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(15/09/2010 17:28:28)

Nvidia lance ses dernières versions de Parallel Nsight et Cuda

Nvidia dévoilera mardi les dernières améliorations effectuées sur son Parallel Nsight, le toolkit pour créer des applications accélérées par carte graphique sous l'IDE Visual Studio de Microsoft, mais aussi sur Cuda Toolkit utilisé pour tirer massivement profit des capacités de traitement parallèle des cartes.

« Pour 6 millions de développeurs utilisant Windows et Visual Studio, cette sortie de la dernière version de Parallel Nsight offre des fonctionnalités majeures pour la création des applications accélérées et en parallèle », indique Will Ramey, chef de produit. Ces types de programmes sont très présents dans les industries du pétrole et du gaz, et aussi dans les domaines du graphisme, ajoute-t-il. « Avec ce produit, nous intégrons le débogage multi-coeurs par carte graphique dans Visual Studio 2010 », ajoute Stephen Jones, lui aussi chef de produit.

Dans la version 1.5, cette fonctionnalité autorise le développeur à déboguer sur une carte graphique tout en affichant le système via une autre, sans avoir besoin d'utiliser plusieurs machines. Cette mouture comprend aussi une capacité d'analyse du système, grâce à laquelle les utilisateurs de Visual Studio peuvent consulter les événements se déroulant sur le processeur et la carte graphique. « Cela offre le moyen au développeur de voir exactement ce qui se passe dans leur application à travers ces différentes unités de calcul, et d'optimiser les performances », explique Stephen Jones. Le débogage TCC (Tesla Compute Cluster) est par ailleurs présent dans cette version, qui supporte aussi le Cuda Toolkit 3.2.

Cette mise à niveau de Cuda comprend des bibliothèques mathématiques supplémentaires, des améliorations de performance et une gestion avancée des clusters. Ce toolkit est gratuit, et sera disponible en version quasi définitive à la mi-septembre. L'édition professionnelle de Parallel Nsight est pour sa part déjà disponible en version RTC, mais la date de sortie finale n'a pas été communiquée. Elle coûtera cependant 350 dollars. La version gratuit Standard, qui dispose de moins de fonctionnalité (pas de TCC ni de support des points d'arrêt de données), sortira le 22 septembre.


Crédit Photo : Nvidia

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(15/09/2010 15:59:22)

WorkLight étend sa plateforme aux BlackBerry et à iOS

Cette infrastructure client-serveur pour les applications mobiles professionnelles qui se compose d'un ensemble de bibliothèques, de serveur middleware, et de code client natif, autorisant la connexion à des applications mobiles via des solutions d'authentification ou à des serveurs délivrant ces applications. Récemment, WorkLight a créé une couche logicielle native pour l'iOS d'Apple pour adapter les applications iPhone et iPad. Maintenant, le logiciel supporte les OS 5 et 6 de BlackBerry. Pour ces derniers, les développeurs peuvent créer au choix des applications pour le Web ou des applications natives.

Selon l'architecte principal du projet, une importante banque en ligne européenne, qui a demandé l'anonymat, utilise WorkLight pour prendre en charge les futures applications iOS. La banque compte toucher environ 100 000 clients actifs, qui jusqu'à présent n'utilisait pas leur smartphone pour effectuer des opérations bancaires en ligne. L'organisme financier est en phase de test sur ces applications pour éprouver la connexion sécurisée entre le logiciel serveur de WorkLight et les systèmes d'authentification de la banque. Selon ce développeur, elle compte profiter des évaluations pour adapter ensuite avec facilité les mêmes applications vers Android et Blackberry.

Un panel d'outils

La plate-forme de WorkLight a plusieurs composantes, à commencer par WorkLight Studio, un plug-in et une gamme d'outils pour l'environnement de développement intégré Eclipse. Celui-ci supporte à la fois le SDK natif pour iOS, BlackBerry et Android, et des technologies de développement d'applications Web standards, comme le HTML, le CSS et Javascript. Studio supporte les catalogues d'applications en ligne des trois systèmes d'exploitation mobiles. WorkLight Server permet pour sa part, de créer l'environnement runtime nécessaire aux applications WorkLight. Il offre des « adaptateurs » XML pré-construits qui se connectent à de nombreux systèmes back-end via des interfaces standards ou propriétaires, et à des services Web, tels que le SQL, le LDAP, SharePoint, SAP, HTTP, REST, WSDL/SOAP. Il supporte également les API de Facebook et de Twitter. Le système de cache flexible de WorkLight Server peut être modulé en fonction des applications. « L'approche simplifie le code client et permet à l'entreprise d'apporter des modifications sur le serveur sans avoir à redéployer le logiciel client, » a déclaré Ron Perry, CTO de WorkLight. Le serveur gère également l'enregistrement des événements, qui sert de source pour une série de rapports qui rendent compte de l'utilisation des applications, des problèmes et des tendances, le tout via une console.  Installé derrière le pare-feu de l'entreprise, WorkLight Server supporte les protocoles HTTP/S.

Une bibliothèque dédiée à Apple

Pour iOS, WorkLight a créé une nouvelle bibliothèque, du nom de Objective C, qui peut être facilement incluse dans une application iPhone pour gérer les communications avec WorkLight Server. « Cette modalité permet à l'entreprise de disposer d'un point de contrôle central pour les applications iOS accédant aux ressources disponibles, tout en tirant pleinement parti des nombreuses fonctionnalités de l'interface utilisateur de ces smartphones tournant sous des systèmes d'exploitation dernière génération, » a déclaré Ron Perry. « Les applications WorkLight créées pour l'un de ces systèmes peuvent être assez facilement adaptées pour d'autres plateformes, » a-t-il ajouté. « Une grande partie du code client peut être réécrite avec le SDK correspondant, et exploiter les mêmes caractéristiques serveurs de WorkLight. »

De nombreuses sociétés s'intéressent au développement d'applications pour l'environnement mobile. Comme Sybase qui propose sa Unwired Platform ou Sencha (anciennement Ext JS) qui a adapté sa plate-forme transversale et le framework de son navigateur Sencha Touch pour les navigateurs mobiles à condition qu'ils soient construits sur Webkit (il supporte le HTML 5, le CSS3, et Javascript). Le prix de la plateforme mobile WorkLight dépend du nombre de clients utilisant des applications mobiles créées et déployées sous WorkLight. Le prix d'entrée est de 20 000 dollars pour une licence comprenant «plusieurs milliers d'utilisateurs », a précisé Yonni Harif, directeur du marketing de WorkLight.

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(13/09/2010 17:43:44)

Développement : Codesion livre un service Git hébergé

Codesion, qui héberge des services de gestion de code source pour les équipes de développement réparties, a ajouté à sa panoplie d'outils le système de contrôle de versions distribué Git. Anciennement connu sous le nom CVSDude, le fournisseur situé à Redwood City (près de la Silicon Valley) permet aux développeurs de travailler sur un référentiel centralisé, jusqu'à présent en utilisant les systèmes de gestion de versions Subversion et CVS (Concurrent Versions System). Ces référentiels sont déployés sur des plateformes de clouds publics comme EC2 d'Amazon.

Le nouveau Codesion Git Service est actuellement en version bêta. Les entreprises disposent pour y accéder de contrôles basés sur les rôles et d'autorisation d'adresses IP via des 'listes blanches'. Créé par Linus Torvalds, Git devient populaire, principalement en raison de ses liens avec Linux et de sa rapidité, explique Guy Marion, PDG de Codesion.

Le prix du service Git hébergé démarre à 99 dollars par mois pour les cinq premiers utilisateurs.

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(13/09/2010 15:52:05)

Flash Pro pourra créer des applis pour iPhone

Cette annonce, qui devrait permettre l'arrivée d'applications conçues et développées dans le format Flash Professionel CS5, a suscité une brève déclaration de la part d'Adobe. Ainsi, selon un porte-parole de la société, l'éditeur de San José se dit "encouragé de voir qu'Apple lève ses restrictions sur ses conditions de licence, ce qui donne aux développeurs la liberté de choisir les outils qu'ils utilisent pour développer des applications pour les appareils Apple."

Pour l'instant, ni Apple ni Adobe n'ont confirmé que les applications créées avec Flash Pro passeront l'étape rigoureuse de sélection mise en place par la firme de Cupertino. Mais ce changement dans les termes annule l'interdiction d'Apple quant à la possibilité de proposer des applications réalisées avec l'outil d'Adobe. Il élimine également les problèmes potentiels que pourraient poser des logiciels conçus pour consulter des contenus numériques et réalisés dans InDesign, comme le Wired Reader - actuellement en version bêta - créé pour l'iPad en partenariat avec le magazine Wired. Pour l'heure, Adobe n'a publié aucun détail sur la façon dont ces applications sont compilées, mais elles pourraient être techniquement considérées comme ayant été créées par un outil tiers. En avril dernier, Adobe avait annoncé qu'elle arrêterait le développement d'outils pour concevoir des applications pour l'iPhone avec les futures versions de Flash. À la question de savoir si Adobe envisage de revoir sa décision, la réponse est d'ores et déjà oui. Sur un blog maison, l'éditeur confirme que Flash Pro pourra bien créer des applications pour la plate-forme App Store.

Un revirement stratégique devant la menace Android

La raison pour laquelle Apple a d'abord interdit puis autorisé ces Apps fait l'objet de beaucoup de conjectures. Dans un premier temps, Apple a fait valoir qu'en ne choisissant pas cette solution pour produire rapidement et facilement des jeux - la plupart des jeux accessibles sur Internet sont disponibles dans ce format -  elle voulait préserver la qualité de l'expérience utilisateur... et s'assurer un meilleur bénéfice. Ce type de développement, relativement coûteux, signifiait aussi que les développeurs devaient se faire payer même le plus simple des jeux, en laissant au passage les 30% de commission habituelle au constructeur. Autre motif souvent évoqué : en empêchant le développement d'applications pour plusieurs plates-formes à la fois (Android, Windows Mobile, Blackberry OS ou Symbian) - comme vise à le faire Flash CS5 - le développement de logiciels pour les plates-formes autres que l'iPhone et l'iPad est moins rentable pour les agences.

Comme d'habitude, Apple en dit le moins possible. Mais il est clair que de nombreux services interactifs se réjouissent de la nouvelle : le coût de la création de jeux pour iPhone a chuté de façon spectaculaire, ce qui leur permet de proposer des projets d'applications à un nombre de clients beaucoup plus large. Les développeurs Flash vont être aussi particulièrement gâtés. Reste à savoir si les consommateurs apprécieront l'avalanche rapide d'advergames, ces jeux vidéo publicitaires, qui encombreront inévitablement leur mobile. Reste que le lecteur Flash est toujours persona non grata sur les terminaux iOS d'Apple tout comme les applications AIR.

Crédit photo : D.R.

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(10/09/2010 16:35:50)

Apple lève les restrictions sur l'usage d'outils de développement pour iOS

Apple est revenu sur sa décision d'interdire aux développeurs d'utiliser des outils de programmation rivaux pour créer des applications pour iPhone, iPad et iPod, et notamment l'un d'entre eux qui a depuis été abandonné par Adobe. Selon un analyste, un tel retournement de veste de la part de la firme de Steve Jobs aurait été motivé par la rapide croissance d'Android. « Cela veut dire « plein gaz » sur la plateforme iOS » indique Scott Schwarzhoff, cadre chez Appcelerator.

Apple a annoncé ce changement dans un communiqué publié jeudi dernier sur son site web. « Nous avons assoupli les restrictions sur l'usage d'outils de développement pour créer des applications sur iOS, mais seulement si ces programmes ne téléchargent pas de code. Cela devrait donner aux développeur la flexibilité nécessaire, tout en préservant la sécurité de notre plateforme. » L'entreprise affirme avoir fait des changements importants dans trois sections de la licence du SDK (kit de développement) d'iOS dans cette optique d'assouplissement.

Des règles autrefois strictes

En avril dernier pourtant, Apple avait dit ne pas autoriser les développeurs à utiliser des compilateurs cross-plateforme d'origine tierce, outils qui transforment le code pour d'autres systèmes (comme les logiciels conçus en Java ou en Flash) vers des applications dédiée à l'iPhone. A l'époque, le SDK d'Apple dictait ce que les programmeurs pouvaient ou non utiliser. Sa licence disait « les applications doivent être écrites d'origine en Objective-C, C, C++ ou en JavaScript tel qu'il est exécuté par le moteur WebKit d'iOS. Seuls les codes en C, C++ et Objective-C peuvent compiler et directement lier les API documentées ». Les analystes avaient vu cette fermeture comme un geste contre Adobe qui avait créé un compilateur capable de créer des applications en Flash pour iOS. En réponse, Adobe avait complètement abandonné ce « Packager » qui était inclut dans Flash Professionnal CS5.

Cette fois-ci, Adobe accueille ce retournement de situation à bras ouverts. « C'est encourageant de voir Apple lever ses restrictions en terme de licence. Cela donne aux développeurs la liberté de choisir quels outils utiliser pour développer sur leurs appareils sous iOS. Nous allons donc reprendre la développement de cette fonctionnalité de CS5 pour les prochaines sorties de produits ». Plus tôt dans l'année, Apple et Adobe étaient entrés en confrontation au sujet de Flash, Steve Jobs déclarant que l'iOS n'avait pas besoin du logiciel, et le conseil d'administration de l'éditeur accusant Apple de nuire à l'avenir du web. Ce serait après avoir tenu compte du feedback des développeurs que la firme de Cupertino serait revenue sur sa décision, d'après ses propres explications. Mais certains n'adhèrent pas à cette version de l'histoire.

Apple poussé par des affaires judiciaires ?

« Il s'agit clairement d'une réponse à la pression de la compétition, et surtout celle d'Android qui n'a aucune restriction. Ce n'est pas dans les habitudes d'Apple d'être ouvert et flexible. D'ordinaire, leur politique penche plutôt vers le contrôle des prix et l'opacité », explique Ray Waldes, analyste chez Gartner. « Et à l'avenir, les OS comme Windows Phone 7 sur les smartphones et Chrome OS sur tablettes risquent d'être des concurrents gênants ». Il ajoute que les pressions de la Federal Trade Commission et du ministère de la Justice ont peut-être joué un rôle dans ce retournement. Quelques rapports avaient fait courir la rumeur, au mois de mai, qu'une enquête antitrust avait été ouverte par ces derniers contre Apple, après une plainte supposée d'Adobe, chose que tous les protagonistes avaient refusé de commenter à ce moment.

Les développeurs ont quant à eux applaudi ce changement, Scott Schwarzhoff s'avouant de l'avis de Ray Waldes quant aux réelles motivations d'Apple. L'entreprise acceptait toutefois, entre les restrictions imposée en avril et la réouverture de cette semaine, les applications développées avec Appcelerator et les outils d'Unity Technologies, sans fournir plus d'explications sur cette tolérance. Adobe remarque toutefois que Flash ne fonctionne toujours pas pour lire du contenu sous iOS lorsque l'on passe par le navigateur web mobile. Ces ces restrictions sont toujours en place

Illustration : Appcelerator
Crédit Photo : Appcelerator

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(08/09/2010 15:55:47)

Un partenaire SAP lance une plate-forme d'applications mobiles en mode cloud

Baptisé Mobile Enterprise Platform, le service proposé par Leapfactor coûte 9,99 dollars par utilisateur et par mois pour développer, élaborer et déployer des applications fonctionnant sur Android, BlackBerry et iOS.  Le mode cloud sera utilisé pour stocker en toute sécurité et transférer du contenu vers les terminaux mobiles. « Cela permet de déployer des applications de productivité auprès de milliers d'utilisateurs sans avoir les coûts liés à une implémentation traditionnelle » a déclaré Lionel Carrasco PDG de Leapfactor et d'ajouter «nous fournissons la bande passante, l'administration et des ressources, sans vous préoccuper du reste. La plate-forme Leapfactor est dans le cloud pour éviter de faire appel à du middleware de développement d'applications mobiles. Les entreprises que nous adressons ont déjà des architectures SOA (architecture orientée service) et dialoguent en XML, il suffit alors simplement de pousser l'application dans notre cloud. » L'éditeur complète ce service avec une bibliothèque d'interfaces utilisateur gratuites pour aider les clients à construire et déployer leurs applications mobiles.

Une solution polyvalente

Le service pourrait être utilisé pour des applications métiers, comme la vente de produits et le suivi de l'inventaire des stocks. Il pourrait également être utilisé dans le BtoC pour étoffer des catalogues de produits via des appareils mobiles.  Les micro applications gratuites dans l'App Store ont été téléchargées par plus de 3 000 utilisateurs depuis mai dernier. Trois de ces programmes portent sur des alertes, des indicateurs économiques et des propositions commerciales. Une autre de ces applis, baptisée SAP EcoHub, fournit une une place de marché de solutions certifiées SAP.

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(08/09/2010 11:45:24)

Tribune de François Delumeau : la brevetabilité des logiciels en question

La Grande Chambre de Recours de l'Office Européen des Brevets a rendu un avis intéressant. Selon elle, la saisine du 22 octobre 2008 portant sur plusieurs questions relatives à la brevetabilité des logiciels est irrecevable.

Cet organe considère en effet, après avoir reconnu l'importance du sujet, que les décisions fondamentales en la matière ne présentent pas le caractère « divergent » nécessaire à la recevabilité de ladite saisine. Cependant, même s'il n'apporte pas de réponse directe aux questions posées, cet avis présente l'intérêt de fixer clairement la jurisprudence d'une part sur l'exclusion des programmes d'ordinateurs et d'autre part sur l'appréciation de la nouveauté et l'activité inventive de ces programmes. Il apporte aussi des précisions quant à la forme des revendications.

On rappelle de façon liminaire que selon le paragraphe 1 de l'article 52 de la CBE, des brevets européens sont délivrés pour toute invention, dans tous les domaines technologiques, à condition qu'elle soit nouvelle, qu'elle implique une activité inventive, et qu'elle soit susceptible d'application industrielle. Cependant, le second paragraphe de cet article contient une liste d'objets qui ne sont pas considérés comme des inventions au sens du premier paragraphe.

La vérification du premier critère visant à déterminer si l'objet revendiqué est une invention au sens cité précédemment ou s'il fait partie des exclusions est un prérequis pour l'examen des critères de brevetabilité.

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