Flux RSS

Développement

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1816 documents trouvés, affichage des résultats 121 à 130.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(26/07/2011 14:06:50)

Oracle met en avant MySQL 5.6

Lundi dernier, Oracle a livré un avant-goût des fonctionnalités attendues dans MySQL 5.6, la prochaine version de sa base de données Open Source, qui mettent l'accent sur l'évolutivité améliorée, l'intégration et les performances. Les nouvelles fonctions incluent notamment la recherche de texte intégral qui permet aux développeurs d'indexer et de parcourir les informations stockées dans les tables par le moteur InnoDB ; une augmentation de la taille maximale des fichiers (jusqu'à 2 To) dans InnoDB, ce qui dope les performances pour les charges de travail intensives en écriture ; la réplication MySQL est aussi plus rapide, et une API permet aux utilisateurs d'« intégrer de façon transparente MySQL aux anciennes et aux nouvelles applications et aux banques de données ».

Pour améliorer ses relations avec la communauté des utilisateurs de MySQL, Oracle demande à ces derniers de lui envoyer ses remarques. Cette version de MySQL est disponible en téléchargement, mais uniquement pour test. Elle n'est « pas apte à la production » indique un avis publié sur le site laboratoires de MySQL. La précédente version de la base de données, 5.5, est disponible depuis décembre dernier et la première étape du développement de la 5.6 a été mise en route en avril.

Des améliorations bienvenues

Un expert a exprimé une opinion très mesurée sur les fonctionnalités annoncées dans MySQl 5.6. « Les performances OLTP [traitement transactionnel en ligne] et la concurrence sont parmi des compétences de base d'Oracle. Je serais optimiste quant à ces améliorations »  a déclaré l'analyste Curt Monash de Monash Monash.
En outre, « MySQL n'est jamais utilisée dans le vide », et sert souvent de pipeline pour d'autres technologies telles que le framework Hadoop pour le traitement de grands volumes de données, le décisionnel et d'autres usages plus généraux comme le souligne Oracle, a-t-il ajouté. « Il y a beaucoup de cas en duplication et en intégration de données qui doivent être mieux consolidés », a encore déclaré Curt Monash . Toutefois, « depuis les années 90, Oracle n'a pas pousssé la recherche de texte. Je resterais assez pessimiste sur ce point » a ajouté l'analyste.

Suite à l'acquisition de Sun Microsystems, Oracle a pris le contrôle de MySQL. La transaction a été un temps retardé, car les régulateurs européens ont soigneusement mesuré les implications potentielles en terme de position dominante avec un MySQL avalé par Oracle. Pour rassurer la communauté Open Source, Oracle a été obligé d'annoncer une série d'engagements publics assurant que  MySQL resterait une technologie viable et ouverte. L'éditeur gagne cependant de l'argent hors du produit MySQL de base en vendant des offres de support et un certain nombre d'éditions commerciales. La firme de Reedwood est toutefois concurrencée sur ce segment par des plates-formes comme Monty Program, Percona ou SkySQL. Le code source de MySQL a également pris des directions différentes avec le Monty Program's MariaDB, qui est soutenue par le créateur de MySQL, Michael "Monty" Widenius.

(...)

(26/07/2011 10:58:51)

Mozilla veut son OS mobile

« Nous voulons combler le fossé qui empêchent les développeurs web d'être capable de créer des applications équivalentes à celles construites pour l'iPhone, Android, et WP7 » explique un groupe de développeurs de Mozilla sur un wiki spécialement créé pour l'occasion. Ce projet s'appelle Boot to Gecko (B2G) dont l'objectif est de construire une « un système d'exploitation autonome et complet pour le web ouvert. » La stratégie avancée semble similaire à celle que Google avait d'abord en tête quand il a commencé à travailler sur Android. Dans une discussion en ligne sur B2G, Andreas Gal, l'un de ses principaux développeurs, a déclaré que le but ultime était de « briser la mainmise des technologies exclusives dans le monde des terminaux mobiles ».

Aujourd'hui, les développeurs doivent réécrire leurs applications pour fonctionner sur les différentes plates-formes mobiles. Il y a eu de nombreuses tentatives au cours de la dernière décennie pour construire des technologies qui permettent aux développeurs d'écrire une seule fois une application et qu'elle fonctionne sur plusieurs OS mobiles, mais aucune n'a fonctionné.  Avec l'avènement d'HTML5, certains ont pensé qu'un nombre croissant d'applications mobiles pourraient fonctionner dans un navigateur. Mais la plupart des développeurs conviennent que HTML5 est encore un peu jeune.

Une inspiration minimale d'Android


« L'idée n'est pas d'avoir des applications qui s'exécutent uniquement dans Firefox », précisent les développeurs de Mozilla et d'ajouter « nous essayons de les faire exécuter sur le web ». Ils indiquent qu'ils utiliseront certains éléments d'Android pour accomplir leurs objectifs. Même si Mike Shaver, un des principaux développeurs écrit sur un forum, « nous avons l'intention d'utiliser aussi peu que possible Android, probablement que le noyau et les pilotes Android, car ils offrent un point de départ pour démarrer ». Les développeurs estiment qu'ils travailleront en mode ouvert en mettant le code source à disposition en temps réel et coopéreront avec les groupes de normalisation ».

Ce projet n'est pas sans rappeler ChromeOS, qui est disponible sur les Chromebooks de Google. Les développeurs Mozilla indiquent que l'OS de Google est résolument orienté vers les PC, alors que Boot to Gecko est dédié aux tablettes et aux smartphones.

(...)

(25/07/2011 13:31:32)

Les entreprises impatientes d'utiliser Google+

Google + est actuellement conçu pour accueillir que des profils personnels, sauf dans le cas des entreprises sélectionnées pour participer à un programme test pour l'élaboration de profils professionnels (Ford par exemple et bien sur Google). Fidèle à sa politique de lancement, la firme de Mountain View a supprimé les comptes non autorisés de type entreprise ou anonyme/peudo, provoquant une levée de boucliers sur les forums selon Danny Sullivan, expert et responsable du blog Search Engine Terre, dont l'activité a été bannie du réseau social de Google. Il lui reste son compte Google+ personnel.

Dans un commentaire à l'un des messages de Dan Sullivan, Vic Gundotra écrit que Google aurait du anticiper la frustration de tous ceux qui désirent utiliser Google+ dans un cadre professionnel. « C'est de ma faute. J'avais d'autres priorités en tête de liste. Ainsi, lorsque Danny dit que Google a foiré, il a raison », a écrit Vic Gundotra, vice-président chez Google en charge du développement logiciel.

Un usage tout d'abord personnel

« Nous avons tout d'abord mis en avant l'usage personnel pour les utilisateurs. Aucun de nos modèles internes n'avait montré ce niveau de croissance. Nous avons été pris au dépourvu. Cette croissance est très alléchante pour les personnes et les marques qui désirent utiliser cette audience. Nous faisons tout notre possible pour accélérer les travaux pour traiter correctement ce point. S'il vous plaît, donnez-nous juste un peu plus de temps », a ajouté le cadre de Google.

Dans un message posté jeudi soir, Christian Oestlien, directeur produit Google+, a écrit que des dizaines de milliers d'organisations ont demandé à être dans le programme d'essais professionnels Google+, et que Google espère permettre la création de profils d'entreprise dans les mois à venir, tôt que prévu initialement. «Votre enthousiasme nous oblige à faire plus pour aider les entreprises impliquées dans Google+, et nous devons le faire rapidement », a écrit Christian Oestlien.

« En attendant, nous vous demandons de ne pas créer de profil d'entreprise en utilisant les profils réguliers de Google+. La plate-forme actuelle n'a pas été conçue pour un usage professionnel, et nous voulons vous aider à construire des relations durables avec vos clients. Il est juste nécessaire de patienter un peu », écrit-il. Google continuera à désactiver les profils d'entreprise, précise-t-il, ajoutant qu'une alternative aujourd'hui consiste à « trouver une personne réelle qui est prête à représenter votre organisation sur Google + en utilisant un profil réel ».

Une croissante très rapide pour rattrapper Facebook

Google + est la réponse de la firme de Mountain View à Facebook. Actuellement en bêta test limité et disponible uniquement sur invitation, Google + est soupçonné de déjà avoir entre 15 et 20 millions de membres, et ça grimpe aussi vite que Google lui permet.

Bien que Facebook est de loin la plate-forme la plus populaire dans le monde des réseaux sociaux avec 750 millions de membres qui passent de plus en plus de temps sur le site, Google fait le pari que Google + offre des améliorations suffisantes pour encourager une migration massive des utilisateurs.

En particulier, l'éditeur estime que Google+ a plus de paramètres de confidentialité et un mécanisme de partage de contenu plus facile et plus efficace que sur Facebook, et que les gens se sentent plus à l'aise et interagissant plus leur média social.

(...)

(22/07/2011 16:37:30)

Sun avait proposé une licence Java à Google contre 100 millions de dollars

Oracle et Google étaient présents devant le tribunal de San Francisco ce jeudi pour une audience portant sur le procès qu'intente Oracle à Google pour violation des brevets Java dans l'OS Android. D'humeur querelleuse, le juge William Alsup a commencé par lancer un avertissement aux représentants d'Oracle en leur indiquant que « ce tribunal n'est pas une filiale en propriété exclusive d'Oracle Corporation » et poursuivi en signifiant à Andy Rubin, qui dirige l'activité Android chez Google, qu'il sera « sur la sellette » lors de ce procès .

Le juge a  également précisé qu'il pense que les revenus publicitaires de Google sont liés à la valeur d'Android - un point que conteste vigoureusement Google - et que la firme devra payer des dommages et intérêts « probablement des millions ... peut-être des milliards » si la contrefaçon est prouvée.

Oracle a poursuivi Google en août dernier, affirmant que son OS Android viole sept brevets liés à Java, ainsi que les droits d'auteur de Java, qu'Oracle a acquis lors du rachat de Sun Microsystems.

Une première confrontation très rude

Cette audience devant la cour de justice de San Francisco a été la première occasion d'entendre les représentants de Google tentaient de contrer les experts d'Oracle au sujet du montant des dommages exigés en réparation. Robert Van Nest, un des avocats de Google, a ainsi affirmé au juge Alsup que l'expert d'Oracle n'avait pas réussi à prouver que l'utilisation des brevets d'Oracle avait entrainé des dommages estimés entre 1,4 et 6,1 milliards de dollars. L'expert ignorait par exemple que Sun avait proposé à Google il y a trois ans une licence « tout-en-un » sans redevance pour Java contre un chèque de 100 millions de dollars. Une offre rejetée par Google a précisé Robert Van Nest. L'offre a été faite alors que Google venait juste de commencer le développement de la plate forme Android. Mais si Google a tenté de négocier une licence pour Java, le juge Alsup a insidieusement demandé si Google ne savait pas qu'il allait enfreindre les droits relatifs aux brevets de Sun ? «Dites-moi pourquoi il n'y aurait pas d'infraction délibérée ici. » a-t-il souligné.

« La négociation qui a eu lieu n'avait pas été une négociation de licence pure», a répondu Robert Van Nest. Google a essayé de collaborer avec Sun pour co-développer Android, a-t-il dit. Lorsque les pourparlers ont échoué, Google est retourné dans ses labos pour développer en interne une version de la technologie Java ou utiliser une plate-forme sous licence Apache Software Foundation. Alors, pourquoi Google pensait-il avoir besoin d'une licence ? , désirait savoir le juge Alsup. « Ils ont négocié un accord », a répondu l'avocat. « Ils ne s'étaient pas dit qu'ils avaient besoin d'une licence pour cette technologie; il sont venus voir Sun en disant qu'il avait un produit qu'il aimerait construire conjointement. Vous avez une technologie qui pourrait être utile, nous avons une technologie qui pourrait vous être utile, devenons partenaires pour le construire ensemble ».

Illustration principale : Andy Rubin, responsable de l'activité Android chez Google

[[page]]

Si le juge a été pointilleux avec l'avocat de Google, il a été encore plus exigeant avec Oracle. Il n'a pas dit ce jeudi s'il allait suivre les estimations des experts d'Oracle, mais il pense clairement l'évaluation supérieure des dommages et intérêts est trop élevée. « Il n'y a rien là-dedans, mais seulement un gars payé 700 dollars de l'heure qui arrive avec une estimation de 6 milliards de dollars. Allons...» a déclaré William Alsup, après avoir demandé à Oracle combien son expert était payé.

Steven Holtzman, un avocat d'Oracle, a déclaré au juge avoir assez fait pour démontrer que les demandes de dommages-intérêts reposaient sur des brevets. « Vous ne pouvez même pas me dire maintenant ce que vous allez faire valoir lors du procès » a rétorqué le juge, « et vous voulez me faire croire que vous allez décider comment s'applique les règles sur le marché entier ? C'est fou et vous n'allez pas aller dans cette direction. Willaim Alsup a fait pression sur Oracle afin de réduire ses revendications lors du procès.

Un courriel embarrassant pour Google

Exhibant un  «document Google», qui montre que la compagnie de Mountain View a volontairement enfreint des brevets de Sun, Steven Holtzman a indiqué qu'il  ne souhaitait pas en discuter lors d'une «audience publique». Cela a aussi entrainé la colère du juge Alsup. « Vous autres avocats n'aillaient pas décider ce que  le public peut savoir de ce qui se passe dans cette cour de district fédérale », a-t-il grondé. « Ce tribunal n'est pas une filiale d'Oracle. Si Google a indiqué dans un mémo nous sommes sur le point de violer volontairement des brevets, il n'y a pas moyen de garder ça secret ».

L'e-mail d'un cadre de Google à Andy Rubin, le responsable de la division Android, démontre selon Oracle que Google a reconnu qu'il avait besoin d'une licence pour Java. L'avocat a lu une partie de l'email à la cour: « Ce que nous avons effectivement fait l'a été suite à la demande de Larry et Sergey d'étudier quelles alternatives technologiques à Java existent pour Android et Chrome », écrit le cadre de Google, en se référant aux fondateurs Larry Page et Sergey Brin. « Nous avons été plus d'une centaine à réfléchir à la question. En conclusion, nous estimons que nous avons besoin de négocier une licence pour Java ».

[[page]]

« Ce document est une assez bonne chose pour vous », a déclaré le juge Alsup. « Cela devrait être d'un grand secours pour vous au procès ».
Plus tard, il demanda l'avocat de Google: « Que pensez-vous de ce mémo ... pour Andy Rubin, il sera sur la sellette au procès et devra s'expliquer sur ce mail .... Je suis d'accord avec vous, il ne veut pas [? parler] de brevets, mais vous ne pensez pas un bon avocat saura convaincre un jury qu'il [renvoie à] une licence sur les brevets? Comment allez-vous vous débrouiller avec cela ? »

«Vous allez être du côté des perdants avec ce document destiné à Andy Rubin. Que pensez-vous sur ce sujet » a poursuivi le magistrat. L'e-mail a été écrit l'an dernier a protesté  l'avocat Van Nest, longtemps après que Google ait développé Android. « Alors, pourquoi étiez-vous à la recherche d'une alternative à Java ? » a voulu savoir le juge. Quand Oracle avait menacé de poursuivre Google en justice et de réclamer des milliards de dollars, Google a été cherché une autre plateforme, a répondu l'avocat.

Appel à témoignages

Jonathan Schwartz, ancien PDG de Sun, appelé à témoigner dans cette affaire est apparu ce jeudi. Il a indiqué qu'Android n'utilisait pas d'éléments de la plate-forme Java, et qu'elle était basée sur une technologie développée par Google ou sous licence de l'Apache Software Foundation, et que Sun avait accueilli ce travail comme un moyen d'étendre l'utilisation de Java, selon l'avocat Van Nest. Cela pourrait saper les réclamations d'Oracle en terme de dommages et intérêts, qui sont en partie basés sur l'idée que Sun craint qu'Android fragmente la plate-forme Java.

Un autre argument sur lequel repose la demande de dommages et intérêts d'Oracle repose sur l'affirmation selon laquelle Android contribue aux revenus publicitaires de Google. Ce dernier rétorque ce que point n'a rien à voir avec les brevets en cause, et qu'il fournit Android gratuitement. Cela voudrait dire le montant des dommages et intérêts que doit Google sont proche de « zéro » ont protesté les avocats d'Oracle. «C'est ridicule et cela ne va pas arriver, vous n'avez donc pas à vous inquiéter à ce sujet », a déclaré le magistrat. « Ce sera probablement des millions - je ne sais pas, peut-être des milliards, je suis sûr d'une chose, zéro est une estimation ridicule. » Google a « totalement faux » quand il indique les revenus publicitaires ne sont pas liés à la valeur d'Android, a indiqué le juge.

En pointant des trous dans les argumentaires des deux sociétés, le magistrat a peut-être tenté de les pousser vers un règlement à l'amiable. Un procès d'une durée de trois semaines devant un jury est actuellement prévu pour le 31 octobre.

(...)

(22/07/2011 10:42:25)

Wolfram Research veut concurrencer Flash et Silverlight avec le CDF

Avec le Computable Document Format (CDF) de Wolfram Research, les utilisateurs peuvent créer des représentations visuelles de leurs données, manipulables ensuite. « C'est une façon de communiquer sur le monde des idées quantitatives beaucoup plus riche que par le passé », a déclaré Conrad Wolfram, directeur général de l'entreprise, lors d'une conférence de presse. Le CDF propose de visualiser non seulement des données brutes, mais aussi les algorithmes qui associent ces différents groupes et les différentes interactions. La société a publié un certain nombre de démonstrations sur cette technologie.

Concrètement, le CDF pourrait intégrer des données interactives dans les manuels numériques, documents scientifiques, des présentations d'affaires précise Conrad Wolfram. Il ajoute que les documents d'aujourd'hui se résument  à des tableaux, des graphiques, diagrammes et autres représentations statiques. En utilisant la puissance de calcul, les présentations pourraient devenir plus dynamiques, en donnant aux spectateurs un moyen de manipuler les éléments. « Nous n'avons pas besoin d'avoir des lecteurs pour décompresser les idées », poursuit le dirigeant Wolfram en référence au besoin pour un auteur de « compresser » ses idées dans une représentation visuelle facile pour le spectateur.

Télécharger un plug-in gratuit


Pour regarder les données dans le format CDF, les utilisateurs auront besoin de télécharger un plug-in gratuit sur le site de Wolfram (il pèse 101 Mo). Prochainement, l'éditeur lancera ce service directement depuis un serveur web sans passer par le téléchargement d'une extension. Les créateurs de contenu pourront créer des documents CDF depuis le logiciel Mathematica, mais l'éditeur proposera aussi des outils de composition en ligne. Avec cette version, Wolfram Research sera en concurrence avec des outils de RIA à l'attention des développeurs comme Flash d'Adobe, Silverlight de Microsoft et même certaines combinaisons de bibliothèques JavaScript et les standards HTML 5. Conrad Wolfram a promis que sa solution serait plus facile à utiliser et à apprendre.

« La clé du succès du CDF sera de rendre l'interactivité facile pour les auteurs et ne reste pas l'apanage unique des professionnels (développeurs) » conclut Conrad Wolfram.

(...)

(19/07/2011 16:31:56)

Microsoft veut une plus grande intégration d'Hyper-V dans le noyau Linux

« Microsoft a été le cinquième plus grand contributeur au noyau Linux version 3.0 » explique sur son blog le développeur Open Source et chercheur en informatique, David Wheeler et de préciser « le principal travail de Microsoft a été de nettoyer le driver d'Hyper-V pour qu'il puisse intégrer le noyau Linux ».

L'intégration de l'hyperviseur passe par le stagging tree du noyau Linux (une arborescence dans laquelle résident des pilotes, systèmes de fichiers et autres additions majeures utilisables) et les questions traitées par Microsoft résident dans la volonté d'intégrer des parties principales du noyau, affirme le chef de projet Linux, Greg Kroah-Hartman. Il indique que « des toilettages supplémentaires et des modifications sont nécessaires pour optimiser définitivement Hyper-V dans le noyau Linux », mais il ne sait pas quand cette tâche sera terminée.

Assurer une compatibilité avec les distributions Linux

Ce travail est essentiel pour s'assurer que la plate-forme de virtualisation de Microsoft soit compatible avec l'ensemble des distributions Linux. Aujourd'hui, Hyper-V fonctionne avec CentOS et des pourparlers sont en cours avec Canonical pour le rendre compatible avec Ubuntu.

Le dossier d'Hyper-V dans le stagging tree contient deux douzaines de fichiers, y compris une liste « to do » avec les problèmes qui doivent être résolues. Cette liste montre que Microsoft doit « résoudre des avertissements et des erreurs  sur le checkpatch (validité du chemin) ; auditer le VMBus afin de vérifier qu'il fonctionne correctement; contrôler l'aspect réseau et les pilotes SCSI ». La liste s'interroge aussi sur la possible fusion entre VMbus et d'autres types de bus virtuels. Microsoft a encore du travail, mais la concurrence avec VMware et Citrix est une émulation supplémentaire pour activer ce processus d'intégration.

(...)

(19/07/2011 15:54:58)

Google peaufine le SDK d'Android version 3.2

Le kit de développement d'Android 3.2 propose des améliorations pour enrichir l'expérience utilisateur sur les tablettes, a déclaré Xavier Ducrohet, responsable du SDK Android chez Google. Les développeurs vont ainsi découvrir la prise en charge de l'ensemble des tailles d'écran des tablettes, notamment celles en 7 pouces qui gère résolution de 1024 x 600 ). « Avec ce mode de mise à l'échelle des images, l'utilisateur pourra aussi faire fonctionner des applications qui n'étaient pas conçues pour de grandes tailles d'écran » explique Xavier Ducrohet dans un post sur le blog Android Developers. La fonction Zoom a été dévoilée la semaine dernière par Google.

API et dialogue avec les cartes mémoires

La version 3.2 apporte aussi son lot d'API pour adapter les applications aux configurations matérielles. Les utilisateurs pourront ainsi savoir sur Android Market si l'application fonctionnera de manière optimale sur leur terminal. Une autre API prévoit de mieux gérer les interfaces des applications, principalement sur l'affichage (mode portrait et paysage). Par ailleurs, l'éditeur propose la fonction Media sync from SD card, qui permet de charger des fichiers multimédias directement depuis la carte SD à la demande des applications.

(...)

(08/11/2010 17:33:00)

Dossier méthodes agiles : Le renouveau des relations client/fournisseurs

L'avantage des méthodes agiles réside avant tout dans le fait qu'elles mettent en avant une démarche plus pragmatique que les démarches traditionnelles, en impliquant au maximum le client et ses réels besoins sans fonctionnalités superflues. Toutefois, un gros travail d'audit et d'évangélisation reste à faire car ces méthodes sont sous exploitées dans les SSII et les entreprises, un peu moins chez les éditeurs qui les utilisent depuis longtemps. Enfin, si les gains sont bien identifiés, la mise en place des contrats et de la facturation n'est pas encore très aboutie.
Sommaire du dossier


- Les méthodes agiles pour l'aboutissement d'un projet de qualité chez le client ?

- Les méthodes agiles réclament écoute et compréhension

- Des gains identifiables grâce aux méthodes agiles

- Témoignage utilisateur : Thierry Roche, DSI de l'Apec


Illustration principale : Crédit Mountain Goat Software (...)

(15/07/2011 14:30:24)

IBM cède le code de Symphony à la Fondation Apache

L'annonce a été faite en Allemagne où se tient l'ODF Plug-Fest. IBM a fait don du code de Symphony à la Fondation Apache. Elle pourrait intégrer ce code à OpenOffice, suite qui a elle-même servi de base à Symphony. Pour mémoire, au mois de juin dernier Oracle avait donné la suite OpenOffice à la Fondation Apache. « Jusqu'à ce que le projet soit confié à la Fondation Apache, la suite n'avait pas profité de beaucoup d'innovations au cours des 10 dernières années, » a déclaré Kevin Cavanaugh, vice-président d'IBM en stratégie commerciale et technique pour les solutions de collaboration. « Cela est dû en parti à l'absence d'une véritable communauté Open Source et d'un modèle de gouvernance stable. »

C'est en 2007 que, à partir d'OpenOffice, IBM a créé la première version de Symphony, la proposant aux entreprises comme alternative gratuite à la suite bureautique de Microsoft. Avec ce don, IBM espère que ses clients utiliseront les solutions Open Source et que les entreprises réaffecteront les économies réalisées vers des services spécialisés et des logiciels vendus par IBM. « Nous voulons inciter les entreprises à restructurer leurs budgets informatiques, » a dit le vice-président d'IBM. « Ce n'est pas désintéressé de notre part. Nous disposons de nombreuses technologies dans le domaine de l'analyse, du commerce, et de la collaboration. Chaque investissement libéré dans l'entreprise représente pour nous l'opportunité de les orienter vers des investissements plus efficaces. »

Laisser de la liberté à la Fondation Apache

La fondation Apache va affecter une équipe autour du projet Symphony, auquel IBM continuera de contribuer. L'entreprise va également continuer à supporter sa propre version de Symphony. « Nous ne souhaitons pas diriger le travail d'Apache, mais nous sommes prêts à contribuer très largement à ce projet et y apporter toutes nos ressources d'ingénierie. Nous ne voulons pas le faire seul, » a déclaré Kevin Cavanaugh.

[[page]]

Selon lui, le système de développement de la Fondation Apache est tout à fait adapté aux projets OpenOffice et Symphony, mieux que ce que pourrait faire IBM seul. Cette action est aussi une réponse à la récente intégration de Google au sein du conseil consultatif de la Document Foundation qui édite Libre Office, fork concurrent d'OpenOffice.

Améliorations des performances et de l'interface


Les 3 millions de lignes de code développées par IBM pour Symphony pourraient apporter une grosse plus-value à OpenOffice. Une partie du code offre une compatibilité avancée avec le format ODF (Open Document Format), si bien que les documents ODF pourront être utilisés par les autres suites bureautiques basées sur le web, ainsi que par Microsoft Office. Symphony dispose aussi d'une interface utilisateur unique qui pourrait contribuer à simplifier la suite OpenOffice. Par exemple, il dispose d'une barre latérale qui permet aux utilisateurs de modifier les propriétés du document, un peu comme le ruban d'Office de Microsoft. « La communauté des développeurs nous a dit que les utilisateurs aimeraient disposer de cette fonction dans OpenOffice, » a déclaré Kevin Cavanaugh.

IBM a également « une quantité énorme » de code améliorant les performances d'OpenOffice. C'est une bonne nouvelle, dans la mesure où, dans le passé, OpenOffice avait été critiquée pour sa lenteur. D'autres éléments de code corrigeraient certains bugs, de sorte que la future version pourrait passer « l'épreuve des balles pour être utilisée dans les grandes entreprises», a indiqué le vice-président. IBM apporte également dans son panier plusieurs améliorations qui devront aider les déficients visuels à utiliser le logiciel. IBM et Apache n'ont pas encore décidé lequel des deux hébergera une version téléchargeable de Symphony. Une des solutions actuellement en discussion serait que Symphony soit hébergé sur le site OpenOffice.org, dont la maintenance sera éventuellement assurée par Apache. IBM continuera à proposer sa suite bureautique Symphony avec ses forfaits desktop.

Jusqu'ici, la suite Symphony a été téléchargée plus de 50 millions de fois. Elle est disponible en 30 langues, pour Microsoft Windows, Linux et Mac OS d'Apple.

(...)

(12/07/2011 12:10:54)

Google va redimensionner les applis smartphones pour les tablettes sous Android

La rareté d'applications spécifiquement développées pour les tablettes sous Android avait été l'une des grandes déceptions des utilisateurs. Mais cela pourrait peut-être changer. Google vient en effet d'annoncer sur le blog des développeurs Android que la prochaine mise à jour d'Android 3.0, alias Honeycomb, permettra de redimensionner les applications pour smartphone afin de les adapter à l'écran des tablettes Android. Un bouton spécial situé sur la barre des applications permettra aux utilisateurs de zoomer et de faire passer l'application en mode plein écran. Cette fonctionnalité est déjà présente sur l'iPad d'Apple.

Cette capacité de zoom permet d'agrandir la surface d'affichage de l'application sur la totalité de l'écran de la tablette sans trop perdre en résolution graphique. Selon Scott Main, l'un des principaux contributeurs du blog Android Developers, cette technique de zoom offre une alternative satisfaisante pour utiliser les fonctions de base d'une application sans trop de pixellisation. « Imaginez votre application sur un écran de téléphone à laquelle vous appliquez un zoom de 200%, » écrit-il. « Tout est plus grand, mais aussi plus pixellisé, parce que le système n'a pas redimensionné votre mise en page ou n'a pas utilisé les ressources alternatives pour le dispositif. »

Une alternative de second choix en attendant Ice Cream Sandwich


Scott Main fait remarquer que, si la nouvelle fonction de zoom est meilleure que la fonction standard « étirer pour remplir l'écran » d'Android 3.0 disponible pour les applications mobiles, cela reste encore une alternative de second choix, la première étant de disposer d'applications spécifiquement développées pour Android 3.0. Le bloggeur conseille également aux développeurs qui ont conçu des applications pour des smartphone avec des écrans plus grands, de désactiver la nouvelle fonction zoom dans leurs applications, au motif que « si l'application est réellement conçue pour s'adapter à des tailles d'écran plus large, la compatibilité écran offrira probablement une expérience utilisateur moins bonne pour votre application. »

La fragmentation a longtemps été un problème pour les développeurs d'applications Android, qui se plaignent de n'avoir aucun moyen de vérifier si leurs applications fonctionnent efficacement sur les multiples plateformes. Pour remédier à cela, Google travaille à une nouvelle version d'Android (nom de code « Ice Cream Sandwich») qui vise pour la première fois à unifier les multiples versions de son système d'exploitation mobile. L'objectif de la firme de Mountain View est de créer un système d'exploitation qui peut s'adapter à tous les terminaux sous Android, que ce soit un téléphone du genre Droid Pro et son petit écran, ou un Droid X et son écran large ou une tablette Xoom de Motorola. Pour l'instant, Google n'a pas communiqué de date de sortie pour Ice Cream Sandwich, mais le système Android unifié de Google pourrait bien être livré d'ici la fin de l'été ou cet automne.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >