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(25/03/2010 13:39:55)

Econocom lance une offre de migration vers Windows 7

Windows 7 représente plus qu'un nouveau système d'exploitation. Beaucoup de clients ont laissé passer Vista et ne devraient pas délaisser un deuxième changement. Et, après la crise, les budgets repartiront, espèrent analystes et fournisseurs, permettant d'acheter Seven, en migration simple, en upgrade de postes, en changeant le parc.

Dans cette perspective, Econocom a concocté une offre de migration, nommée « 7 remote services », la cinquième au catalogue de la société.  Elle passe par l'étude d'impact la communication vers les utilisateurs et l'utilisation d'outils de pilotage à distance. « Seven permet justement de travailler à distance plus facilement qu'avec d'autres systèmes d'exploitation et nous avons développé des plate-formes de services qui nous permettent d'assurer à distance certaines tâches assurées auparavant sur place», note Didier Bertho directeur général de l'activité services de Econocom.

Au total, avec cette nouvelle offre, Econocom prend sept engagements qui parlent non seulement de la phase technique de migration, mais de l'étude d'impact ou de l'exploitation à distance en passant par l'aide aux utilisateurs. Le message est clair : rationaliser la phase de migration pour éviter qu'elle pèse sur l'activité informatique de l'entreprise par une surcharge temporaire de travail. Avec cette nouvelle offre, Econocom pense faire économiser jusqu'à 30% d'un budget de migration à ses clients.

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(24/03/2010 11:16:53)

Annuels Osiatis : rentabilité préservée

Comme toute société de service, Osiatis a subi la crise économique. Son chiffre d'affaires 2009 se monte à  232,8 millions d'euros (ME) contre 239,5 un an auparavant, soit une baisse de 2,8%. La France est en net repli, avec -4,7% pour un CA de198,9 ME, alors que l'international (15% de l'activité) progresse de 10,1% avec 33,9 ME.

Le CA annuel précédent, celui de 2008, était en progression de 1,4% par rapport à l'exercice précédent. Osiatis reste sur des progressions de CA faibles : 213,8 ME de CA en 2004, 220,2 en 2005, 223,9 en 2006, 236,2 en 2007. En revanche, tous les chiffres 2009 concernant la rentabilité sont au vert : la marge opérationnelle progresse de 6,2% à 12,7 ME, le résultat net augmente de 68,5% à 7,9 ME, le résultat opérationnel de 19,6% à 10,5 ME. Le résultat net part du groupe se situe à 7,8 ME en hausse de 68,9%.

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(24/03/2010 11:15:14)

KPF affiche de grandes ambitions pour 2010

KPF a terminé l'année 2009 avec un chiffre d'affaires de 10,2 millions d'euros (ME). En croissance de 3% si l'on tient compte du rachat de Datig Consulting, mais légèrement négatif au plan organique. Une année de transition. La société n'a pas subi la crise économique, sauf sur son activité de consulting ou sur l'informatique industrielle. Le coeur de métier, l'activité d'intégration sur SAP a bien résisté.

« Nous avons pris un an de retard sur nos projets, mais maintenant, et dès fin 2009, nous avions repris notre plan de marche » souligne Philippe Savoye, directeur général adjoint du groupe chargé des opérations. Une direction commerciale a été créée pour pousser les nouvelles orientations. « Notre objectif est d'arriver à 12 ME de chiffre d'affaires, pour cela nous avons mis en place plusieurs dispositifs ».

« Le plus important, c'est la création d'une activité fonctionnelle autour de SAP. Jusqu'alors nous étions essentiellement grands comptes (Airbus, L'Oréal, Safran, Areva etc...). Un grand compte nécessite plusieurs approches, techniques ou fonctionnelles. Dans un « petit » grand compte ou une grosse PME, notre nouveau marché, il faut être global, à la fois technique et fonctionnel. Nous avons doncformalisé une offre en tant que telle pour ce mid market".

Lancement d'une offre Tierce maintenance exploitation

KPF va donc gagner ce nouvel axe client et développer pour cela une approche plus globale. De plus, il lance une offre Tierce maintenance exploitation (TME), toujours à destination des grandes PME. Il recherche  un partenaire hébergeur pour l'accompagner sur cette nouvelle offre. KPF va également relancer son activité Actinux, dans l'open source.

Dernière forme de rééquilibrage, en région, où KPF souhaite se renforcer en Ile-de-France. Historiquement, en effet, KPF s'est créée avec des filiales régionales (KPF Lille, sud-est, sud-ouest, Ile-de-France) qui assurent de grands contrats : Lille pour Arcelor, Grenoble pour Areva, Toulouse pour Airbus. Dans le cas de KPF, le rééquilibrage régional consiste donc à se renforcer en Ile-de-France où le chiffre d'affaires représente 33% de celui du groupe, contre 25 % un an auparavant et doit atteindre les 40% fin 2010, 50% dans deux ans. Un rachat n'est pas exclu dans une région où il est encore peu présent, comme le grand ouest.

 

 

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(22/03/2010 16:58:29)

Salaires 2010 : peu d'espoir d'augmentation

L'enquête publiée par le cabinet de recrutement Hays le démontre : 2010 ne sera toujours pas l'année des augmentations. La conjoncture des années 2008 et 2009 a eu un impact important sur les recrutements et de fait sur les politiques de rémunération. Entre crise et restructuration, les salaires des informaticiens ont stagné en 2009. Dans les systèmes et réseaux, la pénurie des candidats constatés ces dernières années s'est réduite en particulier grâce aux licenciements en masse du secteur, principalement en SSII. Les fonctions du middle et du top management au sein des DSI ont particulièrement souffert de la situation. Ces profils ne sont pas toujours remplacés et les DSI préfèrent limiter le nombre d'intermédiaires entre les ingénieurs techniciens de production et de direction.  « Désormais un profil classique d'ingénieur système et réseaux ne suffit plus, précise Anthony Collins, directeur adjoint de la division informatique et télécoms chez Hays. Il lui faut désormais disposer d'une valeur ajoutée pour négocier son salaire. »

Dans des secteurs en vogue malgré la conjoncture, tels que l'e-commerce, le web 2.0 et le multimédia les salaires sont également en berne sauf pour les experts qui peuvent les négocier à la hausse. «Ce sont des marchés porteurs, mais encore en devenir, précise Anthony Collins. Le niveau de rémunération n'a en général pas augmenté en 2009. Dans ces secteurs,  il correspond plutôt à celui de 2008, et est, dans certains cas, revu à la baisse, dans les systèmes et réseaux par exemple».
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La tendance est donc à la morosité, sauf pour des profils très spécifiques. Exemple : maîtrise de Spring Struts Hibernate pour des ingénieurs Java/J2EE, maîtrise de Net 3.5 SQL Server 2005/2008 pour les spécialistes de .net.

Les métiers du conseil et de la MOA sont également en perte de vitesse, avec peu de postes ouverts en 2009. Même constat pour le secteur des ERP et du décisionnel, avec peu de recrutements et quasiment pas d'évolution salariale. E l'avenir n'augure rien de bon « Si la reprise budgétaire ne se manifeste pas rapidement, 2010 pourrait être une année difficile, tant pour les salaires que pour l'emploi », prévient le directeur adjoint d'Hays. Cependant ce marché est très cyclique et lorsque la reprise se confirme l'emploi et les salaires reprendront rapidement le bon chemin. » Il ajoute « Il faut, néanmoins, rester lucide. Le secteur de l'informatique est devenu un secteur comme les autres, qui s'est industrialisé et qui ne retrouvera jamais son essor des années 1998-2001 et de 2005-2007 ».








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(22/03/2010 11:48:10)

Plus de 1 500 entreprises IT défaillantes, selon la Coface

Entre fin février 2009 et fin février 2010, 1 507 entreprises du secteur de l’informatique et de l’électronique ont été placées en redressement ou en liquidation judiciaire, soit 19,5% d’augmentation sur un an. Tel est le triste constat dressé par la Coface dans son observatoire des défaillances, ce qui place le secteur de la high-tech au 16ème rang sur un total de 22. Sur le seul mois de février 2010, 131 entreprises de l’IT ont du mettre la clé sous la porte.

Le climat est un peu moins morose du côté des télécoms, où l’on compte néanmoins 176 entreprises défaillantes entre février 2009 et février 2010 , soit + 7,3%. d’augmentation sur douze mois.

Au final,  pas moins de 6 972 emplois devraient être impactés par ces difficultés.

L’un des effets les plus dévastateurs de la crise a été la multiplication des défaillances des PME, précise la Coface ; celles-ci ont vu leur nombre de fermetures progresser, beaucoup plus vite que les autres catégories d’entreprises. Ainsi, durant l’été 2009, la hausse des défaillances des sociétés de taille moyenne a atteint les 80%, contre 55% pour les micro-entreprises, tous secteurs confondus.




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(22/03/2010 09:10:15)

Risc Group accuse toujours des pertes en 2009

Risc Group publie les résultats de son 1er semestre fiscal, clos au 31 décembre dernier. Le CA a dégringolé, passant de 40,2 millions d'euros, pour le même semestre de l'exercice précédente, à 32,7. Le résultat net part du groupe, passe dans le même temps, de -12,9 à -14,4. Le résultat opérationnel bondit de - 2,8 ME à - 12,3. Au plan social, une double opération de licenciements est menée. A l'international, le pôle Inbox est passe de 240 à 136 collaborateurs entre juin 2009 et février 2010. En France, un PSE est lancé pour supprimer 146 postes. Il aura un coût compris entre 7 et 8 ME. Risc Group précise également sa situation de trésorerie. Le groupe a consommé 6,7 ME : 3 ,7 en flux de trésorerie liés à l'activité, 2 ME d'immobilisations corporelles et incorporelles, 0,9 de remboursements d 'emprunts. Au 31 décembre, la trésorerie se monte à 5,1 ME, la dette financière à 3,35. Une augmentation de capital de 10,58 ME encaissée le 15 janvier sera comptabilisée sur le second semestre. STS Group, l'actionnaire de référence n'ira pas au delà de ce financement, la société doit donc trouver, par la relance commerciale et la diminution de ses charges, son équilibre. (...)

(22/03/2010 09:17:38)

Baromètre HiTechPros / CIO : dure récession des services informatiques en février 2010

Alors que la demande du mois de janvier offrait des perspectives plutôt positives avec une quasi-stabilité (baisse de -0,37 %), la tendance du marché de la prestation informatique au mois de février suit l'évolution de la température et affiche une baisse de -7,93 % par rapport à l'année précédente selon le baromètre HiTechPros / CIO. Celui-ci est bâti à partir de l'évolution de l'activité des SSII utilisant la place de marché de compétences informatiques HiTechPros. Les trois catégories techniques les plus demandées restent toujours « Nouvelles technologies » avec 34,1 % des demandes des clients, « Systèmes, réseaux, sécurité » (22,2 %) et « Consulting expertise » (9,6 %). Par rapport à la même période de l'année dernière, les plus fortes hausses de ce mois de février concernent les compétences : « Recette, support utilisateurs » (+ 52,78 %), « Client serveur » (+ 25,00 %) et « Nouvelles technologies » avec (+ 21,54 %). A contrario, les ralentissements de la demande ce mois-ci concernent avant tout les catégories suivantes : « CRM, décisionnel, datamining » (- 1,64 %), « Moyens systèmes (AS400) » (-13,64 %) et « Système, réseaux, sécurité » (- 24,14 %).

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(22/03/2010 09:18:36)

Annuels Econocom : chiffres 2009 positifs

La surprise avec Econocom, c'est qu'il n'y a pas de surprise, malgré la crise, la société affiche un résultat opérationnel courant en hausse de 12% sur 2009 et un chiffre d'affaires de +5,9%. Des chiffres positifs, comme les années précédentes, le modèle s'avère donc pertinent et l'amène à envisager de la croissance externe et le lancement de nouvelles activités. Après son chiffre d'affaires dévoilé il y a un mois, 759 millions d'euros (ME) en hausse de 5,9%, Econocom a donné des précisions sur sa rentabilité. Elle est à deux chiffres : +12% pour le résultat opérationnel courant à 28,7 ME. Ces chiffres sont positifs depuis plusieurs années. Le CA progressait les deux années précédentes de 2,3% et de 18,8%, le résultat opérationnel courant de 4,5% et de 48,5%.

Par activités, Econocom change cette année sa manière de calculer leur évolution, en excluant les opérations entre ses divisions internes. Le financement arrive en tête, avec 420,6 ME, mais ne progresse pas (avec l'ancien calcul, il augmente de 17,7%). Les grands comptes ont bien résisté, les grosses PME beaucoup moins.

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La partie distribution baisse de 1,6%, alors que les budgets informatiques ont baissé en moyenne de 15% en Europe en 2009, plaide Jean-Philippe Roesch, le directeur général. Le secteur public progresse particulièrement, avec par exemple un contrat significatif de 27 ME auprès du Conseil général de l'Oise pour l'école numérique. Econocom a également adopté un programme de coûts variables, en recrutant des agents commerciaux, ou en laissant la logistique à des grossistes. Les services managés baissent de 6% du fait de la crise et des reports de projets. Les télécoms (gestion de flotte) progressent de 5,6% (avec les chiffres retraités).

« Nous sommes le 1er parc de lignes télécoms infogérées en France, souligne Jean-Philipe Roesch. Le groupe souligne également la solidité de sa situation financière, une trésorerie nette en augmentation (29,6 ME contre 24,2), des capitaux propres stables (84,6 contre 84,4). La société ne s'est pas endettée en 2009 et n'a pas fait d'acquisitions. Elle est prête pour de la croissance externe en 2010. Jean-Philippe Roesch cible des VARs, les dossiers portent sur des sociétés actuellement mal en point, mais gardant une capacité de croissance avec une meilleure gestion. Econocom lance également de nouvelles activités. Une dans le médical en Belgique, une dite « multimédia » en France. Ce multimédia encore embryonnaire, lancé à l'automne dernier, porte pour l'instant sur des projets de visioconférence. Econocom prépare d'autres développements.

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(19/03/2010 11:00:53)

Année rouge pour GFI Informatique en 2009

La SSII GFI Informatique publie ses résultats 2009 avec un résultat net consolidé, part du groupe, de -57,8 millions d'euros (ME). Le chiffre d'affaires étant en recul de 6,7% à 663,6 ME. Cette perte est supérieure aux prévisions mais explicable par la situation de la SSII en Italie. Après s'être désengagé de l'Allemagne en début de mois, la SSII se désengage en effet de l'Italie, ce pays lui occasionne une perte de 42 ME (sur les 57,8 de la totalité des activités). Les deux cessions sont intégrées dans les comptes 2009. L'Allemagne représente une perte de 9,3 ME, due essentiellement aux moins values de cession, cette filiale est en recul de 9,1%. L'Italie recule de 33%, le résultat des activités cédées se monte à -42 ME (-10 ME de résultat net, -20,2 ME d'écarts d'acquisition, 3,5 ME de pertes complémentaires). Le discours de la SSII est donc d'annoncer une forte perte, mais de la justifier de manière plausible, en adéquation avec son plan der redressement annoncé au mois de juillet dernier. Outre ce désengagement, ce plan doit lui permettre de s se repositionner sur des offres à plus forte valeur ajoutée. La société procède également à des économies comme le regroupement de ses sept implantations franciliennes sur un seul site à Saint-Ouen l'été prochain. (...)

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