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Développement
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(12/05/2010 10:21:02)
Supinfo et l'ECE sélectionnés pour la finale d'Imagine Cup
Le 4 mai dernier, Microsoft a annoncé les résultats de la finale France d'Imagine Cup, compétition organisée par l'éditeur à destination des jeunes talents pour encourager l'innovation technique et susciter l'engouement pour les sciences.
Pour cette 8ème édition, le championnat a rassemblé une vingtaine d'équipes d'étudiants venus de toute la France. Ils devaient réfléchir aux huit objectifs du millénaire pour le développement, définis par l'O.N.U et imaginer « un monde où la technologie nous aide à répondre aux enjeux les plus cruciaux de notre société ». Les étudiants sélectionnés au niveau national ont présenté leurs projets en « Conception de logiciel » et « Développement embarqué » sur le campus de Microsoft à Issy-les-Moulineaux.
Ces deux catégories ont fait l'objet d'une sélection particulière : qualification sur dossier, puis passage devant un jury composé d'experts technologiques et de partenaires du concours. La première catégorie visait à combiner imagination, innovation et compétence, afin de créer un prototype de logiciel, pour répondre de manière originale au thème de la compétition. La seconde imposait d'aller au-delà de l'ordinateur de bureau en construisant un système embarqué combinant une solution matérielle et logicielle complète.
Crédit photo: Microsoft France
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Cette année, les vainqueurs qui défendront les couleurs de la France lors de la finale monde - qui aura lieu à Varsovie du 3 au 10 juillet- sont d'une part les étudiants de Supinfo Bordeaux, qui concouraient dans la catégorie « Conception de logiciel ». Ils ont été récompensés pour avoir développé Babies'Angel, une solution qui surveille bébé jour et nuit et qui dispose d'une interface simple d'utilisation, ergonomique, multi-support et intuitive pour les parents.
Les élèves de l'Ecole centrale d'électronique de Paris (ECE) ont, pour leur part, été distingués dans la catégorie « Développement embarqué », grâce à G.E.R.A.S (Geriatric Emergency Recognition and Assistance System), une solution qui détecte très rapidement, à l'aide de capteurs sensoriels placés un peu partout sur le sol de la maison (y compris sous les tapis ou la moquette) la chute des personnes âgées et qui permet d'informer les tiers et les services d'urgences.
Imagine Cup est à ce jour la plus grande compétition mondiale du numérique avec plus de 300 000 étudiants inscrits à travers les quatre coins de la planète. A l'issue des différentes phases de sélection qui ponctueront la compétition, les vainqueurs se partageront un gain de plus de 100 000 dollars.
(...)
La conférence développeurs 2010 d'Apple affiche déjà complet
Si vous vouliez participer à la prochaine conférence développeurs d'Apple et que vous n'avez pas encore acheté votre ticket d'entrée, c'est malheureusement trop tard pour vous. Il faudra attendre l'édition 2011. Huit jours à peine après l'annonce des dates prévues pour la WWDC (Worldwide Developers Conference) 2010, tous les tickets d'entrée ont déjà été vendus. « Sold out » annonce discrètement mais clairement le site de la conférence (http://developer.apple.com/wwdc/). C'est la troisième année de suite que les aficionados de la marque se ruent de cette façon sur le précieux sésame qui leur permettra de franchir les portes du Moscone Center de San Francisco du 7 au 11 juin prochains. Apple promet d'y rassembler 1 000 de ses ingénieurs et 5 000 développeurs. Et pourtant, le prix du ticket a été relevé de 300 dollars pour cette édition, à 1 595 dollars l'unité.
La WWDC 2008 fut la première à afficher complet dans l'histoire du groupe. Mais il est vrai que ce fut cette année-là que le constructeur californien inaugura ses sessions sur le kit de développement d'applications pour l'iPhone, rappellent nos confrères de MacWorld. Cette fois, on espère en apprendre davantage sur l'iPhone OS 4, présenté en avril.
L'an dernier, Steve Jobs, encore souffrant, n'était pas là pour le traditionnel discours d'ouverture. Cette année, on espère de lui une nouvelle annonce de produit remarquable lors de la WWDC. Le mois dernier, un prototype égaré de l'iPhone v4 a suscité beaucoup de rumeurs.
1ère réunion du groupe utilisateurs français d'Amazon Web Services (MAJ)
A l'occasion de la première réunion de l'User Group France Amazon Web Services le 3 mai dernier, des entreprises telles que Voyages-sncf.com ou Maporama ont fait part de leur retour d'expérience sur l'adoption du cloud computing. Le bilan des utilisateurs d'AWS est globalement positif. Sa rapidité de prise en main, sa souplesse d'utilisation, son évolutivité et son niveau de sécurité sont cités comme des atouts mais avec des bémols selon les intervenants. Nombre d'entreprises ayant des sites en ligne se tournent vers le cloud pour faire face à une forte croissance de leur trafic ou pour des tests de charge.
Cédric Despres, responsable édition logicielle chez Voyages-sncf.com, a ainsi expliqué que le site de commerce électronique français doit faire face à des contraintes de disponibilité, sachant que chaque jour 300 000 ventes sont réalisées. Initialement, la société travaillait avec l'hébergeur SNCF, sa maison mère qui dispose de ses propres salles de serveurs, mais pour gérer des projets de recherche et développement, l'entreprise a choisi, en 2009, de miser sur Amazon Web Services.
Pour autant, l'entreprise n'envisage pas à ce jour de généraliser le cloud pour un usage en production. Actuellement, ce type de services ne concerne que la partie test des applications car même si la confidentialité des données ne pose aucun problème, selon Cédric Despres, « il est difficile de convaincre notre maison mère car avec le cloud on ne contrôle rien, on ne peut pas appuyer sur le bouton off ». Il précise qu'il y aura néanmoins une phase intermédiaire durant laquelle ils passeront par la virtualisation de leurs applications sur les machines existantes.
Photo : Cédric Despres, Responsable Edition Logicielle chez Voyages-sncf.com
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Aujourd'hui, après un an d'utilisation, Cédric Despres dresse un bilan plutôt positif. Il insiste sur la « souplesse de prise en main », étant donné qu'il n'a fallu qu'une semaine pour le déployer. Il ajoute que « c'est du virtuel, il n'y a pas de fils à connecter, nous avons juste à choisir sur Internet les machines que nous voulons créer ». Il pointe un autre atout pour les entreprises qui ne seraient pas certaines de se lancer totalement dans le cloud. Si elles décident d'abandonner après la phase de tests, elles disposent malgré tout des scripts et du détail de fonctionnement et d'informations sur la performance des machines au sein de cet environnement. De quoi en tirer des enseignements pour optimiser leurs coûts.
Dans le cas du site Voyages-sncf.com, selon Cédric Despres il y a eu « de meilleurs résultats de performance sur Amazon Web Services que sur l'hébergement traditionnel, ce qui a permis d'améliorer la rapidité de notre hébergement traditionnel ». Néanmoins, Cédric Despres évoque plusieurs inconvénients, à savoir les écarts de performances d'une plate-forme à l'autre en raison de l'utilisation de CPU différents d'une période à l'autre au sein du Cloud, ainsi qu'un manque de visibilité sur les performances I/O des disques et du réseau.
Photo : Cédric Despres, Responsable Edition Logicielle chez Voyages-sncf.com
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Pour Eudes du Rivau, CTO (Chief Technology Officer) chez Maporama, le bilan est également positif. Il précise qu'« une fois qu'on a découvert Amazon on est à peu près convaincu. » La société a choisi le cloud en réponse à un besoin de croissance. Cette plate-forme a effectivement l'avantage de permettre d'éviter d'investir dans des serveurs, coûteux à l'achat. Grâce à AWS, le processus de sauvegarde et de restauration est facilité et plus robuste. Il ajoute : « de plus, nous n'avons plus besoin de nous soucier du firewall car tout est confié à AWS ». Le responsable technique apprécie particulièrement la flexibilité du cloud lorsque l'entreprise a besoin de louer de nouvelles machines et reconnaît la fiabilité du SaaS que propose AWS. Il souligne enfin que « grâce à ce projet, il maîtrise beaucoup mieux son budget de fonctionnement. » Pour les aspects négatifs, le CTO de Maporama témoigne qu'AWS n'est pas tout-à-fait au point pour de larges bases de données et ne propose pas un outil de supervision complet qui satisfasse à leurs besoins. Maporama utilise donc son propre outil en parallèle de la solution d'AWS.
IT4Control, Blogbang, Silentale, Cafe.com et IG technologie étaient également présents lors de cette conférence. Leur point de vue sur la solution SaaS d'Amazon Web Services rejoint les témoignages de Voyages-sncf.com et de Maporama.
Les autorités de la concurrence surveillent, Apple lâcherait du lest ?
Selon le Financial Times, le Département de la justice et la Commission Fédérale sur le commerce regarderaient de très près Apple en envisageant de lancer officiellement une enquête. Au coeur de cette observation, la décision de la part de la firme de Cupertino de modifier les clauses de la licence de développement d'applications sur iPhone, iPad ou iTouch impliquant l'utilisation unique du langage propriétaire d'Apple. Les développeurs ne pourront donc pas utiliser des éléments tiers, comme Flash, pour créer des programmes. Ces discussions interviennent également après deux propos de Steve Jobs concernant Flash et surtout son refus de voir cette technologie être portée sur les terminaux mobiles d'Apple. La première salve était une simple réponse à un mail d'un développeur où le charismatique patron parlait de Flash comme d'une « sous application ». La deuxième pique a été détaillée dans une lettre ouverte où Steve Jobs a étayé et développé ses critiques contre la solution d'Adobe. Les deux autorités n'ont fait aucun commentaire, comme Apple.
La publicité en ligne en sauveur des applications tiers ?
Les autorités de la concurrence ont néanmoins un moyen de pression avec le service de publicité en ligne iAd proposé par Apple. Si ce dernier applique stricto sensu sa politique vis-à-vis des développeurs, ils seront incapables de proposer des applications crées depuis les plates-formes comme Flash Professionnal CS5. Selon le Wall Street Journal, des fournisseurs de publicité en ligne ont été contactés par la FTC pour connaître leur opinion sur l'impact de la décision d'Apple de bloquer les applications tiers sur leur marché. Cette politique, selon certains, pourrait rendre impossible pour des annonceurs de cibler leur publicité et de passer uniquement par iAd, lui conférant de facto un avantage concurrentiel. Ces questionnements interviennent alors que les autorités de la concurrence se penchent sur le rachat de Admob par Google et analysent l'évolution du marché de la publicité sur mobile.
Selon le journal, Apple pourrait modifier certains termes de son kit de développement pour échapper à une procédure anti-concurrentielle. Par contre, on ne sait pas quels termes seront modifiés. A suivre...
Microsoft relie son reporting aux applications PHP
Les développeurs en PHP disposent depuis peu d'un SDK qui leur permettra d'inclure les fonctions de reporting de Microsoft dans leurs applications web. Ce kit est gratuitement disponible sur Codeplex, le site que l'éditeur de Redmond consacre aux projets Open Source. Il fournit une bibliothèque qui utilise l'API Soap de SQL Server Reporting Services (SSRS). Les développeurs pourront activer cette API pour rechercher la liste des rapports disponibles sur le serveur, la liste des paramètres requis pour chacun d'eux et les formats supportés, et exécuter les rapports.
Comme à l'habitude, Codeplex fournit des exemples de code.
Cliquer sur l'image pour l'agrandir
En savoir plus :
- sur le site Codeplex
Interop 2010 : la portabilité des services cloud au coeur des débats
« Probablement dès cette année, nous aurons les moyens de faciliter le déplacement de la charge de travail des centres de calcul internes vers des services cloud externes, à l'aide d'un logiciel » a expliqué Randy Rowland, vice-président en charge du développement produit chez Terremark. Les clients veulent avoir l'assurance de pouvoir rapatrier une charge de travail confiée à un cloud dans leur datacenter si les circonstances le permettent », a-t-il ajouté. « Les entreprises ont peur de rester bloquées. Certains obstacles réseaux existent effectivement, comme le changement des adresses IP, pour lequel il faut trouver une méthode plus facile ». Pour Simon Crosby, CTO de Citrix, « cette préoccupation autour de la transférabilité est prise en compte. Les vendeurs savent qu'elle existe et qu'ils doivent trouver des solutions. »
« Les images de la machine virtuelle Amazon, utilisées sur le service cloud Amazon EC2, très répandu, sont en propriété exclusive et difficiles à répartir sur les réseaux d'entreprise, » a souligné de son côté Alistair Croll, fondateur de Bitcurrent. Mais Simon Crosby a constaté des progrès dans certains domaines, comme la norme Open Virtualization Format (OVF). Selon lui, elle rend la charge de travail indépendante de l'hyperviseur, et permet l'interopérabilité entre des plates-formes de virtualisation multiples. « La virtualisation a permis d'améliorer la portabilité des charges de travail entre serveurs, mais les premières versions des offres « Infrastructure-as-a-Service » pour le Cloud manquaient de ressources en matière de réseaux, et il faudra trouver de nouvelles méthodes pour les renforcer et améliorer la portabilité », a précisé Simon Crosby.
Illustration Alistair Croll, fondateur de Bitcurrent, Crédits D.R.
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Kristof Kloeckner, CTO d'IBM, autre conférencier présent à Interop, a déclaré dans une interview que le déplacement des charges de travail depuis les centres de données internes vers les cloud n'était pas difficile. Selon lui, « les problèmes surviennent lorsque les applications demandent qu'un grand nombre de données soient transférées vers le cloud. » Certaines démonstrations faites à Interop ont montré le déplacement d'applications entre différents clouds, mais « la plupart des exemples sont vraiment basiques dans le sens où ils ne déplacent pas de volumes de données très importants », a expliqué le CTO d'IBM. Selon lui, les applications à base de grid, les simulations, ou les charges de travail occasionnelles (saisonnières notamment) sont sans doute bien adaptées au déplacement temporaire vers un cloud. « Les services clouds s'intègreront les uns aux autres », a-t-il ajouté au cours de son allocution. « Surtout, ils devront rester ouverts. C'est un de nos objectifs majeurs. Ce qui se passe aujourd'hui est un changement fondamental. Cela montre la nécessité d'introduire plus de souplesse dans le déploiement des services informatiques. »
« Dans l'avenir, il y aura essentiellement trois catégories d'applications », a poursuivi de son côté Alistair Croll, de Bitcurrent. Celles qui resteront toujours à l'intérieur du datacenter de l'entreprise, celles qui pourront être exécutées indifféremment en interne ou au sein d'un service cloud si cet hébergement a un sens sur le plan économique, et une troisième catégorie qui demeurera toujours en cloud, notamment si l'application doit être partagée avec des partenaires. »
La question de savoir si les entreprises doivent déplacer des applications existantes vers des services cloud externes n'est pas toujours facile à résoudre. Certains intervenants présents à Interop ont laissé entendre que si les clients sont prêts à déplacer de nouvelles applications vers le cloud, ils ne savent pas encore si l'effort et les coûts de transfert de leurs applications existantes correspondent à un vrai gain en termes de budget.
(...)(29/04/2010 11:45:28)La conférence développeurs d'Apple se déroulera du 7 au 11 juin 2010
Apple a finalement annoncé que sa conférence développeurs annuelle, la WWDC, se tiendra au Moscone Center de San Francisco du 7 au 11 juin. Au programme de ce rendez-vous, figurent les premières séances de développement pour l'iPad, des ateliers pratiques sur iPhone OS 4 et des ateliers technologiques pour Mac OS X. Cinq axes de technologies seront mis en avant : Frameworks applicatifs, Internet & web, Graphisme & multimédia, Outils de développement et enfin Core OS. La marque californienne pourrait également présenter l'iPhone v4, attendu le 22 juin sur le marché selon les dernières rumeurs. (...)
(26/04/2010 12:45:56)PowerBuilder 12 s'appuie sur Visual Studio et supporte WPF en natif
Dans sa version 12, tout juste livrée, l'outil de développement PowerBuilder, édité par Sybase, facilite la migration des applications Win32 vers la plateforme .Net de Microsoft. Son architecture s'appuie maintenant sur MS Visual Studio et sa technologie DataWindow, réécrite en C#, produit du code managé et supporte de façon native le modèle de programmation de client riche, Windows Presentation Foundation (WPF).
Sybase livre donc PowerBuilder 12 avec deux environnements de développement intégrés (IDE). L'un reste destiné à la création et la maintenance des applications Win32, et servira aussi à faire migrer le code existant vers Windows Forms et WebForms. Tandis que l'autre permettra aux utilisateurs d'élaborer des applications basées sur WPF et de déployer du code managé au-dessus de Visual Studio.
L'éditeur de scripts propose désormais des informations sur les classes .Net, en plus de celles sur les colonnes et commandes d'objets DataWindow, et objets PowerBuilder.
Illustration : Powerbuilder 12 (crédit : http://blogs.sybase.com/powerbuilder/)
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