Vincent Chan constate qu' « avec des applications de taille importante et de plus en plus de points d'engorgement, vous avez la possibilité d'ajouter de la bande passante complémentaire, mais à un prix excessif et à certains clients seulement ». Les chercheurs du MIT ont testé la couche transport de son architecture dans les Bell Labs du New Jersey. L'objectif de ces expériences est de s'assurer que ce procédé n'a pas d'impact à long terme sur Internet.
En voie de commercialisation
Le scientifique devrait créer sa propre société pour développer et commercialiser la technologie. Il en profitera également pour tester l'intégration de sa solution sur les réseaux traditionnels américains. « Je pense que nous avons réalisé suffisamment de test pour savoir que le transport est prêt et que l'architecture devrait fonctionner » précise le futur entrepreneur.
Des discussions sont également en cours avec les fabricants de routeurs sur l'implantation de cette architecture. « En supposant que la technologie fonctionne comme annoncé, le principal inconvénient sera le coût de déploiement du nouvel équipement et l'optimisation du Net afin qu'il tire parti des dernières fonctionnalités. Ce tarif sera revu à la baisse par un effet de volume » déclare Dan Olds.
Le MIT promet un Internet plus rapide et moins cher
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