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(28/05/2010 16:06:25)
Veeam voit dans l'administration la clé de la virtualisation et du cloud
Discret, Veeam est devenu en quelques années, un élément important pour l'environnement VMware. La société, fondée par Ratmir Timashev, affiche une croissance très forte du chiffre d'affaires+ 127% en 2009 et +123% attendue en 2010 pour atteindre près de 50 millions de dollars. « La virtualisation est une rupture technologique et nous avons travaillé pour accompagner les entreprises à cette évolution », souligne le dirigeant. Le point clé pour le fondateur réside dans l'administration de cette virtualisation pour laquelle l'éditeur propose Reporter 4.0, un logiciel de management dédié à Vsphere. Il propose différents rapports sur les performances, les indicateurs de traçabilité des différentes actions et la gestion des allocations de ressources.
Une innovation dans la sauvegarde
L'actualité de l'éditeur s'appelle SureBackup, une solution assurant la sauvegarde de machines virtuelles. Disponible l'été prochain, elle permet selon Ratmir Timashev « de tester la sauvegarde de chaque machine virtuelle en permanence et d'en vérifier la restauration ». Il constate que certaines entreprises ne disposent pas des ressources suffisantes pour réaliser ces tests et que ces derniers peuvent échouer en raison de fichiers corrompus, « notre solution apporte une réponse à leur problématique ». Pour ce faire, Veeam utilise la virtualisation pour créer une zone de test, baptisé Virtual Lab et utilise une technologie propre pour optimiser et automatiser ces tests.
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Par ailleurs, SureBackup dispose de fonctionnalités complémentaires comme la restauration universelle au niveau élémentaire de l'application, et la réplication à la demande d'environnements de production pour test ou maintenance. Cette innovation sera intégrée dans la version 5.0 de Veeam Backup & Replication.
Etablir une passerelle avec Microsoft
Pour le futur de Veeam, Ratmir Timashev travaille de concert avec la firme de Redmond pour assurer le lien entre les machines virtuelles sous VMware et celles reposant sur la solution Hyper V. « Il existe plusieurs options pour réaliser une migration d'une machine virtuelle vers une autre, travailler directement sur l'hyperviseur ou alors la gérer depuis un outil d'administration comme System Center, via Operation Manager. Cette deuxième option permet d'englober l'ensemble du datacenter » souligne le fondateur de Veeam. Il travaille donc pour intégrer la solution Nworks (issue d'un rachat), facilitant le dialogue entre VMware et Hyper V. A noter, que ce service est aussi disponible pour Openview d'HP, un partenaire historique de Veeam. Par contre, le dirigeant écarte toute idée de travailler sur Xen.
Accompagner le développement du cloud
En tant que partenaire de VMware, Veeam participe au programme Service Provider (VSPP) du spécialiste de la virtualisation. Il s'agit d'un programme de licences spécifiques pour louer un certain volume de machines virtuelles au lieu de les acheter. Ce programme s'adapte chaque mois en fonction de la demande des prestataires.
« Si le management est la clé de la virtualisation, il le sera également dans le domaine du cloud et nous apportons dans ce programme notre expertise, sous forme de service premium, auprès des fournisseurs et des hébergeurs, en matière de reporting, de facturation, de supervision » affirme Ratmir Timashev. Ce dernier regarde avec intérêt le développement des offres clouds.
Il revendique par contre l'indépendance de sa société, lorsqu'on lui pose la question, d'un possible rachat. « Cela nous permet d'être plus rapide dans l'innovation » indique celui qui avait fondé en 1997, Aelita Software, spécialiste de l'administration de systèmes sous Windows Server et qui a été...racheté en 2004 par Quest Software. A suivre...
Microsoft solde le contentieux VPN pour 200 millions de dollars
Lors du premier procès qui a eu lieu en février 2010, l'entreprise californienne VirnetX plaidait contre Microsoft pour avoir utilisé sa technologie brevetée de réseau privé virtuel (VPN) dans Windows XP, Vista, Server 2003, Live Communications Server, Messenger, Office Communicator et la suite Office depuis l'édition 2003. En mars 2010, VirnetX déposait une nouvelle plainte, ajoutant Windows 7 et Server 2008 à la liste des produits dans lesquels Microsoft aurait utilisé le VPN sans licence.
En mars dernier, un jury fédéral du Texas a statué, demandant à Microsoft de verser 106 millions de dollars à VirnetX pour clôturer la première plainte. À l'époque, l'éditeur avait fait savoir qu'il envisageait de faire appel de ce verdict. Lundi dernier, dans une déclaration conjointe, les deux protagonistes ont annoncé que les différentes actions en justice seraient ajournées suite à un règlement amiable dont le montant a été fixé à 200 millions de dollars. D'autres conditions comprises dans cet accord sont demeurées confidentielles, mais Microsoft a néanmoins fait savoir qu'il s'était également engagé à acheter les licences de la société lésée. «Nous sommes heureux d'avoir pu trouver un terrain d'entente avec VirnetX pour résoudre cette affaire de manière constructive,» a dit Tom Burt, le conseiller juridique de Microsoft. « L'aboutissement de cette résolution, qui met fin à notre contentieux avec Microsoft, va nous permettre de nous concentrer sur le futur pilote mettant en oeuvre notre technologie automatique de réseau privé virtuel » a déclaré Kendall Larsen, CEO du Holding VirnetX Corp.
D'autres affaires en suspens
Ce n'était pas la première fois que le groupe de Redmond comparaissait devant la cour de Tyler au Texas. En août 2007 en effet, le jury de ce même tribunal avait déjà demandé à Microsoft de payer 300 millions de dollars au développeur canadien i4i pour avoir utilisé illégalement sa technologie XML dans le logiciel de traitement de texte Word. L'affaire avait attiré l'attention parce que le juge Leonard Davis de la US District Court, qui a également suivi le dossier VirnetX, avait décidé de lui interdire de vendre Word à partir du 10 octobre 2009.
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L'injonction du juge avait ensuite été reportée, l'éditeur faisant valoir que l'arrêt des ventes de du traitement de texte aurait eu des conséquences dramatiques, un argument soutenu par plusieurs fabricants d'ordinateurs, dont Hewlett-Packard et Dell. En janvier 2010, pour respecter la décision du juge Davis, Microsoft avait néanmoins extirpé le XML de Word 2007, et la version Word 2010, officiellement livrée la semaine dernière aux clients professionnels, ne comprend plus cette technologie dont la propriété intellectuelle vient d'être par ailleurs confirmée par l'US Patent and Trademark Office à i4i.
Une cour d'appel a refusé de retenir l'interjection de Microsoft, mais la société envisage toujours de porter l'affaire devant la Cour suprême. « Des questions importantes concernant le droit des brevets sont en jeu, et nous réfléchissons aux possibilités mises à notre disposition pour qu'elles soient prises en compte, y compris sous la forme d'une pétition portée devant la Cour suprême, » a déclaré Kevin Kutz, le porte-parole de Microsoft.
Microsoft minimise les avantages du VDI
« Dans l'ensemble, comparée à un environnement de bureau bien géré, une VDI s'avère généralement 9 à 11% plus chère que l'environnement PC correspondant,» écrit ainsi Gavriella Schuster, responsable du groupe de gestion commerciale des produits Windows. Celle-ci fait également remarquer que les utilisateurs de bureaux virtuels se plaignent d'une « expérience... peu satisfaisante», en particulier du fait que « la performance des applications est directement liée à la connectivité du réseau. »
« Ce message a pour but d'aider les clients à décider dans quelles circonstances ils doivent utiliser la VDI, la virtualisation client ou les applications virtualisées, » a déclaré Gavriella Schuster dans une interview. « Microsoft fera payer les droits de licence du système d'exploitation, quelle que soit la manière dont l'OS est déployé, l'éditeur laissant toute liberté à ses clients quant au mode de redistribution de l'OS à leurs utilisateurs, » a t-elle ajouté. «Nos clients professionnels travaillent dans des environnements complexes avec des types d'utilisateurs très différents. Il y a donc des situations où l'application du VDI est évidente, » explique t-elle. « Chaque client aura une VDI, et nous essayons de les aider à comprendre à quoi elle peut servir et quand elle n'est pas adaptée. »
Quant aux estimations de coûts, établies sur la base d'une enquête réalisée auprès d'une centaine de clients ayant échangé leur expérience de déploiements VDI avec Microsoft, tous n'arrivent pas aux mêmes conclusions. Ainsi, « Computer Sciences Corp a comparé les coûts de fonctionnement de 5 000 ordinateurs de bureau avec 5 000 instances VDI pour constater que, dans l'ensemble, un bureau virtuel coutait 20 % de moins, » a déclaré dans une récente interview Phil Grove, directeur mondial des services de virtualisation de bureau pour l'utilisateur final chez CSC. Cette entreprise gère environ 1,2 million de postes de travail pour ses clients, dont quelques uns sous forme de bureaux virtuels. « Dans certains cas, la VDI peut même être plus rapide que les ordinateurs de bureau, selon le réseau et le datacenter, » a déclaré Phil Grove. Dans d'autres cas, en raison des besoins en bande passante et des capacités de traitement, il faut admettre que certains utilisateurs « auront toujours besoin d'un poste de travail. »
Illustration Microsoft, crédits D.R.
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Microsoft a récemment établi un partenariat avec Citrix afin d'offrir des solutions VDI. Mais le message de Gavriella Schuster conseille de n'utiliser la VDI que « dans des cas spécifiques. » Par exemple, la VDI va de soi quand les salariés ont besoin d'avoir accès à deux ordinateurs de bureau dans deux endroits différents. Il semble également logique pour la répartition du travail quand un seul PC est partagé par plusieurs employés. Son message va aussi à l'encontre de certaines hypothèses communément admises sur les avantages du VDI, notamment dans les utilisations professionnelles ordinaires : « certes, la VDI réduit les coûts en matériel, mais elle accroît les coûts en logiciels. Elle réduit les coûts d'assistance, mais augmente les coûts d'ingénierie, » fait valoir Microsoft.
Dans son interview, Gavriella Schuster indique également que Windows 7 « annule beaucoup de motifs » qui pourraient inciter les entreprises à envisager de passer à la VDI, en particulier avec leurs copies de Windows XP ou Vista. L'une des raisons pour lesquelles les gestionnaires informatiques ont été amenés à considérer la VDI, c'est qu'elle réduit le nombre de système d'exploitation différents à prendre en charge et à maintenir, puisqu'un seul OS peut être utilisé pour plusieurs clients. Mais la gestion image de Windows 7 a été simplifiée afin que les administrateurs n'aient pas à générer d'image pour chaque machine, réduisant de fait le nombre total d'images à maintenir. Seven offre également de nouvelles fonctionnalités pour aider dans la répartition des ressources et l'assistance à distance, deux autres points forts généralement attribués aux VDI.
(...)(26/04/2010 12:45:56)PowerBuilder 12 s'appuie sur Visual Studio et supporte WPF en natif
Dans sa version 12, tout juste livrée, l'outil de développement PowerBuilder, édité par Sybase, facilite la migration des applications Win32 vers la plateforme .Net de Microsoft. Son architecture s'appuie maintenant sur MS Visual Studio et sa technologie DataWindow, réécrite en C#, produit du code managé et supporte de façon native le modèle de programmation de client riche, Windows Presentation Foundation (WPF).
Sybase livre donc PowerBuilder 12 avec deux environnements de développement intégrés (IDE). L'un reste destiné à la création et la maintenance des applications Win32, et servira aussi à faire migrer le code existant vers Windows Forms et WebForms. Tandis que l'autre permettra aux utilisateurs d'élaborer des applications basées sur WPF et de déployer du code managé au-dessus de Visual Studio.
L'éditeur de scripts propose désormais des informations sur les classes .Net, en plus de celles sur les colonnes et commandes d'objets DataWindow, et objets PowerBuilder.
Illustration : Powerbuilder 12 (crédit : http://blogs.sybase.com/powerbuilder/)
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