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(12/05/2009 12:34:13)

Des utilisateurs de portables HP, Dell et Apple poursuivent Nvidia

Les utilisateurs de PC portables HP, Apple et Dell équipés de processeurs graphiques Nvidia ne décolèrent pas. Une poignée d'entre eux, irritée par les défaillances des GPU embarqués dans leur machine se traduisant par une surchauffe, se tourne désormais vers la justice américaine pour obtenir le remplacement des puces affectées. Les consommateurs marris entendent obtenir le droit de présenter une action collective devant les tribunaux de Californie et prétendent que des millions de PC sont potentiellement concernés par le dysfonctionnement. Nvidia avait reconnu, en juillet 2008, qu'une « quantité significative » de processeurs graphiques destinés aux PC portables de plusieurs constructeurs posait problème. Le mois suivant, le constructeur indiquait avoir provisionné 196 M$ pour le remplacement des puces défaillantes. Néanmoins, tous les possesseurs de machines affectées n'ont pu profiter d'une réparation. D'abord parce que Nvidia aurait minimisé l'ampleur des dégâts. Apple soulignait ainsi en octobre que le spécialiste des cartes vidéo « lui avait assuré que les Mac équipés de ces processeurs graphiques n'étaient pas affectés ». Cependant, après une enquête interne, le groupe de Steve Jobs contredisait les premières assertions de Nvidia et rejoignait HP et Dell dans la cohorte des constructeurs ennuyés par les GPU trop généreux en émissions calorifiques. Une seule solution valable : le remplacement des GPU Apple s'engageait alors à prendre en charge les réparations de tous les MacBook Pro concernés dans les deux ans suivant leur date d'achat, même si leur période de garantie était expirée. De leur côté, Dell et HP prenaient un chemin de traverse en proposant aux utilisateurs une mise à jour du Bios conçue pour augmenter la vitesse de rotation du ventilateur chargé de refroidir la puce graphique. Les deux constructeurs rejoignaient par la suite Apple en annonçant l'extension de la durée de la garantie pour les PC touchés. Les tergiversations des fabricants ont largement déplu aux consommateurs, pour lesquels seul le remplacement des GPU saurait constituer une solution. La 'bidouille' consistant à augmenter l'action du ventilateur, en particulier, est vue comme un remède « grossier et inadapté », concourant à affaiblir l'autonomie de la machine et les performances du système sans résoudre le véritable problème. Les plaignants vont même jusqu'à prétendre que cette mesure n'avait pour autre but que de maintenir les PC en état de fonctionnement jusqu'à l'expiration de la période pendant laquelle ils pouvaient être réparés par leurs constructeurs. De plus, plusieurs utilisateurs reprochent aux fabricants de limiter la liste des machines affectées à quelques modèles, proscrivant ainsi de nombreux PC une réparation gratuite. Par conséquent, la requête des plaignants vise à ce que Nvidia remplace l'intégralité des processeurs graphiques défaillants et prenne en charge les dommages causés aux machines les embarquant. (...)

(11/05/2009 15:45:50)

Xerox réduit l'empreinte écologique de l'impression standard avec une encre solide

Avec sa gamme ColorQube 9200, Xerox promet de réduire de 62 % les coûts de l'impression couleur en entreprise. Pour ce faire, il exploite désormais dans ses modèles multifonction d'entreprise standards, une technologie d'encre solide qu'il maîtrise depuis longtemps. Une démarche rendue possible parce que cette dernière autorise désormais une vitesse d'impression - 38 à 85 pages par minute - comparable aux modèles laser. En lieu et place de l'encre liquide classique ou du toner, le constructeur utilise quatre blocs de résine (bleu, rouge, jaune et noir) inodores et non toxiques. Ceux-ci s'insèrent directement dans le logement prévu à cet effet dans l'imprimante, sans cartouche ou bloc toner en plastique et fondent au moment de l'impression. De tels cubes simplifient le développement, réduisent le coût de fabrication et évitent les matières plastiques inutiles et difficiles à recycler. Selon Xerox, l'impact écologique de l'encre serait ainsi réduit de plus de 90%. Pour les entreprises clientes, ce système permet aussi de facturer l'impression en fonction de l'encre réellement utilisée, et non suivant un forfait tarifaire qui rend la page couleur - qu'il s'agisse d'une photo ou d'un texte en noir avec un simple logo en couleur - quatre fois plus chère que son équivalent noir et blanc (8 cents contre 2 cents selon la grille Xerox). En Europe, la première imprimante de la gamme ColorQube 9200 sera disponible à partir de septembre, pour un prix non encore communiqué. (...)

(27/04/2009 18:03:00)

Logitech dans le rouge pour la première fois depuis 10 ans

Logitech annonce ses premières pertes trimestrielles depuis 10 ans. Le spécialiste des périphériques pour ordinateurs personnels inscrit une perte nette de 35 M$ à la clôture des comptes de son quatrième trimestre fiscal 2009. Cette perte est la conséquence d'une baisse de 32% du CA à 407,9 M$. Sur l'ensemble de l'exercice, la baisse de CA dépasse 7% à 2,2 Md$ et une chute de plus de 50% de son bénéfice. La société a décidé de supprimer 500 postes, soit 15% de ses effectifs, afin d'économiser 100 M$. Pour le trimestre en cours, Logitech anticipe encore une perte nette. (...)

(24/04/2009 17:54:52)

Microsoft conclut le pire trimestre de son histoire

Pour la première fois depuis sa création, il y a 23 ans, Microsoft annonce un chiffre d'affaires trimestriel en baisse. La société qui, plus que toutes les autres, fonde l'informatique actuelle, enregistre une baisse de revenus de près de 6%, à 13,6 Md$. Dans la foulée, son résultat net s'effondre : -32% à 2,9 Md$. Ce tassement est d'une telle ampleur qu'il touche le résultat net cumulé sur neuf mois. Il baisse de 14%, à 11,5 Md$. Sur cette période, Microsoft parvient à afficher un CA en légère hausse (moins de 2%), à 45,3 Md$. Microsoft a pourtant serré les boulons ces derniers mois. Il est parvenu à réduire ses charges opérationnelles de 9%. Faute de procès, de paiements d'amende et de coûteux règlements à l'amiable ce trimestre, l'éditeur a pu réduire de 61% ses charges G&A (General and administrative). Il a cependant dû débourser 290 M$ de charges liés à 1100 licenciements. Le géant de Redmond n'échappe pas aux perturbations économiques La crise actuelle met en lumière les faiblesses du Microsoft. Au cours du trimestre, l'éditeur a été attaqué sur tous les fronts, mais ce sont les divisions Online et celles reliées à l'informatique personnelle qui ont le plus souffert. La division Services en ligne voit son CA chuter de 14,5%, à 721 M$ et, surtout, ses pertes se creusent encore : 575 M$ contre 226 M$ un an auparavant. La division loisirs et périphériques affiche aussi des pertes (31 M$, contre un résultat de 106 M$ il y a un an) sur un CA en légère baisse (-1,6%, à 1,5 Md$). Mais c'est sur la division Client (OS pour système individuel) que le retentissement de la crise est le plus remarquable : la vache à lait historique qu'elle représentait pour Microsoft n'est plus aussi prolifique, cette activité passe en troisième position du groupe en termes de revenus. Sur un CA en baisse de 15%, à 3,4 Md$, elle ne rapporte plus que 2,5 Md$ à l'éditeur. La sanction de cette baisse (-19%) est radicale : elle fait chuter le ratio CA/résultat opérationnel à 74%... Vista toujours boudé par les entreprises [[page]] Microsoft a dû casser les prix de Windows : alors que le nombre de licences vendu en OEM a baissé de 6%, le CA généré a chuté de 19%. Microsoft incrimine à la fois les netbooks (vendus avec du Windows XP à bas prix pour contrer Linux) et la morosité de la demande de "premium editions" par le marché professionnel. Comprenez, les entreprises ne veulent pas de Vista. Heureusement, la division Server and Tools voit son CA augmenter de 7%. Avec 3,4 Md$ engrangés, elle est devenue la deuxième division du groupe. Sa rentabilité progresse dans des proportions encore plus importantes avec un résultat opérationnel de 1,3 Md$ (+24%). Avec un ratio par rapport au CA de 39%, on est pourtant encore loin de la profitabilité des Windows clients. Microsoft souligne la progression des ventes de SQL Server, mais pas celle de Windows Server qui devrait pourtant être portée par les mises à jour vers la version 2008. L'intérêt pour la virtualisation ne doit pas être étranger à cette discrétion. Quant à la Business Division, dont 90% du CA provient des ventes de Microsoft Office et le reste du PGI (ERP) Dynamics, elle affiche des résultats mitigés. La plus importante division du groupe annonce un CA en baisse de près de 5%, à 4,5 Md$ et un résultat opérationnel en baisse de 8%. En cause, la chute de la demande du grand public (-30%, à 299 M$). Microsoft constate, outre la morosité générale du marché, un basculement ("shift") vers des "produits moins chers". Il doit s'agir de la suite bureautique gratuite Open Office. (...)

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