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Secteur public

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(03/04/2007 17:21:45)

BT devient le FAI officiel de la Commission européenne

Le commissariat général pour les technologies de l'information de la Commission européenne vient de sélectionner BT comme fournisseur d'accès à Internet. Selon les termes de ce contrat de quatre ans (extensible à huit ans, pour une valeur de 22,5 M€), l'opérateur britannique fournira un ensemble de services à 17 sites en Europe. Soit, en plus de l'accès à Internet : accès WiFi, filtre antispam, enregistrement de noms de domaine, etc. Ce contrat cadre prévoit aussi que d'autres organisations européennes puissent faire appel aux services de BT, notamment le Parlement européen et le Conseil de l'Europe. (...)

(29/03/2007 16:50:02)

Informaticiens demandés au salon de l'emploi public

Le salon de l'emploi public se déroule jusqu'à samedi 31 mars au Palais des Congrès (Paris) mais d'ores et déjà se dégage une tendance nouvelle : les informaticiens et les nouveaux métiers liés à l'informatique sont les bienvenus ! Monster Public et Acteurs Publics ont réalisé une étude qui montre qu'en raison du papy boom, de la diminution prévue des cadres dans le secteur public, et de l'augmentation des nouveaux systèmes d'informations dans les administrations, les collectivités ne peuvent plus se permettre de faire l'impasse sur les compétences liées à tous les nouveaux métiers de l'informatique en se contentant d'avoir exclusivement recours à l'externalisation. La révolution du numérique touche l'administration Jusqu'à présent en effet, les pouvoirs publics avaient eu recours aux systèmes informatiques pour moderniser ministères et administrations et quelques-unes des plus grosses SSII de Paris ont joué le rôle de conseil et de prescripteur depuis quelques années. De nombreux informaticiens travaillent donc régulièrement pour le secteur public ou même en son sein mais avec un statut de salarié de leur entreprise. Il semble qu'aujourd'hui un nouveau cap soit franchi par l'administration avec le recrutement, pour ses propres besoins, d'un personnel du monde informatique, habitué aux sites d'emplois. L'étude Monster Public/Acteurs Public confirme cette évolution : « pour la première fois, un état comparatif chiffre les usages de l'Internet en matière de recrutement public parmi les 27 pays membres de l'union européenne. Les Pays Bas, le Royaume-Uni et l'Allemagne arrivent en tête de ce classement, la France est en septième position. » (...)

(28/03/2007 14:03:09)

Trophées entreprises et société de l'information : 7e édition

Les Trophées Entreprises et société de l'information, organisés par Le Monde Informatique et CIO (groupe IDG), en seront le mois prochain à leur septième édition. Au fil des ans, depuis 2001, les lauréats des Trophées entreprises et société de l'information ont tous connu un destin intéressant. Air-France, premier lauréat du Grand Prix, a réussi une formidable progression où la performance de son informatique a joué un rôle considérable. Service-Public.fr est devenu une référence incontournable des services en ligne. Et les exemples peuvent ainsi être multipliés. Les hommes n'ont pas été oubliés dans cette histoire : beaucoup ont connu une progression de carrière intéressante, à l'image de Cyril Garnier. Prenant le parti, dès le départ, d'associer le succès du service informatique à celui d'une direction métier voire de la direction générale, nous évitions « l'effet star » générateur de jalousies pour nous concentrer sur l'oeuvre, au sens des compagnons et des maîtres du Moyen-Age. Eh oui, les chefs d'oeuvre que nous avons mis en avant sont souvent superbes ! Quelles entreprises, associations et administrations auront-elles été jugées les meilleures cette année pour créer et partager l'innovation informatique ? Réponse le 5 avril. (...)

(23/03/2007 14:15:51)

Roaming : les députés européens moins exigeants que la Commission

Les membres de la Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs du Parlement européen ont adopté un texte fixant les tarifs du roaming (itinérance d'un réseau à l'autre) entre opérateurs mobiles. Le coût d'un appel passé depuis l'étranger, que ce soit vers le pays d'origine ou à l'intérieur du pays visité, ne devrait plus dépasser 0,5 € la minute hors taxe tandis que le montant facturé pour un appel reçu ne franchirait plus la barre des 25 centimes. Ces tarifs sont en phase avec ce qu'avait laissé entendre la commissaire européenne Viviane Reding la semaine dernière à Hanovre à l'occasion du Cebit. Toutefois, ces mesures ne s'appliqueraient automatiquement qu'aux nouveaux clients. Les autres devront en faire la demande pour en bénéficier. On est donc loin du projet de réglementation initial qui plafonnait pour tous les clients les appels de l'étranger vers le pays d'origine à 0,49 €, les appels à l'intérieur du pays visité à 0,33 € et les appels reçus à 0,16 €. C'est ce qui explique que le texte amendé n'a bénéficié que d'une très courte majorité (22 voix contre 21), le rapporteur du projet, le socialiste maltais Joseph Muscat, votant même contre. Il n'est donc pas exclu que les eurodéputés, qui devront se prononcer sur ce sujet le 10 mai, n'adoptent pas le texte en l'état. On attend aussi avec intérêt l'avis de la Commission de l'industrie qui va se prononcer sur le projet le 12 avril. Le Bureau européen des unions de consommateurs, qui regroupe 18 associations dont l'UFC-Que Choisir, déplore que l'Europe s'apprête « à laisser la majorité des consommateurs européens sans protection et à la merci des opérateurs télécoms ». L'association française, très active sur le sujet, a de son côté publié un communiqué de presse. « Si personne ne conteste la légitimité des opérateurs à faire des gains importants, comment justifier qu'un règlement européen les autorise à pratiquer des marges de 357% », peut-on y lire. Rappelons que la France, par la voix du ministre délégué à l'Industrie François Loos, s'est prononcée contre une baisse drastique des tarifs, adoptant ainsi le point de vue de la GSM Association, qui regroupe l'ensemble des opérateurs mondiaux ainsi que les équipementiers. Cette dernière n'a pas hésité à accuser la Commission européenne de violer les principes de proportionnalité, de subsidiarité et de non-discrimination et de ne pas avoir réalisé d'étude d'impact. (...)

(20/03/2007 12:20:30)

Europe : La mise en commun des empreintes ADN se précise

Le quotidien en ligne LeMonde.fr rapporte que l'Union européenne veut se doter d'une base de données d'empreintes digitales et génétiques. Dans leur article, nos confrères relayent une information publiée par le Times, selon laquelle Bruxelles envisage de transposer le traité de Prüm, qui organise cette mise en commun des empreintes, dans le droit européen. L'information n'est, en réalité, pas extrêmement fraîche : dès le mois de janvier, nous ouvrions nos colonnes à ce sujet et évoquions la volonté de l'Allemagne, qui occupe la présidence de l'UE depuis le début 2007, de voir les dispositions du traité de Prüm entrer dans le paysage juridique européen. Les ministres européens de la Justice et de l'Intérieur étaient réunis à Dresde, mi-janvier, pour discuter de ce projet. Un mois plus tard, les Etats membres parvenaient à un accord de principe. Rappelons que le traité de Prüm, signé en mai 2005, met en place une coopération policière renforcée entre ses sept signataires. Ceux-ci peuvent accéder mutuellement à leurs bases de données d'empreintes digitales et ADN, ainsi qu'aux fichiers des immatriculations de véhicules. Les polices des pays signataires peuvent également franchir les frontières sans autorisation, en cas d'urgence. (...)

(19/03/2007 18:03:26)

Accès Internet : 51% de plaintes supplémentaires en 2006

L'Afutt (Association française des utilisateurs des télécommunications) publie son observatoire annuel (2006) des plaintes et des insatisfactions dans le secteur des communications électroniques (fixe, mobile et internet). En 2006, l'association a reçu près de 12 000 plaintes, en hausse de 35% par rapport à 2005 et 106% par rapport à 2004. « Incontestablement, ces chiffres sont le reflet d'une certaine dégradation de la qualité de service » relève l'Afutt. Tous secteurs confondus, les litiges portent prioritairement sur la qualité de fonctionnement, la livraison, l'installation et les interruptions de services (voir tableau). Les FAI mauvais élèves Peu de surprise, la majorité des griefs porte sur les services triple play des FAI (64%), suivi de loin par les plaintes envers les opérateurs mobiles (21%) et les services fixes traditionnels (15%). Le secteur Internet est en forte hausse. Le sujet apparaît comme « préoccupant » selon l'Afutt. La téléphonie mobile quant à elle, en baisse depuis quelques années, repart à la hausse tirée par les plaintes envers les MVNO (+ 555% !). Alice, peut mieux faire Sur l'Internet et services IP associés, l'essentiel des plaintes porte sur la qualité de service (débit, qualité audio, indisponibilité du service...) et les problèmes d'installation. L'Afutt relève notamment de graves dysfonctionnements sur les procédures de dégroupage et comptabilise de nombreux « écrasements à tort ». Viennent ensuite les problèmes de résiliation, de facturation, de vente forcée et de services clients. Alice se classe première du podium des générateurs de plaintes (ratio plaintes/parc de 2,80), suivie de près par Free (1,98) et Club Internet (1,92). Orange fait figure de bon élève (0,26). Les plaintes sont diluées dans le nombre d'abonnés. Alice a dû notamment faire face à une évolution technique de son réseau et à une croissance exponentielle de son activité. Les choses devraient s'améliorer courant d'année. Polémique sur le 100% illimité de France Télécom Sur le fixe classique (réseau téléphonique commuté), les litiges portent essentiellement sur les problèmes de facturation, notamment les fraudes des kiosques micro (ou "dialers"). L'Afutt relève aussi des contestations contractuelles, dues notamment à l'offre « 100% illimité » de France Télécom, commercialisée puis subitement retirée du marché. La vente forcée, comme toujours, revient régulièrement chez les opérateurs alternatifs. Les MVNO plombent les résultats du mobile Afin de dégager des tendances globales par secteurs (fixe, mobile, internt), l'Afutt a calculé un ratio plaintes/parc qui permet de faire ressortir les mauvais élèves de chaque groupe. Sur le mobile, pas de surprise, les MVNO tous confondus arrivent en tête (18,8) suivis de très très loin par Bouygues Télécom (1,015), SFR (0,671) et Orange (0,666). Les motifs sont principalement liés aux conditions de résiliations anticipées, les litiges sur les contrats (notamment chez NRJ Mobile), les facturations non justifiées, le recouvrement et le SAV. Globalement, l'Afutt critique des pratiques commerciales trop agressives et des technologies pas toujours bien maîtrisées. (...)

(19/03/2007 15:49:41)

Cebit 2007 : L'Europe veut imposer le DVB-H

A l'occasion du Cebit de Hanovre, Viviane Reding s'est prononcée en faveur de l'adoption par les Européens de la norme DVB-H. "Avec un marché mondial estimé à 11,4 milliards d'euros en 2009, la télévision mobile offre à l'Europe la possibilité de combiner ses atouts en communications mobiles avec la richesse et la diversité de son secteur audiovisuel", a déclaré la commissaire européenne en charge des Télécoms. Celle-ci s'est déclarée déçue par les travaux de l'European Mobile Broadcasting Council (mis en place par la Commission en juillet 2006) qui n'ont pas permis à ses membres de se mettre d'accord sur une norme commune. "Je m'attendais à mieux en termes de solutions proposées", a déclaré la commissaire européenne. Rappelant ensuite que la Bruxelles avait investi 40 millions d'euros dans la recherche en ce domaine et que l'Europe avait déjà réussi à imposer la norme GSM, Viviane Reding s'est dite convaincue que seule la DVB-H permettrait de réaliser les économies d'échelle nécessaires pour assurer le succès commercial de la télévision mobile « en Europe et partout dans le monde". Selon elle, les essais effectués en Allemagne pendant la Coupe du monde de football 2006 ainsi que le lancement des premiers services commerciaux en Italie et en Finlande sont des exemples à suivre. La Commission souhaite gagner la course de vitesse qui l'oppose à l'Asie et aux Etats-Unis. La Corée du Sud tente d'imposer sa propre norme (DMB pour Digital Multimedia Broadcasting) tandis que la Chine développe la sienne en vue des JO de Pékin. De son côté, l'Américain Qualcomm a pris pied en Grande-Bretagne où BSkyB teste la technologie MediaFlo. C'est pourquoi Viviane Reding s'est fixé comme objectif l'adoption de la norme DVB-H avant l'Euro 2008. (...)

(16/03/2007 17:04:58)

Cybersquatting : des parlementaires veulent légiférer

Les députés se penchent sur le cybersquatting et entendent en faire interdire la pratique. Plusieurs élus ont ainsi déposé une proposition de loi visant à pénaliser le dépôt de noms de domaines appartenant à une entreprise « afin de profiter du trafic qui se crée spontanément autour de celui-ci », explique l'exposé des motifs. Le texte prévoit de punir de 45 000 € d'amende et de deux ans d'emprisonnement « le fait de demander à l'Association française pour le nommage Internet en coopération (Afnic), l'enregistrement d'un nom de domaine de deuxième niveau » dont le choix porte atteinte à une entreprise ou une personne physique. Cette mesure ne s'appliquerait qu'aux noms de domaine déposés auprès de l'Afnic, donc en .fr. Reste que le texte n'est qu'une proposition présentée par des députés et que ces derniers ne maîtrisent pas l'ordre du jour de l'Assemblée nationale. Sans compter que certains auteurs du texte pourraient ne plus siéger lors de son examen : la prochaine session parlementaire aura lieu après les élections législatives de juin. (...)

(15/03/2007 15:43:59)

Aux Etats-Unis la confidentialité des informations est loin d'être assurée

L'université de l'Etat de Washington, à Seattle, s'est penchée sur le traitement réservé aux informations confidentielles aux Etats-Unis. Selon les chercheurs, 200 000 données comportant des informations aussi importantes que le numéro de sécurité sociale, le numéro de carte bancaire ou la date de naissance seraient dispersées chaque mois dans la nature ou égarées. Mieux, le total des données perdues depuis les années 80 frôlerait les 72 millions. Une véritable aubaine pour les fraudeurs et les escrocs en tout genre, sans oublier les spécialistes du renseignement. La faute n'en reviendrait pas majoritairement aux cyberpirates mais bien à l'Administration américaine, aux entreprises privées et aux organismes indépendants. Ceux-ci endosseraient 61% des incidents divers (mise en ligne par distraction, pertes de supports numériques, absence de systèmes de sécurité fiables...) qui sont autant d'atteintes à la vie privée des individus. Les données confidentielles des entreprises font également l'objet de « bavures ». Les cyberpirates seraient quant à eux responsables de 31% des détournements d'information, tandis que 9% seraient dus à des causes inconnues. Ce qui n'est pas le moins inquiétant. Ces résultats recoupent ceux provenant d'autres sources. Ainsi un rapport de l'IT Policy Compliance Group, qui regroupe à la fois des entreprises privées comme Symantec et des instituts de recherche, attribuait la grande majorité des pertes et des détournements d'informations confidentielles à des erreurs humaines. Selon ce document publié la semaine dernière, les hackers ne seraient responsables « que » de 20% des fuites de données sensibles. (...)

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