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(24/05/2013 09:30:42)

Synergy 2013 : Citrix et Nvidia poussent la virtualisation GPU pour booster la VDI

En direct de Los Angeles - Lors de la keynote de cette édition 2013 de Synergy à Los Angeles, Mark Templeton, CEO de Citrix, avait un invité vedette avec Jen-Hsun Huang, CEO et cofondateur de Nvidia. Les deux entreprises travaillent en effet de concert pour accélérer l'affichage graphique et le rendu 3D dans les postes de travail virtualisés, et exploiter plus de machines virtuelles par GPU. Mercredi, le dirigeant de Nvidia a annoncé des améliorations de sa technologie VGX qui virtualise le GPU pour en faire une ressource partagée avec les processeurs et la mémoire disponible dans les serveurs. Les améliorations apportées à la technologie de virtualisation de Nvidia sont destinées à transformer l'usage des processeurs graphiques dans les datacenters pour accélérer le déploiement des postes de travail virtualisés.

Auparavant limitée à une seule machine virtuelle par carte graphique, la technologie VGX monte en puissance et supporte plusieurs bureaux virtuels. La carte graphique Nvidia K1, qui a quatre processeurs graphiques et 16 Go de mémoire DDR3, sera en mesure de supporter jusqu'à 32 machines virtuelles simultanément. La carte Grid K2, qui dispose quant à elle de deux processeurs graphiques et 8 Go de mémoire GDDR5, sera en mesure de prendre en charge jusqu'à huit machines virtuelles. Ces machines virtuelles pourront en outre exploiter le support natif de DirectX 11 pour booster les performances multimédias. « Le transport d'un pixel n'importe où dans le monde est plus facile qu'une base de données » a souligné le CEO de Nvidia.

Kepler, une puce conçue dés l'origine pour la virtualisation


Ces processeurs graphiques sont basés sur Kepler la dernière architecture de Nvidia et possèdent des unités indépendantes dédiées à la gestion de la mémoire et des threads pour accélérer le déploiement de poste VDI. La technologie VGX permet aux GPU de passer les cycles CPU pour déployer et gérer directement les machines virtuelles et d'optimiser l'usage des GPU pour la virtualisation comme on le fait déjà pour les serveurs. «  Des GPU virtuels dans des VM de type workstation » a indiqué M. Huang

Le CEO de Nvidia a présenté un exemple de rendu 3D réalisé à distance à l'aide de la technologie VGX.

La virtualisation, qui permet une utilisation plus efficace des ressources du serveur dans un environnement de calcul distribué, et les GPU pourraient aider à réduire les factures d'électricité grâce à un déploiement plus rapide des postes de travail virtuels. Les GPU sont considérés comme plus rapides que les processeurs dans certains cas, et sont utilisés dans certains des ordinateurs les plus rapides du monde pour les calculs complexes, ainsi que par les navigateurs web pour accélérer le rendu des pages. La virtualisation des processeurs graphiques pourrait permettre de fournir des services de jeux 3D en ligne et apporter des ressources de calcul à des utilisateurs distants.

Citrix a pris de l'avance avec Nvidia


Citrix a travaillé de concert avec Nvidia sur la question de la virtualisation GPU pour améliorer le support au niveau hyperviseur, pilote et matériel, nous a expliqué Bob Schultz  vice-président en charge de l'activité enterprise desktop and applications chez Citrix. Pour l'instant ces améliorations VGX ne fonctionnent qu'avec les produits Xen (XenServer et XenApp) mais Nvidia espère apporter les mêmes améliorations VGX aux technologies de virtualisation de VMware et Microsoft. Bob Schultz s'est félicité de la collaboration technique avec Nvidia et de l'avance de Citrix dans ce domaine tout en pointant avec finesse le retard de VMware.

Les processeurs graphiques de Nvidia et AMD sont déjà utilisés pour la virtualisation, par les plates-formes serveur de Dell, Hewlett-Packard et IBM conçus pour les environnements HyperScale. Mais le nombre de sessions VDI était encore limité par une mauvaise exploitation des ressources auxquelles la virtualisation des GPU devrait remédier. Cette mise à jour de VGX pour Xen va permettre de déployer plus de postes de travail virtuels Windows 7 et les utilisateurs seront en mesure d'exécuter plus d'applications dans chaque session. La virtualisation est un élément clef dans la prestation de services cloud computing via GPU, mais les améliorations apportées à VGX pourraient accélérer les choses dans ce domaine.

Des serveurs équipés de cartes Grid GPU


Nvidia propose une série de produits pour serveurs avec ses cartes graphiques Grid. La firme propose en complément le Grid Visual Computing Appliance (VCA), qui assure la cohérence des traitements côté serveur d'applications multimédias et pour la livraison de sessions VDI  sur des clients légers, des PC ou des tablettes depuis le cloud. La société a également conclu un partenariat avec les IBM et Dell pour proposer des serveurs équipés de ses Grid GPU. Nvidia a également annoncé que Cisco va commencer à expédier son serveur Grid VGX baptisé VGX UCS C240 M3 partir de ce mois aux États-Unis. Tous ces serveurs doivent faire  face à différents types de charges de travail et les GPU ont encore besoin des processeurs pour fonctionner dans les environnements informatiques distribués. Les instructions envoyées aux GPU sont en fait canalisées dans des tunnels via les CPU.

Nvidia et AMD désignent de puces et ont établi des normes ouvertes (CUDA et OpenCL) pour rendre plus accessibles les ressources des GPU. La fondation HSA (Heterogeneous System Architecture) mise en place par AMD vise ainsi à définir une norme commune pour la mémoire unifiée (HUMA), accessible à tous les types de processeurs. Attendue l'année prochaine, la prochaine génération de puce graphique Nvidia, connue sous le nom de code Maxwell, devrait partager la mémoire disponible entre GPU et CPU.

 

 

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(14/05/2013 16:44:12)

Semi-conducteurs : Intel subit la crise du PC mais reste leader

Selon une étude publiée hier par IC Insights, alors qu'Intel cherche à élargir la fabrication en sous-traitance, l'activité semi-conducteurs proprement dite perd du terrain au profit de fournisseurs de processeurs qui tirent avantage du succès des appareils mobiles. En chiffre d'affaires, Intel reste le leader mondial sur le marché des semi-conducteurs, mais l'entreprise a cédé des parts de marché à Samsung et Qualcomm, qui fournissent des processeurs au design adaptés aux smartphones et aux tablettes, alors que les puces d'Intel concernent surtout le marché du PC, dont les ventes sont en baisse.

Au premier trimestre 2013, le chiffre d'affaires réalisé par Intel sur les ventes de semi-conducteurs atteignait 11,56 milliards de dollars, en baisse de 3 % par rapport aux 11,87 milliards de dollars réalisés au premier trimestre 2012. Comparativement, Samsung affichait un chiffre d'affaires de 7,95 milliards de dollars pour ses ventes de semi-conducteurs, en hausse de 13 %, grâce au coup de pouce d'Apple, qui achète ses puces pour iPhone et iPad au Sud-Coréen.

Les mobiles tirent aujourd'hui le marché des puces 

Au premier trimestre 2013, les ventes globales de semi-conducteurs atteignaient 53,5 milliards de dollars, en hausse de seulement 2 % par rapport au même trimestre 2012. Mais, c'est Qualcomm qui a enregistré la croissance la plus rapide. Le chiffre d'affaires du quatrième vendeur de puces a augmenté de 28 %, à 3,9 milliards de dollars. Les puces Snapdragon de Qualcomm sont utilisées dans la plupart des smartphones récents, dont le One de HTC et certains modèles Galaxy S4 de Samsung.

L'étude réalisée par IC Insights a pris en compte les ventes de circuits intégrés et autres semi-conducteurs d'entreprises dites « sans usine » et de fabricants de puces propriétaires de leurs propres usines de fabrication. Elle n'inclut pas des entreprises comme Apple, qui conçoit des puces, mais les fait fabriquer par des sous-traitants. Des sous -traitants comme TSMC fabriquent des puces mobiles pour des entreprises « sans usine » comme Qualcomm, mais les ventes de puces réalisées par Qualcomm ne sont pas incluses dans les chiffres de TSMC. Cependant, avec des ventes en croissance de 26 % à 4,46 milliards de dollars, TSMC reste le fondeur le plus important, suivi par GlobalFoundries en seconde position, et par UMC (United Microelectronics Corp), au troisième rang.

Intel conserve toujours une nette avance technologique 

Aujourd'hui, Intel possède les usines de fabrication les plus avancées technologiquement et, au début de l'année prochaine, le fondeur va commencer à fabriquer des puces utilisant le processus de gravure 14 nanomètres. TSMC et GlobalFoundries fournissent de nombreuses puces ARM aux fabricants de terminaux mobiles et ils profitent d'une demande en forte croissance. Les deux fondeurs espèrent rattraper Intel sur le processus de fabrication avec leurs premières puces à transistor 3D - également appelé FinFET - dont ils prévoient de démarrer la commercialisation l'an prochain. Mais, contrairement à ses concurrents, Intel sait réduire la taille du transistor et aura une génération d'avance sur le processus FinFET.

Sur les 20 premiers fournisseurs de semi-conducteurs, aucune entreprise japonaise n'affiche de croissance au premier trimestre 2013. Toshiba, Renesas, Sony et Fujitsu enregistrent toutes une baisse à deux chiffres de leurs revenus liés à la vente de semi-conducteurs. L'industrie des semi-conducteurs japonaise est en train de se concentrer. Au cours de ce trimestre, Micron devrait finaliser l'acquisition de Elpida pour 2,5 milliards de dollars. L'an dernier, après l'effondrement des ventes de mémoire, Toshiba a arrêté son unité de production de mémoire flash NAND. Après le tsunami et les tremblements de terre de 2011, une grande partie des capacités de production japonaise s'était déplacée vers la Chine, la Corée du Sud et Taiwan.

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(14/05/2013 09:24:50)

La station spatiale abandonne Windows au profit de Linux

Selon Linux Foundation et United Space Alliance, tous les ordinateurs de la station spatiale internationale ISS migreront vers la distribution Debian dans sa version 6 Squeeze. Pour l'instant, toute l'installation IT tourne avec Windows et Scientific Linux, une distribution basée sur Red Hat.

United Space Alliance, qui contrôle la station ISS, avance comme raison la nécessité d'avoir un système d'exploitation stable, qui puisse utiliser ses propres patches. Les astronautes qui utiliseront ce système ont été formés par la Linux Foundation.

ICTjournal.ch

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(08/04/2013 17:20:32)

Télécom SudParis ouvre une formation sur les réseaux haut débit pour les apprentis

Télécom SudParis va ouvrir une formation sur les réseaux très haut débit accessible par la voie de l'apprentissage. Dès la rentrée 2013, les titulaires de DUT ou de BTS pourront s'y s'engager, en vue de décrocher un diplôme d'ingénieur de spécialité « Réseaux », délivré par la Commission des Titres d'Ingénieur (CTI). L'élève-ingénieur bénéficiera du statut d'apprenti pendant les 36 mois de sa formation. Les 1800 heures d'enseignement sont structurées en 3 domaines : sciences pour l'ingénieur (28%), culture d'entreprise et ouverture (32%) et spécialité réseaux (40%). Durant les deux premières années, l'alternance sera organisée en 3 jours en entreprise et 2 jours à l'école. En dernière année, outre les onze semaines de spécialisation, l'apprenti effectuera un stage de six mois en entreprise.

15 apprentis par an

Le cursus sera gratuit et l'apprenti percevra un salaire estimé entre 41% et 100 % du Smic selon les critères conventionnels. Le recrutement des apprentis se fera sur dossier, puis sur entretien de motivation et test d'anglais. L'objectif est de recruter 15 apprentis par an. Le dépôt des candidatures doit se faire avant fin mai. Pour délivrer ce cursus, l'école d'ingénieurs publique s'est associée au CFA EVE, centre de formation des apprentis et à l'ENSIIE, école associée à l'Institut Mines-Télécom.

 

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