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Développement
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(30/08/2010 10:06:56)
Qualité : Micro Focus intègre SilkTest à Visual Studio
Un an après le rachat de Borland et de la division tests de Compuware, l'éditeur britannique Micro Focus présente les versions 2010 de ses solutions de test logiciel SilkTest et SilkCentral Test Manager. La première s'est enrichie d'une interface de type story-board facilitant la création et le lancement de tests pour les utilisateurs moins techniques. Parmi les autres apports importants, les développeurs travaillant dans les environnements .Net bénéficient d'une intégration renforcée de Silk4Net et DevPartner Studio avec Microsoft Visual Studio 2010. Quant au produit Silk4J, il permet aux développeurs Java de relier SilkTest aux environnements Eclipse.
Micro Focus signale aussi l'arrivée de SilkPerformer Diagnostics (illustration ci-dessus), mis au point avec DynaTrace Software pour accélérer le diagnostic des problèmes de performances. Autre nouveauté annoncée en juillet et destinée cette fois aux environnements cloud, SilkPerformer CloudBurst permet d'effectuer des tests de montée en charge.
Gestion de la qualité pour les projets agiles
La solution SilkCentral Test Manager est utilisée pour contrôler les processus de tests une fois que ceux-ci sont mis en place. Ce framework unifié convient pour les développements menés de façon traditionnelle, de même que pour les projets s'appuyant sur les méthodes agiles. Il s'intègre avec les outils de détection de défauts de Visual Studio, ainsi qu'avec la gamme Caliber qui facilite la collaboration au sein des équipes de tests.
Micro Focus signale que parmi les utilisateurs de ses outils de tests figurent des éditeurs de logiciels comme Adobe Systems et Cegedim Rx.
Illustration : SilkPerformer Diagnostics, développé par Micro Focus avec DynaTrace Software
H.264 gratuit jusqu'en 2015 sur le web (MAJ)
L'avenir de la vidéo sur le web est toujours une source de confusion en ce qui concerne les codecs. La décision de l'association en charge des brevets sur H 264, codec très utilisé sur les sites Internet de ne pas demander de royalties pour les utilisateurs finaux, va entretenir un peu plus cet embrouillamini. En effet, la guerre fait rage autour de l'élaboration du langage futur du web, le HTML5. Ce dernier comprend plusieurs éléments, dont l'aspect vidéo.
Et sur ce point, plusieurs codecs entendent bien devenir le standard comme Ogg Theora (format Open Source) soutenu par Mozilla et WebM propulsé sur le devant de la scène par Google. Il semble néanmoins que WebM porte atteinte à certains brevets liés au H.264.
La décision du MPEG LA sur la gratuité des droits sur H264 est donc un moyen de séduction auprès du W3C en charge de coordonner les travaux sur HML5 pour adopter son codec comme standard vidéo. Le seul hic réside dans la durée de cette gratuité qui expirera au 31 décembre 2015. Plusieurs acteurs s'interrogent sur le coût de la redevance après cette date.
Sécurité : Microsoft passe sous Creative Commons sa documentation SDL
Jusqu'à présent disponible sous licence Microsoft, la documentation SDL (Security Development Lifecycle) ne pouvait pas être reproduite, même partiellement, sans une autorisation écrite de la société. Désormais, les développeurs souhaitant s'inspirer de cette méthodologie peuvent accéder à son contenu, le copier, le transmettre et l'insérer dans leur propre documentation dans les limites de ce qu'autorise la licence Creative Commons.
La méthodologie SDL prônée par l'éditeur vise à introduire plus de rigueur dans le développement des logiciels pour détecter les risques de vulnérabilités « le plus tôt possible dans le cycle de développement », explique-t-il sur son site msdn. Schématiquement, il suggère notamment de mettre en place des processus répétitifs, de former les développeurs et d'adopter « des éléments de mesure et de transparence ».
Les deux premiers documents dans quelques semaines
En facilitant l'accès à sa documentation SDL, Microsoft espère convertir davantage de monde à ses bonnes pratiques, indique David Ladd (photo ci-dessus), responsable du programme de sécurité de l'équipe SDL. En revanche, le changement de licence ne s'étend pas aux différents outils d'automatisation SDL (modèles pour le développement Agile, analyseur de code C/C++, bibliothèque pour limiter l'utilisation des contrôles ActiveX ou encore pour réduire les risques d'attaques XSS dans les applications web, etc.).
Microsoft prévoit de livrer dans quelques semaines ses deux premiers documents (en anglais) sous licence Creative Commons. Il s'agit du livre blanc présentant la mise en oeuvre simplifiée de la méthode SDL et d'un texte illustrant la façon dont l'éditeur l'applique lui-même à ses propres produits et services.
Selon David Ladd, « cela prendra du temps de modifier la licence des autres documentations SDL ». Il promet que les développeurs seront tenus informés de l'avancement des choses.
Red Hat offre son API cloud comme standard ouvert du marché
"Nous ne voulons pas que Deltacloud soit sous le contrôle d'un vendeur en particulier, Red Hat compris. Si nous voulons accéder à une véritable interopérabilité et à une réelle portabilité, nous avons besoin d'un instrument de contrôle tiers," a déclaré Bryan Che, chef de produits cloud pour Red Hat, au cours d'une webcast pendant laquelle il a tracé la feuille de route de l'entreprise en matière de cloud computing. "Le manque d'interopérabilité entre les différents vendeurs de solutions cloud est l'une des préoccupations majeures des entreprises qui pèse dans leur décision d'adopter ou non le cloud," a souligné Gary Chen, directeur de recherche en logiciels de virtualisation pour l'entreprise chez IDC, lors d'une présentation qui a accompagné l'annonce de Red Hat.
Une ouverture progressive
C'est en septembre 2009 que Red Hat a lancé Deltacloud sous forme d'un ensemble d'API Open Source qui pouvaient être utilisées pour répartir les charges de travail entre différents fournisseurs de services cloud IaaS (Infrastructure-as-a-Service), comme Amazon et Rackspace. Afin de dispatcher la charge de travail entre les différents prestataires de cloud, les clients doivent pouvoir s'appuyer sur "une architecture et une pile compatibles avec le système qu'ils font tourner en interne," a déclaré Paul Cormier, président de Red Hat pour les produits et technologies. Pour encourager les contributions extérieures, Red Hat a cédé le code base de Deltacloud à l'Apache Incubator, un service de dépôts de logiciels qui, par la suite, peuvent éventuellement être supervisés par la Fondation Apache. L'éditeur a également créé le site APIwanted.org, sur lequel des parties tierces peuvent soumettre leurs suggestions pour des API supplémentaires ou signaler les fonctionnalités qu'ils souhaitent voir dans Deltacloud. Red Hat a également affirmé que, à part elle, d'autres entreprises participaient à l'élaboration de Deltacloud, ou l'utilisaient d'une manière ou d'une autre, citant notamment Cisco, Dell, Hewlett-Packard, IBM, Ingres et Intel. Red Hat a également annoncé qu'elle proposerait bientôt une solution de Plateform-as-a-Service construite autour de sa pile logicielle middleware JBoss.
D'autres alternatives pour un cloud ouvert
Mais Red Hat, n'est pas seul à s'être penché sur la question. Un certain nombre de fournisseurs de services cloud cherchent aussi des solutions. En juillet, Rackspace et la NASA ont entamé l'opération OpenStack pour collecter des logiciels Open Source développés pour le cloud computing. Plus tôt cette semaine, Eucalyptus Systems a lancé la version 2.0 de sa plate-forme cloud, qui utilise l'API AWS (Amazon Web Services). La société en a profité pour dire au passage que, en raison de sa popularité, l'AWS était devenu de facto un standard.
C'est le Cloud Management Working Group, entité du DMTF, l'organisme chargé de superviser des normes comme le CDM (Common Diagnostic Model), DASH (Desktop and Mobile Architecture For System Hardware) et OVF (Open Virtualization Format), qui examinera la proposition de Red Hat en vue de l'adoption de Deltacloud en tant que standard.
La version finale Ruby on Rails 3.0 arrive
A moins d'un imprévu de dernière minute, le framework de développement web Ruby on Rails sortira dans sa version 3.0 cette semaine. C'est ce qu'a indiqué son créateur, le Danois David Heinemeier Hansson (photo ci-dessus), dans un billet de blog publié le 24 août. Il y explique que « cette deuxième 'candidate' présente très peu de modifications par rapport à la première ». Il demande néanmoins aux développeurs de la communauté de l'aider à arracher les quelques 'mauvaises herbes' qui pourraient subsister, en particulier dans les deux outils auxiliaires récemment arrivés, Bundler (qui gère les dépendances d'une application) et ARel (qui simplifie la génération de requêtes SQL), et qui ont tous deux évolué des dernières semaines. Les différences entre la Release Candidate 1 et la RC2 peuvent être consultées sur le site GitHub utilisé pour le partage de code.
Rails 3.0 révèle l'influence du framework Merb duquel il s'est rapproché au sein d'un même projet en décembre 2008, notamment au niveau de l'amélioration des performances et des possibilités de plus-in. Les autres apports attendus de la version 3.0 comprennent une protection contre les attaques XSS (cross-site scripting), des helpers JavaScript, ainsi qu'un routeur basé sur les déclarations REStful.
David Heinemeier Hansson souligne enfin que Rails 3.0 dispose maintenant de sa propre branche stable, la branche maîtresse étant maintenant réservée aux développements de Rails 3.1.
Un JavaOne 2010 sous les auspices d'Oracle
C'est Larry Ellison, le PDG d'Oracle, qui ouvrira mi-septembre la conférence JavaOne, la première du genre depuis que sa société a racheté Sun Systems. Ce n'est pas vraiment une surprise quand on se souvient que le bouillant patron a cité Java comme étant, avec Solaris, l'une des deux technologies l'ayant amené à convoiter l'entreprise co-fondée par Scott McNealy.
JavaOne se tiendra cette fois dans le cadre d'OpenWorld (San Francisco, 19-24 septembre), la conférence annuelle qu'Oracle consacre à l'ensemble de ses offres (bases de données, solutions de middleware, applications de gestion...), un catalogue qui grossit constamment, au fil des nombreux rachats, et s'est enrichi en une fois de toutes les offres de Sun (outre Java et Solaris, la base MySQL, les processeurs Sparc, les serveurs et solutions de stockage et les outils de gestion des identités).
Java Embedded, Java EE7 et consorts
Sur JavaOne, Larry Ellison sera accompagné de Thomas Kurian, son vice-président exécutif pour le développement des produits. L'éditeur californien parlera des investissements renforcés qu'il compte faire autour de Java pour que cette « plateforme évolutive, sécurisée et ouverte poursuive sa croissance ». Le lendemain, 21 septembre, Greg Bollela, architecte en chef de Java Embedded chez Oracle, traitera des outils de développement destinés aux applications Java embarquées dans des équipements périphériques (imprimantes, contrôleurs, équipements médicaux...). A sa suite, Roberto Chinnici, consultant technique, retracera les évolutions de la plateforme Java EE qui s'est au fil du temps orientée vers un modèle de programmation intégré. Il abordera aussi les apports du futur Java EE7.
Mark Reinhold, architecte en chef de l'entité Plateforme Java, présentera les prochaines étapes de Java Standard Edition, à l'origine simple machine virtuelle pour exécuter des programmes Java sur des terminaux et qui élargit désormais son champ d'action jusqu'au cloud. Il est également prévu que Greg Bollela, Jérôme Dochez, architecte pour le serveur d'application Glassfish chez Oracle, Jerry Evans, consultant technique, et Mark Reinhold présentent les applications Java les plus intéressantes dans différents domaines.
Quelle stratégie pour prévenir la fragmentation ?
Pendant ces quatre jours, certains entendent bien glaner des informations au-delà de ce qui est officiellement inscrit au programme de ce JavaOne. « Je m'attends par exemple à ce qu'une attention particulière soit accordée à la fragmentation de Java et à ce qu'Oracle prévoit de faire pour l'éviter », confie Al Hilwa, analyste chez IDC. Selon lui, l'éditeur devrait aussi mettre l'accent sur ses contributions à l'Open Source pour accroître sa crédibilité dans ce domaine. « Il devrait par ailleurs y avoir quelques discussions sur les problèmes de gouvernance autour de Java et sur la façon dont les mises en oeuvre parallèles de Java peuvent être certifiées ». Les récentes poursuites menées par Oracle contre l'utilisation de Java sur la plateforme mobile Android n'ont pas été du goût de tout le monde dans la communauté Open Source, rappelle notamment Al Hilwa. Un différend judiciaire qui n'empêche pas Oracle de consacrer une session de JavaOne au test d'applications pour la plateforme cloud Google App Engine.
Une édition sans James Gosling ?
Parmi les sujets abordés lors de ce JavaOne devrait aussi figurer le projet Lambda, kit de développement Java visant à accroître la productivité des développeurs travaillant sur des modèles parallèles comme avec le framework fork/join. Autres centres d'intérêt : le serveur d'intégration Open Source Hudson, le langage de scripting Groovy pour machine virtuelle Java, la version 7 de Java SE, la HotSpot JVM, ainsi que le serveur web Jigsaw.
Quand Java était encore dans le giron de Sun, la conférence qui lui était consacrée se tenait généralement début juin. Cette année, elle intégrera donc la grand' messe annuelle d'Oracle. James Gosling, tenu pour le père du langage et habituellement considéré comme l'une des pièces maîtresses de la conférence, ne participera sans doute pas à cette édition. Pour l'instant, en tout cas, son nom ne figure pas au programme. Ce n'est guère surprenant toutefois. Il a quitté Oracle le 2 avril, un peu plus de deux mois après le rachat de Sun.
Crédit photo : D.R.
Nokia acquiert Motally
Nokia se dote d'une compétence dans la statistique dans le domaine de la mobilité avec le rachat de Motally. Cette société américaine, de 8 personnes, propose des outils de traçabilité des usages sur les sites et les applications mobiles.
L'entreprise d'Espoo souhaite intégrer ces outils, à travers l'interface utilisateur du framework Qt, pour les OS Symbian, Meego et le langage Java. Aujourd'hui, les outils de Motally sont compatibles avec iPad et l'iPhoned'Apple, Blackberry de RIM et les smartphones Android.
Avec ces solutions, les développeurs pourront, par exemple, identifier l'opérateur, la localisation de l'abonné, sur quels OS tournent les applications et le comportement des utilisateurs. Nokia espère rendre la lecture de ces statistiques plus lisibles auprès des développeurs et des éditeurs pour «optimiser leurs applications mobiles ».
La plupart des éditeurs de ces solutions statistiques sont basés aux Etats-Unis et s'intéressent en priorité à l'iPhone ou aux téléphones Android. Nokia n'a pas donné le montant de ce rachat, mais l'acquisition devrait être finalisée d'ici la fin septembre.
Embarcadero aborde le cloud avec des outils pour PHP et Windows
L'éditeur Embarcadero va livrer des mises à jour de ses outils de développement pour Windows et PHP livrés au sein de sa suite RAD Studio XE qui doit être officiellement annoncée le 1er septembre. Parmi les apports figurent des versions de Delphi pour bâtir des applications Windows en Object Pascal. On y trouve Delphi Prism pour la construction de code managé basé sur .Net, ainsi que C++ Builder pour créer des applications en C++. Enfin, RadPHP XE y succède à l'outil Delphi pour PHP. Rappelons que ces produits ont été acquis par Embarcadero avec le rachat, en 2008, de CodeGear, l'entité qui éditait les logiciels de développement de Borland.
Tous les produits de la suite portent maintenant l'extension XE, le X signifiant qu'ils sont multi-plateformes et fonctionnent sur des bases de données hétérogènes, et le E rappelant le nom de l'éditeur, explique Mike Rozlog, responsable produits pour les solutions RAD Studio.
Les capacités liées au cloud présentes dans Delphi et C++ Builder serviront à développer des applications accédant aux services de stockage de la plateforme Windows Azure de Microsoft. Les développeurs pourront aussi déployer des applications sur le cloud EC2 (Elastic Compute Cloud) d'Amazon.
RadPHP XE plus rapide que Delphi for PHP
Par ailleurs, Embarcadero cherche à concurrencer Zend Studio avec RadPHP XE. Selon Mike Rozlog, l'analyseur de code intégré pour le débuggage, doté de fonctions drag-and-drop, donne un avantage au produit. « Nous avons maintenant pour PHP les mêmes fonctions drag-and-drop qu'avec Delphi, C++ Builder et Delphi Prism, ce qui accélère sensiblement le développement ». Le nouvel outil surpasse Delphi for PHP par sa rapidité et ses outils de débuggage, insiste Mike Rozlog, et, toujours selon lui, le produit appréhende mieux JavaScript et Ajax. « Les développeurs pourront s'en servir pour concevoir des applications Facebook », suggère-t-il.
Les produits XE supportent la technologie ToolCloud pour la gestion centralisée des licences. Avec les mises à jour XE de Delphi et C++ Builder, les développeurs peuvent bâtir des versions serveurs basées sur Windows opérant avec des protocoles comme Rest. Ils passeront par le framework DataSnap pour construire des applications multi-niveaux.
Les produits se complètent d'outils de test, d'évaluation des performances, d'automatisation et de gestion de la qualité. Les différents logiciels de la suite peuvent être achetés séparément ou ensemble.
La fin proche d'OpenSolaris stimule les projets dérivés
Même si Oracle n'a plus l'intention de supporter OpenSolaris, tout espoir n'est pas perdu. C'est ce que pense le fondateur d'un récent projet dérivé de Solaris, lancé le 3 août (http://www.illumos.org/). Illumos est issu d'OS/Net qui réunit le coeur et les composants réseaux du système d'exploitation Solaris. Il a émergé alors que les spéculations allaient bon train sur l'avenir de la version Open Source de l'OS de Sun, passé dans le giron d'Oracle.
Vendredi dernier, un mémo adressé à la mailing list d'OpenSolaris a révélé que le repreneur de Sun prévoyait de concentrer ses efforts sur la déclinaison commerciale de l'OS. En lieu et place de la mouture Open Source, une version développeur du système d'exploitation est prévue, Solaris 11 Express, qui s'accompagnera d'outils pour faciliter la migration des utilisateurs d'OpenSolaris.
Quoique regrettable, la décision d'Oracle n'est pas catastrophique, considère pour sa part Garrette D'Amore, le fondateur du projet Illumos. Le but original consistait à suivre d'aussi près que possible le code d'Oracle afin de parvenir à une relation de collaboration plus étroite, a-t-il expliqué hier dans une interview. « Tel était mon souhait ». Mais le mémo indique qu'Oracle ne croit pas qu'il y ait un quelconque intérêt à ce type de collaboration, poursuit cet ancien ingénieur chez Sun, contributeur de premier plan à OpenSolaris. Ceci sous-tend qu'Illumos devra peut-être devenir bien plus qu'un fork complet du code de base de Solaris. « Nous allons être contraint d'évoluer et, par conséquent, le code divergera ».
Quelques contributeurs connus pour Illumos
Le projet aura besoin de s'appuyer sur une société pour rencontrer le succès. Pour l'instant, il a reçu le support de différentes entreprises parmi lesquelles l'employeur de Garrette D'Amore, le fournisseur de solutions de stockage Nexenta Systems.
Dans un billet de blog, vendredi dernier 13 août, le fondateur du projet dérivé a laissé entendre que quelques noms très « surprenants » s'étaient déjà engagés, de façon privée, à soutenir cette initiative. « Il s'agit de contributeurs connus, des personnes qui ont participé au code de Solaris par des apports très importants, et sur les parties les plus ambitieuses et les plus sensibles de l'OS ».
Tout bien considéré, Illumos semble parti sur de très bonnes bases, a-t-il estimé hier. « S'ils veulent une relation basée sur la concurrence plutôt que sur la collaboration... En fait, je pense que nous nous trouvons dans de bonnes conditions en dépit des ressources économiques importantes dont dispose Oracle. »
La société de Larry Ellison n'a pas encore commenté ces propos.
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