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(10/02/2012 11:06:45)
Après Apple, Logitech lance sa souris tactile
En réaction à la popularité croissante des tablettes et autres smartphones tactiles, Logitech a lancé une souris tactile. «Nous sommes de plus en plus habitués à utiliser nos doigts pour naviguer sur les smartphones et les tablettes», a expliqué Diego Gabathuler, Country Manager Logitech suisse. «Pour bon nombre de personnes, ces gestes sont devenus une seconde nature. La souris tactile Logitech Touch Mouse M600 est le reflet de cette évolution et de la façon dont nous interagissons avec le monde numérique. Elle permet d'étendre aux ordinateurs des gestes devenus naturels et intuitifs».
La souris Logitech Touch Mouse M600 permet donc de faire défiler les pages, de les balayer et de naviguer en faisant simplement glisser ses doigts sur sa surface. Logitech propose également un logiciel téléchargeable sur son site, le Flow Scroll, qui permet de fluidifier le défilement du contenu sur l'écran PC de manière à proposer une expérience utilisateur similaire à celle d'un smartphone.
Rester dans la courseLa souris, au design très sobre, est accompagnée du mini-récepteur Logitech Unifying qui permet de connecter jusqu'à six accessoires (souris, claviers, pavé numérique...) compatibles par le biais d'un seul port USB. Lors du récent salon de l'électronique de Las Vegas, elle a remporté le prix Design and Engineering Awards dans la catégorie Périphériques informatiques.
Que penser de ce nouveau produit? La finalité des écrans tactiles n'est-elle pas justement de délester l'utilisateur de périphériques encombrants comme la souris et le clavier? En ce sens, la Touch Mouse M600 apparaît plutôt comme une tentative quelque peu désabusée de Logitech de rester dans la course plutôt que comme une innovation apportant une réelle plus-value à l'utilisateur.ICTjournal.ch (...)(10/02/2012 11:00:02)
Le Crédit Agricole fournit sa suite logicielle 2Si au groupe Rodolphe Hottinger
Selon une information diffusée par Crédit Agricole Private Banking Services (CAPBS) la compagnie financière Rodolphe Hottinger, nouvellement arrivée à Genève, a débuté ses opérations financières en utilisant la plateforme logistique S2i développée par CAPBS. Au total, la mise sur pied du système s'est déroulée sur 5 mois et est désormais finalisée.
L'utilisation de la plateforme S2i dans le cadre de la sous-traitance de son système informatique et de son back-office permettra à la compagnie financière Rodolphe Hottinger de se concentrer sur le développement de ses activités commerciales. Rodolphe Hottinger, président de la compagnie éponyme, a souligné «la qualité et la rapidité dans le traitement des opérations, pour une solution qui a en outre permis une rationalisation des coûts importante».
S2i déjà implémenté dans 24 banquesLa solution S2i est actuellement implémentée dans 8 entités de Banque Privée Internationale du Groupe Crédit Agricole ainsi que dans 16 banques externes, en Suisse comme à l'étranger, qui ont opté pour une complète de sous-traitance de leur informatique et de leur back-office. Ce sont ainsi 24 banques qui totalisent CHF 105 milliards d'actifs sous gestion gérés via la plateforme S2i, a indiqué un porte-parole du Crédit Agricole Private Banking Services à notre rédaction.
ICTjournal.ch (...)(10/02/2012 10:59:01)
Annuels Neurones : Une croissance continue en 2011
Neurones est encore largement au-dessus de la moyenne de la profession avec une croissance organique à deux chiffres, 18,2%, pour un chiffre d'affaires annuel 2011 de 283,3 millions d'euros (ME). Cette croissance 2011 est nettement supérieure à celle enregistrée en 2010 : +10,3%. Neurones célèbre même au 4ème trimestre 2011 son 31ème trimestre consécutif de croissance.
Les résultats définitifs, avec la rentabilité, seront publiés le 7 mars prochain. Neurones comptabilisera sur l'exercice 2012 le rachat d'une société effectuée fin décembre, qui a réalisé 5,4 ME de CA en 2011.
Le siége IBM Europe du Nord-Est passe de Zurich à Madrid
Selon une information de la «Handelszeitung», IBM a décidé de regrouper les services de ses deux sièges européens (région Nord-est et région Sud-ouest) sous un même toit. La division Nord-est de l'Europe, jusqu'à présent basée à Zurich, sera donc fermée et gérée à l'avenir depuis l'Espagne. Quarante collaborateurs sont concernés.
Le laboratoire d'IBM et son centre de nanotechnologie, basés à Rüschlikon, ne sont en revanche pas touchés, pas plus que les activités d'IBM Suisse.
Susan Orozco, porte-parole d'IBM Suisse, a indiqué qu'aucun des 40 collaborateurs concernés par cette restructuration ne serait licencié. Ce regroupement est officiellement justifié par un souci d'efficacité. Toutefois, des motifs financiers pourraient également expliquer cette décision, la Suisse étant actuellement très onéreuse en raison du franc fort.
L'année 2012 commence plutôt mal pour Zurich, déjà ébranlée il y a quelques semaines par la décision d'Avaloq de supprimer 120 emplois, qui seront en grande majorité délocalisés.ICTjournal.ch (...)(10/02/2012 10:37:35)
Trimestriels Avnet : la crise européenne impacte les résultats
Au titre du second trimestre de son exercice 2012, le distributeur à valeur ajoutée américain Avnet Technology Solutions a publié un chiffre d'affaires de 3,1 Md$, en baisse de 3,1% à période comparée de 2011. Par gamme de produits et à l'échelle mondiale, le distributeur a enregistré une hausse de 35% de ses ventes de serveurs. Les revenus issus des ventes de produits de stockage ont progressé quant à eux de 20%.
Avnet TS doit le recul global de son activité aux résultats trimestriels qu'il a enregistré en EMEA. Dans cette zone, son chiffre d'affaires s'est replié de 6,1% (ou 4,9% hors impact des taux de change) à 1 milliard de dollars. Bien plus dynamiques, ses filiales des zones Amériques et Asie ont vu leurs chiffres d'affaires progressé respectivement de 5,5% et 14,4%. Pour autant, les résultats du distributeur en EMEA ne sont pas négatifs à tous les niveaux. Son résultat opérationnel dans cette partie du monde s'est en effet amélioré de 30% tandis que sa marge opérationnelle progressait de 92 points de base.
Les revendeurs d'Apple manifestent leur colère
Il ne suffit pas d'avoir une fabuleuse image de marque mondiale, des résultats financiers faramineux et des produits capables de tenir tous les rivaux à distance. Apple en est la preuve. Derrière la réussite planétaire, un grain de sable s'est glissé, il est français, c'est la distribution.
La firme à la pomme passe par quatre canaux : ses APR, son site de vente en ligne, les grandes surfaces, ses propres magasins (les Apple Store). Au lieu de faire cohabiter ces quatre réseaux, d'organiser le multi-canal, Apple semble étrangler ses APR. La preuve ? Quand sort la dernière version de l'iPhone, ils ne sont jamais approvisionnés. « Et quand nous réalisons dans les magasins des démonstrations de logiciels, le client doit passer par le site pour les acheter, nous ne pouvons pas le proposer aux clients» nous explique une porte-parole du collectif « Pomme de discorde ».
C'est ce collectif qui a organisé la manifestation à l'Opéra. Un collectif regroupant 200 salariés. Venus essentiellement de la région parisienne et des magasins de la société eBizcuss qui possède 8 de ses 9 magasins en Ile-de-France. Des salariés de la Fnac les auraient également rejoints. Pourquoi des salariés de distributeurs sont-ils aussi inquiets et mobilisés ? Ils estiment que les APR, et donc leurs emplois, sont en danger de mort.
Apple attaqué en référé
Le cas d'eBizcuss est pour le moins conflictuel. La société a attaqué Apple en référé, au mois de novembre dernier, pour être enfin livrée. Elle l'a été il y a quelques jours. N'ayant plus d'encours chez son grossiste, elle a dû payer « au cul du camion ». Cet APR (comme tous les APR de France) voit ses clients s'enfuir, faute d'approvisionnement, elle estime et ses salariés écoeurés également, que la faute en revient à Apple. La situation est d'autant plus vitale qu'eBizcuss est cotée en bourse. Non seulement ses résultats commerciaux chutent, mais sa valorisation également.
eBizcuss est donc lancé dans un processus judiciaire qui peut aller crescendo. Si la situation ne s'améliore pas, elle peut saisir l'Autorité de la concurrence pour abus de position dominante, saisir la DGCCRF pour concurrence déloyale, aller au civil pour détournement de clientèle. Trois échéances lourdes. Lundi dernier, eBizcuss avait demandé une suspension de cotation invoquant ses difficultés avec Apple « qui ne sont pas sans incidence sur la situation financière d'eBizcuss.com, les partenaires financiers ayant fait connaître leur inquiétude sur l'avenir du canal Apple Premium Reseller ».
Le problème de la Fnac est différent. Apparemment, la Fnac et Apple entretiennent les meilleures relations. Mais la politique de la Fnac est basée sur des remises qu'Apple suit de près en s'alignant. Parallèlement, la firme de Cupertino contrôle les vendeurs de la Fnac par des « clients mystères », chaque vendeur est suivi et noté avec une précision extrême. Une pression de moins en moins supportée. D'où la présence de quelques salariés à la manifestation du collectif « Pomme de discorde ».
Une offre Internet sociale à 23 euros par mois chez Orange
L'ex-opérateur national a proposé une offre sociale d'accès à Internet répondant au cahier des charges, fixé par le gouvernement au mois de septembre 2011. Éric Besson, ministre chargé de l'Économie numérique, et Frédéric Lefebvre, secrétaire d'État chargé de la Consommation, ont annoncé avec Orange ce forfait à 23€ par mois (20€ pour l'abonnement et 3€ pour la location de la box) qui comprend l'accès à Internet et à la téléphonie fixe illimitée en France. Et ce sans engagement de durée.
Orange s'était engagé à lancer sous six mois une telle offre pour les titulaire du RSA, à l'issue d'une table ronde organisée le 21 septembre 2011 par le gouvernement.
Google préparerait avec Motorola un lecteur de streaming audio
Google lancera prochainement un appareil permettant de lire de la musique en streaming, sans téléchargement, selon le Wall Street Journal. Le produit, qui fonctionnera sous le système d'exploitation Androïd, porterait la marque "Motorola Mobility", une société dont le géant américain finalise le rachat. Sa sortie serait attendue pour la fin de l'année. Logitech propose déjà des équipements de ce type sous la marque Squeezebox.
Un guide du Green-IT à l'initiative de l'Ademe et du Cigref
La réduction de l'empreinte carbone d'une entreprise a certes un louable but désintéressé concernant l'avenir de la planète et de ses habitants, avec éventuellement une dimension image de l'organisation qui n'est pas négligeable. Mais elle permet aussi de réduire les coûts, notamment lorsque l'on parle de l'énergie (mais pas seulement). Or, si les TIC permettent une réduction de certains facteurs (déplacements remplacés par des vidéos-conférences par exemple), elles ne sont pas neutres, ni dans la fabrication des matériels, ni dans leur fonctionnement consommateur d'énergie ni dans l'élimination des matériels mis au rebut.
Le Cigref et l'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME) se sont associés pour concevoir un guide destiné aux entreprises sur l'art et la manière d'optimiser son empreinte carbone. Ce guide rappelle bien sûr le contexte réglementaire existant en la matière. Mais son coeur est bien méthodologique. Faire un bilan carbone nécessite en effet de suivre certaines procédures et méthodes. Quatre « cas d'illustration » explicitent par la pratique les bilans à réaliser pour quatre entreprises types. Des fiches précisent ensuite une série d'actions à mener.
Très structuré, souvent sous forme de fiches, le guide a une approche très pragmatique. Sans aucun bla-bla inutile, on va ici directement à l'essentiel. Il est cependant à regretter une forme, en consultation sur le web, pas très pratique même si elle est esthétique. S'il est possible de télécharger le document sous forme de PDF, c'est chapitre par chapitre. (...)
Steria adopte Office 365 pour ses 20 000 collaborateurs
La SSII Steria a souhaité réduire les coûts totaux de possession de sa bureautique interne tout en permettant l'utilisation de terminaux multiples, notamment tablettes et smartphones de divers environnements (iOS, Androïd, Windows, etc.). 20 000 personnes sont concernées, pour l'essentiel en France, au Royaume-Uni et en Inde.
Le recours au SaaS lui a semblé être le choix le plus approprié. Elle a donc sollicité les trois acteurs principaux : IBM, Google et Microsoft. Après tests, Steria a choisi l'offre Office 365 de Microsoft. Le pack E1 choisi inclut l'intégration à Active Directory pour l'annuaire des utilisateurs, la messagerie électronique (courriels, calendrier, contacts, archives personnelles de 25 Go...) basée sur Exchange Online, la messagerie instantanée sous Lync Online, le partage documentaire sous Sharepoint Online, et la sécurité basée sur l'offre Forefront Online Protection (anti-virus et anti-spam). Et selon, Christian Revelli, DSI de Steria, une clause de protection des données a été signée avec Microsoft pour assurer la confidentialité des échanges.
Outre la réponse aux besoins définis (notamment l'accès multi-plates-formes), la maturité et la solidité des offres, la facilité d'intégration au système d'information existant de Steria a été un critère majeur de ce choix. Le contrat venant d'être signé, le déploiement se fera au cours de l'année 2012 en s'appuyant sur des prestations de Microsoft Consulting Services. La prestation de migration comporte un accompagnement au changement sous forme de kits de communication. Le coût du projet n'a pas été dévoilé. (...)
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