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(30/03/2012 10:21:20)
Infogérance d'infrastructure : SCC va renforcer son Service Desk
Composé 80 techniciens aujourd'hui, l'effectif du centre de support technique (service desk) mutualisé que SCC héberge dans ses locaux de Lieusaint (77) devrait passer à 150 personnes d'ici la fin 2013. Le revendeur grands comptes à déjà bien balisé son plan d'embauche de techniciens et d'ingénieurs en programmant trois sessions de recrutement. La première s'achèvera fin avril et vise l'entrée de 35 nouveaux collaborateurs dans la société. La seconde se terminera fin 2012 avec en ligne de mire le ralliement de 15 personnes. Enfin, une vingtaine d'autres personnes devraient être recrutées d'ici la fin 2013.
En embauchant de la sorte, SCC anticipe sur la forte croissance d'activité qu'il attend de son service Desk dans l'année et demie qui vient. A l'issue cette période, le chiffre d'affaires de cette structure qui compte actuellement une centaine de client devrait avoir été multiplié par deux. Elle le devra notamment à la récente signature d'un contrat d'importance avec un client industriel qui va monopoliser à lui seul 40 collaborateurs du support technique de Lieusaint. (...)
Annuels SQLI : La SSII améliore sa rentabilité malgré un CA en baisse
SQLI confirme les résultats préliminaires envisagés il y a un mois. La SSII annonce une baisse de 5,4% de son chiffre d'affaires (CA) annuel à 164,7 millions d'euros. A périmètre comparable, les facturations sont en léger repli de 0,2%. La société explique s'être recentrée sur des activités stratégiques et l'amélioration de sa gestion (hausse du taux d'activité et baisse des frais de structure).
Les chiffres de la rentabilité sont positifs. Le résultat opérationnel courant grimpe de 5,7%, à 8,3 millions d'euros. Le résultat opérationnel progresse de 7,9% à 8,2 M€. Le résultat net part du groupe est en hausse de 5,9% à 4,1 M€. Le groupe tire un trait sur deux exercices annuels déficitaires.
SQLI aborde 2012 dans de meilleures conditions. La société a engagé un plan stratégique, le plan Boost qui en est à sa deuxième phase. Après celle de la rationalisation, elle entame celle de l'efficacité opérationnelle, marquée par de meilleures synergies entre les différentes entités. Elle n'exclut pas des opérations de croissance externe.
(...)(26/03/2012 08:37:09)Annuels Computacenter : un CA de 2,85 milliards de livres en 2011
Computacenter a réalisé un chiffre d'affaires de 2,85 milliards de livres en 2011, en croissance organique de 2,2%, en croissance totale de 6,6%. Côté rentabilité, le résultat ajusté avant impôts a progressé de 12,4% pour atteindre 74,2 millions de livres contre 66,1 millions en 2010. Quant à la trésorerie nette, avant financement spécifiques clients (FSC), elle s'élève à 136,8 millions de livres contre 139,4 millions en 2010.
L'activité progresse en Allemagne et en France, le Royaume-Uni s'avère plus faible. Mais l'année a surtout été marquée par les acquisitions de Top Info, HSD et Damax, pour un coût total de 25 millions de livres.
Top Info intégré sur 3 trimestres
Concernant la France, Computacenter précise que Top Info a été intégré sur 3 trimestres. Mais plus de la moitié de l'amélioration du résultat a été réalisé organiquement. Le CA dans l'hexagone a progressé en organique de 6,5%. Le CA total incluant 3 trimestres de Top Info, a augmenté de 31,4% pour atteindre 551,3 millions d'Euros contre 419,4 millions en 2010. « Le chiffre d'affaires de l'activité de distribution a augmenté de manière substantielle avec une croissance de 35,5% Top Info inclus, et de 7,1% hors Top Info, précise la société.Les Services ont augmenté de 11,1% et de 3,9% hors Top Info. »
Les forces de vente de Top Info et de Computacenter France ont été regroupées en une seule entité et les entreprises ont fusionné le 30 décembre 2011.
Prochain grand chantier pour Computacenter en France, l'adoption de l'ERP du groupe, ce sera pour 2013, le Royaume-Uni et l'Allemagne ont déjà adopté ce système.
La Fondation Cigref publie les résultats de 2 études
Le Cigref (Club Informatique des Grandes Entreprises Françaises) a créé une Fondation scientifique en 2008 et a débuté ses travaux en 2009 autour de cinq axes (stratégie, sociétal, organisationnel, régulation et technique). « Le Cigref a un rôle ici et maintenant ; la Fondation vise, elle, à éclairer le chemin vers demain (2020) et ailleurs » a rappelé Jean-François Pépin, délégué général du Cigref le 14 mars 2012. Ce jour, la Fondation Cigref a présenté publiquement les résultats de deux programmes de recherche internationaux.
Le premier, réalisé avec le professeur Francis Pereira de la Marshall School of Business de l'université de Californie du Sud, concernait les modèles d'affaire face au défi du numérique. Le second a été réalisé par Marie-Hélène Delmond et Alain Keravel, professeurs à HEC, ainsi que Fabien Coelho et Robert Mahl de Mines-Paritech, et concernait la coproduction de valeur en lien avec les systèmes d'information.
Un monde de plus en plus perturbé
Francis Pereira a ainsi rappelé que l'émergence du digital a entraîné trois bouleversements dans le business : la vélocité (accélération de tout), la turbulence (interactions variables au sein d'un écosystème économique) et les nouvelles architectures de services comme de technique. D'ici 2020, trois changements majeurs sont attendus : la primauté de l'expérience client pour guider ses choix d'achats, la co-création de valeur (bottom-up, open-innovation...) et l'expérimentation continue (informations circulant en permanence).
Il en résulte un fort impact sur les modèles économiques à base d'usage. L'innovation ne repose pas nécessairement sur l'innovation technique. Intégrer un accéléromètre bon marché dans une chaussure de sport et le relier à une application iPhone est juste un assemblage. C'est pourtant la nouvelle création de valeur de Nike avec son produit Nike+.
Marie-Hélène Delmond et Alain Keravel ont, pour leur part, rappelé combien les évolution du monde hiérarchique ou linéaire (fournisseur-producteur-distributeur-client) vers le monde en réseau évolutif transforme tout. Le client devient partenaire, tout comme le fournisseur voire le concurrent. Transformer les relations au sein d'un réseau peut être créateur de valeur pour telle ou telle composante voire pour toutes. Ainsi, Rexel comme Salesfroce ont su créer des outils qui permettent à leurs clients de devenir fournisseurs ou à leurs fournisseurs de devenir leurs clients, en se situant au coeur de nouvelles relations et de nouvelles propositions de valeur. Ces entreprises deviennent ainsi incontournables pour chaque autre composante du réseau alors que le maintien des anciennes relations les mettait à la merci de la concurrence. (...)
Annuels Neurones : 18,2% de croissance organique en 2011
C'est peu de dire que Neurones sur performe le marché, avec 18,2% de croissance organique elle est très loin des 2,7% de progression globale des SSII. Le chiffre d'affaires (CA) s'élève à 283,3 millions d'euros (ME) contre 239 ,6 un an auparavant. Le résultat opérationnel se monte à 26,3 ME, soit 9,3% du CA. Le résulta net est de 17 ME, le résultat net part du groupe de 14,8 ME. (...)
(06/03/2012 11:13:25)Terreal confie l'infogérance de son parc informatique à SCC
La société Terreal, qui fabrique des matériaux (essentiellement en terre cuite) d'enveloppe du bâtiment (toiture, façade...), dispose de 16 sites en France représentant 1200 utilisateurs de postes de travail (dont 20 VIP), 110 serveurs, 20 routeurs et 140 switches.
Dans le cadre d'une démarche d'amélioration continue de la qualité de service rendue aux utilisateurs et d'optimisation des coûts, l'entreprise a décidé d'externaliser l'administration de ce parc matériel ainsi que le support aux utilisateurs. Ce support inclut l'accueil des demandes et incidents, la résolution de niveau 1 des incidents applicatifs et bureautiques, la gestion de l'escalade vers les niveaux de support 2 et 3, la supervision et l'administration du parc matériel... La prestation devait aussi inclure l'analyse et le reporting de la qualité de service dans le cadre d'une démarche d'amélioration continue.
Après appel d'offres, le contrat a été confié à SCC à compter de janvier 2012. La qualité reconnue de l'offre d'infogérance, sa complétude et l'acceptation de la démarche participative d'amélioration continue ont été des critères majeurs de choix.
La SSII est aussi intervenue en appuis sur de la négociation avec Microsoft sur les tarifs de licences et, via sa filiale Recyclea, sur le recyclage des déchets informatiques. Enfin, la communication de la DSI autour du lancement du nouveau service de support aux utilisateurs a été gérée en partenariat avec SCC à partir de novembre 2011 : informations via e-mail, vidéos... Le coût de la prestation n'a pas été communiqué. (...)
Marché mondial de la IT en 2012 : PAC souligne les disparités entre pays
La disparité entre régions mondiales est particulièrement nette dans le domaine IT. Par exemple en Grèce, Italie, et Portugal où les entreprises sont principalement axées sur le court terme et les réductions de dépenses informatiques. Dans d'autres régions (par exemple l'Australie, les États-Unis ou les pays BRICS), elles sont plus ouvertes à l'investissement, le plus souvent en tirant parti des technologies de l'information.
En fait, toutes les entreprises, en bonne ou en mauvaise santé, cherchent à diminuer leurs dépenses. Obtenir «plus pour moins» de leurs fournisseurs informatiques les aide à financer des investissements dans l'innovation, remarque le cabinet Pierre Audoin Consultants. Toutefois, il y a différentes façons de réduire les coûts informatiques. La plupart des entreprises sont encore dans le processus de consolidation de leur paysage informatique, à la fois de l'infrastructure et des applications. "Seules quelques-unes d'entre elles peuvent déjà prétendre voir la fin d'un voyage long et épuisant vers une structure maigre et flexible», explique Christophe Châlons, Chief Analyst de PAC.
La consolidation de l'infrastructure est désormais le plus souvent associée à la virtualisation. Les utilisateurs et les décideurs sont de plus en plus prêts à mettre en oeuvre des normes avec une personnalisation limitée. Ils cherchent également à mettre en oeuvre les normes de consumérisation de l'IT. Ces deux points sont des pré-requis pour la plupart des modèles de cloud computing.
Moins de fournisseurs IT
Autre tendance, «l'industrialisation, les centres de services partagés et l'offshore ont encore gagné du terrain, à la fois côté utilisateur et côté fournisseurs», explique Franck Nassah de PAC. La réduction du nombre de fournisseurs informatiques s'accélère, avec la recherche d'un petit nombre de fournisseurs privilégiés à travers plusieurs régions. "La tendance à l'externalisation dans ses différentes formes se poursuit sans relâche, car elle génère à la fois des économies de coûts et un déplacement de CAPEX rapporté aux OPEX», ajoute Karsten Leclerque de PAC.
Pour 2012, PAC voit arriver trois innovations majeures :
1. Tablettes et mobilité : «Les entreprises visent à intégrer de nouveaux appareils mobiles comme les téléphones intelligents et les tablettes dans leur modèle d'affaires, tout d'abord pour les ventes, le marketing et les services de relations client, mais aussi de plus en plus d'applications internes comme la gestion, la production ou la logistique », explique Nicole Dufft de PAC.
2. « L'analytique n'est pas un sujet nouveau, en revanche l'analytique en temps réel, associé à la technologie en mémoire, la visualisation de données, le traitement des flux et le « big data », ou comment faire l'usage le plus efficace de la surcharge d'information, donnent un coup de pouce aux investissements dans ce domaine », explique Olivier Rafal de PAC.
3.L'intégration multi-canal présente de nouveaux concepts comme la stimulation de projets innovants, avec maintenant des réseaux sociaux de plus en plus puissants qui vont devenir un facteur clé de succès pour la plupart des organisations. "Ceci s'applique au gouvernement et à l'industrie, y compris les finances, l'industrie, la distribution, les télécommunications et les transports», ajoute Philippe Carnelley de PAC.
Annuels Prologue : CA 2011 en baisse sur fond de plan de redressement
Prologue publie ses résultats annuels 2011. Le chiffre d'affaires (CA) recule de 6,7% à 22,5 millions d'euros (ME). C'est l'activité d'édition qui fait plonger la société, elle représente 7,4 ME, en baisse de 23,9%. La partie intégration, 5,8 ME, progresse de 1,5%. L'activité opérateur de système d'information et télécommunications est en hausse de 7,3% à 9,2 ME.
La nouvelle direction, en place depuis dix huit mois, souligne en particulier ses efforts en R&D, avec le développement de nouveaux logiciels, son intégration au projet CloudPort, soutenu par le gouvernement. En revanche, côté finances, l'actualité est toujours aussi sombre. Outre des résultats négatifs, la société doit procéder à son redressement. Le Tribunal de commerce d'Evry a adopté son plan de continuation au mois de décembre dernier. Plan qui prévoit un abandon de 50% de créances et implique au cours de 2012, « une ou plusieurs opérations de marché » selon l'expression de la société.
Les entreprises maintiennent en 2012 leur budget IT de 2011, selon IDC
A en croire IDC, 2012 ne sera pas une année de récession pour les marchés de l'informatique et des télécoms en France. Selon le cabinet d'études, le marché de l'informatique devrait dégager un chiffre d'affaires global de 47,1 Md€, en hausse de 1,2% sur un an.
Une très importante part de ces revenus sera générée par le marché professionnel (logiciels, matériel et services hors télécoms) dont la croissance devrait représenter +0,7% à 42,8 M€. S'agissant du segment grand public, IDC table sur un chiffre d'affaires de 4,3 Md€ en hausse de 5%. Enfin, le marché des télécoms devrait voir son activité baisser de 1,3% dans les domaines des services de télécommunication voix et données tandis que les achats d'équipement en téléphonie mobile (téléphones et smartphones) progresseront de 11% sur l'année.
Matériel : le grand public tire la croissance du marché
Même si IDC parie sur une croissance globale du marché IT, le cabinet d'études n'en déclare pas moins que la conjoncture économique à un impact certain sur sa progression. A titre d'exemple, la croissance du seul marché de l'informatique professionnelle entre 2010 et 2011 fut deux fois plus importante que celle attendue cette année. Elle s'élevait alors à 1,5% exactement. Le marché du logiciel ne progressera quant à lui que de 1,6%. Dans ce domaine, il est toutefois bon de distinguer certains secteurs dynamiques qui résistent habituellement aux crises (CRM, BI, sécurité, stockage, collaboratif...) des secteurs en mutation vers le SaaS (Software as a service) ou en perte de vitesse (comptabilité, systèmes d'exploitation, GPAO, certains applicatifs métiers).
Quand au segment du matériel, il s'en sortira avec une croissance globale de 1%, largement imputable aux ventes attendues sur le marché grand public. Dopé par les achats de tablettes média, celui-ci devrait enregistrer une hausse de 5,7% tandis que les ventes de hardware sur le marché professionnel baisseront de -1,4%.
Budgets IT non remis en cause mais pression sur les prix
Faut-il pour autant pousser un grand ouf de soulagement en prenant pour acquise l'évolution positive du marché de l'IT en 2012 ? IDC semble pencher vers un « oui » mais la prudence doit rester de mise, comme l'explique Karim Bahloul, directeur de la Recherche et du Conseil chez IDC France : « Evidemment, on peut redouter un scénario noir d'effondrement de la zone euro qui remettrait tout en cause. Mais c'est un scénario auquel nous ne croyons pas. Clairement, ce qui se passe en 2012 n'est pas de même nature que cette crise de 2008 qui avait vu les investissements ICT complètement s'arrêter. »
Cette prudence, les entreprises en font usage avec parcimonie. Leur budget IT n'a pas été remis en cause mais stagne pour pouvoir engager des projets qu'elles ne souhaitent pas remettre en cause autour du poste de travail, de la mobilité, du Cloud Computing, du Décisionnel et du Big Data. En contrepartie, elles mettent une pression sur les prix et rationalisent l'existant en termes d'infrastructures et d'applicatifs.
La Fondation Dauphine scrute l'équipement numérique des Français
Première donnée livrée par le Baromètre trimestriel de l'économie numérique lancé par la Fondation Dauphine : trois foyers sur quatre, sont équipés d'un micro-ordinateur. Au total, 20 162 000 Français disposent de cet équipement. 73,9% des foyers, en hausse de 1% par rapport au troisième trimestre 2011. La même proportion, ou presque, se retrouve dans l'accès Internet : 19 896 000 de foyers sont concernés, 72 ,9%, en hausse de 1,8% par rapport au T3 2011. Précisant un peu plus ce point, l'étude montre que 18 526 000 de foyers disposent d'un accès internet haut débit. Cela correspond à 67,9% des foyers, en augmentation de 1,2%. Et 93% des foyers accédant à Internet le font en haut débit.
Voilà pour l'équipement de base. Concernant les sujets plus récents, l'étude montre que 7,6% des Français disposent de la TV connectée (la télécommande permet d'accéder à Internet sur le téléviseur), c'est 2 073 000 de français, en hausse de 31% (491 000 de plus en trois mois).
Au-delà du quantitatif, le Baromètre veut montrer quels sont les usages. Au cours du dernier mois, 18 666 000 de personnes ont effectué un achat en ligne, soit 34,6% des Français. Ils sont 38,8%, soit 20 923 000, à pratiquer la banque en ligne, en baisse de 2% par rapport au trimestre précédent. La pratique des sites communautaires (Facebook, Myspace, Youtube, Viadéo...) est encore plus populaire, avec 48,1% d'adeptes, soit 25 920 000 de Français, en baisse de 1%.
44 millions de mobiles, 17 millions de smartphones
La mobilité présente un visage différent. D'abord par le nombre d'utilisateurs. 82,5% des Français possèdent un téléphone mobile, soit 44 460 000 abonnés, 8 Français sur 10. 17 004 000 ont un smartphone, soit 40% des téléphones mobiles en circulation.
Là encore, l'étude scrute les usages. 42,8% des mobinautes ont consulté un service mobile (au cours du dernier mois), leur messagerie, ou bien ont téléchargé. 31,7% ont envoyé ou consulté leur mail, à partir de leur mobile. 10,2% ont effectué un achat à partir de ce téléphone.
L'étude se penche longuement sur les forfaits et demande aux Français quelles raisons les pousseraient à changer de fournisseur d'accès. Très nettement, le prix arrive en tête, avec 85% des réponses, suivi de (très) loin par la qualité de connexion (36,7%), le débit (33,4%), l'accès à davantage de services (30,1%). Le prix est donc largement plébiscité, mais, dans les tranches d'âge des 15-34 ans, les services proposés et les fonctionnalités des matériels arrivent en tête. Les plus de 50 ans mettent en avant la qualité de service.
Le Baromètre se risque ensuite à quelques questions plus diverses pour tester la maturité des Français. Résultat : ils connaissent largement le nom du 4ème opérateur de mobiles qui vient de se lancer (plus de 80%), savent que le téléphone mobile permet d'acheter en ligne (plus de 80%), mais sont une minorité (moins de 10%) à avoir revendu des cadeaux de Noël sur Internet.
(*) La Chaire d'économie numérique de l'Université Paris-Dauphine dirigée par le professeur Dominique Roux et la Fondation Dauphine sont à l'initiative de ce projet
Méthodologie :
Trois études : équipement multimédia T4 et T3 2011 (Médiamétrie et GFK) avec 22 000 foyers interrogés par an, Observatoire des usages Internet (T4 et T3 2011) portant sur 1 000 individus de 11 ans et +, Mobile consumer insight téléphonie et services mobiles (T4 et T3 201) réalisée chaque trimestre sur 3 000 individus de 11 ans et +.
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