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(25/05/2010 14:53:03)

Steve Jobs présidera la WWDC 2010, signe d'annonces surprises

Absent de la WWDC l'an dernier en raison d'un cancer du pancréas qui a nécessité une transplantation, Steve Jobs sera présent sur scène pour lancer l'événement qui durera cinq jours. « Steve Jobs retrouve avec enthousiasme sa place de meilleur présentateur du pays, » a déclaré Ezra Gottheil, analyste chez Technology Business Research, à propos du CEO d'Apple qui était revenu devant le public en septembre 2009, pour présenter la nouvelle ligne d'iPod. Tout le monde s'attend, bien sûr, à entendre les éloges du patron d'Apple sur le prochain système d'exploitation 4.0 de l'iPhone, un thème placé au centre de l'événement WWDC 2010, mais espère aussi avoir la primeur sur le smartphone maison de prochaine génération. Cette année cependant, il y aura moins de surprises que par le passé puisque, au cours des quatre dernières semaines, des photographies de deux prototypes de l'iPhone v4 ont été publiés sur Internet, dont celles diffusées par le blog spécialisé en technologie Gizmodo, qui a acheté un modèle de démonstration à un californien pour 5.000 dollars.

De nouveaux services sur iTunes

Plus récemment, un forum vietnamien a même posté des photos d'un iPhone qualifié par un expert en électronique de matériel « sorti de production », ou de quasi-production. « Cela ne veut pas dire que Steve Jobs n'a pas gardé quelques surprises dans son sac, » a déclaré Ezra Gottheil. Selon ce dernier, « on trouve, dans le dernier bilan, quelques indices quant aux annonces possibles. Celles-ci pourraient avoir notamment un rapport avec les services online, comme par exemple, l'intégration de Lala, un petit service de streaming acquis à la fin de l'année dernière et qui sera fermé le 31 mai prochain. Le plus probable concerne l'abonnement à des services de streaming de musique ou de vidéo. »

Steve Jobs lors de la conférence sur iPhone OS 4.0.
Crédits photo : IDG NS, avril 2010.

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Même si la conférence ne semble pas être le lieu idéal pour ce type d'annonce - généralement l'événement se concentre sur des questions concernant directement les développeurs - Ezra Gottheil prévoit une dérogation à cette règle. « Ce ne serait pas tout à fait dans l'esprit de la WWDC, sauf si ça a un rapport avec la programmation, » a reconnu l'analyste. « Mais dans la mesure où Apple arrive avec une plate-forme qui interagit avec le code d'un ou de plusieurs de ses appareils mobiles, il serait logique qu'elle fournisse aussi quelques APIs. » Dans son raisonnement, la firme de Cupertino pourrait être prête à rivaliser avec Amazon et Google - lesquelles offrent toutes deux des services de stockage aux développeurs - en utilisant son grand centre de calcul construit en Caroline du Nord. « Apple n'est pas encore entré dans ce monde, mais comme il souhaite conserver les développeurs de l'iPhone et de l'iPad dans son environnement, » a déclaré l'analyste.

De la visioconférence pour l'iPhone v4

« Des contenus éducatifs, un domaine privilégié de longue date par Apple, pourrait également être hébergés dans ce centre de calcul, » a t-il déclaré. Une autre annonce possible, à la fois autour de l'iPhone et du datacenter de Caroline du Nord, concernerait l'appareil photo frontal aperçu sur les prototypes de l'iPhone, vus ici et là. « Beaucoup de gens utilisent Skype pour les appels vidéo, et seul un nombre restreint fait appel à une technologie haut de gamme pour la visioconférence. Il y a donc un gros potentiel dans ce domaine, »a déclaré Ezra Gottheil. » Steve Jobs pourrait donc révéler des capacités vidéo de l'OS 4.0 de l'iPhone tenues secrètes, avec certaines APIs qui permettraient aux développeurs de s'ancrer à une plate-forme de vidéoconférence reposant sur un cloud. « Apple pourrait dire : voici la base pour créer du chat vidéo, » puis proposer aux développeurs des APIs à développer pour ajouter le chat vidéo à des jeux sur iPhone, par exemple » a t-il ajouté.

A noter qu'Apple ne diffusera pas cette fois la conférence en direct sur le Web.

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(25/05/2010 09:08:21)

Steve Jobs ouvrira bien la conférence développeurs 2010

Le CEO d'Apple, Steve Jobs, effectuera sa traditionnelle keynote lors de la prochaine édition de la Worldwide Developers Conference (WDC), du 7 au 11 juin, à San Francisco. Il ouvrira cette conférence dès 10h du matin, avec une allocution devant une assemblée internationale de développeurs d'applications pour les produits de la marque à la pomme. La venue de Steve Jobs signifie généralement l'annonce de nouveaux produits, comme celle du très attendu iPhone v4. Durant ces cinq jours, plus de 5.000 développeurs venus du monde entier vont se retrouver pour présenter leurs applications dédiées aux différents produits Apple comme l'iPhone et l'iPad.


Steve Jobs lors de la conférence sur iPhone OS 4.0.
Crédits photo : IDG NS, avril 2010. (...)

(21/05/2010 17:52:09)

BizTalk et AppFabric, pour 'composer' des applications ouvertes vers le cloud

Microsoft vient de dévoiler la Release Candidate de son serveur d'application AppFabric, socle d'exécution des applications .Net sur Windows Server et dans le cloud Azure. L'éditeur a procédé à cette annonce sur le web, dans le cadre d'un événement virtuel consacré à ses solutions d'infrastructure, www.appinfrastructure.com. Par ce biais, il a également indiqué la disponibilité de la première version bêta publique de ses outils d'intégration BizTalk Server 2010.

Dans ces présentations en ligne, Microsoft souligne l'intérêt d'apporter les capacités propres aux environnements de cloud aux ressources IT exploitées derrière le firewall. AppFabric, destiné au déploiement et à la gestion d'applications web et composites, de même que BizTalk Server, vont permettre aux applications déployées au sein des entreprises de trouver des prolongements dans les services proposés au sein de clouds publics tels que Windows Azure.

Des applications qui passent vers le cloud sans retouche

Le modèle de l'application composite permet de prendre les ressources logicielles existantes et de les associer pour construire un ensemble d'applications distribuées au sein de l'entreprise aussi bien que prolongées sur Internet. En procédant ainsi, on facilite la portabilité des applications, de telle façon qu'il ne sera pas nécessaire de les réécrire pour qu'elles fonctionnent dans les clouds, affirme Abhay Parasnis, directeur de l'entité serveur d'application chez Microsoft. Windows Server AppFabric va aider les développeurs à bâtir et gérer des services pour des applications composites. Il sera disponible gratuitement pour les clients qui ont acquis des licences de Windows Server 2008.

BizTalk Server 2010 sera utilisé par les développeurs, de façon combinée avec le socle d'exécution AppFabric, pour élaborer plus rapidement des applications composites qui se connectent à des systèmes disparates au travers des adaptateurs BizTalk au sein des environnements de développement .Net, avance Microsoft. Cette mise à jour apporte aussi un outil de mapping qui simplifie les transactions complexes et un tableau de bord unifié pour les fonctions de sauvegarde et de restauration.

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(21/05/2010 17:31:07)

Google App Engine passe en mode entreprise

Avec ce service, le géant de Moutain View espère bien profiter de la demande croissante des entreprises pour la création et l'hébergement d'applications sur mesure dans une architecture cloud, tout en répondant à la nécessité de disposer d'une plus grande flexibilité dans le déploiement et de réduire les coûts de gestion des infrastructures et leur complexité. « Ce que nous entendons clairement et fortement de la part des moyennes et des grandes entreprises, c'est que ces clients veulent avoir la possibilité de construire leurs propres applications sur la plateforme Cloud,» a déclaré Matthew Glotzbach, directeur de la gestion produits chez Google Enterprise.

Lancé il y a deux ans, l'App Engine était principalement destiné aux développeurs d'applications Web, plutôt orientés consommateurs, qui souhaitaient avoir leurs logiciels hébergés au sein de l'infrastructure cloud du géant de l'Internet. « Même si les entreprises ont montré de l'intérêt pour le concept App Engine, beaucoup ont estimé que des caractéristiques importantes requises par les services informatiques des entreprises faisaient défaut, et nous sommes en train de combler ces lacunes » a déclaré David Glazer, directeur de l'ingénierie chez Google.

Par exemple, App Engine for Business dispose désormais d'une console d'administration centrale destinée à gérer l'ensemble des applications d'une entreprise, et profite d'un support technique et d'une garantie de service à hauteur de 99,9%. La solution professionnelle permet également aux administrateurs informatiques de définir désormais des politiques de sécurité pour l'accès aux applications métiers, et propose un système de tarification fixé à 8 dollars par utilisateur et par mois, plafonné à un maximum de 1000 dollars mensuel. Le produit est actuellement disponible pour un nombre limité de clients, mais Google espère élargir son accès plus tard cette année.

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D'ici peu, Google offrira aux développeurs la possibilité d'installer des bases de données SQL, une manière d'enrichir encore plus son système de base de données interne Big Table - sur lequel reposent déjà des outils comme Google Search, Earth, Maps, Finance, Print, Orkut, YouTube ou encore Blogger - et d'ajouter le SSL pour protéger les échanges entre applications.

Une interface avec VMware

Grâce à un partenariat avec le spécialiste de la virtualisation, Google cherche à apporter aux entreprises une capacité de portabilité, afin qu'elles puissent déployer leurs applications en disposant d'un choix étendu de paramètres compatibles Java, que ce soit dans App Engine lui-même, un cloud privé ou partagé, basé sur VMware, ou tout autre plateforme de service d'applications hébergées comme EC2 d'Amazon. « La solution proposée rend le cloud plus accueillant pour les entreprises et les applications personnalisées qu'elles souhaitent déployer » a déclaré David Glazer. «Notre collaboration avec VMware nous a permis de nous appuyer sur des normes prenant en compte la façon dont les applications s'exécutent dans le cloud, et d'apporter la fonctionnalité de portabilité du cloud au monde de l'entreprise, » a t-il ajouté. Ce partenariat inclus l'intégration de l'outil de développement rapide VMware Spring Roo dans Google Web Toolkit, et de lier le système de suivi de performances VMware Spring Insight à la technologie Speed Tracer de Google.

«Cette offre PaaS (platform-as-a-service) pourrait intéresser les entreprises en raison de la portabilité et parce qu'elle est proposée par des acteurs crédibles, » a déclaré Frank Gillett, analyste chez Forrester. « Google a encore à surmonter quelques résistances de la part de nombreuses entreprises et doit trouver les arguments pour les rassurer, mais cette annonce élargit la disponibilité et l'attrait du service PaaS et offre à ceux qui préfèrent le code Java, une alternative à Microsoft.Net Framework » a t-il ajouté.

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(20/05/2010 14:04:01)

Google I/O 2010 : Adobe met du HTML5 dans sa CS5

« Le Pack d'extension CS5 d'Adobe Dreamweaver, apporte aux développeurs le support de ces nouvelles spécifications, ajoutées à d'autres fonctionnalités comme le code-hinting qui permet de compléter des lignes de code en se basant sur celui saisi auparavant, » a déclaré Léa Hickman, directeur produits pour la Creative Suite d'Adobe. Le Pack d'extension HTML5, disponible gratuitement depuis le 30 avril sur le site d'Adobe, comporte également des mises à jour du moteur WebKit et des améliorations dans la restitution de la vidéo et de l'audio pour la fonction de prévisualisation Dreamweaver Live View. En outre, elle comprend des formats pour démarrer avec le HTML5. «Désormais, vous disposez d'un outil de première classe pour le HTML5, lequel permet d'éviter le codage manuel comme vous le faisiez auparavant, » souligne Léa Hickman. Avec CS5, les développeurs peuvent également concevoir des sites adaptés à des tailles d'écran multiples.

Kevin Lynch, le PDG d'Adobe, a fait la démonstration des dernières fonctionnalités de l'outil de design lors de la conférence Google I/O qui se tient actuellement à San Francisco. « L'ajout de capacités HTML5 à Dreamweaver n'est pas surprenant, » a déclaré l'analyste Ben Bajarin, directeur de la technologie grand public chez Creative Strategies. « Bien sûr, il y a eu beaucoup de bruit au sujet du HTML5 et de son importance pour pousser le Web en avant sur le plan du langage de description de pages, » a t-il ajouté.

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Adobe a récemment fustigé Apple publiquement pour avoir nié l'importance de son plug-in Flash et de sa technologie. Apple a en effet affirmé qu'avec le HTML5 et les capacités multimédia qu'il apporte au format HTML, Flash est désormais inutile. Au final, Adobe a pris l'option de supporter le HTML5 et de lui concéder une place sur le Web aux côtés de son Flash. « L'un des défis autour du HTML5, c'est qu'il introduit différentes implémentations possibles pour les navigateurs, » a déclaré Léa Hickman.  « Flash, quant à lui, représente une offre plus cohérente pour un ensemble de navigateurs, a t-elle estimé. « Le HTML5 englobe le CSS3 et JavaScript, » a t-elle ajouté.

Un autre analyste a souligné que, selon lui, Flash et HTML5 allaient coexister. « Il appartient à Adobe de tirer le meilleur parti du HTML5 en définissant une stratégie complémentaire à Flash, car les deux formats vont devoir coexister pendant une période à venir qui risque de durer, » a déclaré Al Hilwa, analyste chez IDC. « Il semble que c'est exactement ce que l'éditeur vient de faire en intégrant le soutient à l'HTML5 dans son outil de création. » Dreamweaver peut certes favoriser Flash comme média type. «La plupart de nos clients utilisent Dreamweaver ainsi que Flash pour créer des sites Web, mais si nous considérons notre expérience de l'outil, nous n'avons pas de préférence, » a déclaré Léa Hickman.

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(19/05/2010 13:45:06)

SapphireNow 2010 : SAP accepte les commandes en volume pour ByDesign

SAP passe enfin à la vitesse supérieure sur sa suite de gestion intégrée Business ByDesign destinée aux PME. Jim Hagemann Snabe, son co-PDG responsable des produits, vient d'en faire l'annonce "officielle" sur la conférence utilisateurs SapphireNow, hier à Francfort. Avec une pointe d'humour : « Vous pouvez passer commande maintenant » (you can order now). Fin juillet, la version 2.5, « multitenant », de cette offre en ligne sera disponible, mais uniquement, pour l'instant, sur les six pays où elle est déjà commercialisée, dont la France. L'ouverture à l'ensemble des zones géographiques n'interviendra que plus tard et Jim Hagemann Snabe ne souhaite toujours pas être plus précis sur cette date. Rappelons que Business ByDesign s'adresse aux entreprises de taille moyenne qui veulent gérer en ligne, de bout en bout, l'ensemble de leur processus de gestion, en s'affranchissant totalement, donc, de la gestion de l'infrastructure informatique sous-jacente. Celle-ci est entièrement déléguée à l'hébergeur, SAP, en l'occurrence. L'accès à l'application est tarifé sur la base d'un versement mensuel, par utilisateur.

ByDesign : de la suite en ligne à la "plateform as a service"

La suite intégrée Business ByDesign, hébergée sur les datacenters de l'éditeur allemand, a été présentée en septembre 2007. Un lancement en grandes pompes, assorti d'objectifs ambitieux, avant que SAP ne décide assez rapidement de lever le pied. L'éditeur ne réunit actuellement qu'une centaine de clients sur ce produit. Il a reconnu par la suite qu'il avait lancé un peu tôt cette offre qui représentait pour lui un changement total de modèle par rapport à ce qu'il faisait auparavant. Jusqu'à présent, il fournissait des applications que les entreprises installaient en interne. Avec Business ByDesign, SAP se transforme en hébergeur avec toutes les responsabilités d'engagements de services associés.[[page]]Curieusement, comme certains de ses responsables l'ont admis sans ambages, cette application proposée en mode SaaS (software as a service) n'était pas « multitenant » dans sa première version. Chaque client disposait sur le datacenter de son propre environnement. L'infrastructure sur laquelle fonctionnait la suite intégrée ByDesign n'était pas adaptée à une exploitation en volume. Elle l'est désormais. Les équipes commerciales de SAP, qui se voyaient contraintes de refuser les demandes des entreprises (c'est arrivé !), vont pouvoir se lancer à la conquête de nouvelles entreprises. 

L'étape suivante, à la fin de cette année, consistera à ouvrir la plateforme aux développements externes, SAP fournissant un SDK à ses partenaires pour bâtir des applications complémentaires à Business ByDesign qui seront accueillies et commercialisées sur sa PaaS (platform as a service).

Sur le marché des PME, SAP dit accueillir 25 nouveaux clients par jour dans le monde, sur l'ensemble de ses offres adaptées à cette cible d'entreprises. Outre le petit dernier Business ByDesign, l'éditeur propose en mode indirect depuis plusieurs années le produit Business One, un ERP pour les PME jusqu'à 100 personnes (à installer en interne chez les clients), et SAP All-in-one, une suite pré-configurée reposant sur les fondements de la Business Suite, vendue et déclinée par industries par un réseau de partenaires.


Sur ses 97 000 clients, l'éditeur dit en compter 67 500 réalisant un chiffre d'affaires inférieur ou égal à 350 millions d'euros.

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(18/05/2010 11:59:26)

L'ESIEA développe un système de guidage sur mesure pour les personnes handicapées

Faciliter l'intégration des personnes à mobilité réduite. Tel est  l'objectif du projet Praticarte mené par un groupe d'élèves-ingénieurs de l'ESIEA (École Supérieure d'Informatique Électronique Automatique). L'initiative vient de recevoir le soutien du jury de la Fondation Steria - Institut de France pour sa bourse annuelle liée à l'utilisation des nouvelles technologies au service de projets solidaires et de personnes en difficulté. Le principe :  construire une base de données cartographiques pour aider les personnes handicapées dans leurs déplacements en ville. « Les systèmes de guidage actuels par GPS ne fournissent que des données cadastrales utiles pour des personnes valides », ont observé Loïca Avanthey et Vincent Germain, étudiants de 5e année à l'origine du projet. Ils ont donc eu l'idée d'utiliser les smartphones et d'autres terminaux tactiles, concentrés de capteurs, outils étant, pour la grande majorité d'entre eux, équipés d'inclinomètres, de GPS et d'appareils de capture d'image.

Un outil à vocation communautaire

Ainsi, chaque utilisateur pourra, lors de ses déplacements, mettre à jour une base de données, en temps réel, à l'aide d'une application téléchargeable sur des plateformes (comme App Store ou Android Market). L'inclinomètre renseignera sur l'inclinaison de la chaussée, l'image déterminera l'état du revêtement, le GPS géolocalisera les données, et une interface tactile rendra la contribution plus ergonomique. À partir de ces données collectées, un algorithme, défini en partenariat avec les communautés de personnes à mobilité réduite, établira un indice de praticabilité qui pourra par exemple reprendre le code couleur des pistes de ski (vert - bleu - rouge - noir) établi il y a quelques années par l'association Mobile en Ville. À moyen terme, l'objectif du projet est de pouvoir intégrer cette base de données au sein d'un ou plusieurs SIG (Système d'Information Géographique) communautaires déjà existants.

Réalisé dans le cadre du laboratoire Acquisition et traitement des images et des signaux (ATIS) de l'ESIEA, le projet Praticarte concourrait avec une dizaine d'autres présentés par des grandes écoles d'ingénieurs françaises. Dans le cadre de la bourse de la Fondation Steria - Institut de France, les étudiants travailleront en priorité sur la collecte des informations et leur centralisation à l'aide d'un seul et même programme informatique. Ils présenteront  un premier prototype avancé de leur projet dans neuf mois.







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(14/05/2010 18:04:39)

Adobe aime avec réserve Apple

Les américains sont assez friands de ces « private » jokes. Adobe a répondu de manière originale et drôle à la polémique lancée par Steve Jobs, PDG d'Apple, sur la non utilisation de la technologie Flash pour développer des applications sur l'iPhone et iPod. Ce dernier avait publié une lettre ouverte revenant sur les raisons de ce choix. Pour Adobe, ces propos n'étaient qu'un « écran de fumée » et l'éditeur avait dans un premier temps décidé de ne pas répondre à la provocation.

Et puis hier, dans certains journaux économiques américains, ainsi que sur des sites spécialisés, une publicité est apparue : « Nous aimons Apple ». S'ensuit une déclinaison des appréciations, la créativité, le HTML 5, etc... L'éditeur termine son propos par une mise en garde « Nous n'aimons pas les personnes qui vous privent de votre liberté de choisir ce que vous créez, comment vous le créez et l'expérience que vous ressentez sur Internet ». L'éditeur en a profité également pour publier une lettre ouverte rédigée par les fondateurs d'Adobe, Chuck Geschke et John Warnock, qui défendent la technologie Flash. A suivre...

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