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(23/02/2012 10:14:42)

Annuels Logica : chiffre d'affaires en hausse de 3% en France

Fidèle à sa tradition, Logica publie des résultats meilleurs en France que pour l'ensemble du groupe. Pour l'exercice 2011, la SSII a réalisé un chiffre d'affaires (CA) groupe de 3,95 milliards de lires (4,71 milliards d'euros), en hausse de 3%. En France, ce CA s'élève à 878 millions de livres (1,049 milliard d'euros), en hausse de 7%, la marge opérationnelle atteint 8,5%.

Par secteurs d'activité, au niveau groupe, l'externalisation est en hausse de 9%, la partie conseils et services professionnels ne bouge pas sur l'année elle est même en baisse de 1% au second semestre, les services commerciaux sont en hausse de 7%, le secteur public baisse de 3%.

En France, c'est pourtant ce même secteur public qui semble multiplier les succès, la société souligne les contrats obtenus, le SIRH de la Défense, un contrat Etalab, et dans le privé le renouvellement pour trois ans de son contrat avec Michelin. De grands contrats similaires sont signés à l'étranger avec Shell, Bae Systems, ou la Caisse de retraite suédoise.

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(23/02/2012 10:10:54)

6 milliards d'abonnements mobiles dans le monde, selon Ericsson

Au quatrième trimestre 2011, le nombre d'abonnements à la téléphonie mobile atteint les six milliards dans le monde, pour 4,1 milliards d'abonnés (en sachant qu'une personne peut avoir plusieurs abonnements). Selon les derniers chiffres publiés mercredi 22 février par Ericsson, cela représente près de 60% de la population mondiale qui possède au moins un abonnement mobile.

L'Inde et La Chine représentent à elles seules 35% des nouveaux abonnements au cours de la période étudiée, soit 180 millions. Quant aux appareils vendus, Ericsson note, qu'en 2011, 30% étaient des smartphones, soit 10 points de plus que l'année précédente.

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(23/02/2012 10:08:48)

La Charte Internet de l'Etat a été publiée par le gouvernement

Le 16 février dernier, le premier ministre, François Fillon, a diffusé une circulaire portant Charte Internet de l'Etat. La démarche n'est pas nouvelle mais se veut désormais à application obligatoire pour l'ensemble des sites web dépendant des administrations d'Etat. Le gouvernement ne peut rien imposer aux collectivités locales ou à certains établissements publics en la matière mais la circulaire leur recommande de suivre autant que possible les mêmes règles.

La Charte Internet de l'Etat est extrêmement précise dans les mises en forme des sites web (taille de la police, déroulé des menus, logos employés, etc.), exactement comme une telle charte peut préciser les choses au sein d'un grand groupe privé. Elle est très sourcilleuse en matière d'accessibilité. La circulaire prévoit aussi la mise en place de sites web d'ici la fin 2012 pour chaque administration déconcentrée départementale. (...)

(22/02/2012 15:38:07)

Teradata va travailler avec Hortonworks sur Hadoop

L'intérêt croissant dans les entreprises pour le big data décisionnel amène des partenariats entre les fournisseurs de technologie spécialisés dans les bases de données traditionnelles et le framework java Open Source Apache Hadoop. Le dernier exemple en date est Teradata, qui a annoncé qu'il travaillerait à l'avenir avec Hortonworks pour livrer des produits et des services visant à aider les entreprises à construire de grandes plates-formes d'analyses de données basées sur la solution Hadoop. Basé à Sunnyvale en Californie, Hortonworks est une spin-off de Yahoo qui distribue et supporte une version commerciale de Hadoop.

Dans le cadre de ce partenariat, Teradata et Hortonworks déploieront conjointement des produits en associant leur ingénierie et leurs capacités de développement pour fournir une architecture de référence que les entreprises pourront utiliser pour comprendre les cas d'usage les plus courants de Hadoop, a déclaré sur un blog Arun Murthy, co-fondateur de Hortonworks. L'objectif sera ici d'aider les entreprises à utiliser Hadoop en conjonction avec leurs bases de données Teradata et l'outil d'analyse décisionnelle Aster Data (une récente acquisition de Teradata).

Associer les compétences particulières des deux entreprises


L'annonce entre Teradata et Hortonworks arrive moins d'un mois après qu'Oracle ait annoncé faire équipe avec la distribution rivale de Hortonworks, Cloudera, pour offrir des appliances dédiées aux big data. En octobre dernier, Microsoft a également indiqué qu'il travaillerait désormais avec Hortonworks sur une mise en oeuvre d'Apache Hadoop pour les plates-formes Windows Server et Windows Azure.

Ces partenariats sont dictés par l'intérêt croissant des entreprises pour les solutions Hadoop, une technologie qui permet de capturer et d'analyser rapidement de très grandes quantités de données structurées et non structurées. Et ce avec un coût beaucoup plus compétitif que les systèmes de gestion de bases de données traditionnels.

Développée à l'origine pour le web


La technologie Hadoop a été développée par Yahoo et, jusqu'à récemment, a été presque exclusivement utilisée par des géants du web. Au cours des 18 derniers mois cependant, un nombre croissant d'entreprises traditionnelles ont commencé à évaluer l'utilisation de Hadoop pour les médias sociaux, l'analyse des tendances, la détection des fraudes et la gestion des désabonnements. La principale demande allait vers des outils capables d'aider les entreprises à exploiter rapidement des solutions Hadoop, sans avoir à tout concevoir et tout construire eux-mêmes.

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Un grand nombre des clients de Teradata, par exemple, sont susceptibles de s'appuyer sur ces technologies d'analyses de données si elles sont faciles à implémenter et à utiliser, a déclaré Tony Baer, ​​analyste chez Ovum.

De nombreuses entreprises ont commencé à voir la valeur réelle de leurs données historiques, a-t-il dit. « Mais il peut devenir très couteux de traiter des pétaoctets de données sur une plate-forme Teradata [SGBDR]» a-t-il ajouté. « La solution Hadoop est beaucoup moins onéreuse. » Hadoop permet aux entreprises de recueillir, de stocker et d'affiner une grande variété d'informations, qu'ils peuvent ensuite déplacer vers une autre base de données pour analyse, a-t-il dit. De nombreuses entreprises ont également commencé à utiliser directement des applications d'analyse de données directement au-dessus de leurs environnements Hadoop, souligne-t-il.

« Les grands fournisseurs d'outils d'analyse n'ont certainement pas besoin d'avoir une distribution Hadoop, mais il est plus urgent d'avoir une stratégie Hadoop » conclut-il.

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(22/02/2012 15:04:43)

La WiFi Alliance veut faciliter l'accès aux hostpots

Comme la consommation de data mobile explose (cf l'étude de Cisco sur le sujet), les opérateurs mobiles souhaitent délester ce trafic vers les hotspots plutôt que vers les réseaux 3G et 4G. Le WiFi pourrait également apporter une meilleure couverture dans les bâtiments. Cependant, il n'existe pas pour le WiFi de handover, c'est-à-dire la possibilité de passer d'un hotspot à un autre sans coupure. Les fournisseurs d'infrastructures travaillent sur ce sujet et vont faire des annonces au Mobile World Congress de Barcelone.

L'initiative de la WiFi Alliance a pour but de standardiser les points d'accès et les terminaux des utilisateurs  pour assurer l'interopérabilité quels que soit les fournisseurs. La certification WiFi Passpoint est une tentative de fournir un ensemble standard d'outils pour l'interopérabilité entre les points d'accès et les périphériques clients provenant de différents fournisseurs. La WiFi Alliance a d'ailleurs signé un accord avec la Wireless Broadband Alliance, un groupe d'opérateurs, pour harmoniser les normes en matière de hotspots.

Authentification par carte SIM et certificats


L'avantage le plus évident de la norme Passpoint sera de faire disparaître les écrans de démarrage des hotspots publics lors de la connexion des utilisateurs. Au lieu de cela, l'authentification d'accès au réseau se déroulera en arrière-plan, à travers une variété de mécanismes, utilisant la carte SIM ou des certificats. Ces méthodes doivent permettre à des équipements (appareils photos, caméras) ne disposant pas de navigateur de se connecter à des hotspots, précise la WiFi Alliance.

La première phase du programme en complément des méthodes d'authentification va certifier les équipements réseaux en utilisant la norme 802.11u (qui a été adoptée le 25 février 2011). Pendant cette période, l'association va travailler sur la sécurité lors de l'utilisation d'un hotspot au moyen de technologie WPA-2 Entreprise. Dans une deuxième phase, elle prévoit un processus simplifié pour la création d'un nouveau compte utilisateur sur un point d'accès. Elle doit aussi ajouter des programmes spécifiques aux opérateurs pour leurs abonnés comme la sélection du réseau. Il faudra dans ce cas qu'ils se mettent d'accord sur l'itinérance entre leurs réseaux WiFi.

« Cela va se faire sur le long terme » a déclaré Peter Jarich, analyste de Current Analysis, à propos du projet Passpoint, mais il constate que « les opérateurs regardent attentivement comment faire évoluer leurs réseaux ». Preuve de cette tendance, Ericsson a annoncé l'acquisition de BelAir Networks, spécialiste canadien du WiFi. Le consultant ajoute que cette initiative permettra aux opérateurs d'avoir plus d'informations et de contrôle sur l'utilisation des hostspots. Elle pourra avoir un impact sur le déploiement des antennes-relais des opérateurs. Petit revers de la médaille, les investissements sur ces technologies vont peut-être pousser les opérateurs à facturer hors forfait l'usage des hotspots.

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(22/02/2012 14:36:09)

Mise à jour haute performance pour Apache HTTP 2.4

Pour fêter le 17e anniversaire de la sortie du serveur Apache HTTP, l'Apache Software Foundation (ASF) a livré une nouvelle mouture du célèbre serveur web Open Source. Cette version 2.4 du serveur qui fait suite à la 2.2 - la 2.3 était une version de développement - est la première mise à jour majeure du logiciel depuis 2005. Celle-ci apporte plusieurs fonctionnalités qui rendent le serveur plus adapté à des environnements à haut débit.

Apache est le serveur web le plus utilisé à travers l'Internet. Selon les estimations de Netcraft, on trouve le serveur Open Source dans près de 400 millions de sites web à travers le monde et il est utilisé par environ 65% de tous les sites Internet. Si l'Internet Information Services (IIS) de Microsoft est bien le second serveur Web le plus utilisé (14,5 % des sites Web), Nginx est sans doute un rival plus coriace pour Apache. Ainsi, toujours selon Netcraft, « même si Nginx affiche une part de marché de moins de 10%, ce serveur a gagné près de 12 000 sites au cours du seul mois de janvier dernier, alors qu'Apache a perdu 18 000 sites au cours de cette même période. »

Des fonctionnalités "empruntées" à Nginx

Ce n'est donc pas très étonnant de voir que plusieurs fonctionnalités de cette version 2.4 d'Apache concernent des caractéristiques haute performance, celles-là mêmes qui font la popularité de Nginx. En particulier, Apache 2.4 permet désormais de travailler dans des environnements à trafic élevé. Ses performances ont été améliorées, aussi bien pour permettre davantage de connexions simultanées, que pour être moins gourmand en mémoire. Le module qui sert à faire du « reverse proxy » permet aux entreprises de configurer plusieurs serveurs internes avec une adresse IP unique, même lorsque les adresses des serveurs internes changent régulièrement. Les administrateurs peuvent maintenant définir des timeouts par incréments de l'ordre de la milliseconde, permettant ainsi de régler les limites de ressource avec plus de précision. La mise en cache a également été améliorée pour rendre la fonction plus adaptée à un environnement à fort trafic.

Créé en 1994, Apache est à l'origine une série de correctifs et d'additions au serveur NCSA HTTPd 1.3 du Centre national pour les applications des super-ordinateurs (National Center for Supercomputing Applications  - NCSA), lui-même dans le domaine public et déjà très répandu. Seule alternative sérieuse et libre au serveur HTTP de Netscape, Apache est vite devenu le logiciel -web le plus utilisé de l'Internet naissant de Tim Berners-Lee. En 1999, des développeurs bénévoles à l'origine du logiciel créent l'Apache Software Foundation (ASF) pour apporter un soutien organisationnel, juridique et financier au projet. L'ASF accueille aujourd'hui 150 autres projets Open Source, dont le framework Java de traitement des données Apache Hadoop, le projet de base de données Apache Cassandra, le moteur de recherche Lucene, et le conteneur libre de servlets Java Apache Tomcat.

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(22/02/2012 12:50:04)

Des attaques DDoS contre les webcams des élections russes

Des pirates ont commencé à attaquer l'immense réseau de webcams installées à la demande du premier ministre russe Vladimir Poutine. Celles-ci doivent lui permettre de suivre en direct le vote des prochaines élections présidentielles de mars 2012. Ilya Massukh, vice-ministre des Communications, a reconnu que les deux premières caméras installées dans la ville de Novosibirsk, en Sibérie, et testées pour le jour du vote, avaient déjà été touchées par des attaques DDoS. « Nous avons lancé ce site en avance afin de comprendre la nature des menaces, » a-t-il déclaré à Reuters.

« À ce jour, l'entreprise de télécommunications Rostelecom a posé 54 000 caméras sur les 182 000 prévues pour surveiller les élections dans plus de 91 000 bureaux de vote, » a déclaré le vice-ministre. Le gouvernement a déjà investi 13 milliards de roubles (292 millions d'euros) pour installer ce réseau destiné à convaincre une population méfiante que ces élections se dérouleront de façon équitable. Le vote qui doit avoir lieu le 4 mars prochain opposera Vladimir Poutine à quatre autres candidats. Mais le réseau de caméras pourrait bien être la cible d'attaques DDoS répétitives organisées par des militants anti-Poutine à l'intérieur du pays.

On ne connait pas très bien la nature des dégâts occasionnés par ces attaques DDoS sur le réseau de webcams déjà installées à travers la Russie, mais la probabilité qu'elles subissent des perturbations est importante.

 

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(22/02/2012 14:08:54)

Sogeti accompagne ses clients dans le cloud Windows Azure

Le cloud présente un énorme potentiel de développement pour les SSII. Sur ce terrain, « la plateforme d'évidence pour Sogeti, c'est le PaaS », expose François Merand, chargé de développer l'offre applicative Microsoft pour Sogeti France. « Et Azure est l'un de nos axes privilégiés ». La SSII a noué un partenariat très fort avec l'éditeur. Elle conçoit, développe et met en oeuvre des applications à exploiter dans le cloud. En complément, elle a bâti avec Microsoft l'offre Azure Privilege Club (APC) pour aider les clients à déterminer quels projets ils pourraient porter dans cet environnement.

Les entreprises connaissent plutôt bien le cloud dans ses versions IaaS(*), matérialisées par les datacenters de leurs partenaires, et SaaS, popularisées par des acteurs comme Salesforce.com ou Google. En revanche, le PaaS doit encore convaincre. « D'où la nécessité d'un accompagnement », explique Jason De Olivera, manager et architecte solutions senior chez Sogeti France. C'est lui qui est chargé de développer le programme APC dont l'objectif est d'accélérer la prise de décision autour du PaaS.

Il reste des freins à l'adoption du PaaS

Parmi les freins à une adoption rapide, le fait que les données soient gérées dans une infrastructure cloud située hors de France reste un problème soulevé par les RSSI (pour l'Europe, les datacenters Azure de Microsoft se trouvent en Irlande et aux Pays-Bas ; si les clients ne le spécifient pas, leurs données peuvent être gérées dans d'autres datacenters, situés aux Etats-Unis ou ailleurs). Autre remarque souvent formulée par les DSI : que faire de mes ressources techniques si l'informatique se déplace dans le cloud. Des solutions hybrides peuvent être trouvées à partir de l'existant, rappelle Jason De Olivera. 

L'Azure Privilege Club propose avant tout un accompagnement et du conseil. La partie technique ne représente qu'un tiers de l'intervention qui dure environ six mois. Une phase d'évaluation (assessment) permettra d'identifier les opportunités : « Quelles données va-t-on mettre dans le cloud, comment trouver le projet éligible, quels sont ceux qui ne le sont pas tout de suite, ceux qui ne le sont pas... Et comment transformer l'entreprise pour que cela soit un succès », énumère le responsable du programme APC. Cette première phase dresse une liste des applications éligibles au cloud. Un examen plus détaillé débouche sur deux ou trois candidates au Proof of Concept. Ce peut être une refonte d'un existant ou une création de projet. Le client doit disposer en interne des ressources pour développer ces prototypes. C'est la seule vraie façon d'avoir entre les mains les éléments humains et financiers pour savoir quels projets mener et créer un guide de bonnes pratiques, souligne-t-on chez Sogeti. 

Objectif : 50 clients pour APC 2012

L'initiative APC vient de démarrer sa deuxième édition. En 2011, un premier club avait regroupé une dizaine de grands clients de Sogeti dans le monde évoluant dans différents secteurs d'activité (industrie, grande distribution, éditeurs de logiciels, société de presse...). Deux entreprises françaises y figuraient, implantées dans l'énergie et la pharmacie/santé.

En 2012, la SSII aimerait rassembler une cinquantaine de clients au niveau international dont une dizaine en France. « Les Proof of Concept que l'on va faire, ce sont des projets que l'on démarre », explique François Merand en rappelant que le Time-to-market rapide est l'un des avantages du cloud. Parmi les enjeux : l'adhésion des équipes et quelquefois aussi, la transformation des modèles métiers (par exemple pour les éditeurs de logiciels qui modifie leur mode de facturation). 

Un sponsor exécutif, à la direction de la DSI

Le format du club permet aux entreprises d'échanger leurs expériences autour de ces projets. Il y a par exemple dans Azure différents services prédéveloppés tels que la base de données, le service bus (fonctionnalités de connectivité sécurisées pour créer des applications distribuées et hybrides sur site et dans le cloud), ou encore le service de mise en cache pour un accès très rapide. « Cela ne fait pas sens d'utiliser tous les composants dans une application », expliquent les responsables de Sogeti. Les participants au programme Azure Privilege Club se rencontrent d'abord à Dublin, dans le datacenter de Microsoft, pour une réunion de lancement de deux jours au cours de laquelle sont évoquées les objectifs respectifs. Un nouvel échange s'opère à l'issue du projet. 

« Nous travaillons au niveau de la direction de la DSI, avec un sponsor exécutif », insiste François Merand. Il faut une équipe suffisamment étoffée pour mener l'opération comme un vrai projet : un architecte et des intervenants métiers « car Azure impacte fortement le métier de l'entreprise ». Microsoft fait intervenir pour sa part ses ressources techniques, le client se voyant proposer une seule offre packagée.

(*) IaaS, infrastructure as a Service, PaaS, Platform as a Service, SaaS, Software as a Service.

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(22/02/2012 12:28:02)

Microsoft va étroitement associer Windows 8 et SkyDrive

Microsoft va étendre les fonctionnalités de son service de stockage cloud SkyDrive. Pour l'instant, ce dernier permet essentiellement de stocker des fichiers en ligne. Mais Microsoft veut en faire « un périphérique cloud » étroitement intégré à son futur système d'exploitation Windows 8. L'objectif est de faire de SkyDrive un espace de stockage unique localisé dans le cloud, et accessible à partir de tous les terminaux appartenant à un utilisateur donné. Une idée déjà utilisée par Apple et son service iCloud beaucoup plus complet (musique, photos, localisation de terminaux...), pour Mac OS X et iOS (gratuit avec moins de 5 Go et facturé 16 € pour 10 Go par an, 32 € pour 20 Go et 50 € pour 50 Go). Microsoft doit donc rattraper son retard. Skydrive doit offrir « un accès instantané, sécurisé et privé aux fichiers et permettre le partage de ces fichiers avec d'autres utilisateurs, » a déclaré Microsoft dans un blog en début de semaine.

Dans Windows 8, le moteur de SkyDrive et la technologie de synchronisation de fichiers Mesh vont fusionner en un seul service, selon le billet publié sur le blog « Building Windows 8 » mis en place par Microsoft et signé par Mike Torres et Omar Shahine, les gestionnaires du programme SkyDrive. Plus précisément, SkyDrive apparaitra comme une application dans Windows 8, et les fichiers SkyDrive seront accessibles depuis le bureau via l'Explorateur Windows. Les utilisateurs pourront aller chercher les fichiers à distance à partir de leur disque dur via le site SkyDrive.com.

Une intégration soignée à Windows 8

L'application SkyDrive incluse dans Windows 8 est une appli Metro, ce qui signifie que l'interface utilisateur sera optimisée pour l'écran tactile de dispositifs type tablette. De plus, les utilisateurs pourront accéder à leur compte SkyDrive depuis n'importe quelle application Metro de Windows 8 grâce à des commandes pour ouvrir, enregistrer et partager les fichiers. « Il sera possible, à partir de toutes les applications Metro d'ouvrir des fichiers dans son SkyDrive et de les enregistrer immédiatement dans son espace SkyDrive comme on peut le faire sur un disque dur local, » détaille le billet de « Building Windows 8 ». Pour profiter de cette fonctionnalité, l'utilisateur devra simplement s'inscrire avec son adresse e-mail sur un PC tournant sous Windows 8. Ensuite, « à chaque fois qu'il enregistrera des fichiers sur SkyDrive, tous ses terminaux sous Windows 8 auront un accès permanent à ces fichiers, » ajoute le blog.

Windows 8 comprendra également une application de bureau traditionnelle pour SkyDrive, laquelle sera gérée via l'Explorateur Windows et sera disponible pour des applications bureautiques comme Office. Les utilisateurs seront en mesure de stocker et de récupérer des fichiers SkyDrive via une interface « glisser-déposer». Grâce à une fonctionnalité de synchronisation basée sur Mesh, ils pourront créer des copies de leurs fichiers SkyDrive sur leur bureau, et synchroniser les modifications apportées à leurs documents de façon à avoir des versions identiques en local et dans le cloud.

Stockage local ou distant

La version desktop de SkyDrive sera également compatible avec des terminaux tournant sous Windows Vista et Windows 7. Enfin, sous Windows 8, SkyDrive permettra également aux utilisateurs d'accéder à distance à des fichiers qu'ils ont choisi de ne stocker qu'en local sur le disque dur d'un PC. Microsoft a estimé que tous les utilisateurs ne souhaiteraient pas forcément stocker tous leurs fichiers en ligne dans SkyDrive, c'est pourquoi il a développé cette fonctionnalité. Pour accéder à distance à ces fichiers via SkyDrive.com, les utilisateurs devront s'authentifier en fournissant en plus un code envoyé par Microsoft à une adresse e-mail secondaire ou sur leur téléphone mobile.

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(22/02/2012 11:02:11)

Boursorama gère désormais ses services IT en SaaS

Boursorama est doté d'une DSI d'une centaine de collaborateurs pour traiter les 25 000 demandes d'interventions par an des utilisateurs. Les outils utilisés étaient insatisfaisants et la DSI a décider de faire appel au marché pour gérer les services IT de l'établissement financier en ligne.

La filiale de la Société Générale a fait un appel au marché puis a pré-sélectionné plusieurs éditeurs auxquels elle a demandé des maquettes. Sur cette base, Boursorama a choisi le SaaS proposé par EasyVista sur des critères de fonctionnalités, de simplicité d'utilisation et d'ergonomie.

L'entreprise a opté alors pour un processus itératif de mise en place de sa nouvelle gestion des services IT. Celle-ci a concerné autant la gestion des incidents que les demandes de services. Deux catalogues de services ont été créés, l'un pour le support bureautique, l'autre pour les le support fonctionnel. L'ensemble a été déployé en trois mois. Le coût du projet n'a pas été communiqué. (...)

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