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(08/03/2010 10:05:15)
La SSII GFI Informatique mesure son empreinte carbone
La SSII française GFI Informatique rassemble 10 000 collaborateurs dans le monde, dont un grand nombre en clientèle. Sensibilisée aux problématiques environnementales, elle a entrepris de maîtriser son empreinte carbone. Il s'agissait, d'une part, d'anticiper une future réglementation contraignante voire coûteuse, d'autre part d'expérimenter sur elle-même des méthodes qui pourraient ensuite entrer dans des offres commercialisées de Green-IT/IT-for-Green. En 2008, GFI Informatique France a eu une empreinte représentant 10 700 tonnes de CO2, sur lesquels 7 500 ont concerné les déplacements professionnels et 1 300 les consommations directes d'énergie. La moyenne par collaborateur était donc de 1,8 T CO2/an. Commencer par connaître la situation Le groupe de services informatiques a eu recours au cabinet Zen'To, certifié par l'ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie) pour utiliser sa méthodologie Bilan CarboneTM. Quantifier les émissions de CO2 a nécessité la collecte de données relatives à l'activité de GFI sur un an afin d'obtenir une bonne représentativité. Outre la consommation des bâtiments par type d'énergie, l'électricité utilisée par les datacenters et l'amortissement carbone des actifs (notamment les datacenters), la SSII a calculé le kilométrage parcouru par type de transports en distinguant déplacements professionnels et les trajets domicile/bureau, la facture de carburants, les billets d'avion en avions ou trains et, enfin, la quantité de déchets produits... Le traitement des données collectées a été réalisé dans le logiciel dédié Acco2untenterprise de GreenStone Carbon Management. «GFI se positionne dans la bonne moyenne des sociétés de services en matière d'empreinte carbone mais la mesure n'a qu'une indication toute relative et n'est que le point de départ d'une démarche d'amélioration continue », a déclaré Thierry Rudowski, président de Zen'to. Dans le cas de GFI, « la société a pris le sens de cette démarche » a-t-il ajouté. Des mesures concrètes à effet rapide Plusieurs mesures avaient déjà été prises pour diminuer l'impact carbone sans atteindre les résultats de l'audit de Zen'To. Ainsi, GFI avait rationalisé son parc d'imprimantes et allongé la durée de vie de ses matériels informatique à 5 ans. En 2009, la SSII a installé un système de vidéo-conférence entre chacun de ses 17 sites afin de limiter les déplacements entre eux. Une optimisation de la flotte de véhicules professionnels a également contribué à baisser l'impact des déplacements. Après les résultats de l'audit de Zen'To, l'entreprise a décidé de mieux maîtriser encore le contrôle de la dépense énergétique de son informatique interne, les déplacements professionnels de ses salariés (notamment en favorisant les solutions alternatives telles que les vidéoconférences), etc. Par ailleurs, la SSII a profité des leçons tirées de sa propre expérience pour définir une offre de « SI éco-responsable ». (...)
(04/03/2010 13:21:14)Bluestar Silicones industrialise et externalise la gestion de son SI
Le fabricant de silicones (anti-adhérants, élastomères de spécialité, produits médicaux, résines...) Bluestar Silicones possède une douzaine d'implantations dans sept pays (France, Allemagne, Angleterre, Espagne, Italie, Norvège, Finlande). Il souhaitait industrialiser ses infrastructures informatiques pour réduire le coût total de possession tout en améliorant la qualité de service et en respectant les contraintes propres à chaque pays. L'industriel a choisi d'externaliser la gestion des infrastructures informatiques (systèmes et réseaux) chez Sogeti. Ce dernier a mis en place un plan d'industrialisation et d'amélioration continue. L'industriel a effectué ce choix d'abord en raison de la démarche de proximité de Sogeti et en second lieu de la compétence propre de la société sur ce type de projets. Le transfert s'est effectué en deux mois et a d'ores et déjà abouti à une baisse du coût total de possession ramené au poste de travail de l'ordre de 20%. L'objectif à terme est une baisse de 40%. Sogeti a effectué une standardisation de l'architecture réseau, la mise en place d'une supervision sur l'ensemble des infrastructures, la télédiffusion des patches applicatifs, la standardisation des systèmes d'exploitation avec automatisation des installations sur les postes de travail en cinq langues. A terme, le projet devrait aboutir à une virtualisation des postes de travail. Le coût du projet n'a pas été précisé. (...)
(22/02/2010 16:28:49)Philippe Jarre prend la tête de l'activité services d'IBM France
On sait désormais qui succède à Nicolas Sekkaki (à droite) à la tête de l'activité services d'IBM France, Global Technology Services (GTS). Il s'agit de Philippe Jarre (à gauche) qui occupait précédemment, à l'échelle d'IBM Corporation, le poste de directeur général de l'entité Business Continuity and Resiliency Services, une ligne de services d'IBM GTS couvrant les activités de continuité opérationnelle et reprise après incident. Fin 2007, il a notamment géré l'acquisition d'Arsenal Digital Solutions, spécialiste du stockage en ligne et de la récupération de données. Diplômé de Supelec en 1984, Philippe Jarre est entré chez IBM en 1988. Avant de prendre la direction de l'entité BCRS, il était vice président de l'activité Global Integrated Technology Services. A ce poste, il était basé à Somers (New York). Nicolas Sekkaki, quant à lui, prend la tête de SAP France, filiale française de l'éditeur allemand d'ERP. Il y remplace Pascal Rialland qui, après avoir occupé ces fonctions pendant quatre ans, rejoint maintenant le groupe de téléphonie mobile Omer Telecom, en qualité de directeur général, aux côtés du Président Geoffroy Roux de Bézieux. Omer Telecom est une co-entreprise des groupes Virgin, Carphone Warehouse et Financom. (...)
(22/02/2010 14:45:02)Capgemini entend rester dans les télécoms
(Source EuroTMT ) Capgemini entend rester dans les télécoms. Contrairement à ce qu'affirmait le numéro 147 d'EuroTMT, dont nous avions relayé l'information, Capgemini indique qu'il n'a aucune intention de se désengager du secteur des télécoms. Le Groupe y réalise 8 % de son chiffre d'affaires. Il fournit des prestations de services informatiques et de conseil à de nombreux acteurs majeurs de ce secteur. (...)
(19/02/2010 14:11:14)Logiciels et services en 2010 : légère progression sur la banque, l'assurance et le secteur public
La première victime de la crise économique, sur le marché des logiciels et services, c'est clairement l'industrie avec, au niveau mondial, un retrait de 1% sur les investissements prévus dans ce domaine entre 2009 et 2010, contre -6,4% entre 2008 et 2009. L'automobile, l'ingénierie mécanique, la chimie et la métallurgie sont plus particulièrement touchées. D'autres domaines sont logés à meilleure enseigne : la pharmacie, l'agro-alimentaire, l'aéronautique et la défense. Pour ces secteurs, 2010 sera synonyme d'économies et de nouveaux contrats d'outsourcing. Côté investissements, PAC évoque le PLM, la collaboration et le CRM. Autres marchés difficiles : les télécoms et la distribution. Pour les autres secteurs, la situation semble plus favorable. La banque est fortement aidée par les Etats. Ce secteur devrait progresser de 1,2% (en termes d'investissements en logiciels et services) contre une baisse de 3,7% entre 2008 et 2009. De nouvelles règlementations, des projets de fidélisation des clients, certaines fusions favoriseront la reprise de l'investissement. Le voisin immédiat, l'assurance, investira dans le CRM, les interfaces web, la modernisation de l'existant. Globalement, ce secteur progressera de 1%, contre une baisse de 2,3% entre 2008 et 2009. Le secteur public sera également très résistant, toujours en raison des investissements publics des Etats. Toutefois, les collectivités locales disposant de moins de recettes fiscales investiront moins, ce qui devrait ralentir globalement les investissements dans le secteur public. Les utilities (ex services publics privatisés) seraient également en progression avec +3,4% contre +1,8%. (...)
(19/02/2010 13:43:18)Dix associations régionales créent le Conseil national du logiciel libre
Si le monde du logiciel libre ne manque pas de quelque chose en France, c'est bien d'associations. Une nouvelle vient d'être annoncée : le Conseil National du Logiciel Libre (CNLL). Celle-ci n'existe pas encore à proprement parler puisqu'il s'agit pour l'instant d'une simple coordination sans personnalité morale. La constitution sous forme d'association déclarée loi 1901 est en attente. Le CNLL regroupe dix associations régionales de professionnels du logiciel libre : Alliance Libre, Cap Libre, Collibri (Cap Digital), GT LL (System@tic), Libertis, OSS@TV (Telecom Valley), PLOSS, PLOSS RHA, Pôle Nord et ProLibre. L'ensemble de ces dix structures représente environ 200 entreprises, plutôt petites. La légitimité du CNLL est celle de ses associations régionales membres. C'est Patrice Bertrand (photo ci-dessous) qui a été élu porte-parole d'un bureau où siègent tous les présidents d'associations membres. Il est notamment l'un des co-fondateurs de l'intégrateur de solutions Open Source Smile, membre de l'Alliance libre et de PLOSS.
Annuels Capgemini : Un exercice 2009 difficile
Avec 8,371 milliards d'euros en 2009, Capgemini accuse une baisse de 5,5%, à taux de change et périmètre constants, de son chiffre d'affaires, et sinon de 3,9%. Le bénéfice net plonge de 60% à 178 millions d'euros (ME). La marge opérationnelle, 7,1% du CA (595 ME) baisse par rapport aux 8,5% (744 ME) de l'an passé. Première région du groupe, la France baisse de 6,1% avec un taux de marge opérationnelle représentant 6,2% du CA. Les différentes activités exercées évoluent de manière très différente. La première d'entre elles, l'infogérance croît de 0,3%, elle représente 36,4% du CA, son taux de marge opérationnelle s'élève à 7,2%. L'intégration de systèmes décroit de 7,4% en terme de CA, sa marge se monte à 6,9% en baisse par rapport à 2008.
Sogeti, activité d'intégration, baisse de 8,3%, mais son niveau de marge opérationnelle est élevé : 9,7% Le conseil est très touché, avec une baisse de 14,7% et une marge opérationnelle de 11,4%.
Pour 2010, Capgemini ne se montre guère optimiste. Il anticipe même une nouvelle baisse de son CA, entre -2 et -4%, à taux de change et périmètre constants, le taux de marge opérationnelle serait compris entre 6 et 6,5%. (...)
Trimestriels HP : belle croissance sur le matériel, mais des services en retrait
Le 1er trimestre fiscal de HP s'achève au 31 janvier. Il se conclut par un chiffre d'affaires (CA) de 31, 2 milliards de dollars contre 28,8 Md$ un an auparavant, en progression de 8%. Le profit net (Gaap) se monte à 2,3 milliards de dollars en hausse de 25%, la marge opérationnelle (non-Gaap) s'élève à 11,2% en progression de 4 points. Le PDG de HP, Mark Hurd, se félicite des améliorations entrevues dans les activités imagerie et imprimantes ou dans les PC. Par activité effectivement, on distingue celles qui progressent sur ce trimestre et celles qui baissent ou restent à l'identique. Les progressions vont aux activités « Stockage et serveurs », en hausse de 11% avec 4,4 milliards de dollars, « Imaging et imprimantes » en progression de 4% à 6,2 milliards de dollars, PC qui augmente de 20% en valeur à 10,6 milliards de dollars, et Services financiers, en hausse de 13% à 719 millions de dollars. En revanche, l'activité Services recule légèrement (-1%), à 8,7 milliards de dollars. Quant à l'activité Logiciels, elle reste stable, à 878 millions de dollars. Pour l'année fiscale à venir, HP anticipe un chiffre d'affaires mondial compris entre 121,5 et 122,5 milliards de dollars. Initialement, la prévision était comprise entre 118 et 119. Lors de sa dernière année fiscale, HP a réalisé un CA de 114,6 milliards de dollars en recul de 3%. (...)
(18/02/2010 12:09:02)Cap Gemini sortirait du marché des télécoms
(Source EuroTMT ) « La pression à la baisse des prix, exercée par les opérateurs télécoms en Europe, et le ralentissement des investissements de ces mêmes acteurs amènent les grands sociétés de services informatiques à s'interroger sur leur présence dans le secteur. C'est notamment le cas de Cap Gemini, qui n'exclurait pas de sortir du marché ». Selon cet analyste, la situation est en effet devenue intenable pour les SSII européennes, mises en concurrence avec les sociétés indiennes qui sont utilisées par les opérateurs pour casser les prix. (...)
(17/02/2010 17:10:16)Annuels Atos Origin : malgré une année difficile, les bénéfices sont en hausse
Pour la présentation des résultats d'Atos Origin, le PDG Thierry Breton a retrouvé la verve de l'ancien Ministre des finances : « Après une année 2009 difficile, marquée par une décroissance significative (- 5%), la première dans notre industrie depuis l'explosion de la bulle artificielle de l'an 2000, notre secteur d'activité doit gérer la décroissance et les problèmes de pertes d'emplois et de chômage. (...) Malgré toutes ces difficultés, notre activité commerciale est restée robuste en 2009. Et grâce à notre programme Top, qui n'est pas une simple politique de réduction des coûts mais bien une volonté d'améliorer notre management, notre ingénierie, notre force commercial ou encore le bien-être de nos collaborateurs, nous avons réussi à dépasser nos objectifs ». La marge opérationnelle est en effet en progression de 5,7% (290 millions d'euros en 2009 contre 256 en 2008) et l'endettement du groupe retombe à 139 millions d'euros contre 304 en 2008. Derrière ces satisfécits, le groupe annonce un chiffre d'affaires en baisse de 3,7% (5,127 milliards d'euros en 2009 contre 5,324 en 2008) et un bénéfice net en hausse de 40,3% (32 millions d'euros en 2009 contre 23 en 2008), et ce, malgré la faillite d'Arcandor, le principal client allemand d'Atos Origin. 14 millions d'euros ont d'ailleurs été provisionnés pour couvrir cette défaillance selon Michel Alain, le directeur financier du groupe. Trois cents personnes ont d'ailleurs été licenciées en Allemagne suite à cette faillite. 71% du CA provient des activités récurrentes Pour Atos, les trois moteurs de cette année 2009 ont été l'infogérance (38% du CA), l'intégration de systèmes (37% du CA) et l'activité HTTS (17% du CA) . Si 71% du CA restent liés aux activités récurrentes du groupe, de nouveaux contrats ont été remportés dans les secteurs de l'énergie et des télécoms poursuit le PDG. Les services en ligne (HTTS ou Atos Worldine) ont également contribué à améliorer la marge. « Nous avons enregistré de très bonnes performances en Grande Bretagne, de bonnes performances avec Atos Wordline, une bonne résistance de la France mais des difficultés aux Pays-Bas et en Espagne » explique M.Breton. En Angleterre, la marge opérationnelle a même été améliorée de 200 points de base, notamment grâce à la fourniture au gouvernement britannique de moyens de paiements sécurisés. 4500 embauches en 2009 En 2009, Atos Origin a tout de même embauché 4500 ingénieurs (dont près de 1000 fin 2009), pour moitié de jeunes diplômés et pour moitié dans les pays offshore. Aujourd'hui la firme compte 5000 ingénieurs offshore contre 4500 en 2008. Trois mille ingénieurs ont spécialement été recrutés pour suivre des contrats locaux en Chine et en Inde. « Des contrats très spécifiques ont été remportés en Chine notamment pour la maintenance informatique des nouvelles centrales nucléaires et pas seulement de technologie française » précise M.Breton. Trois mille quatre cent personnes ont toutefois quitté l'entreprise surtout aux Pays-Bas et en Espagne. (...)
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