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Windows
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(21/07/2009 11:45:22)
Condamnations pour ventes illégales de Windows OEM sur eBay
82 500 euros en réparation à Microsoft, c'est la somme que devront payer trois vendeurs sur eBay qui commercialisaient des licences de Windows XP de seconde main - ce qui est considéré comme de la contrefaçon. La condamnation qui fera l'objet d'une publication en home page du site d'enchères est le fruit d'une enquête menée par la Gendarmerie Nationale. Elle a montré que les prévenus, « liés au milieu de l'informatique », disposaient de versions OEM de l'OS de Microsoft qu'ils mettaient en vente. Plus d'un millier de produits auraient été écoulés. Problème, la revente d'un logiciel sous licence OEM est interdite, même sous blister, lorsque le PC avec lequel l'application a été vendue la première fois ne fait pas partie de la transaction. Sur ce point, les termes des contrats de licences OEM de Microsoft sont d'ailleurs clairs. On y voit apparaître les mentions « ne peut être vendu séparément » et « commercialisé uniquement avec un nouveau PC ». Aujourd'hui encore, une recherche sur les termes "Windows OEM" montre qu'une trentaine de produits sont en vente sur eBay.fr. Certains figurent même en home page, dans la rubrique "bonnes affaires". (...)
(17/07/2009 17:05:29)WPC 09: Steve Ballmer noie Google Chrome OS dans les bayous
Steve Ballmer aurait déçu tout le monde s'il avait clos la WPC (conférence pour les partenaires de Microsoft qui se tenait cette semaine à La Nouvelle Orléans) sans adresser un petit mot doux à son nouvel archennemi, Google. Le tonitruant patron de Microsoft s'est gaussé des prétentions de Google, qui annonce un système d'exploitation un an et demi avant sa sortie, expliquant que pour lui, cela s'apparentait à du vaporware (comme on le faisait remarquer il y a quelques jours). Disant au public, tout acquis à sa cause, qu'il serait « respectueux », Steve Ballmer a comparé Google Chrome OS à... « une chose très intéressante ». D'abord parce que pour lui, la moitié encore des usages d'un PC concerne des activités déconnectées d'Internet. Avec son Chrome OS, au contraire, Google place le navigateur Web au centre. Ensuite, le CEO de Microsoft a fait valoir que Google avait déjà sorti un OS, Android, et qu'il ne voyait pas la raison d'en faire un autre. Bill Gates ne voit pas la nouveauté dans Chrome OS Il est vrai qu'avec Android, destiné uniquement à des téléphones et à des mini-ordinateurs, Google ne menaçait guère Microsoft sur le terrain des OS. Chrome OS, en revanche, vise explicitement le marché des netbooks et des PC, où Microsoft dispose de plus de 90% de parts de marché. Parallèlement, dans une interview accordée à CNet, Bill Gates a lui aussi raillé la stratégie de Google, arguant d'une part qu'il y avait déjà pléthore de systèmes basés sur Linux, et d'autre part que la notion de navigateur aujourd'hui - et donc de système centré sur le navigateur - est extrêmement galvaudée et donc très floue. « Dans une grande mesure, il s'agit davantage d'un abus de terminologie que d'un réel changement. » (...)
(13/07/2009 19:23:24)WPC09 : Office Web sera disponible gratuitement pour un demi-milliard d'utilisateurs
Microsoft va présenter plus en détail Office 2010, lors de la Worldwide Partner Conference qui a débuté aujourd'hui et se déroulera jusqu'au 16 juillet à la Nouvelle-Orléans. Office 2010 devrait être disponible au cours du premier semestre de l'année prochaine. La suite bureautique bénéficie de différents apports (comme l'ajout du montage vidéo dans PowerPoint), mais c'est surtout l'arrivée d'Office Web qui soulève l'intérêt. Plutôt que de laisser Google, son principal concurrent, grappiller des parts sur le marché bureautique avec ses Google Apps, fraîchement sorties de leur version bêta et toujours gratuites, l'éditeur prend le risque de cannibaliser ses propres ventes en mettant gracieusement les applications Office Web à la disposition des internautes se servant de Windows Live, soit 400 millions d'utilisateurs actifs. Office Web sera également libre d'accès pour les professionnels dans les entreprises qui auront souscrit au programme baptisé Software Assurance, comme Microsoft l'avait laissé entendre lors de sa conférence développeurs en octobre 2008. Ce programme compte déjà 90 millions d'utilisateurs selon Chris Capossela, vice-président responsable de la ligne de produits Microsoft Office. Office Web comporte des versions épurées de Word, Excel, PowerPoint et OneNote, le tout en ligne. Ces outils sont accessibles depuis n'importe quel poste de travail, via Internet Explorer, Firefox ou Safari. Plusieurs utilisateurs peuvent en outre travailler simultanément sur le même document (Office 2007 ne permet pas la collaboration en temps réel). La suite Office génère entre 15 et 20 M$ de chiffre d'affaires de Microsoft chaque année. Malgré la gratuité d'Office Web, Microsoft estime que ce revenu n'est pas en danger car la version libre d'accès ne dispose pas de toutes les fonctionnalités de la suite. « Pour un étudiant par exemple, écrire un rapport long de plusieurs pages sur un navigateur Web n'est pas aisé - pas plus que sur WordPad, lui aussi gratuit », explique Chris Capossela. Autrement dit, les consommateurs continueront à se tourner vers la version complète et payante d'Office. Microsoft a toutefois refusé de révéler à quel tarif serait commercialisée la version payante d'Office 2010. La mouture précédente était disponible à des prix compris entre 149 et 499 $. Une fois de plus, Microsoft et Google jouent sur le même terrain. La semaine dernière, le géant de Mountain View a en effet son annoncé la sortie de Chrome, son OS gratuit, pour le début de l'année prochaine, concurrent direct de Windows. (...)
(13/07/2009 15:43:54)Les entreprises américaines ne sont pas pressées d'adopter Windows 7
Le lancement de Windows 7 le 22 octobre prochain amène les entreprises à réfléchir sur l'opportunité de faire migrer leurs parcs informatique vers le nouvel OS de Microsoft. A en croire le sondage réalisé par SciptLogic, un éditeur de logiciels d'administration de systèmes, auquel ont répondu 1000 entreprises américaines, nombre d'entre elles résisteront aux sirènes de l'éditeur à plus ou moins long terme. Plus précisément, 59,3% des répondants indiquent ne pas avoir planifié de déploiement de Windows 7. Ils sont 34% à penser mener l'opération à la fin de l'année 2010 et seulement 5,4% à l'envisager d'ici la fin 2009. Pour 42,7% des entreprises, le manque de ressources constitue la première barrière à l'adoption de Windows 7. Pas étonnant lorsque l'on sait qu'environ 21% d'entre elles ont réduit leurs équipes informatique ou retardé leurs embauches. Mais que l'on ne s'y trompe pas, les problématiques techniques directement portées par le système d'exploitation sont aussi en cause. 39,1% des entreprises craignent des problèmes de compatibilité de leurs applications avec Windows 7. Ce qui tombe mal puisque le gel des dépenses dédiées aux mise à jour logicielles est le principal moyen utilisé par les services informatiques des entreprises pour réduire leurs dépenses. Sans remettre fondamentalement en cause la tendance qu'ils dessinent, les résultats du sondage de ScriptLogic doivent être pris avec des pincettes. Le nombre de répondants, 1 100 sociétés, ne représentent en effet que 5,3% des 20 650 entreprises américaines auxquelles a été envoyé le questionnaire. On peut dès lors espérer que la réalité sera moins noire que prévu pour Microsoft. (...)
(13/07/2009 10:29:07)Steven Sinofsky prend la tête de la division Windows de Microsoft
Quelques mois avant la sortie officielle de Windows 7 (prévue le 22 octobre prochain), Microsoft vient de nommer un nouveau président pour sa division Windows, Steven Sinofsky. Présent dans la société depuis vingt ans, Steven Sinofsky a exercé les fonctions de vice-président du groupe d'ingénierie de Windows avant de superviser la ligne Microsoft Office. Il a contribué au développement de Windows 7 et a participé à « E7 », le blog officiel du futur OS de Microsoft. Il a également été assistant technique de Bill Gates, une place réputée pour servir de tremplin au sein de Microsoft. Dans la foulée de cette nomination, Microsoft annonce également la promotion de Tami Reller au poste de directrice du marketing Windows, une fonction qu'elle conjuguera avec celle de directrice des finances (CFO). Elle remplace Bill Veghte, dont les nouvelles responsabilités n'ont pas encore été définies. (...)
(10/07/2009 12:50:20)Commentaires et questions en pagaille sur Google Chrome OS
Est-ce de la précipitation - pour faire de l'ombre à Microsoft (dont Windows 7 doit sortir en version RTM dans quelques jours) - ou une nouvelle démonstration brillante d'orchestration du buzz ? Toujours est-il que l'annonce extrêmement prématurée d'un système d'exploitation pour PC signé Google soulève bien plus de questions que l'éditeur n'est prêt à y répondre. Pour Forrester, l'avènement du " personal cloud " Dans le billet de blog introduisant Google Chrome OS, il est dit que ce dernier sera disponible au public dans des netbooks fin 2010. Un défenseur de Microsoft dirait que si ce dernier avait annoncé un tout nouveau produit autant de temps à l'avance, il aurait rapidement été accusé de donner dans le 'vaporware', le logiciel fumeux. Malgré cette anticipation, l'offre de Google est attendue comme le Messie. De fait, comme l'explique Franck Gillett, analyste chez Forrester, l'industrie se dirige vers l'avènement du « personal cloud », une ère de l'informatique centrée non plus sur le PC, mais sur l'accès à de l'information et des services en ligne. Là où Annette Jump, analyste chez Gartner, voit Google grappiller ne serait-ce que quelques pour cent de parts de marché à Microsoft - « sur un milliard de PC en usage dans le monde, en facturant quelques dollars par machine, cela fait du chiffre d'affaires ! » - Franck Gillett estime que Google n'a aucune intention de déclencher une guerre sur le vieux front des OS pour PC. Car celle-ci, dit-il, « Microsoft l'a clairement gagnée ». D'autant, comme le souligne l'analyste de Gartner, s'il veut jouer à ce jeu-là, « Google devra faire en sorte que son OS supporte simplement tous les appareils qu'on peut connecter à un Netbook et les applications qu'on peut y installer, or c'est justement à cause de cela que XP a pris le pas sur Linux dans les netbooks. » Conquérir les postes clients après avoir déployé les services en ligne Il s'agit donc plutôt, pour l'analyste de Forrester, des premiers signes d'une nouvelle bataille, « pour les plateformes de cloud personnel, que les éditeurs bâtiront à l'aide de services en ligne et de diverses combinaisons de navigateur Web, de systèmes d'exploitation ou d'environnements d'exécution de logiciels ». Avec ses Google Apps (la bureautique), AppEngine (le serveur d'applications) et maintenant Wave (le collaboratif connecté en permanence), Google a multiplié les services en ligne. Restait à s'implanter sur le client. Ce rôle était dévolu jusqu'à présent à Chrome, son navigateur, et Android, qui équipe déjà quelques téléphones. Quelle est la part de Native Client dans Chrome OS ? [[page]] Mais une nouvelle bataille se gagne avec de nouvelles technologies. De ce point de vue, Google n'a fourni aucune explication, se bornant à dire que Chrome OS serait distinct d'Android. Les concepteurs de Chrome OS expliquent en effet qu'Android a été conçu pour s'adapter à différents types d'appareils légers, de type téléphone ou boîtier, alors que des PC, voire des mini-PC, méritent un OS digne de ce nom. Le rôle de NaCL : exécuter du code x86 dans le navigateur Fin observateur des technologies Google, Sami Jaber, consultant et fondateur de DNG Consulting, remarque que la plateforme Native Client de Google (NaCL) constituerait une bonne base pour ce Chrome OS. « Surtout, dit-il, que Google a récemment demandé à la communauté d'essayer de trouver des failles. » Google, suppose-t-il, a dû être rassuré par les résultats de ce concours, et encouragé à faire cette annonce. Mais tout cela n'est que supputation. « C'est un peu comme si Google donnait tous les éléments d'un puzzle, qu'on trouve une solution, mais qu'il ne veuille pas la commenter. » NaCL est présenté comme une technologie permettant d'exécuter du code x86 (pour l'instant, sachant que Chrome OS vise aussi les plateformes ARM) au sein même du navigateur. L'idée est donc exactement la même que celle de Chrome OS : centrer l'OS sur le navigateur, pour exécuter des applications aussi bien que pour parcourir des pages. Le développement de NaCL a probablement été guidé par les limites de l'interface riche actuellement proposée par Google, à base de Javascript, GWT. « Nous pensons que la technologie Native Client aidera un jour les développeurs Web à créer des applications Web plus riches et plus dynamiques », est-il écrit dans la page de présentation de NaCL. Intel, Freescale et TI partenaires technologiques de Google pour Chrome OS Brad Chen, responsable du développement de NaCL, se refuse pour l'instant à confirmer ou infirmer l'inclusion de cette technologie dans Chrome OS. Il se borne à indiquer : « Nous travaillons à intégrer Native Client dans Chrome. Google Chrome OS est juste une autre plateforme qui fera tourner Chrome. Ceci mis à part, il n'y a rien concernant Chrome OS qui implique des changements de plans ou de stratégie pour Native Client. » Pour Sami Jaber, vouloir recréer une technologie d'exécution de code natif au sein d'un navigateur serait « réinventer la roue ». En tout cas, Google recrute activement des développeurs pour Chrome OS dans ses différents centres de développement (mais pas à Paris), et il dit pouvoir d'ores et déjà compter sur le soutien de nombreux partenaires, fabricants de PC comme Acer, Asus, HP, Lenovo ou Toshiba. Toutefois, lorsqu'on interroge ces derniers, le soutien est plus mesuré : ils disent « évaluer » la technologie, aucun ne s'engageant sur une future machine. Google liste aussi des spécialistes des processeurs, comme Freescale et Texas Instruments. Plus Intel, dont un porte-parole vient de révéler « avoir été dans la confidence depuis un certain temps ». Mise à jour : dans sa réponse à Sami Jaber sur le forum, Brad Chen explique qu'un OS peut se diviser en trois grandes catégories : abstraction matérielle, gestion des ressources et environnement applicatif. Pour lui, NaCL se consacre uniquement à la dernière catégorie. Et il ajoute que cela lui convient parfaitement que « des systèmes d'exploitation existants, ou éventuellement Google Chrome OS, s'occupent de la fonction abstraction matérielle ». Brad Chen ne veut pas se prononcer à la place des managers de Chrome OS, mais cela commence à devenir plus clair. Surtout lorsqu'il ajoute que finalement, la gestion des ressources, dans un monde constitué d'applications Web, pourrait très bien être dévolue au navigateur Web. Chrome, par exemple. (...)
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