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PC et portables
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(12/10/2011 10:21:07)
La guerre des prix paupérise le marché des PC en Europe
Conséquence directe d'une politique de prix agressive destinée à écouler les surstocks constitués fin 2010, la baisse des ventes de PC en valeur a atteint -11% (hors tablettes) en Europe lors du troisième trimestre 2011. Sur le seul segment des PC grand public, le recul atteint -18%. Ces chiffres, livrés par Context, sont à mettre en parallèle avec les ventes en volume qui ont enregistré dans le même temps une belle progression de 9%. Celle-ci s'est donc révélée insuffisante pour contrebalancer la chute de 10% du prix moyen des ordinateurs sur le continent.
La France limite la casse
Si l'ensemble des marchés d'Europe ont été touchés, ce sont ceux d'Europe du Sud qui ont le plus souffert. En Italie, les ventes de PC ont ainsi reculé de 10,3% en unités et de 21,3% en valeur. En Espagne, les chiffres sont de -7% (volume) et -15% (valeur). En France et en Allemagne, les baisses de prix ont eu au moins le mérite de faire progresser les ventes en volume. Outre-Rhin, le nombre d'unités vendues s'est ainsi apprécié de 7% pour un chiffre d'affaires en repli de 5,6%. En comparaison, les ventes en volume ont été plus vigoureuses dans l'Hexagone (+12,6%) mais les revenus des constructeurs y ont reculé d'avantage (-6,7%).
L'interface tactile rend obsolète le clavier et la souris selon Gartner
Les fabricants de PC et d'électronique grand public ont remarqué un changement dans les attentes des consommateurs et ont incorporé des caractéristiques popularisées par l'iPad dans les nouveaux produits qu'ils développent. La technologie multitouch est devenue de facto l'interface des smartphones haut de gamme et des tablettes, et s'étendra à d'autres appareils grand public électroniques et aux PC.
L'étude remarque que les technologies d'interface peuvent être regroupées autour de cinq modalités de base. Elles incluent l'état d'esprit (de l'utilisateur), des hybrides humain-ordinateur, la détection d'action, de parole et de biocapteurs. La détection d'action a été largement utilisée par le tactile, par exemple appuyer sur une touche est le moyen standard pour interagir avec les appareils, tels que les tablettes, les PC et les smartphones.
L'interface multitouch est indispensable
Ces interfaces, comme le multitouch, sont indispensables pour étendre le déploiement de dispositifs informatiques sur de nouveaux marchés, smartphones, tablettes et hybrides vont devenir la première voie pour accéder à l'Internet. Le clavier sur PC est un obstacle majeur pour ceux qui n'ont pas eu l'opportunité de travailler avec azerty, note le Gartner.
Cette mutation est d'autant plus intéressante qu'une tablette peut remplacer plusieurs appareils électroniques dédiés en se connectant avec des périphériques différents. Dans les tableaux de bord des voitures, ils peuvent remplacer les appareils de navigation dédiés, ceux liés au divertissement, ou aux contrôles environnementaux. En connexion sans fil, ils vont remplacer un brassard de tensiomètre, un pèse-personne et un oxymètre et créer un moniteur de santé à domicile. Montez une tablette dans un projecteur, et il devient un système de signalisation numérique dans un magasin de détail ou un dispositif de transmission multimédia en continu via Internet.
Le salon CTIA sous le signe de Mango, Android et des tablettes bon marché
Le CTIA Entreprise et Applications qui débutent demain à San Diego sera l'occasion de quelques annonces autour des smartphones sous Windows Phone 7.5 (Mango) ou Android, mais aussi sur les tablettes. Si la mise à jour des smartphones vers la version 7.5 de Windows Phone a officiellement débuté à la fin septembre, beaucoup de spécialistes attendent de nouveaux terminaux. Quelques smartphones ont déjà été annoncés en Europe, comme le Titan HTC et le Samsung Omnia W.
Aux Etats-Unis, seuls deux produits ont été annoncés: le Radar de HTC (1er téléphone compatible avec le réseau 4G) chez T-Mobile et le Focus Flash de Samsung. Ce dernier est très mystérieux, car aucune photo n'a été publiée, ni son prix ou sa disponibilité. Prévu chez AT&T avant la fin de l'année, Il s'agira probablement d'une version Windows Phone de la gamme Galaxy S. Outre l'OS mobile de Microsoft, ce terminal comprend un écran 4,3 pouces Amoled et embarque un processeur cadencé à 1,4 Ghz, avec une connectivité HSPA+.
Si le Flash Focus est dévoilé, cela compensera l'annulation de l'événement entre Google et Android en raison de la mort de Steve Jobs. A cette occasion, le Galaxy Nexus (ou Nexus), ainsi que la version 2.4 d'Android (Ice Cream Sandwich) auraient du être dévoilés.
Des téléphones 4G sous Android
En l'absence de téléphone Mango, le salon offrira peut-être la présentation de terminaux sous Android. On pourrait ainsi admirer le LG Revolution 2, avec un processeur dual-core, un design très mince et un écran 4,5 pouces. Disponible aussi chez Verizon, le HTC Vigor pourrait créer la surprise sur le plan de l'affichage avec une résolution de 1280 sur 720 pixels, mais aussi sur l'intégration des technologies sonores acquises en rachetant AudioBeats pour 300 millions de dollars. Il sera double-coeur et compatible avec le réseau 4G de l'opérateur.
Huawei à la conquête des Etats-Unis
Huawei va tenir une conférence de presse le premier jour du salon pour discuter de « sa stratégie dans les terminaux aux Etatst-Unis ». Le constructeur chinois a récemment annoncé le lancement de plusieurs téléphones Android, comme l'Impulse 4G à 30 dollars auprès d'AT & T. Il est probable d'autres smartphones à bas coût soient présentés lors du salon, probablement des versions européennes ou asiatiques déclinées pour le marché américain. Côté tablettes, des rumeurs d'un produit à 200 dollars chez T-Mobile ont été lancées. Des photos ont été dévoilées sur le site Tmonews.com. La tablette serait dotée d'un écran 7 pouces, d'un processeur dual-core et de la version Honeycomb d'Android. Si les informations se révèlent exactes, alors les consommateurs américains disposeront d'une tablette concurrente de la Kindle Fire avec une expérience Android plus complète.
Illustration: Tablette Huawei
Crédit Photo: D.R.
(...)(10/10/2011 10:56:09)Google ajoute des fonctions de partage de bureau à Chrome
Appelée Chrome Remote Desktop, cette extension, en version bêta test, permet de connecter entre eux deux ordinateurs sous Windows, Linux, Mac et Chromebooks sur lesquels on fait tourner le navigateur Chrome. L'application permet d'accéder à toutes les données de l'ordinateur distant, à condition bien sûr, que l'utilisateur accepte d'en partager l'accès. Celui-ci communique un code unique que l'utilisateur distant doit taper pour se connecter via Chrome. L'authentification doit être renouvelée chaque fois que l'accès est accordé. L'extension pour le navigateur de Google est disponible depuis vendredi.
Cette fonction peut être très utile à ceux qui utilisent des services d'assistance technique à distance, par exemple des techniciens informatiques situés dans d'autres pays. Les entreprises ont également recours à des services similaires quand elles forment des employés sur de nouveaux logiciels ou systèmes.
D'autres produits déjà disponibles
Il existe sur le marché d'autres produits qui permettent le partage de bureau à distance, comme TeamViewer, gratuit pour un usage non commercial, ou encore les services du site Web join.me, également gratuits.
L'extension de Google permet actuellement aux administrateurs - ou à n'importe qui - d'avoir accès aux ordinateurs distants pour résoudre des problèmes techniques. Dans les notes de version, Google indique que « d'autres usages, comme l'accès à distance à son propre ordinateur, sont en préparation. » Selon Google, cette version bêta a pour but de montrer comment fonctionne la technologie « Chrome Remoting » et d'avoir un premier feedback des utilisateurs. Le site CNET a relayé ces spécifications techniques postées par Googler Alpha (Hin-Chung) Lam sur un forum de Google:
Le protocole utilisé a été mis au point à partir de plusieurs technologies de Google :
- La couche de fond est une connexion P2P établie par « libjingle ». C'est soit de l'udp ou du tcp. La connexion peut-être aussi relayée via Google.
- L'utilisation de l'implémentation « PseudoTcp » dans « libjingle » pour établir une connexion fiable.
- Au dessus, il y a une connexion SSL.
- « Protobuf » est utilisé pour les données structurées et le framing.
- La couche graphique est encodée en VP8.
Eric Haddad : Les trois ambitions de Google dans le cloud, SaaS, PaaS et DaaS
Le responsable de l'activité entreprise chez Google France, Eric Haddad dresse un premier bilan de son arrivée récente au sein de l'éditeur. Google Apps, App Engine, stratégie Device as as Service, les sujets ne manquent, ni les ambitions.
Pouvez-vous nous faire un point sur les activités de Google Entreprise sur le marché français ?
Nous ne communiquons pas de chiffres sur le marché français, mais sur le plan mondial, nous disposons de 4 millions d'entreprises clientes. Je remarque que nos marchés (le SaaS avec Apps et le PaaS, App Engine) ont timidement démarré il y a 3 à 4 ans avec quelques réalisations importantes, comme la signature d'un contrat avec Valeo (38 000 utilisateurs de Google Apps). Ces pionniers nous ont beaucoup apporté en retour d'expérience. Mais depuis quelques mois, je ressens dans mes dialogues avec les DSI Français, une phase de prise de décision beaucoup plus importante.
Comment expliquez-vous ce changement ?
Il existe plusieurs facteurs. Ainsi, les investissements massifs, rigides sont de plus en plus difficiles à faire passer au sein des entreprises. Nos solutions sont rapides à installer et s'adaptent aux évolutions des sociétés. En deuxième lieu, est-ce que le DSI doit être le patron de la messagerie ? Ce n'est pas sûr, il est peut-être là pour la gouvernance de l'IT. Enfin, la consumérisation des usages fait que l'utilisateur veut retrouver au sein de l'entreprise son environnement de messagerie et collaboratif.
Avec ces paramètres, nous nous attendons à une accélération de la signature des contrats pour les Google Apps. (...)
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