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(10/06/2010 17:16:33)

TechEd 2010 : il manque encore des fonctions à Azure

Parmi les fonctions qui font encore défaut aux déclinaisons Azure des produits Microsoft, les plus importantes arriveront dans les 12 à 18 mois, a assuré Bob Muglia, le patron de la division Serveurs & Outils de Microsoft, sur l'édition 2010 du TechEd. « Cela ne veut pas dire que toutes les fonctions seront là, mais les principaux manques commenceront à être comblés », a-t-il prudemment précisé.

Pour attester des avancées en cours, Bob Muglia a listé un certain nombre d'éléments qui n'ont complétés que récemment les versions Azure. Par exemple, la prise en compte dans la base de données SQL Server des coordonnées de géolocalisation, ou encore le support de la version 4 de l'environnement de développement .Net. En revanche, il faut encore ajouter d'autres fonctions, telles que SQL Server Integration Services.

Capacité d'ajustement, bascule automatique

Dans son approche du cloud, Microsoft a choisi de se focaliser sur des attributs spécifiques à ce type d'infrastructure, comme la capacité d'ajustement automatique en fonction du nombre d'instances requises, quelle qu'en soit l'ampleur. Ou encore l'aptitude à basculer de façon automatique en cas de défaillance de l'un des sites. « Nous avons décidé de construire la plateforme avec ces attributs, quitte à ne pas pouvoir fournir tout de suite certaines autres fonctions dont vous auriez besoin ».

Porter des applications dans le cloud implique bien plus que de rendre simplement le logiciel accessible en ligne, a expliqué Bob Muglia. « Quand nous avons bâti Windows Server Azure, nous ne nous sommes pas contentés de prendre Windows Server et de l'héberger dans un datacenter. Nous avons déterminé ce dont nous aurions besoin pour construire une plateforme de cloud à l'échelle mondiale ».

Illustration : Bob Muglia, président de la division Server & Tools de Microsoft, lors de la PDC (Professional Developpers Conference) de Los Angeles en novembre 2009 [crédit photo : Microsoft][[page]]

L'éditeur s'est donc principalement concentré sur l'évolutivité d'Azure, pour lui donner les capacités de conserver de multiples copies des données à portée de main, et atteindre les autres pré-requis qui constituent les avantages du cloud computing.

« Nous démarrons d'abord avec un sous-ensemble et nous ajoutons des fonctions au fur et à mesure », explique Bob Muglia en présentant l'édition SQL Server Azure comme un exemple de cette approche. Le dirigeant fait remarquer qu'une seule instance de SQL Server Azure est exploitée à travers des milliers d'ordinateurs dans six datacenters dans le monde. « Personne n'a fait tourner une seule base de données sur autant de serveurs distribués », a-t-il affirmé sur TechEd.

Montée en charge réussie lors du Super Bowl Sunday

L'un des premiers utilisateurs d'Azure a été la chaîne de restauration américaine Domino's Pizza, indique Prashant Ketkar, directeur produit et marketing de Windows Azure. En janvier dernier, lors du Super Bowl Sunday (rencontre de football américain extrêmement suivie qui représente aussi la 2e journée record de consommation alimentaire aux Etats-Unis, après Thanksgiving), le fournisseur a pu faire monter en charge son système de commande en ligne pour prendre en compte le trafic supplémentaire.

Porter vers Windows Server Azure une application fonctionnant à l'origine sur Windows Server prend du temps, avertit Prashant Ketkar. A la fin de l'année, Microsoft fournira la possibilité de procéder à ces transferts sans reconfiguration, mais ces applications ne pourront pas tirer bénéfice des capacités de montée en puissance d'Azure, ni de ses autres fonctions natives.[[page]]
Pour Robert Wahbe, vice président corporate, responsable du marketing pour la division Servers & Tools, l'approche de la plateforme Azure est plus sophistiquée que celle de concurrents comme Google et Amazon, en raison du fait qu'elle fournit un seul environnement pour toutes les instances de logiciels, que ceux-ci fonctionnent en interne sur Azure, ou qu'ils tournent sur une autre plateforme de cloud basée sur le framework .Net. « Personne d'autre ne fait cela », avance-t-il.

Jusqu'à présent, ce sont les applications de messagerie et de collaboration qui ont été le plus souvent portées dans le cloud. Les applications plus complexes, telles que les ERP, y sont moins courantes. [NDLR : à noter, dans ce domaine, que l'éditeur Lawson propose à ses clients de déployer ses solutions ERP dans le cloud EC2 d'Amazon]

Les petites entreprises iront probablement vers le cloud avant les grandes, prévoit Bob Muglia, notamment parce qu'elles développent moins souvent leur propres applications.

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(09/06/2010 09:10:21)

Innovate 2010 : IBM Rational à la pointe de l'innovation

Cette année, il n'est pas seulement question des outils de développement Rational sur le rendez-vous annuel consacré à leurs utilisateurs. L'édition 2010 aborde également les autres produits et services d'IBM, sous la bannière de l'innovation. « Le logiciel devient un élément essentiel un peu partout, en particulier sur les nouveaux produits et services, a rappelé en préambule Scott Hebner, vice président marketing et stratégie pour l'offre Rational. L'automobile, les tapis roulants, les machines à café, les équipements médicaux... autant de domaines où l'on utilise du logiciel. Et c'est l'un des ingrédients clés qui tire l'innovation. » Pour en récolter vraiment les bénéfices, il faut bâtir de solides compétences sur ce terrain, ajoute le responsable, prêchant pour sa paroisse.

Voilà sept ans maintenant qu'IBM a racheté Rational Software (en décembre 2002). Cette année, il attend 4 000 personnes sur Innovate 2010. Les éditions précédentes de l'événement rassemblaient surtout des architectes logiciels et des développeurs. « Désormais, la cible s'est élargie à tous ceux qui ont la responsabilité de concevoir, de livrer, et par conséquent, de gérer un produit », considère Scott Hebner. Pour lui, cela peut aller jusqu'aux directeurs des systèmes d'information et autres responsables exécutifs.

Rational s'étend dans le cloud

A Orlando, il est prévu qu'IBM présente sous le nom d'Integrated Product Management, un ensemble de bonnes pratiques et de logiciel intégrés, destiné à aider les industriels fabriquant des produits à simplifier leurs processus de développement.

Big Blue va également dévoiler un nouveau modèle de licence. Les utilisateurs pourront louer les logiciels Rational pour une période de temps limitée, ce qui devrait être moins coûteux que d'acheter les droits sur le logiciel. Ces outils seront disponibles dans le cadre de l'offre de cloud d'IBM. D'autres logiciels Rational sont déjà proposés sous cette forme.

Illustration : Scott Hebner, vice président marketing et stratégie pour l'offre Rational, sur Innovate 2010

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(08/06/2010 17:40:48)

TechEd 2010 : Microsoft promeut un modèle de cloud hybride

« Nous sommes à l'aube d'une transformation majeure pour l'industrie, le cloud computing, qui nous affectera tous », a rappelé le président de l'activité Serveurs et outils de Microsoft, en insistant sur l'ampleur des modifications qui seront nécessaires à sa mise en oeuvre. Dans ce contexte, l'éditeur de Redmond prétend créer les précurseurs du cloud. « Il y a aujourd'hui dans votre environnement beaucoup de choses qui pourraient être fournies sous forme de services », explique en substance Bob Muglia.  

Microsoft cherche à prendre l'avantage sur son propre terrain en transformant ses logiciels existants pour qu'ils puissent gérer ou exploiter des applications sur Windows Azure ou dans les autres offres de cloud basées sur .Net. Ainsi, Bob Muglia a moins parlé d'Azure lui-même que des logiciels qui, de plus en plus, s'adaptent au cloud. Au cours de son intervention sur TechEd 2010, il a évoqué des produits tels que la solution d'administration informatique Systems Center, l'environnement de développement intégré Visual Studio 2010, les logiciels d'automatisation des processus pour le cloud d'Opalis Software (acquis par Microsoft en décembre 2009) et, même Windows Phone 7.

Avec Systems Center, les administrateurs vont pouvoir gérer des copies de SQL Server qui se trouvent à la fois sur des machines locales et dans le cloud. Quant à la version 4 de .Net, qui sera mise à disposition cette semaine, elle permettra aux développeurs de spécifier s'ils veulent que l'application qu'ils conçoivent fonctionne dans le cloud ou en interne.
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La technologie d'Opalis Software sera intégrée à Systems Center. Elle permet aux administrateurs de décomposer les services en composants individuels, incluant le système d'exploitation, la base de données, l'OS serveur et le middleware. Il est ainsi possible de mettre à jour un système d'exploitation, par exemple, pendant que le programme tourne. Cela permet aussi à l'administrateur de définir les instances qui peuvent fonctionner pour chaque service. « Opalis apporte un moteur générique qui peut orchestrer les processus au sein d'un environnement IT, explique Bob Muglia. Ce moteur ne fonctionne pas uniquement avec les clients Windows, mais aussi avec les clients Unix et Linux. Il peut aussi s'utiliser avec Microsoft PowerShell », précise-t-il.

Windows Azure et SQL Azure n'ont pas
encore atteint la parité fonctionnelle

Le président de l'activité Serveurs et outils a par ailleurs montré comment Windows Phone 7 fonctionnait dans cet environnement. L'interface de l'OS mobile se compose de panneaux, chacun conduisant à une application ou un service. On pourra, par exemple, accéder à SharePoint pour appeler un document stocké par le portail, le modifier et le renvoyer vers l'instance SharePoint. »

Lors d'une conférence de presse donnée à l'issue de sa présentation, Bob Muglia a reconnu que les actuelles versions des applications Microsoft sur Azure, telles que Windows Azure et SQL Azure, ne disposaient pas de toutes les fonctionnalités des éditions standards des logiciels. Par exemple, la console d'administration des services SQL n'est pas disponible sur Azure. La parité fonctionnelle entre les éditions arrivera plus tard. « Nous travaillons d'arrache-pied sur Azure », a assuré le dirigeant.

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(04/06/2010 17:57:23)

Des éclaircissements sur Azure attendus sur Microsoft TechEd

Du 7 au 10 juin se tient l'édition nord-américaine de la conférence TechEd de Microsoft, à la Nouvelle Orléans. A cette occasion, on peut penser que l'éditeur va fournir d'autres détails sur Windows Azure et sa stratégie de cloud computing. De nombreux sujets pourraient être abordés sur ce terrain : ses efforts pour concurrencer les Google Apps, les questions de sécurité sur le cloud, le modèle d'utilisation de Windows dans les services de cloud... Mais plus encore, certains observateurs jugent que la stratégie autour d'Azure mérite des éclaircissements.

Drue Reeves, analyste au Burton Group, attend de la part de Microsoft une avancée importante concernant Azure. Il pense surtout que l'éditeur va devoir adopter la bonne ligne de conduite avec une offre cloud qui propose un système d'exploitation, une base de données et plusieurs autres services. Potentiellement, il y a là matière à créer un conflit d'intérêt pour la société fondée par Bill Gates. En effet, celle-ci veut nouer des partenariats autour de l'utilisation de sa technologie de virtualisation Hyper-V et de son framework .Net pour le développement de services cloud. Mais, souligne Drue Reeves, la présence d'Azure sur le marché pourrait dissuader les fournisseurs de clouds d'utiliser les technologies de Microsoft.

« Si vous êtes un nouvel opérateur, allez-vous choisir Hyper-V ou .Net pour les offrir sous la forme d'un service en ligne qui entrera en concurrence avec Azure ? C'est peu probable », fait apparaître l'analyste du Burton Group. En fait, résume-t-il, l'éditeur de Redmond propose des technologies destinées aux fournisseurs de cloud et, dans le même temps, il se place face à eux pour les vendre aussi.

Azure est disponible depuis le 1er février de cette année.

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(04/06/2010 15:49:22)

Google App Engine : datastore vacille sous la demande

Deux semaines après avoir annoncé une version commerciale de Google App Engine, la plateforme de conception et d'hébergement d'applications basée sur les serveurs de Google, la société californienne reconnait que les performances de sa base de données datastore ont été déficientes, de façon chronique, pendant plusieurs semaines. Cela concerne la version standard principalement destinée aux développeurs d'application pour le grand public.

Pour compenser la récente série de pannes, de ralentissements et d'erreurs, Google remboursera, jusqu'à nouvel avis, le temps CPU relatif avec effet rétroactif jusqu'au mois de mai inclus. « Les problèmes du datastore, qui ont eu des répercussions sur d'autres composant de l'App Engine, résultent de la forte croissance de la plateforme qui a dépassé la capacité du serveur », a fait savoir Google dans un blog. « Il y a de nombreuses raisons aux problèmes survenus au cours des dernières semaines, mais leur origine provient sans conteste de la croissance du service dont la fréquentation a augmenté de 25% tous les deux mois pendant les six derniers mois », peut-on encore lire sur le blog. Google se démène pour faire en sorte que l'infrastructure du service permette de supprimer ce problème, « mais les performances devraient rester précaires pendant les deux prochaines semaines, » a indiqué l'entreprise.

La situation est ironique parce que Google App Engine se présente comme une plateforme de développement d'applications et d'hébergement cloud créée pour permettre aux développeurs de se concentrer sur la création d'applications sans avoir à se préoccuper des questions informatiques diverses, au nombre desquelles figurent le problème des serveurs. [[page]] Comme pour les autres fournisseurs de cloud, l'argument de vente de l'App Engine est que le vendeur (en l'occurrence Google) se dit mieux équipé pour gérer les contraintes liées à l'infrastructure informatique que la plupart, sinon tous ses clients potentiels, et qu'il faut donc lui faire confiance pour prendre en charge des tâches comme le provisionnement matériel et la maintenance logicielle. En d'autres termes, l'argument essentiel des fournisseurs de plates-formes et de services cloud consiste à promettre aux clients qu'ils n'auront pas à se préoccuper des pannes d'infrastructure, et certainement pas à souffrir de problèmes chroniques pouvant durer des semaines, comme c'est ici le cas.

Ces dysfonctionnements surviennent à un moment particulièrement mal choisi, puisqu'ils interviennent après l'effet d'annonce réalisé lors de la conférence des développeurs Google I/O de la mi-mai, avec la disponibilité prochaine d'une version Google App Engine pour les entreprises. Actuellement en « preview » avec des fonctionnalités limitées, Google espère diffuser sa version « pro » plus largement d'ici à la fin de l'année. Destinée à des développeurs d'entreprise pour leur permettre de créer des applications en interne, App Engine Business offre des caractéristiques qui intéressent assurément les départements informatiques, comme l'administration depuis une console, une garantie de disponibilité de service à 99,9 % et un support technique. De toute évidence, Google aura besoin de maitriser ses problèmes de performances de plate-forme afin de gagner la confiance de clients potentiels dans les départements informatiques des entreprises et vendre son App Engine Business.

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(03/06/2010 16:15:17)

Une librairie Javascript au secours de Flash sur iPad

Appelée Smokescreen, cette librairie transpose les publicités développées en Flash en JavaScript et HTML 5 dans tout navigateur internet, y compris ceux ne supportant pas Flash nativement. Principalement développé par Chris Smoak de RevShockAds, Smokescreen évite donc aux entreprises qui réalisent des annonces publicitaires en Flash à créer une version spécifique pour toucher les millions de propriétaires d'iPhone et d'iPad. « Beaucoup de gens veulent continuer à utiliser leurs outils Adobe pour réaliser leurs publicités, et le fait de devoir faire appel à un autre outil de développement pour créer des pubs pour une plate-forme unique leur semble stupide, » indique le blog de Smokescreen.

Autre avantage, cet outil n'a pas besoin que les navigateurs Internet soient à jour : le site présente des publicités de démonstration tournant sous Firefox 3.6, Chrome 5, Safari 4 et la version mobile de Safari. La librairie de Chris Smoak ne fonctionne pas encore sur Microsoft Internet Explorer 9, même si cela « semble prometteur, » selon les développeurs. Et ils indiquent des « problèmes connus » sur Opera 10.5 « mais en voie d'amélioration.»

Des développeurs excités, mais critiques


Le code de Smokescreen sera bientôt disponible sous licence Open Source et ses développeurs ont déjà posté une version de prévisualisation avec des démos de publicités. Un support technique minimum et pas cher, plus, éventuellement, certains services, sont envisagés, indique également le blog de Smokescreen. Ce qui est sûr, c'est que les développeurs semblent très excités par cette librairie. Simon Willison, co-créateur de Django, qui permet de construire des applications Web dans le langage Python, a écrit sur son blog que « Smokescreen, le lecteur Flash de Chris Smoak écrit en JavaScript, est un outil incroyable. »

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Toutefois, ce dernier tempère un peu son enthousiasme en ajoutant que « mon seul souci est la performance, je remarque que cet outil pèse 175 Ko et comporte plus de 8.000 lignes de code JavaScript, ce qui pourrait poser problème sur des appareils mobiles peu puissant. »

En effet, la compilation de code doit être téléchargée et exécutée sur un navigateur Web. Dans la mesure où les appareils mobiles ont beaucoup moins de capacité de traitement que les ordinateurs de bureau, le temps nécessaire pour restituer la publicité peut varier selon l'appareil. Les développeurs préviennent que Smokescreen n'est pas aussi rapide qu'un plugin Flash, mais que ses performances pourraient être améliorées. Le test de Smokescreen sur un iPhone a montré que plus l'animation est complexe, plus le rendu de la publicité est lent. Testée et comparée sur un ordinateur de bureau, la performance de la bibliothèque s'est avérée bien meilleure.

Le blog de RevShockAds averti qu'«étant donné que Smokescreen est écrit en JavaScript, il est plus lent que le plugin Flash et limité en vitesse par la performance du navigateur. » Et de poursuivre que « en attendant que nous sortions d'autres astuces de nos manches, il faut savoir que certaines démos ne fonctionneront pas à une vitesse acceptable sur des appareils de type iPad / iPhone / iPod. »

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(31/05/2010 15:25:30)

Open recherche une cinquantaine de collaborateurs en Nord-Est

Groupe Open poursuit le rythme de ses recrutements en région. Après   Rhône-Alpes, la SSII  prévoit d'intégrer plus de 50 nouveaux collaborateurs dans le grand Nord-Est. Les postes à pourvoir sont variés : il s'agit de directeurs et de chefs de projets, d'architectes en systèmes d'information et NTIC, de concepteurs fonctionnels, d'assistants à la maîtrise d'ouvrage, d'ingénieurs d'études/concepteurs, d'ingénieurs nouvelles technologies (Java/J2EE, .net, PHP et applications telles que Liferay et Alfresco...) et technologies traditionnelles (mainframe IBM, AS/400, client/serveur...).

Open Nord s'appuie déjà sur l'expertise de quelque 250 collaborateurs intervenant sur ces domaines. Dans cette région, le groupe, qui dispose d'un centre de services sur le site de Lambersart, développe, depuis plusieurs années, une culture axée sur les dossiers à engagement de résultats (tierce maintenance applicative, forfaits).

Pour sa part, Open Est (150 salariés) opère sur des projets de développement de portails internet, de conception de solutions Web, de création,  de maintenance et d'évolution de solutions applicatives en centres de services (monétique,  titres, banques à distance). Le groupe  intervient dans les bassins d'activités de Belfort, Mulhouse, Strasbourg, Metz, Nancy et Luxembourg. Pour soutenir sa campagne de recrutement, Open participera au salon de l'emploi Moovijob, le 28 mai prochain, à Metz,  le 25 juin à  Strasbourg, le 10 septembre à Mulhouse, et le 17 septembre à Nancy.

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(28/05/2010 17:24:59)

Windows Azure : un tremplin pour les start-up de BizSpark

En prenant sous son aile des milliers de start-up du logiciel, allaitées aux logiciels Microsoft et plongées au coeur de son réseau pendant trois ans, pour les faire croître et embellir, c'est à terme sa propre cause que sert la société fondée par Bill Gates. Décupler l'ampleur et la puissance de l'écosystème de Microsoft est en effet la vocation principale du programme BizSpark lancé fin 2008. De surcroît, ces jeunes entreprises sont des candidates idéales pour déployer leurs activités dans le cloud, levier de croissance crucial pour l'éditeur de Visual Studio, Silverlight, SQL Server, SharePoint et consorts. Il n'y avait donc rien d'étonnant à voir s'illustrer ce choix technologique dans la sélection des dix-huit start-up présentées cette semaine, à Paris, à un aéropage d'investisseurs et de professionnels(*), sur l'European BizSpark Summit.

Plusieurs de ces jeunes pousses (le programme BizSpark en compte 30 000 à ce jour à travers le monde) ont effectivement choisi de développer leur activité sur le cloud Windows Azure. La Finlandaise Sopima, par exemple, y loge une solution de gestion des contrats en ligne accessible pour 49 euros par utilisateur et par mois. C'est un logiciel « conçu pour une diffusion virale », n'a pas craint d'affirmer Jaan Apajalahti, son PDG, lors d'une session de questions/réponses un peu serrée avec le jury qui l'a cuisiné après sa présentation. Le jeune homme possède déjà une certaine expérience. C'est la deuxième start-up qu'il fonde après une première société qu'il a menée jusqu'à cent collaborateurs.

Des millions d'utilisateurs en quelques semaines

A sa suite, sur la scène du BizSpark Summit, l'Italien Dario Solera a lui aussi présenté une offre installée sur Azure. Son application, Amanuens, fournit un cadre pour gérer la localisation des logiciels au sein d'une équipe de traducteurs répartie. En version bêta depuis mars, l'outil sera facturé à l'utilisation (« pay as you go ») à partir d'août.

Mais l'un des exemples les plus probants, pour appuyer les thèses de Microsoft mardi dernier, était assurément celui de la start-up française Kobojo. La société a été co-créée en 2008 par le lauréat de l'Imagine Cup 2004 (compétition de développement internationale organisée par Microsoft). Son idée : déployer le concept du jeu de société sur les réseaux sociaux (Facebook principalement) et sur les mobiles. Dès son lancement, sa GooBox a attiré en quelques semaines plusieurs millions d'utilisateurs. Pour une petite équipe comme Kobojo (onze personnes), comment disposer des ressources pour faire face à de telles montées en charge, si ce n'est en exploitant une infrastructure de cloud public. Initialement inscrite au programme BizSpark, la start-up vient d'entrer dans le club très restreint d'IDEES, qui ne regroupe chaque année qu'une vingtaine d'élues suivies par Microsoft France.

(.../...)

(*) Parmi les investisseurs et professionnels présents sur le campus de Microsoft d'Issy-les-Moulineaux pour l'European BizSpart Summit figuraient notamment Olivier Protard, de Seventure, Olivier Sichel, de Sofinnova, Guillaume Latour, d'AGF Private, mais aussi Loïc Le Meur, de Seesmic, Reshma Sohoni, de Seedcamp ou encore Chris Shipley de Guidewire Group.

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Décidément en veine, la jeune pousse Kobojo attire tous les suffrages puisqu'elle s'est retrouvée co-lauréate du prix décerné à l'issue de l'European BizSpark Summit (10 000 euros pour chacune des start-up retenues).

Adoubé par Salesforce.com, bientôt sur Azure

La deuxième société distinguée par le jury n'est pas en reste. La Britannique Artesian Solutions a déjà rassemblé un beau portefeuille de clients. Sa solution hébergée, Artesian Surveillance, s'adresse aux équipes commerciales des grandes entreprises. Elle leur collecte sur le web, de façon automatisée et personnalisée, toutes les informations pertinentes (technologies sémantiques à l'appui) sur leurs prospects et clients, leur marché et leurs concurrents. Parmi ses utilisateurs, l'éditeur compte de grands noms, dans l'industrie pharmaceutique comme Boehringer Ingelheim, Bayer et GSK, mais aussi sur d'autres secteurs (Siemens, Vodafone ou Barclays, par exemple).

Les informations collectées par Artesian se consultent à partir d'un navigateur web, depuis son mobile, ou bien directement dans l'application de CRM utilisée par les commerciaux (Salesforce principalement). Pour l'instant, l'éditeur héberge lui-même son application, sur une plateforme auditée par KPMG dans le cadre du partenariat qu'il a noué avec Salesforce.com. « Nous avons récemment prototypé notre service sur Windows Azure avec Microsoft, précise Andrew Yates, PDG de l'éditeur. Nous sommes très contents des résultats et prévoyons de rendre disponible certains éléments clés, voire la totalité de notre service, sur Azure d'ici la fin de cette année ».

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(27/05/2010 12:05:59)

Le PDG de Software AG prolongé dans ses fonctions jusqu'en 2015

Karl-Heinz Streibich vient de se voir reconduit dans ses fonctions de PDG de Software AG par le conseil de surveillance de la société,  jusqu'au 31 mars 2015. Andreas Berckzky, président de ce conseil, souligne qu'il s'agit d'un vote de confiance dans les « qualités d'entrepreneur » de celui qui dirige depuis octobre 2003 l'éditeur allemand de solutions d'infrastructure logicielle et d'outils d'intégration. Software AG a enregistré une croissance durable et rentable au cours des cinq dernières années, rappelle-t-il dans un communiqué, y compris pendant la période de récession économique.

A la faveur du rachat de son compatriote IDS Scheer, en août dernier, Software AG a effectivement terminé l'année 2009 sur un chiffre d'affaires en hausse de 18% (847,4 millions d'euros) et un bénéfice net de 140,8 M€ en progression de 22%. Avec le renfort de cet acteur spécialisé sur la gestion des processus métiers (BPM), le groupe a entamé 2010 en étant déjà assuré de dépasser le milliard d'euros de chiffre d'affaires.

Quelques années plus tôt, l'éditeur de la base de données Adabas et du langage Natural avait déjà eu la main heureuse en rachetant judicieusement webMethods, spécialiste américain des outils de middleware, en avril 2007. Vingt mois plus tard, c'est l'offre SOA de ce dernier qui tirait la croissance de Software AG sur son exercice 2008.

Avant de rejoindre le groupe qu'il dirige depuis six ans et demi, Karl-Heinz Streibich était président délégué du conseil d'administration de la SSII germanique T-Systems. Il a commencé sa carrière d'ingénieur en 1981 chez Dow Chemical, dans le développement logiciel.

Illustration : Karl-Heinz Streibich, PDG de Software AG (crédit photo : DR)

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