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Windows
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(06/04/2010 17:09:15)
Microsoft abandonne Windows Server pour Itanium
«Windows Server 2008 R2 sera la dernière version de Windows Server à supporter l'architecture Intel Itanium," indique Dan Reger, responsable de la plate-forme chez Microsoft, sur le blog Windows Server Division. SQL Server 2008 R2 et Visual Studio 2010 sont également les dernières versions pour Itanium." Ces annonces arrivent comme un véritable revers pour Intel, qui a bataillé pour imposer ses processeurs IA-64, Merced puis Itanium, sur les serveurs haut de gamme à tolérance de panne. Après plusieurs mois de retards, le fondeur avait annoncé en février dernier la version quatre coeurs de sa puce Itanium Tukwila. Rappelons pour être complet que Red Hat avait déjà annoncé en janvier dernier que la prochaine version de sa distribution Linux ne prendrait plus en charge la plate-forme Itanium.
Analyste au Burton Group, Nik Simpson a expliqué que ce n'était «pas une coïncidence que Microsoft annonce sa décision après qu'Intel ait dévoilé sa plateforme multi coeurs Xeon 7500 Nehalem-EX. Cette dernière inclut des fonctionnalités de fiabilité haut de gamme (Race) autrefois réservé à l'environnement Itanium. Pour Microsoft, la fiabilité a été la seule chose qu'Itanium avait pour lui ; le nombre de licences Windows vendues sur Itanium est négligeable par rapport à l'activité x64. Ainsi, la décision d'abandonner Itanium a probablement été très facile à prendre", conclut Nik Simpson sur son blog.
Dans son post, Dan Reger de Microsoft précise encore que "l'évolution naturelle de la plate-forme x86 64 bits (x64) a abouti à la création de processeurs et de serveurs qui offrent l'évolutivité et la fiabilité nécessaires pour supporter des charges de travail aujourd'hui qualifiées de «critique ». Conformément à sa politique de soutien standard, Microsoft continuera de fournir un support principal pour les systèmes Itanium jusqu'en juillet 2013, et un soutien prolongé jusqu'en juillet 2018.
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Du côté de l'évolution de la plate-forme IA-64, Intel a récemment indiqué qu'il fournira au moins deux générations de plus pour Itanium (Poulson et Kittson) au cours des quatre prochaines années. HP, qui a fait un gros pari sur Itanium en abandonnant l'élaboration de son processeur PA-RISC, a déclaré à plusieurs reprises qu'il restait confiant quant à l'avenir Itanium. Cette dernière est encore utilisée sur ses solutions Integrity NonStop (ex Tandem) et SuperDôme. Mais la fin du soutien par Microsoft ne manquera pas de déclencher une nouvelle série de questions sur l'avenir de la plate-forme. Pour les systèmes Itanium, le retrait de Microsoft est «mauvais, mais pas catastrophique, du moins pour le moment », estime Nik Simpson, notre analyste du Burton Group.
La plupart des processeurs Itanium sont vendus avec les serveurs HP exécutant l'Unix maison, HP-UX, NonStop OS, issu de Tandem, ou OpenVMS, créé à l'origine par Digital. D'autres systèmes d'exploitation comme le Gecos 7 de Bull ont déjà commencé à travailler avec la plate-forme x86. «Alors, HP est susceptible d'être le dernier bastion encore debout avec des systèmes Itanium pour l'entreprise, mais les nouvelles fonctionnalités et l'évolutivité des Xeon 7500 (Nehalem-EX) sont en passe de modifier la donne. La question est donc de savoir quand HP migrera sa plate-forme Itanium vers x64 pour assurer l'avenir de HP-UX ou d'OpenVMS ? " La semaine dernière chez HP à Issy les Moulineaux, une matinée réunissait les clients utilisant encore la plate-forme Integrity NonStop pour leur présenter les prochaines évolutions de leur environnement. Et l'engagement de HP ne semblait pas faire défaut avec des améliorations à venir sur la répartition de la charge sur les processeurs et sur la gestion de l'environnement Pathway. Si l'Itanium ne semble pas mort chez HP, reste à savoir combien de temps Intel supportera cette plate-forme désormais cannibalisée par la montée en puissance des Nehalem-EX.
(...)(06/04/2010 15:17:57)
Un bureau virtuel sur iPad ? Citrix répond présent
Le grand public n'est pas le seul à s'intéresser au dernier produit d'Apple. Les responsables de l'IT s'interrogent aussi sur l'utilité de l'iPad au sein de l'entreprise. Pour adapter ce terminal au monde professionnel, la virtualisation du poste de travail peut être une solution. Citrix et Wise Technology ont déjà publié des applications logicielles portant le poste de travail Windows sur l'iPad d'Apple.
« Je suis convaincu que cela sera un grand succès en entreprise » souligne Chris Fleck, vice-président des communautés et des solutions de développement de Citrix et d'ajouter « nous avons une forte demande pour les travailleurs nomades et les télétravailleurs. Les commerciaux adoptent rapidement ce type de terminaux, qui apportent légèreté et fonctionnalités ». Il sera donc un outil idéal pour les professionnels de santé, les commerciaux, les assureurs, les agents immobiliers, etc. Il aurait même plus de potentiel que l'iPhone. Fleck indique néanmoins que les premiers déploiements seront le fait des salariés qui achètent leur propre équipement. Cela pourrait être l'amorce du scénario « bring your own » (apporter votre propre matériel). « De plus en plus d'employés qui souhaitent utiliser la tablette d'Apple dans leur métier, l'achèteront en propre », explique Chris Wolf, analyste du Burton Group. « Ce scénario entraîne pour les responsables informatiques une augmentation sensible de la connectivité au sein de l'entreprise » prophétise l'analyste.
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Des applications et des doutes
La dernière campagne marketing de Citrix considère l'iPad comme « Open for Business » et l'éditeur a publié deux applications sur l'iPad App Store à orientation professionnelle. Il s'agit du Citrix Receiver qui autorise l'accès des utilisateurs aux applications et documents de l'entreprise. Le client peut ainsi connecter des iPads sur les implémentations existantes de XenApp et XenDesktop pour porter des applications Windows et le poste de travail sur la tablette. La sécurité est ainsi renforcée, souligne Chris Flex de Citrix, car les applications tournent sur le datacenter et non sur le terminal. L'autre application proposée est GoToMeeting, une solution de web conférence.
De son côté Wyse Technology, spécialiste des clients légers, a publié une application pour l'équipement d'Apple qui fournit l'accès à Windows depuis un PC virtuel et qui supporte plusieurs technologies de virtualisation comme VMware View et Remote Dekstop Protocol de Microsoft. VMware n'a pas fait d'annonces particulières en ce sens et un salarié de l'éditeur a fait part de son scepticisme sur l'utilisation de l'iPad comme un client virtuel. En janvier dernier, un ingénieur de VMware, Todd Muirhead, expliquait que la tablette était un très bon terminal pour lire et surfer sur Facebook, mais pas pour un usage professionnel.
Enfin, les entreprises peuvent également s'interroger sur les efforts à fournir dans le domaine de la virtualisation sur des clients légers moins onéreux que le déploiement d'une flotte d'iPad.
(...)(25/03/2010 13:39:55)Econocom lance une offre de migration vers Windows 7
Windows 7 représente plus qu'un nouveau système d'exploitation. Beaucoup de clients ont laissé passer Vista et ne devraient pas délaisser un deuxième changement. Et, après la crise, les budgets repartiront, espèrent analystes et fournisseurs, permettant d'acheter Seven, en migration simple, en upgrade de postes, en changeant le parc.
Dans cette perspective, Econocom a concocté une offre de migration, nommée « 7 remote services », la cinquième au catalogue de la société. Elle passe par l'étude d'impact la communication vers les utilisateurs et l'utilisation d'outils de pilotage à distance. « Seven permet justement de travailler à distance plus facilement qu'avec d'autres systèmes d'exploitation et nous avons développé des plate-formes de services qui nous permettent d'assurer à distance certaines tâches assurées auparavant sur place», note Didier Bertho directeur général de l'activité services de Econocom.
Au total, avec cette nouvelle offre, Econocom prend sept engagements qui parlent non seulement de la phase technique de migration, mais de l'étude d'impact ou de l'exploitation à distance en passant par l'aide aux utilisateurs. Le message est clair : rationaliser la phase de migration pour éviter qu'elle pèse sur l'activité informatique de l'entreprise par une surcharge temporaire de travail. Avec cette nouvelle offre, Econocom pense faire économiser jusqu'à 30% d'un budget de migration à ses clients.
Pour contrer VMware, Microsoft baisse le coût des licences Windows pour machines virtuelles
« Nos clients et nos partenaires nous ont fait comprendre que ce contrat était confus et complexe», a déclaré Dai Vu, directeur marketing de la virtualisation chez Microsoft. « C'est pourquoi nous avons décidé de simplifier et d'étendre les droits de ces licences. » Dans le système de tarification actuel, le VECD oblige les clients abonnés au programme d'Assurance Logicielle (Software Assurance, SA) de Microsoft à payer 23 dollars supplémentaires par an pour chaque machine cliente utilisés dans une infrastructure de bureau virtuel (VDI). Microsoft supprimera ce coût supplémentaire au 1er juillet. Cela signifie que les clients utilisant un grand nombre d'ordinateurs de bureau couvert par la Software Assurance n'auront plus besoin de payer la licence supplémentaire Windows lorsqu'ils migreront vers un système virtualisé. Et cela est indépendamment de la technologie de virtualisation choisie, que ce soit celle de Microsoft, de Citrix ou d'un concurrent comme VMware. Les clients qui n'ont pas acheté l' Assurance Logicielle devaient payer 110 dollars par appareil et par an en cas de déploiement sur une solution virtualisée. « Ce tarif, ramené à 100 dollars, ne concerne que les sociétés de petite taille et les ordinateurs utilisés par des contractants plutôt que par des salariés à plein temps, » a expliqué Dai Vu. « Pour les ordinateurs appartenant à l'entreprise, il sera généralement plus avantageux d'opter pour l'Assurance Logicielle que de payer les 100 dollars par unité en vertu du dispositif d'octroi de licences VECD, » a t-il ajouté. Microsoft est également en train de changer le nom de Virtual Enterprise Centralized Desktop (VECD) en Windows Desktop Virtual Access. « L'octroi de licences pour systèmes d'exploitation de bureau et de serveur évolue avec le temps. Historiquement liée au matériel, la virtualisation permet désormais aux bureaux d'offrir de nombreux postes de travail depuis le même serveur, » a fait remarquer Dai Vu. Le nouveau système d'autorisation de Microsoft va permettre aux utilisateurs d'accéder à leur bureau à partir de plusieurs points d'accès différents sans surcoût supplémentaire. [[page]] Bien que la virtualisation n'ait pas encore été adoptée de façon massive, l'arrivée de Windows 7 va amener de nombreux clients à revoir leur infrastructure de bureau et à envisager l'utilisation d'une plate-forme virtuel. Ce mois ci, les éditeurs ont multiplié les annonces pour capitaliser sur Windows 7. Ainsi VMware a, par exemple, a lancé une nouvelle version de son logiciel de virtualisation ThinApp, la présentant comme une alternative à la migration d'anciennes applications Windows 2000/XP vers Windows 7. Conjointement à cette petite réduction du coût de licences, Microsoft s'est associé à Citrix pour offrir une année de virtualisation gratuite aux clients qui abandonneraient VMware. Plus précisément, les clients qui feront défection à VMWare recevront Citrix XenDesktop VDI et Microsoft VDI et pourront mettre cette solution à disposition de 500 utilisateurs sans frais, pendant une année complète. Selon les vendeurs, un autre accord permettra aux clients de Microsoft qui ont acheté des licences d'accès avec l'Assurance Logicielle d'économiser plus de 50% sur un système combiné Microsoft/Citrix. Pour ceux-là, un déploiement virtuel de 250 postes de travail coûtera 7000 dollars, soit 28 dollars par poste. Microsoft et Citrix ont également déclaré qu'ils travaillaient à améliorer l'expérience utilisateur en matière de bureau virtuel, laquelle se fait dans la plupart des cas toujours derrière un ordinateur physique. Citrix, a indiqué que sa technologie HDX (affichage haute définition) sera compatible avec RemoteFX de Microsoft, une technologie d'accélération graphique pour ordinateurs de bureau virtuel acquise en 2008 lors du rachat de Calista Technologies. Citrix a également annoncé son logiciel XenDesktop 4 Feature Pack 1, qui augmente un peu plus encore l'intégration avec les produits Microsoft, y compris App-V, les outils de gestion, de communication et la VoIP. Le nouveau XenDesktop réduit aussi les temps de connexion des bureaux virtuels et de chargement des applications hébergées en achevant le processus d'ouverture de session sans attendre le login complet du profil. (...)
(19/03/2010 12:14:50)La virtualisation renforcée dans les SP1 de Windows 7 et Server 2008 R2
Avec le SP1 de Windows Server 2008 R2, deux fonctionnalités font leur apparition Microsoft RemoteFX et Dynamic Memory, concernant la virtualisation. La première est un complément à Hyper-V, qui permet à l'administrateur de gérer dynamiquement l'allocation de ressource mémoire pour les machines virtuelles. La deuxième booste l'accélération graphique pour afficher sur des machines virtuelles, tout en intégrant les technologies rich media comme le Flash ou Silverlight. Pour Windows 7, peu d'annonces ont filtré, hormis la fonctionnalité Remote Client, qui améliore l'accès à un poste à distance. Celle-ci sera compatible avec la fonction Remote FX, citée précédemment. En parallèle à cette annonce, la firme de Redmond a fait évoluer la virtualisation du mode XP présent sur la version professionnelle de son OS. En effet, cette action nécessitait des fonctions de virtualisation au sein des processeurs, baptisées Intel VT (Virtualization Technology) ou AMD-V. Maintenant, une mise à jour, téléchargeable à cette adresse efface ce besoin matériel et permet au mode XP de fonctionner sur un nombre de processeurs plus important. Toutes ces annonces s'adressent aux entreprises qui attendent souvent les premiers « Service Pack » pour migrer leur parc informatique vers un nouvel OS. D'autres informations sur le contenu de ces packs devraient être publiées dans les prochaines semaines. (...)
(17/03/2010 16:25:56)VMware simplifie les migrations applicatives vers Windows 7
« VMware ThinApp 4.5 a été conçu pour réduire le codage et les tests nécessaires pour faire évoluer les applications vers le nouveau système d'exploitation de Microsoft tout en minimisant les risques de plantage» souligne l'éditeur. Comme la plupart des acteurs de l'industrie, VMware s'attend à ce que Windows 7 accélère la virtualisation des applications et des ordinateurs de bureau. Mais migrer le stock d'applications pour qu'il soit utilisable avec cet OS n'est pas aussi simple, et les clients « demandent ce portage via la virtualisation» a déclaré Raj Mallempati, directeur du marketing produits desktop chez VMware. Tombé en 2008 dans l'escarcelle de VMware lors de l'acquisition de Thinstall, un fournisseur d'applications de virtualisation, ThinApp englobe les applications en paquets et intègre leurs paramètres dans « un fichier exécutable unique hébergé hors du système d'exploitation » confirme VMware. Le paquet qui abrite aussi bien les clés de registre, les bibliothèques de liens dynamiques ainsi que les frameworks, est accessible en mode virtualisé pour l'utilisateur. Ces applications peuvent être déployées sur le réseau ou depuis un lecteur USB, permettant de les utiliser à partir d'ordinateurs différents. « La technologie est souvent mise en oeuvre en conjonction avec le déploiement d'un serveur de virtualisation, mais ce n'est pas nécessaire » souligne Raj Mallempati. Les nouvelles fonctionnalités de ThinApp 4.5 comprennent un meilleur partage de la mémoire entre applications, une gestion plus fine de l'allocation mémoire par Windows et un usage optimisé de la bande passante. En outre, la protection des échanges entre registres « garantit l'intégrité du fichier et évite la corruption possible des données suite à un crash ou à une défaillance système » Les plateformes logicielles ThinApp inclus 50 licences utilisateur. Son prix démarre à 5000 dollars. Chaque licence utilisateur supplémentaire coûte 39 dollars. (...)
(11/03/2010 14:58:22)XenApp6 de Citrix étoffe son offre vers Apple
XenApp donne aux utilisateurs un accès à des programmes fonctionnant sur un serveur et transmet les applications vers le client sur plusieurs types de terminaux. Cette solution peut également être intégrée au sein de la plateforme de virtualisation de l'unité centrale, XenDekstop. « Les ordinateurs Mac et les smartphones équipés de l'OS Android ont été ajoutés à la liste des équipements compatibles avec le client Receiver de Citrix », souligne Magnus Toft, responsable produit et marketing de Citrix Nordic. Ce client a été lancé en mai 2009 et fait appel à plusieurs modules additionnels, concernant l'utilisation des applications en mode connecté ou déconnecté, la gestion des mots de passe et l'accélération du WAN. Récemment, Citrix a offert son client ICA (Independent Computing Architecture), protocole pour déployer les applications installées sur les serveurs, aux ordinateurs d'Apple. Ces derniers peuvent aussi utiliser Citrix Dazzle, un service de carrousel d'applications d'entreprise, contrôlé par le département IT de la société. « l'objectif est de donner aux entreprises les outils de gestion pour assurer la compatibilité des applications Windows aux utilisateurs de Mac » précise Magnus Toft. Une pleine compatibilité Windows Server Sur les autres fonctionnalités, la version 6 de XenApp intègre une nouvelle console de gestion Appcenter, qui transfère le management des applications depuis un point centralisé en utilisant un outil unique. Auparavant, les services informatiques étaient obligés de gérer plusieurs consoles pour maintenir leur environnement XenApp, incluant les interfaces Web et l'administration des licences. En supportant pleinement Windows Server 2008 R2 de Microsoft, l'installation initiale de la solution de Citrix et l'administration des profils en sont simplifiées. Les performances ont été améliorées avec la capacité de gestion de 10 000 utilisateurs simultanés au sein d'un seul datacenter. XenApp6 sera disponible en téléchargement le 24 mars prochain et les licences coûteront 350 dollars par utilisateurs (...)
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