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(12/01/2010 10:11:30)
QlikView arrive sur les smartphones Android
Déjà disponible pour l'iPhone, l'application d'analyse QlikView sera disponible d'ici quelques semaines sous le système d'exploitation Google Android via la boutique en ligne Android Market. Pour explorer l'information, QlikView for Android exploitera le multi-touch, la localisation par GPS, ainsi qu'une fonction de zoom. L'application a été développé sur la plate-forme TAT Cascades, en partenariat avec TAT (The Astonishing Tribe AB), un éditeur spécialisé dans les interfaces utilisateurs mobiles pour des entreprises telles que Google et Spotify. (...)
(05/01/2010 12:07:20)Oracle acquiert Silver Creek Systems, spécialiste du nettoyage de données
La première emplette d'Oracle pour 2010 a lieu dans le domaine de la qualité des données : l'éditeur rachète Silver Creek Systems, un spécialiste du nettoyage de données produits, pour un montant non communiqué. L'éclosion du marché de la gestion des données de référence (MDM, Master Data Management), surtout représenté par le PIM (Product Information Management, gestion des données produits), son segment le plus porteur, a porté une attention particulière sur ces outils capables de nettoyer et réconcilier les données. De fait, sans cette étape visant à renforcer la qualité des données d'une base, son exploitation n'aura aucun intérêt. La plupart des outils de ce domaine savent ainsi comparer les identités entre deux systèmes, et détecter les doublons potentiels. Il s'agit de la fonction la plus simple, les identités étant déterminées par des champs précis et des noms se retrouvant facilement d'une base à l'autre. En revanche, pour ce qui est des produits, les appellations peuvent varier beaucoup plus considérablement. Dans un rapport écrit en mai dernier, Bloor Research indiquait que très peu d'acteurs savaient composer avec cette difficulté. Dans ce domaine, peut-on lire dans le document, Silver Creek Systems « dépasse le reste du marché de la tête et des épaules ». L'éditeur s'est en effet spécialisé dans ce domaine spécifique de la qualité des données, grâce à une technologie d'analyse sémantique. Son plus proche concurrent à cet égard est Zoomix, qui a été racheté il y a un an et demi par Microsoft, pour son offre MDM intégrée à SQL Server 2010. Oracle compte inclure le fruit de son acquisition, DataLens System, à son outil de PIM et quelques autres offres progicielles. Mais cela ne devrait pas changer grand chose pour ses clients, Oracle proposant déjà le logiciel de Silver Creek en OEM. (...)
(21/12/2009 16:15:52)Trimestriels Oracle : les ventes de licences semblent repartir
Oracle a vu ses ventes de nouvelles licences augmenter de 2%, à 1,65 M$ (28% du CA) sur son deuxième trimestre fiscal, clos fin novembre. Et son président, Charles Phillips, ne s'est pas privé, lors de l'annonce de ces résultats, d'affirmer qu'il s'agissait du quatrième trimestre consécutif sur lequel sa société avait pris des parts de marché à SAP, dans chaque région du monde. Il est vrai que l'éditeur allemand a subi un recul de 31% sur ses ventes de licences au troisième trimestre 2009. Selon Safra Catz, les résultats ont été obtenus sur une base large et non à la seule faveur de gros contrats. « Le contexte économique semble s'améliorer. Nous voyons nettement que les clients recommencent à investir [...] de façon vraiment généralisée ». Effectif : près de 1 300 départs sur le trimestre De septembre à fin novembre, Oracle a par ailleurs enregistré une hausse de 14% sur les revenus issus de sa maintenance et de ses mises à jour de logiciels, à 3,28 M$ (56% du CA). En revanche, le chiffre d'affaires réalisé sur les services a reculé de 15%, à 958 M$. L'éditeur affiche par ailleurs un bénéfice net en hausse de 12%, à 1,46 M$, sur ce deuxième trimestre fiscal. Sur la période, Oracle a encore réduit son effectif, de 1 273 personnes, sans que l'on sache précisément ce qui résulte de licenciements. Il comptait fin novembre 83 366 employés (contre 86 657 l'an dernier à même époque). La présentation des résultats trimestriels a aussi permis à Safra Catz, présidente d'Oracle, d'exprimer son optimisme sur l'issue de l'enquête menée par Bruxelles autour du rachat de Sun. « Nous pensons que la Commission Européenne va autoriser sans condition l'acquisition de Sun en janvier, a-t-elle indiqué. Nous voulons remercier tous nos clients pour le soutien massif qu'ils nous ont apporté à Oracle pendant ce processus. » Exadata : des appliances de datawarehouse qui pourraient rapporter gros Parmi les produits sur lesquels Oracle semble miser dans les mois à venir, la récente gamme Exadata Database Machine, spécialisée dans les applications de datawarehouse, pourrait avoir un impact important. La deuxième version associe des serveurs de stockage Sun au logiciel d'Oracle (la première reposait sur des serveurs HP). « La vente [des appliances Exadata] devrait générer des milliards de dollars, a laissé entrevoir le président Charles Phillips. Sans même compter la redevance annuelle des contrats de maintenance. Mais nous ne pouvons pas encore déterminer à quel moment nous atteindrons ce stade ». Certains clients demanderaient des systèmes multiples. « Le problème que nous rencontrons actuellement se situe au niveau des capacités de production », a expliqué le président d'Oracle. (...)
(21/12/2009 10:20:09)Microsoft dédaigne Hadoop pour son datawarehouse
Un certain engouement se manifeste autour d'Hadoop, plateforme distribuée constituée de sous-projets Open Source (gérés par l'Apache Software Foundation) qui accélère le traitement de volumes très importants de données. Hadoop inclut un système de fichiers distribués et exploite Google MapReduce, framework de développement conçu pour des calculs parallèles et distribués, à opérer sur des bases dépassant le téraoctet de données. Parmi les chefs de file des SGBD, il apparaît que Microsoft et IBM l'abordent de façon assez différente. Tandis que des éditeurs de technologies décisionnelles comme Sybase et Teradata ont adopté sans ambages Hadoop et Google MapReduce, Microsoft, lui, résiste.
« Nous n'avons jamais inséré de code Hadoop dans un de nos produits, confirme le professeur David DeWitt, de l'Université de Madison (Wisconsin), également membre des équipes techniques de Microsoft. Son manque d'intérêt n'a rien de surprenant. Expert en base de données SQL parallèles, il a co-inventé trois d'entre elles. Au printemps, il a co-signé un article qui comparait les différentes approches de l'analyse de volumes importants de données. Il y avançait que les bases de données SQL dépassaient toujours MapReduce sur la plupart des tâches. Il n'a pas changé d'avis : « De nombreux fournisseurs de base de données déclarent qu'ils exploitent Hadoop parce que ce logiciel a du succès, [...] mais les bases SQL s'en sortent toujours très bien ».
David DeWitt dirige à l'Université de Madison un laboratoire qui travaille avec la R&D de Microsoft autour de la technologie de datawarehouse (connue précédemment sous le nom de Projet Madison) qui sera intégrée à la R2 de SQL Server 2008. Selon lui, cette version de SQL Server disposera, grâce à la technologie héritée de DATAllegro, de fonctions analytiques ressemblant à certaines fonctions de MapReduce/Hadoop. Mais David DeWitt reconnaît néanmoins que sur le traitement des requêtes nécessitant un temps d'exécution important, MapReduce est meilleur que SQL. Cette aptitude pourrait amener Microsoft à essayer d'introduire ces fonctionnalités dans la future version de SQL Server orientée datawarehouse.
IBM explore les cas d'utilisation de Hadoop
IBM, l'un des principaux supporters d'Apache, est évidemment très « branché » Hadoop. Anant Jhingran, directeur technique de la division Information Management d'IBM, le reconnaît volontiers. « Je ne prétends pas qu'il constitue la réponse à tout, mais je pense qu'à terme, chaque entreprise va vouloir y recourir, même si je ne suis pas sûr de la forme que cela prendra ». Les entreprises voudront-elles intégrer Hadoop à leur base de données SQL ou dans une appliance de datawarehouse séparée, ou encore sous la forme d'un service Web s'appuyant sur Hadoop comme le fait le service expérimental M2 d'IBM ?
Pour le déterminer, IBM teste des pilotes avec une dizaine d'entreprises clientes et explore cette voie dans sa R&D, explique Anant Jhingran, sans rien vouloir dire, toutefois, sur l'éventuelle présence de fonctionnalités Hadoop dans la prochaine version de DB2 ou d'Informix. Une chose est sûre, a tout de même précisé le directeur technique : Hadoop est mieux utilisé pour des applications émergentes de type Web Analytics, détection de la fraude, ou analyse des données non structurées et semi-structurées, plutôt que pour des applications sur lesquelles les bases relationnelles ont déjà largement fait leurs preuves. (...)
SAP prévoit à terme d'ouvrir sa plateforme 'on-demand' aux développeurs
A l'occasion de sa conférence Influencer Summit 09, SAP a braqué les projecteurs sur les produits qu'il prépare et sur ses projets en cours pour les cinq années à venir. L'événement a réuni quelque 200 acteurs et utilisateurs clés de la IT, mardi dernier 8 décembre, à Boston. Depuis un certain temps, on sait que l'éditeur allemand oriente notamment ses développements vers les traitements en mémoire (in-memory), les fonctions analytiques intégrées, les applications 'on-demand', les extensions dans le cloud, ou encore les déclinaisons mobiles. Tour à tour, devant les auditeurs de la conférence, se sont ainsi succédé des membres du directoire comme Jim Hagemann Snabe et John Schwarz, respectivement responsables des solutions pour les grandes entreprises et de l'entité BusinessObjects, Vishal Sikka, le directeur technique (CTO), Marge Breya, vice-présidente exécutive, responsable de la plateforme décisionnelle, ou encore John Wookey, vice-président exécutif chargé de développer des solutions 'on-demand'. Sur le terrain du 'on-demand', SAP bâtit par exemple une série de produits à partir d'une plateforme basée sur Java, acquise avec le rachat de Frictionless Commerce, en 2006. Ce dernier avait développé une application en ligne de gestion des relations avec les fournisseurs. Selon John Wookey, SAP pourrait, à terme, laisser accéder à la plateforme de Frictionless d'autres éditeurs ou intégrateurs. Ces derniers pourraient ainsi ajouter des fonctionnalités aux implémentations 'on-demand' de SAP exploitées par certains de leurs clients. L'éditeur allemand souhaite que cela puisse se faire sans contraindre les développeurs à recourir nécessairement aux outils de la plateforme Frictionless. « S'ils souhaitent travailler avec ces outils, c'est très bien, mais ils peuvent aussi vouloir utiliser Python, Ruby ou un autre langage, explique John Wookey. Nous voulons qu'ils puissent se connecter à notre environnement de manière standard. Nous nous concentrons donc sur la façon dont nous pourrions packager des services pour accéder à la Business Suite [et aux données qu'elle gère]. » Cette ouverture de la plateforme 'on-demand' ne se fera pas dans l'immédiat. « Nous voulons livrer nos propres applications avant de supporter d'autres acteurs », a précisé John Wookey. La stratégie on-demand de SAP vise d'abord sa propre base installée qui se verra ainsi proposer des extensions aux applications SAP qu'elle a déployées en interne. Le suivi des frais professionnels et la gestion des ressources humaines seront les premières catégories de solutions proposées sous cette forme. (...)
(04/12/2009 15:34:01)Constellation, le projet de BI collaborative de SAP
Sous le nom de Constellation, SAP prépare une application collaborative d'aide à la décision, qui se présenterait comme une « salle d'opérations » virtuelle ('war room'), cellule de veille où l'on partage des informations pour engager des actions dans la foulée. Cette application associera un outil accessible dans le cloud, depuis un navigateur Internet, et des composants installés en interne dans l'entreprise. C'est ce qu'a récemment expliqué David Meyer, vice président responsable des technologies émergentes pour SAP BusinessObjects, lors d'une présentation sur le Web à certains membres très impliqués de la communauté SAP. L'outil qui doit fonctionner dans le cloud est actuellement en test bêta privé sous le nom de code 12Sprints. On peut s'enregistrer sur le site qui lui est consacré pour le découvrir.
En mai dernier, à l'occasion de la conférence utilisateurs Sapphire d'Orlando, le PDG de SAP, Léo Apotheker, avait lui-même évoqué, le développement de Constellation, en décrivant une application combinant des fonctions de business intelligence et des outils de type Web 2.0. On en sait maintenant un peu plus. David Meyer a montré comment des utilisateurs pouvaient collaborer en temps réel autour d'un problème donné en s'appuyant sur différents outils d'aide à la décision et de gestion de projets. « Il ne s'agit pas seulement d'un espace de discussion, explique-t-on sur le site 12Sprints.com. On rassemble les personnes concernées par un dossier, on leur présente les données correspondantes et l'on choisit les actions à mener avec l'aide d'outils interactifs intégrés. »
Lors de sa présentation, David Meyer a par exemple déroulé un scénario utilisant la méthodologie Swot (strengths, weaknesses, opportunities, threats) consistant à définir une stratégie en analysant conjointement les forces, faiblesses, opportunités et menaces associées à une situation.
Idéalement, de 5 à 30 personnes peuvent intervenir dans l'un de ces groupes de travail. Mais l'éditeur allemand a prévu de fournir les moyens de publier des activités vers des wikis, ou vers d'autres plateformes comme SharePoint afin de toucher une audience plus large, a précisé David Meyer. Quant aux composants de Constellation situés hors du cloud, qui en sont à un stade de développement moins avancé, ils permettront aux utilisateurs de puiser de façon sécurisée et à partir d'un seul point, dans les différents entrepôts de données et contenus non structurés de l'entreprise.
Une ouverture prévue vers Google Wave [[page]]
Un cadre ouvert mais contrôlé
Parmi les applications possibles, David Meyer a cité notamment les processus de décisions d'achat qui se règlent aujourd'hui par téléphone, avec une déperdition d'informations et de connaissance. Sur le plan de la sécurité, Constellation offre un cadre ouvert mais contrôlé. Les utilisateurs pourront travailler comme ils l'entendent, mais un contrôle sera opéré sur la façon dont les choses se passent pour corriger certains points, un risque de fuite de données par exemple. « On pourra empêcher certaines actions », a précisé David Meyer. La tarification de Constellation est toujours à l'étude. Néanmoins, on sait déjà que l'offre devrait comporter trois volets. Il y aura une option gratuite, qui donnera accès à un nombre limité d'activités, et deux versions payantes. Des portions de code seront fournies pour connecter les logiciels BI de BusinessObjects à Constellation. En complément, les utilisateurs de SAP ERP depuis la version 4.6c pourront afficher des contenus vers Constellation dans le cadre de réunions virtuelles.
Une boutique d'applications et une intégration avec Google Wave
David Meyer a également indiqué que SAP prévoyait de créer pour cette plateforme une boutique d'applications sur laquelle les développeurs pourront mettre en vente les méthodes ou les intégrations spécifiques qu'ils auront mises au point. Constellation peut s'adapter à de nombreuses technologies. « Vous pouvez développer dans n'importe quel langage, a affirmé David Meyer. Un peu comme pour un Facebook. » SAP planche aussi sur l'intégration de Constellation à des plateformes de collaboration comme Google Wave. « Il est évident que nous avons besoin de travailler ensemble, a confirmé David Meyer. Il sera possible de partager des contenus entre nos plateformes. » En octobre dernier, SAP Research avait déjà montré une application exploitant Google Wave, baptisée Gravity. Créée avec l'équipe de développement de SAP Netweaver, celle-ci permet de développer des modèles de processus dans le cadre d'une fusion entre deux entreprises. Dès janvier prochain, SAP en dira davantage sur Constellation. L'outil destiné au cloud sera disponible au cours du premier semestre. La partie hors cloud devrait entrer en version bêta en avril et être livrée courant 2010. (...)
Informatica unifie l'accès à ses acquisitions dans la v9 de sa plateforme
Dans sa version 9, tout juste annoncée, la plateforme d'intégration de données d'Informatica rassemble maintenant six catégories d'outils, issus tant des investissements en R&D de l'éditeur (16 à 18% de son chiffre d'affaires) que des rachats technologiques qu'il a effectués au cours des derniers mois. « L'activité d'intégration de données d'Informatica a évolué bien au-delà du décisionnel depuis plusieurs années, vers les projets de consolidation, de migration et de synchronisation avec des données situées au-delà du firewall, avec des exigences de haute disponibilité, d'alimentation en temps réel des datawarehouses et la nécessité de prendre en compte les données semi structurées et non structurées dans les échanges B-to-B, rappelle Didier Guyomarc'h, directeur général d'Informatica France et vice-président des ventes pour l'Europe du Sud. En avril 2008, l'éditeur a acquis Identity Systems et sa technologie de réconciliation des données d'identité pour compléter son offre portant sur la qualité des informations. Ce type de projets représente aujourd'hui 30% du chiffre d'affaires de la société, selon Didier Guyomarc'h. En 2009, Informatica s'est offert l'offre de gestion du cycle de vie des données applicatives d'Applimation, ainsi que les solutions de traitement des événements complexes (CEP) d'Agent Logic. Ces trois catégories d'outils complètent ses fonctions d'intégration de données, d'échange de flux interentreprises et de synchronisation avec les applications hébergées comme Salesforce. Informatica dispose aussi d'une offre accessible sur le cloud EC2 d'Amazon. Des fonctions d'entrepôt virtuel « Avec la version 9, nous proposons une plateforme d'intégration d'entreprise, avec une interface unifiée, un environnement de développement unifié, et des moteurs de règles et d'orchestration des flux », expose Didier Guyomarc'h. Le dirigeant explique que 20% des clients d'Informatica ont évolué d'une intégration en mode projet à une plateforme d'entreprise. « Les entreprises sont de plus en plus soumises à des obligations réglementaires, de type Bâle 2 ou Reach, et à des contraintes métiers qui leur imposent une cohérence des données. » Pour une meilleure communication entre utilisateurs métiers et équipes IT, la v9 comporte des outils basés sur une interface Web permettant aux premiers de spécifier leurs besoins. Les outils de gestion de la qualité des données sont par ailleurs déclinés pour différents rôles d'utilisateurs dans l'entreprise. La plateforme comporte de nouveaux services Web, notamment pour renforcer les possibilités de synchronisation entre données du SI et données hébergées au-delà du firewall. « Dans la v9, nous offrons aussi des fonctions d'entrepôt virtuel, complète Didier Guyomarc'h. Elles permettent de constituer ponctuellement un datamart en s'appuyant sur plusieurs datamarts existants pour confronter des données à la volée et effectuer des simulations métiers. » Informatica dispose d'une base installée d'environ 190 clients en France (3 900 dans le monde) parmi lesquels figurent nombre de grandes entreprises telles que Printemps, Nestlé, BNP Assurances, Groupama ou Faurecia, mais aussi, depuis 18 mois à deux ans, des entreprises de plus petite taille, aux équipes informatiques réduites, tels que Resavacs, Vente-privee.com ou Gérard Darel. (...)
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