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(16/03/2012 09:20:52)
Salon du livre 2012 : 5 liseuses électroniques à découvrir
Le Kindle d'Amazon est disponible en France depuis le mois d'octobre 2011. Cet eReader de six pouces permet de lire en noir et blanc romans, BD et magazines confortablement, sans reflet. Le Kindle Store propose plus de 35.000 titres en français. Il est disponible pour 99€.
Afin de rivaliser avec Amazon, la Fnac s'est associée au constructeur canadien Kobo. La Kobo, apparue au mois de novembre dernier, est compacte et légère. Elle donne actuellement accès à un catalogue riche de plus 200.000 titres en français. Son écran tactile e-ink pearl de six pouces propose 16 niveaux de gris, garantissant un confort de lecture optimal, sans fatigue des yeux. Kobo est mise en vente à 130 €.
Virgin n'est pas en reste et s'est, de son côté, allié à Bookeen pour commercialiser son propre livre électronique et accéder à plus de 150 000 titres. La Cybook Odyssey dispose de la technologie "High Speed Ink System", censée proposer une interface plus rapide que celle de ses rivales. Elle est livrée avec le dictionnaire Le nouveau Littré et est vendue 129 €.
C'est à l'IFA de Berlin, en septembre 2011, que Sony a présenté son reader WiFi, une liseuse de six pouces tactile et particulièrement légère. Son rendu monochrome (16 niveaux de gris) et sans rétroéclairage consomme très peu d'énergie. Il est vendu 150 €.
L'Oyo de l'allemand Thalia est la plus méconnue de cette sélection. Elle peut pourtant contenir jusqu'à 1 500 livres et dispose, elle aussi, d'un écran tactile et sans reflet. Elle est disponible chez Chapitre ou encore France Loisirs, pour 119 €.
Fin 2011, le taux de pénétration des liseuses en France n'est que de 0,2% en France, contre 20% aux Etats-Unis (source : A.T. Kearney).
La tablette Playbook pourra bénéficier de BlackBerry 10
Rob Orr, vice-président de RIM et responsable produits, a confié mercredi 14 mars au site TechRadar que le prochain système d'exploitation BlackBerry 10 sera compatible avec la tablette Playbook. BB10 doit succéder, d'ici la fin de l'année, au système d'exploitation actuel, BlackBerry 7.
"Les premiers appareils compatibles BB10 seront disponibles fin 2012 [...] Peu de temps après sa présentation, nous intégrerons également BB10 sur le PlayBooks"affirme Rob Orr. En revanche, il ne s'exprime pas sur une hypothétique nouvelle tablette signée RIM, s'en tenant pour le moment au seul Playbook.
Une première démonstration de BlackBerry 10 avait été effectuée au Mobile World Congress de Barcelone, à la fin du mois de février.
(...)(15/03/2012 17:04:01)Anonymous OS est bien un piège truffé de trojans
Comme nous vous l'indiquions déjà ce matin, la distribution Anonymous OS, basée sur Ubuntu 11.10, est bien un faux, selon AnonOps, une organisation liée aux Anonymous. Censé avoir été mis en ligne par le collectif Anonymous, qui regroupe différentes communautés d'internautes se présentant comme des défenseurs du droit à la liberté d'expression sur Internet, ce système d'exploitation contiendrait en fait plusieurs chevaux de Troie (logiciels malveillants).
Disponible gratuitement en téléchargement direct ou via BitTorrent, Anonymous OS serait donc non seulement un faux, mais également dangereux pour n'importe quel système informatique.
Cryptocat, ou comment crypter le chat des messageries instantanées
Nadim Kobeissi, un étudiant libanais de 21 ans résidant au Canada, a cherché un moyen simple et sûr qui permettrait aux utilisateurs de discuter en ligne en protégeant leurs conversations des regards indiscrets. « Petit génie de l'informatique doté d'une forte conscience citoyenne » comme il se décrit lui-même, le jeune étudiant de l'Université Concordia de Montréal a calculé qu'il passait cinq fois plus de temps à développer son projet Cryptocat qu'à potasser ses bouquins de sciences politiques et de philosophie.
A une époque où l'activisme politique se développe sur le web, Cryptocat souhaite fournir un environnement très sécurisé pour les systèmes de messagerie instantanée et contrer les gouvernements qui surveillent l'Internet pour débusquer des opposants. Les programmes de messagerie instantanée sont très populaires, mais, côté sécurité, ce ne sont pas des outils assez fiables pour les militants. Beaucoup de ces applications reposent sur le protocole SSL (Secure Sockets Layer), un protocole de chiffrement utilisé aussi pour sécuriser les transactions commerciales sur Internet. Les messages sont cryptés lors de la transmission, mais les conversations sont déchiffrées sur les serveurs sur lesquels tourne le service de messagerie, si bien que, potentiellement, des intrus pourraient avoir accès à leur contenu. Il y a bien des technologies de cryptage éprouvées pour la messagerie instantanée, comme PGP (Pretty Good Privacy) et OTR (Off The Record), un programme de chiffrement sous forme d'add-on compatible avec des applications de messagerie instantanée comme Pidgin et Adium. Mais le PGP peut être « difficile à utiliser pour les non-geeks », a estimé Nadim Kobeissi. OTR doit être téléchargé, installé et configuré, et il doit être activé chez les deux parties qui discutent pour que les messages soient cryptés.
Un chiffrement 256-bit AES
L'atout de Cryptocat est sa simplicité. Tout d'abord, une des versions du logiciel est basée sur le web, donc il n'est pas nécessaire de la télécharger. L'utilisateur crée une session de chat, choisit un pseudonyme, puis saisit une chaîne de caractères aléatoires afin de générer les clés de chiffrement 256-bit AES correspondant au système de cryptographie à clé publique qu'il utilise. Le cryptage et les clés de décryptage sont stockées dans le navigateur Web de l'utilisateur lui-même, si bien que le système assure une vraie protection d'un bout à l'autre de la chaîne. Selon le jeune étudiant, depuis peu les navigateurs Internet incorporent des moteurs JavaScript suffisamment puissants pour utiliser des clés de chiffrement très longues. Même si un attaquant parvient à s'introduire sur un serveur exécutant Cryptocat, les contenus n'auraient aucun sens et seraient impossibles à décrypter. Nadim Kobeissi a ajouté d'autres fonctionnalités au client web, comme la possibilité d'inviter ses amis Facebook et d'envoyer des fichiers cryptés à une autre personne.
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« Néanmoins, CryptoCat a ses limites, notamment il n'a pas été aussi rigoureusement testé que PGP et OTR, lesquels ont été éprouvés par les meilleurs cryptographes du monde, » a ajouté l'étudiant. Mais Cryptocat a un peu moins d'un an. « Je le recommanderai aux militants dans 5 ans peut-être, » a ajouté Nadim Kobeissi. « Cryptocat est probablement tout à fait sûr. Mais si les gens comptent sur votre logiciel pour protéger leur vie, il vaut mieux être 100 000 fois sûr de ce que l'on fait. » Le code de Cryptocat est proposé en Open Source, et Nadim Kobeissi a expliqué comment fonctionnait son cryptage afin d'avoir le feedback d'autres spécialistes en cryptologie.
Celui-ci y a ajouté d'autres systèmes de sécurité, puisque Cryptocat est compatible avec Tor (The Onion Router), un réseau mondial qui fait du routage aléatoire sur ses serveurs pour permettre de surfer sur le web de manière un peu plus anonyme. « En utilisant une URL « .oinion » pour Cryptocat, le serveur de Cryptocat ne peut pas identifier l'adresse IP de l'utilisateur réel, » explique le jeune étudiant. Ce dernier a plusieurs autres idées pour améliorer encore plus son logiciel. L'add-on pour le navigateur Chrome de Google est déjà prêt, et Nadim Kobeissi prévoit de sortir des applications natives pour iOS et Android plus tard cette année. Celui-ci a également l'intention d'acheter un de ces mini-ordinateurs à 25-35 dollars Raspberry Pi mis au point par la Fondation Raspberry Pi. Celui-ci imagine qu'on pourrait livrer aux régions qui en ont besoin des packs comprenant un mini-ordinateur Raspberry Pi et son logiciel serveur Cryptocat. « Les organisations non gouvernementales pourraient aussi mettre en place leurs propres serveurs Cryptocat, » a-t-il ajouté. « C'est une des raisons pour lesquels ce code est Open Source », a-t-il déclaré. « N'importe qui peut le télécharger et configurer son propre serveur. »
(...)(15/03/2012 15:34:25)SFR et HP lancent trois formules de cloud IaaS pour les PME
SFR et HP ont détaillé ce matin à Paris la deuxième étape de leur partenariat dans le cloud, annoncé en juin 2010. La première phase était technologique, la deuxième apporte le versant commercial. Entre temps, le projet a opéré un virage vers les PME. Axée à l'origine vers les grands comptes, cette offre cloud conjointe s'est repositionnée vers les entreprises de 10 à 5 000 personnes, a souligné Gérald Karsenti, PDG de HP France. « La phase numéro 1 a été très importante pour nous permettre de voir comment le marché évoluait », a-t-il expliqué. « Nous continuerons à adresser les grands clients du CAC 40, mais avec une offre sur mesure », a-t-il ajouté.
De fait, il est apparu que « l'ensemble des PME, et pas seulement dans le secteur high-tech, réfléchissaient à la façon d'optimiser leurs coûts et leur trafic de données en forte croissance », a exprimé à sa suite, Pierre Barnabé, DG de SFR Business Team. « Le cloud les attire mais il faut être capable de les rassurer et de leur proposer des offres qui leur simplifie la vie en combinant de bout en bout les axes télécoms et informatique. C'est essentiel dans notre conquête du monde de l'entreprise, basée sur des actifs forts », a-t-il insisté. Pas de cloud sans réseau, mais sans cloud, le réseau « perdra aussi de sa valeur ».
L'offre de services « Suite infrastructure cloud » démarre avec un environnement IaaS (Infrastructure as a service) qui s'appuie sur les plateformes CloudSystem de HP au sein des datacenters de SFR, en France. Concrètement, dès le 11 avril, trois formules d'hébergement sécurisé de serveurs virtuels seront proposées : « Start », « Internet » ou « Critique ». Suivant le niveau de qualité de service recherché, les entreprises se tourneront vers l'une ou l'autre. La première formule, de type paiement à l'usage, conviendra à l'hébergement de sites web et pourra aussi servir aux plateformes de développement, de test et de secours. La formule Internet est destinée à des usages plus sensibles : sites web importants, applications en ligne. Quant à la troisième formule, « haut de gamme, tous services inclus », son nom suffit à définir sa destination : site web critique et applications métiers.
Des milliers de commerciaux répartis en France
Ces offres seront commercialisées par les partenaires de SFR et HP, présentés comme des réseaux de proximité. C'est un point sur lequel l'un et l'autre ont particulièrement insisté. Ils en rassemblent respectivement 150 et 4 500. « Des milliers de commerciaux en France avec des offres combinées de bout en bout », a pointé le DG de SFR. Du côté de HP, cette offre de services cloud constitue aussi une opportunité de faire évoluer ce réseau indirect au sein duquel il compte 400 partenaires stratégiques. « Certains sont déjà spécialisés, par secteurs d'activité ou par segments de clientèle, ils vont pouvoir proposer leurs propres solutions autour de cette offre cloud ».
Sur un terrain où la concurrence est mondiale, « notamment sur l'IaaS, avoir des datacenters en France est un avantage déterminant », a rappelé Pierre Barnabé. « Nous sommes un peu moins cher qu'Amazon et nous pouvons accompagner nos clients sur l'ensemble du territoire ». Sur l'offre « Critique », SFR et HP pensent que les coûts d'utilisation de leurs services cloud sont aussi moins élevés que ceux de Microsoft, de Verizon, d'AT&T et d'OBS, mais au-dessus de ceux de Rackspace. Sur l'offre Start, ils semblent moins compétitifs selon leur propre échelle de comparaison.
Sauvegarde et sécurité en juin, SaaS au 3e trimestre
Cette première offre d'IaaS va s'enrichir dès le mois de juin avec des services de sauvegarde, d'archivage, de partage de données et de sécurité (protection d'intrusion et antispam, notamment). Et à partir du troisième trimestre, SFR et HP proposeront des applications SaaS axées sur le CRM avec une gestion des contacts entrants et sortants. Aucune précision n'a pu être fournie sur l'origine des solutions, de type centre d'appels, qui seront ainsi proposées.
Des objectifs chiffrés de cette collaboration ont été communiqués. HP et SFR visent 25% du marché cloud des PME en 2015, soit 200 millions d'euros de chiffre d'affaires, à hauteur de 60% pour SFR. Pour 2012, les ambitions restent modestes : 50 M€, contre 30 M€ déjà réalisés aujourd'hui par SFR sur le segment visé : les entreprises de 10 à 5 000 personnes. « C'est un chiffre très conservateur, je le reconnais », a admis Gérald Kersanti.
Enfin, interrogé sur le projet de cloud souverain Andromède sur lequel SFR a déposé un dossier avec Dassault Systèmes, Pierre Barnabé a rappelé qu'il avait vocation à proposer une « solution d'usine à énergie numérique très ouverte pour adresser l'ensemble du marché ». Il le juge entièrement complémentaire du partenariat avec HP. « Plus il sera compétitif et ouvert, plus ce sera au bénéfice de nos solutions. Aller puiser dans cette usine nous permettra d'avoir du SaaS plus compétitif. Ce sera un accélérateur extraordinaire de cet accord », a-t-il conclu.
Meru Networks dévoile une infrastructure WLAN virtualisée
Meru Networks a pris son système d'exploitation WLAN System Director, et l'a enveloppé d'une solution VMware, de sorte que sa plate-forme peut fonctionner au-dessus d'un hyperviseur déployé dans des serveurs x86 sur rack. En ancrant les points d'accès WiFi dans un backend WLAN virtuel, Meru arrive à éliminer les contrôleurs matériels et autres appareils dédiés, aussi bien dans l'entreprise que dans les datacenters. L'objectif est de rendre le déploiement, le contrôle et la mise à l'échelle d'un réseau WLAN dans un environnement serveur virtuel existant plus facile.
L'équipementier sort également les éditions virtuelles de ses trois principaux contrôleurs de mobilité, qu'il propose comme alternative aux contrôleurs matériels dédiés. Ceux-ci seront disponibles au deuxième trimestre de cette année, mais pour l'instant Meru n'a pas voulu fournir de grille tarifaire concernant ces produits. Par ailleurs, la société a également annoncé des versions virtuelles de sa suite d'applications E(z)RF, laquelle inclut la gestion du réseau, et celle de Meru Identity Manager, laquelle comporte le gestionnaire de clients Guest Manager et SmartConnect pour le provisionnement automatique du WiFi aux clients. En plus des versions sous licence classiques à installer derrière un firewall, ces deux produits sont proposés par abonnement via des applications hébergées.
Plus simple à déployer
Dans un autre communiqué, Meru a dévoilé un mini point d'accès 802.11n qui permet de créer un lien sécurisé au réseau WLAN de l'entreprise à partir de sites distants, qui ne nécessite ni code client spécifique ni VPN. Comme les applications virtuelles, les contrôleurs peuvent être ajoutés aux déploiements VMware existants au sein des centres de calcul, ou hors site dans un cloud privé. Sous forme virtualisé, Director System peut être déployé plus simplement et offre également plus de flexibilité qu'une plate-forme forme matérielle classique. Les WLAN d'entreprise peuvent être équipés d'un panachage de contrôleurs Meru virtuels et physiques. Les trois contrôleurs de mobilité virtuelle sont le MC1500-VMW, qui permet de gérer un maximum de 30 points d'accès, le MC3200-VMW, qui monte jusqu'à 200, et le MC4200-VMW, qui plafonne à un maximum de 500 points d'accès.
Enfin, le point d'accès compact AP110 supporte uniquement la norme 802.11n, et comporte deux ports Ethernet. Il permet de relier jusqu'à 10 clients en WiFi et de créer une connexion sécurisée au réseau LAN local de l'entreprise que ce soit dans des succursales, des bureaux situés dans un environnement domestique, des hôtels ou tout lieu hors site, sans avoir besoin de configurer un VPN pour les clients. Le port Ethernet permet de connecter à l'AP110 un ordinateur portable Wi-Fi ou à une tablette. Le point d'accès ne procède pas à une recherche de DNS pour localiser le contrôleur WLAN de Meru. Selon le spécialiste de la virtualisation des réseaux WiFi, un certificat SSL intégré sert à créer une connexion TLS (Transport Layer Security) au niveau du contrôleur. Le point d'accès est capable de séparer le trafic non professionnel et de le diriger directement vers l'Internet. Il est équipé d'un port Ethernet supplémentaire. Côté tarif, l'AP100 coûte 195 dollars. Il sera disponible en avril prochain.
Enfin, Meru a également annoncé une application iOS gratuite pour iPad, du nom d'E(z)RF OnTheGo+, qui permet aux gestionnaires de réseau WLAN d'utiliser la tablette pour contrôler le WLAN de Meru à distance.
(...)(15/03/2012 11:15:39)Ubuntu 12.04, une édition mûre pour les serveurs
Canonical a déjà fait beaucoup pour promouvoir la future version d'Ubuntu Linux 12.04 LTS, et Mark Shuttleworth lui-même, le fondateur de la société, s'est impliqué dans l'opération, affirmant que pour la première fois, le système d'exploitation Ubuntu devançait les plates-formes Mac et Windows en terme d'innovation. Ce qui sans doute étonne le plus dans cette version, également connu sous le nom de code « Precise Pangolin », et désormais disponible en version bêta, c'est son interface Head-Up Display (HUD) annoncée depuis longtemps, qui vise à terme la disparition des menus. Mais, le buzz récent autour d'Ubuntu ne s'est pas limité à HUD, ni aux versions desktop Unity et à d'autres améliorations grand public comme Ubuntu TV, ou encore à Ubuntu pour Android. En effet, « la distribution Linux fait aussi son chemin dans le monde des serveurs, » comme l'a déclaré Mark Shuttleworth.
Des essais à grande échelle automatiques
En fait, comme l'a écrit le fondateur de Canonical sur un blog, « Ubuntu 12.04 LTS marque à la fois l'avènement d'une version d'Ubuntu pour les datacenters, mais aussi, c'est la première version LTS à offrir une interface conçue pour couvrir tous les besoins informatiques personnels ». « À la base de cette maturation, une focalisation accrue sur la qualité, » a encore écrit Mark Shuttleworth. « Ubuntu 12.04 permet désormais les tests automatisés à grande échelle, elle intègre des processus de téléchargement améliorés, bénéficie de solutions plus rapides pour répondre aux problèmes qui se posent inévitablement dans le cycle de développement, compte une base d'utilisateurs et de contributeurs plus importante pour travailler à la version de développement, et profite de meilleurs accords avec les fournisseurs qui pré-installent Ubuntu , » a t-il expliqué. « En outre, ce qui stimule aussi l'installation d'Ubuntu sur les serveurs, c'est que OpenStack a calé les sorties de son logiciel Cloud Essex (http://wiki.openstack.org/EssexReleaseSchedule) avec le calendrier de sortie d'Ubuntu, » a ajouté Mark Shuttleworth.
N°3 sur les serveurs Web
Bien sûr, ce n'est pas surprenant de voir un chef d'entreprise vanter la qualité de ses produits. Mais, des statistiques récentes provenant de W3Techs confirment cet intérêt pour installer Ubuntu sur les serveurs Web. « L'année dernière, la distribution de Canonical est passé devant Red Hat Enterprise Linux pour les services web publics, » fait remarquer le fondateur de Canonical (voir graphique). Et aujourd'hui, Ubuntu arrive en troisième position parmi les sites qui utilisent Linux pour les serveurs web, c'est à dire que 18,4% des sites utilisent Linux, selon W3Techs. Debian est en tête avec 30 %, et CentOS est n°2 avec 28,9 %. Et, en quatrième position, Red Hat avec 12,2%. Enfin, Fedora occupe la cinquième place avec 5%.
(...)(15/03/2012 10:39:09)Pour se développer en Europe, la banque Pictet & Cie a choisi Avaloq Banking System
Pour des raisons d'efficacités et d'économie d'échelle, ces filiales européennes sont opérées à partir de l'infrastructure existante de Pictet, à Genève qui contrôle déjà l'entité juridique suisse. A la fin de ce nouveau déploiement, ce ne sont pas moins de 2200 salariés de la banque qui utiliseront cette solution.
Peu à peu, l'Avaloq Banking System sera mis en oeuvre dans la plupart des filiales et succursales internationales de la banque. La prochaine étape sera la migration de filiales situées en Asie.
Pour Peter Winsch, Chief Information Officer de Pictet & Cie, ce sont l'architecture flexible et la technologie avancée qui ont conduit au choix de cette solution: «A l'origine, nous avons choisi Avaloq comme plateforme bancaire, car elle nous fournit la flexibilité nécessaire pour couvrir nos besoins spécifiques et sophistiqués. De par cette flexibilité et la capacité de configurer et opérer de multiples entités juridiques sur la base d'une seule instance du système, l'Avaloq Banking System a joué un rôle important en nous permettant de soutenir progressivement l'activité de nos filiales internationales de façon optimisée, en créant des synergies avec notre infrastructure basée à Genève.»
(...)(15/03/2012 10:35:49)Le moteur russe Yandex se renforce en Europe
Le moteur de recherche russe Yandex annonce l'ouverture d'un bureau de ventes à Lucerne, en Suisse. Il doit permettre à la société de travailler plus efficacement avec la clientèle publicitaire européenne, explique Yandex dans un communiqué.
«Les ventes internationales ont augmenté rapidement ces dernières années, explique Alexei Tretiakov, Chief Commercial Officer de Yandex. Nous ouvrons notre bureau de Lucerne pour développer une relation plus proche avec les agences de publicité et nos clients européens. Nous comptons aussi intensifier nos activités de marketing en Europe pour attirer de nouveaux clients. Nous estimons que l'ouverture de ce bureau va accélérer nos ventes en Europe.»
Yandex opère de nombreux sites et services en ligne en Russie, en Ukraine, au Belarus, au Kazakhstan et en Turquie. Son moteur de recherche est leader en Russie avec une part de marché de 60%. La société propose divers outils aux annonceurs pour gérer leurs campagnes.
Le bureau lucernois est la seconde filiale de Yandex en Suisse, qui emploie plusieurs ingénieurs dans son centre de développement à Zurich.
50% des cyberacheteurs ont déjà eu des problèmes
Au cours de ces douze derniers mois, 49% des cyberacheteurs ont rencontré un problème en procédant à un achat en ligne, révèle une étude Ifop pour Generix, ce mercredi 14 mars. Dans 28% des cas, les internautes ont préféré annuler leur commande en raison d'une rupture de stock, tandis que 15% ont été déçu car leur produit a été endommagé lors du transport. Encore plus problématique : 7% des consommateurs concernés ont reçu un colis qui ne correspondait pas à leur commande.
Au total, 91% des Français se sont connectés à internet au cours des douze derniers mois pour effectuer un achat sur la toile. En moyenne, les cyberacheteurs ont réalisé 12,8 achats lors de cette période. Désormais, tous les profils de consommateurs profitent des bonnes affaires, les plus âgés (88%) comme les plus modestes (83%). D'ailleurs, 45% des cyberacheteurs passent commande au moins une fois par mois.
Des soucis subsistent
Si l'e-commerce ne fait plus office d'exception ou de comportement atypique, quelques soucis subsistent encore. 55% des internautes avouent être en effet freinés dans leurs achats par les frais de livraison. Un frein plus probant que la peur de l'arnaque ou de la contrefaçon (52%).
De plus, la moitié des cyberacheteurs a déjà été confrontée à au moins un problème lors d'un achat. Parmi ces malchanceux, 27% ont procédé à un échange, 20% ont préféré se faire rembourser et 13% n'ont jamais reçu leur colis. Pour faire leur shopping en ligne, les Français plébiscitent Amazon.fr, Laredoute.fr, Fnac.com, Darty.com et Ikea.com, révèle le palmarès dressé par cette étude.
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