une suite middleware complète que nous allons pousser sur le marché. »
L'éditeur français gère désormais sept bureaux. Trois sont situés en Europe (Londres, Paris, Nuremberg) et trois aux Etats-Unis. A ceux de San Francisco et Los Angeles, vient de s'ajouter celui de New-York, ouvert le mois dernier, plutôt pour s'adresser aux secteurs public et financier. Le septième bureau est installé à Pékin. Récemment, Talend a recruté Steve Sarsfield comme responsable produit pour l'offre « data quality ». Il occupait auparavant des fonctions similaires chez Trillium Software, l'un des spécialistes de la qualité et de la gouvernance des données.
SpringSource s'offre un système d'échange entre applications
SpringSource, l'éditeur d'outils Java racheté en août 2008 par VMware, vient d'annoncer l'acquisition de Rabbit Technologies. Ce dernier a développé RabbitMQ, une solution d'échange de messages entre systèmes hétérogènes, applications, bases de données, plateformes de stockage... C'est donc une pierre de plus qui s'ajoute à l'offre de cloud computing que construit VMware. Il s'agit toutefois d'une petite opération financière puisque la société Rabbit, basée à Londres et créée en 2007, ne compte que dix salariés.
L'objectif de VMware consiste à fournir la technologie de virtualisation sous-jacente aux offres de PaaS (platform-as-a-service). Sur le marché du cloud, ces plateformes en ligne proposent des outils pour bâtir des applications que, par la suite, elles pourront aussi héberger. Dans cette stratégie, SpringSource apporte ses outils de développement Java, tandis que l'offre de messagerie RabbitMQ, qui repose sur le standard AMQP (Advanced Message Queuing Protocol), permettra aux applications ainsi mises au point d'interopérer et de ne pas rester enfermées dans un système propriétaire.
Une prochaine annonce avec Salesforce.com
Les systèmes d'échange de messages ont toujours constitué un élément clé de l'infrastructure applicative des entreprises. Rod Johnson (photo ci-dessus), directeur général de SpringSource, souligne toutefois que le cloud requiert des solutions de messagerie interapplicative différentes. L'offre de Rabbit permet aux développeurs de créer des applications complexes en découplant les composants, l'échange de données s'effectuant ensuite entre ces composants, sans nécessité d'en connaître le statut, la disponibilité ou la mise en oeuvre. Rabbit Technologies avait déjà noué des partenariats avec VMware, mais aussi avec Microsoft, Novell et plusieurs autres fournisseurs.
L'annonce de ce rachat par SpringSource vient faire écho aux informations distillées par Salesforce.com au sujet d'un partenariat que la société de Marc Benioff prévoit de dévoiler le 27 avril, conjointement avec VMware.
Illustration : Rod Johnson, directeur général de SpringSource, filiale de VMware
Adobe lance Flash Catalyst CS5 (MAJ)
« Adobe s'est engagé à mener une politique innovante en matière d'Internet en fournissant aux concepteurs et aux développeurs les meilleurs outils possibles, » a déclaré John Loiacono, vice-président senior et directeur général du département Creative Solutions chez Adobe. « En associant les runtimes Flash à la puissance des outils Flash intégrés à Creative Suite 5, les concepteurs et les développeurs peuvent collaborer plus efficacement, afin de réduire le temps de réalisation des applications web et de contenus interactifs disponibles sur les postes fixes, mais également sur les appareils mobiles».
L'apport de Flash Catalyst se situe principalement au niveau des composants utilisés pour créer des contenus interactifs de type boutons, barres de défilement, curseurs, champs de texte, cases à cocher, qui permettent aux visiteurs d'une page web d'interagir avec un produit ou un service. Ces éléments utilisent des concepts de pages et d'états, à l'image des projets de mise en page traditionnels ou de design Internet. De plus, l'interface et l'environnement de Catalyst s'apparentent à ceux de Photoshop, d'Illustrator, de Flash Pro, ou de Fireworks. Le logiciel transforme aussi des créations issues de ces différentes solutions, en contenus fonctionnels ou en interfaces utilisateur. Ils serviront de base aux concepteurs pour ajouter du contenu Flash et des applications destinées aux sites Internet. In fine, les projets peuvent être enregistrés au format SWF ou AIR, pour être lus sur l'ordinateur ou en ligne, avec le prochain player Flash 10.1.
Flash Builder 4 conçues pour les RIA
L'autre nouveauté de Creative Suite 5 s'appelle Flash Builder 4 Standard (anciennement Flex Builder). Conçu pour aider les développeurs à créer des Applications Internet riches (RIA), cet outil de développement, basé sur Eclipse, facilite le codage, le débogage et la conception visuelle d'interfaces utilisateur. Ce logiciel apporte également une meilleure coordination des travaux entre concepteurs et développeurs utilisant Catalyst pour construire des applications intégrant des interactions spécifiques. Cela donne aux premiers un contrôle accru sur les aspects créatifs d'un projet, tout en permettant aux seconds de se concentrer sur le coeur de l'application.[[page]]Très utilisés par les concepteurs pour la création d'objets multimédias interactifs, d'animations et autres contenus riches, Flash Professional CS5 offre une manière différente de travailler avec le cadre Texte, apportant des fonctions typographiques professionnelles et un traitement avancé du multilinguisme, en prenant en charge plus de 30 langues. L'autre innovation réside dans la présence d'un panneau de codes pré-construits, les Snippets, que les créateurs peuvent utiliser directement dans les projets, pour ajouter des fonctions dans la navigation, comme des actions, des animations, des éléments audio et vidéo.
Créer des contenus web pour les terminaux mobiles
Avec Flash Professional CS5, les auteurs peuvent créer, tester et diffuser du contenu web sur de nombreuses plates-formes et d'appareils mobiles de type smartphones, tablettes tactiles, netbooks, SmartBooks et autres produits électroniques grand public. Ces contenus, destinés à s'afficher dans les navigateurs internet, seront compatibles avec la version 10.1 du player Flash ou avec applications autonomes tournant sous AIR 2. Flash CS5 permet aussi d'accéder aux outils d'analyse Internet Omniture SiteCatalyst et Omniture Test & Target soit directement à partir du programme, soit via la plate-forme de services en ligne Adobe CS Live. L'application comprend également l'outil Packager pour iPhone capable de compiler le code ActionScript en code natif pour iPhone qui devait permettre aux développeurs Flash de créer des applications pour l'iPhone et l'iPad d'Apple, et d'autres appareils mobiles à venir. Mais le nouveau contrat de licence développeur iPhone 4.0, diffusé le 8 avril, interdit les applications qui n'ont pas été créé en C, C++ et Objective- C. Néanmoins, Adobe a déclaré qu'il continuerait à développer le Packager pour l'OS de l'iPhone et qu'il l'intègrerait à Flash CS5.
Steve Jobs ne veut pas de « sous-applications » sur l'iPhone
Le patron charismatique d'Apple a pris son clavier pour répondre à un développeur de logiciel, concernant le débat sur les changements de la licence du kit de développement d'applications sur iPhone. Ces derniers impliquent notamment l'interdiction faite aux développeurs d'utiliser des applications tierces, autres que Cocoa (langage de programmation en C et C++ spécifique à Apple). Le dirigeant a répondu dans un premier temps qu'il était en phase avec l'analyse d'un bloggeur, John Grubber, qui estime que la politique d'Apple s'explique par une volonté de protection de son modèle en évitant la création de « méta-plate-forme » à disposition de tous les terminaux mobiles. A noter que ce débat intervient aussi alors qu'Adobe présente aujourd'hui sa Creative Suite 5, avec la possibilité d'émuler du Flash sur l'iPhone. Mais avec les limitations dans l'utilisation du SDK de l'OS 4 du smartphone, l'utilisation du compilateur cross plate-forme de cette suite apparaît comme compromise.
Le développeur a poursuivi sa discussion avec Steve Jobs en lui soumettant l'idée que Firefox était un contre-exemple d'une application qui s'adapte sur plusieurs plate-formes mobiles. Le médiatico-dirigeant s'oppose à cette vision « On a déjà vu ça, au bout du compte, des couches intermédiaires entre la plate-forme et le développeur finissent par produire des standards reposant sur des sous-applications qui entravent les progrès de la plateforme ».
(...)(12/04/2010 10:54:45)La fuite des cerveaux de Sun continue
L'initiateur du célèbre langage, Java, quitte le navire Oracle. Il l'a annoncé dans un billet sur son blog, avec une effectivité depuis le 2 avril, sans pour l'instant donner d'indications sur son avenir professionnel. « A la question de savoir pourquoi je pars, il est difficile de répondre, tout ce que je pourrais dire pourrait être mal interprété et avoir des conséquences ». souligne James Gosling.
Ce dernier était ingénieur en chef de l'activité logiciel d'Oracle et auparavant il occupait ce poste chez Sun auprès des développeurs. En 1991, il a été à l'origine d'un projet mené par un petit groupe d'ingénieurs, qui s'appelait Oak, permettant de construire un langage de programmation orienté objet, qui pourrait fonctionner sur une machine virtuelle, acceptant plusieurs applications sur des plateformes multiples. Ce travail a évolué vers Java, qui a accompagné les usages croissants d'Internet notamment, grâce à son intégration au sein du navigateur Netscape.
James Gosling fait suite une vague de plusieurs départs de salariés de Sun, Johnatan Schwartz, CEO et Tim Bray, le co-inventeur du XML Tim Bray, depuis l'approbation de son rachat par Oracle,. Il y a moins d'un mois, Gosling avait exhorté Oracle de l'importance de Java lors du Java Symposium à Las Vegas « Oracle doit mener beaucoup d'efforts pour maintenir Java aussi fort au sein de son écosystème », mais dans le même temps, il s'était déclaré très inquiet de la politisation croissante de Java Community Process.
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