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PC et portables
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(21/10/2011 14:48:14)
Test de la Samsung Galaxy Tab 10.1 (MAJ)
Si la Galaxy Tab 10.1 est persona non grata dans certains pays en raison d'action judiciaire de la part d'Apple, la France est pour l'instant exemptée de ces bannissements et le test de la tablette - dans sa version 3G/WiFi/16 Go - a pu avoir lieu. En premier lieu, un petit tour du propriétaire s'impose. Tout d'abord, le poids affiche 556g soit environ 35g de moins que l'iPad. Pour les dimensions, Samsung a privilégié la finesse 8,65 mm d'épaisseur, mais surtout le constructeur coréen mise sur une prise en main « en mode de paysage » de la tablette. Tout est fait pour cela, implantation des boutons arrêt et volume, mais aussi les deux capteurs photos/vidéo. Le connecteur propriétaire pour charger l'appareil est également situé sur une tranche horizontale.
Notons quelques difficultés pour installer la carte SIM dans son emplacement, en revanche bon point il accueille des cartes SIM au format standard et non des micro-sim. La tablette est exempte de slot pour carte mémoire, mais le constructeur propose en option un lecteur ad hoc. Côté technique, la Galaxy Tab est équipée d'une puce double coeur Nvidia Tegra 2 cadencée à 1 GHz. L'écran de 10,1 pouces propose une résolution de 1280 sur 800 pixels. Les deux APN comprennent des capteurs de 3 mégapixels et 2 mégapixels, plus un flash LED sur le dos de l'appareil. Les matériaux choisis par Samsung donnent un sentiment mitigé, l'aspect plastique tranche avec la finition aluminium de l'iPad 2, mais la couleur blanche rehausse le tout.
Une richesse de fonctionnalités impactés par la fragmentation d'Android
Après ce petit tour d'horizon technique et design, intéressons-nous à la partie OS et logiciel. Côté système d'exploitation, la Galaxy Tab fonctionne avec la version 3.1 d'Android (une mise à jour en 3.2 est proposée), aussi appelée Honeycomb. Il est vrai qu'avec l'arrivée de Ice Cream Sandwich, la version 4 de l'OS mobile de Google, il y a de quoi s'y perdre. Si Samsung a pris le parti de l'horizontalité vu précédemment, il impose également le tout tactile, aucun bouton physique n'est intégré sur l'écran. La page d'accueil comprend déjà plusieurs applications pré-embarquées comme un lecteur de vidéo, un gestionnaire de mail, un calendrier, un lecteur de musique, YouTube, Map (la tablette est équipée d'une puce GPS)...
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Plusieurs « hub » sont disponibles comme le lecteur de magasines ou de livres, mais aussi un accès dédiés pour les enfants très friands de jeux et dessins animés. Sur la partie bureautique, Polaris Office permet d'accéder et de modifier des documents de la suite éponyme de Microsoft. Enfin, l'autonomie est respectée en lecture vidéo avec 8h sans avoir besoin de recharger.
En glissant son doigt de droite à gauche, Samsung a pré-configuré des pages avec certains widgets, agenda, fils d'informations. Côté navigation sur Internet, la tablette profite de la performance du navigateur Chrome. Les pages s'affichent rapidement, tout comme les photos et les vidéos. Petit bémol sur la gestion de Flash, malgré le téléchargement de l'application sur Android Market, la lecture du format est aléatoire sur certains sites. La boutique d'applications, même si elle ne rivalise pas avec l'AppStore, est suffisamment fournie, mais certaines applications ont du mal à fonctionner, voir ne marche pas (Asphalt 5 par exemple) sur la tablette. Un peu rageant mais un problème récurrent quand on regarde les commentaires des utilisateurs sur Android Market. La portabilité de certaines applications est victime de la fragmentation de la plate-forme.
Un prix très attractif
Au final, il est inévitable de faire la comparaison avec l'iPad 2 et de constater que si Samsung a fait des efforts sur la légèreté et le design de la Galaxy Tab, il reste quelques éléments à revoir. Est-ce qu'une tablette se prend horizontalement ? il s'agit d'une question psychologique, certes, mais aussi stratégique, tout laisse à penser que la tablette a été développée par la division PC de Samsung où la logique horizontale domine. Sur le plan de la navigation dans le menu des tablettes, les deux se prévalent. Par contre sur la richesse des applications et surtout l'intégration des certains composants comme Flash, l'iPad 2 est encore loin devant la tablette de Samsung, même avec une surcouche propriétaire, Android Honeycomb souffre de quelques lacunes et plante parfois. A 489 euros, soit plus de 120 euros de moins que la tablette d'Apple avec la même configuration, la Galaxy Tab reste un bon investissement en sachant que la partie soft ne peut qu'évoluer dans le bon sens...
(...)(21/10/2011 10:22:08)Baisse confirmée des ventes de PC grand public en EMEA selon IDC
La faiblesse de la demande des consommateurs et la prudence des entreprises expliquent, selon IDC, la baisse des ventes de PC, sur la région EMEA, au troisième trimestre 2011. Une baisse de 3,8% en moyenne. L'Europe n'est pas très vaillante, mais, remarque IDC, des marchés émergents comme l'Europe centrale et orientale, le Moyen-Orient et l'Afrique sont également plus ralentis.
C'est le quatrième trimestre consécutif de baisse sur ce marché et sur cette région. Une baisse explicable cette fois par la crise de la zone euro et le niveau élevé du chômage sur le vieux continent. Sans oublier l'orientation des dépenses vers les smartphones ou les tablettes opérée par les consommateurs qui diffèrent leur renouvellement de PC. Cette baisse concerne avant tout le segment des particuliers, où les ventes de PC ont baissé de 20,6% sur ce trimestre.
Le segment entreprises s'en sort mieux, avec une augmentation (moyenne sur la région) de 3,7% des ventes. Le moteur de la croissance reste ici le renouvellement des parcs qui se poursuit. Mais les entreprises ont peut être mobilisé des budgets avant un possible gel de ceux-ci. En outre, le troisième trimestre est traditionnellement stimulé par la demande dans le secteur de l'éducation, ce a contribué aux résultats positifs explique IDC. En revanche, la partie PME, en particulier les TPE ont continué à souffrir d'une demande intérieure lente et d'un accès limité au crédit. De même, l'administration publique est également restée affectée par d'importantes compressions budgétaires, conduisant à une faible demande pour les PC.
Fort logiquement, c'est au sud de l'Europe qu'on trouve les plus fortes baisses. L'Espagne et l'Italie affichent respectivement 37 et 31,3% de baisse. Les niveaux de stocks y sont élevés. La Grèce et le Portugal sont respectivement à 27,5% et 26,5% de baisse.
France et Allemagne mieux lotis
Parmi les principales économies de l'Europe, le Royaume-Uni reste la plus faible, avec une baisse de 10,9%. Cependant, la France et l'Allemagne sont mieux lotis, avec un déclin de 1,4% et 3,9% respectivement. La région nordique affiche la meilleure performance de ce trimestre, avec, pour les quatre pays, un taux de croissance combiné de 3,3%, grâce à une forte demande en entreprise.
"En ligne avec les attentes, les marchés PC en Europe centrale et en Europe de l'Est et sur le Moyen-Orient et l'Afrique [AME] ont enregistré une croissance molle de 4,8% et 7,4% respectivement», a déclaré Stefania Lorenz, directeur de recherche chez IDC CEMA.
Les pays PECO (Pays de l'Europe de l'Est et Orientale) ont connu une croissance moyenne positive. Toutefois, la République tchèque, la Pologne, la Slovaquie, la Bulgarie affichent des résultats médiocres.
Le continent africain (hors Afrique du Sud et l'Egypte) a surperformé avec une augmentation de 26,4% par rapport au même trimestre l'année dernière, grâce à une forte demande pour la mobilité. La région du Moyen-Orient, y compris l'Afrique du Sud et l'Egypte, a augmenté de 4,2%, tirée par la forte expansion dans le marché des PC portables.
42% de baisse pour Acer
Par constructeur, l'étude relève que HP a maintenu un leadership fort avec 5,51 millions de PC vendus, 19,2% de parts de marché, 3,4% de croissance par rapport au même trimestre de l'exercice précédent. Acer descend à la deuxième place et de manière expéditive. L'an passé il vendait 5,87 millions de PC, cette année, 3,4. Le taïwanais est passé de 21,2% à 12,7% de parts de marché. Une baisse de 42%.
Asus prend la troisième place occupée par Dell il y a un an. Asus a vendu 2,73 millions de postes contre 2,32 un an auparavant, soit 10,2% de parts de marché désormais, en hausse de 17,8%. Dell perd quelques plumes, en vendant 2,50 millions de PC contre 2,55, c'est 9,4% de parts de marché contre 9,2%, soit 2% de baisse.
Le cinquième, Lenovo enregistre une forte hausse, de 31,8%, avec 2,1 millions de PC vendus contre 1,64, soit 8,1% de parts de marché contre 5,9%. C'est bien lui, le grand vainqueur.
Les ventes de tablettes dépassent celles des netbooks
Le marché mondial des tablettes a, pour la première fois, dépassé celui des netbooks au deuxième trimestre, à raison de 13,6 millions de ventes contre 7,3 millions, selon une étude d'ABI Research dévoilée le jeudi 20 octobre. Sans surprise, l'iPad 2 domine les ventes, avec pas moins de 68% de parts de marché sur ce trimestre.
Au premier trimestre, la tendance était complètement inverse avec 8,4 millions de netbooks vendus, contre seulement 6,4 millions d'ardoises. ABI Research prévoit au total 60 millions de tablettes vendues dans le monde en 2011, contre seulement 32 millions de netbooks.
Jeff Orr, directeur responsable des appareils mobiles, explique pourquoi les tablettes séduisent de plus en plus de monde : "Une tablette multimédia est perçue comme étant plus simples à utiliser, comparées à un ordinateur avec son clavier et sa souris. Ceux qui ont abandonné les ordinateurs parce que c'était trop difficile à utiliser voient ces tablettes comme un moyen plus simple de se connecter à internet. Son coût, en revanche, n'est certainement pas une motivation majeure, puisqu'une tablette coûte en moyenne 600$ [440€ environ NDLR], soit environ le double d'un netbook."
Crédit photo D.R.
Windows 8 sur les ultrabooks attendu en 2012
Les premiers ultrabooks équipés de Windows 8 feront leur entrée sur le marché à partir de l'année prochaine, a indiqué cette semaine un dirigeant d'Intel. Dans une interview téléphonique qui s'est déroulée après la publication des résultats du troisième 2011 du fondeur, Tom Kilroy, directeur général des ventes mondiales, a estimé que l'OS de Microsoft pourrait contribuer à dynamiser la demande. « Plus de 60 modèles d'ultrabooks seront disponibles d'ici 2012, et au moins 11 seront sur le marché d'ici la fin de cette année », a t-il précisé. La croissance devant se faire au cours du second semestre de 2012 en raison de la rentrée scolaire et de la saison des fêtes.
Le dirigeant a indiqué qu'en plus de Windows 8, ces ultrabooks seraient équipés de processeurs Core basés sur l'architecture Ivy Bridge, qui améliorent leurs performances et leur graphisme. Il a affirmé que quatre des dix ordinateurs portables vendus d'ici la fin de l'année prochaine seraient des ultrabooks. « A en juger par l'enthousiasme qu'ils suscitent, c'est un objectif réaliste», a estimé Tom Kilroy.
De son côté, Microsoft n'a toujours pas dévoilé la date de sortie de Windows 8. Lors d'un discours effectué la semaine dernière à Dell World, Steve Ballmer, PDG de Microsoft, avait indiqué qu'une version de Windows pour les développeurs avait été lancée le mois dernier et qu'une version bêta était prévue pour bientôt.
Relancer l'intérêt pour les PC
Les ultrabooks d'Intel s'apparentent à des ordinateurs portables minces et légers qui font moins de 20 millimètres d'épaisseur (0,8 pouce) et qui possèdent des caractéristiques similaires à celles des tablettes. Présentés par Intel en milieu d'année, ils sont censés relancer l'intérêt pour les PC, dont les ventes se sont effondrées.
Les premiers ultrabooks ont déjà été annoncés par Lenovo, Acer, Asus et Toshiba. Ils utilisent des processeurs Intel Core basés sur l'architecture Sandy Bridge. Ces ordinateurs ressemblent au MacBook Air d'Apple, mais ils sont légèrement plus fins.
Ceux qui sortiront l'année prochaine disposeront d'une plus grande autonomie et posséderont des écrans tactiles pour profiter de l'interface tactile Metro de Windows 8. Les processeurs Ivy Bridge viendront renforcer leur graphisme et leurs fonctions de sécurité. Mais avec un prix moyen actuel d'environ 1 000 dollars, ces modèles sont jugés trop coûteux pour de nombreux consommateurs. Reconnaissant les difficultés économiques et un marché sensible aux prix, le PDG d'Intel, Paul Otellini, a affirmé que le développement des ultrabooks n' en était qu'à ses débuts et que les prix pourraient baisser d'ici l'an prochain. Selon le dirigeant, la baisse des tarifs des composants clés, tels que les écrans tactiles et les disques SSD, contribuera à réduire les prix des ultrabooks.
Les tablettes, un segment également ciblé par Intel
Paul Otellini estime que Windows 8 stimulera les ventes d'ultrabooks Il a rappelé que son entreprise avait pour habitude de bénéficier des dernières versions de l' OS de Microsoft. Selon Gartner, après un marasme prolongé dû à la crise, la sortie de Windows 7, en octobre 2009, avait fait grimper les ventes de PC au cours du quatrième trimestre de la même année, affichant le plus fort taux de croissance annuel jamais enregistré en sept ans,
Windows 8 fonctionnera également sur des tablettes, ce qui pourra aider à Intel à se positionner sur ce marché, a pressenti Tom Kilroy. Cependant, la firme de Santa Clara sera confrontée à ARM, dont les processeurs équipent la plupart des tablettes actuelles. Windows 8 fonctionnera à la fois avec des puces x86 et des processeurs sous ARM. Qualcomm, Nvidia et Texas Instruments préparent actuellement des puces à base d'ARM pour des terminaux qui fonctionneront sous Windows 8. Paul Otellini a enfin affirmé qu'Intel pouvait se différencier en apportant le support traditionnel des PC sur les tablettes, une caractéristique souhaitée par de nombreux utilisateurs. Microsoft a pour sa part déclaré que les tablettes équipées de Windows 8 et possédant des processeurs ARM ne fonctionneraient pas avec des anciennes applications Windows 7 écrites pour des puces x86.
La firme de Santa Clara se prépare également à équiper des smartphones et des tablettes qui tourneront sous Android, avec une puce Atom, nom de code Medfield. Les terminaux Medfield seront annoncés au cours du premier semestre 2012
(...)
Entretien avec Jean Bernard Schroeder : il faut s'approprier la télémédecine
Qu'est-ce que la télémédecine concrètement, et qui l'utilise aujourd'hui ?
La téléconsultation est la forme la plus connue de la télémédecine. Elle est notamment utilisée dans les maisons de retraite. Le patient doit s'installer dans une salle spécialisée, accompagné d'un professionnel de santé qui n'intervient pas pendant la consultation. De l'autre côté de l'écran, il y a un médecin généraliste ou spécialiste qui interroge le patient sur ses symptômes comme dans un cabinet médical. Il peut également examiner une plaie à distance par exemple. C'est très naturel et cela permet au patient de rester dans son environnement.
Est-ce qu'un patient lambda peut utiliser cette pratique à son domicile ?
Cela existe, mais c'est exceptionnel. On y viendra certainement avec le temps, mais il faut que le patient sache utiliser ce type de technologie. On peut l'imaginer à terme. Peut-être plus avec le télésuivi. Pour certains patients en difficulté, cela pourra être un rendez-vous à distance, en complément des consultations traditionnelles. Mais il faut d'abord que les médecins s'approprient la télémédecine.
Le décret d'application de la télémédecine célèbre son premier anniversaire. Aujourd'hui, quels sont les freins au développement de cette pratique ?
Les médecins représentent un frein au déploiement de la télémédecine, car ils sont confrontés à des problèmes d'ordre technologique, mais également de coût, d'organisation et d'infrastructure. Un accompagnement important doit être fait auprès du corps médical. Pour eux, c'est une charge de travail conséquente en supplément de leurs consultations quotidiennes. Pour le moment, ils voient plus les inconvénients de la télémédecine que ses avantages. Il y a un gros travail pédagogique à faire.
Combien de patients et de médecins utilisent aujourd'hui la télémédecine ?
Aujourd'hui, il est impossible de donner des chiffres exacts. En télécardiologie, il y a environ 10 000 patients qui profitent de cette pratique pour quelques centaines de médecins, 300 maximum. Je peux vous dire cependant que la télémédecine se décline en plusieurs activités, comme la télérespiration, télédialyse ou téléradiologie.
Avez-vous eu des retours, qu'ils soient positifs ou négatifs, de patients et de professionnels de santé ?
D'une façon générale, les patients et les professionnels de santé qui ont testé la télémédecine considèrent que c'est une pratique sécurisante. Les retours sont globalement positifs, notamment dans le domaine du diabète. La télémédecine permet aux patients atteints de diabète d'améliorer considérablement leur qualité de vie, grâce à un suivi régulier de la pathologie. Cela sert énormément pour les maladies chroniques qui sont une priorité, notamment l'insuffisance respiratoire, l'hypertension ou l'apnée du sommeil, car cette pratique offre un suivi du patient à distance et en temps réel. Je ne vois pas comment on pourra se passer de la télémédecine dans l'avenir.
Les Français ne craignent-ils pas de perdre la relation privilégiée qu'ils ont aujourd'hui avec leur médecin ?
Je ne crois pas. Cela va forcément dépendre des personnes. Il y a tout de même des consultations physiques, même si celles-ci sont plus espacées. Tout est question d'apprentissage. La télémédecine permet au médecin de surveiller plusieurs patients en continu à travers son écran. C'est de la fatigue en moins pour les professionnels de santé, et une plus grande attention pour les patients. Le bilan est forcément positif pour les deux parties.
Les ventes de Mac et d'iPad se portent très bien
Au cours du troisième trimestre 2011 (arrêté au 24 septembre), Apple a vendu 17,07 millions d'iPhone dans le monde, ce qui représente une progression de 21% en volume par rapport au même trimestre en 2010. Dans le même temps, 11,12 millions d'iPad ont été écoulés (+166% par rapport à 2010) ainsi que quelques 4,89 millions d'ordinateurs (+26%). Seul secteur en baisse, l'iPod, avec ses 6,62 millions de ventes (-27%).
La dynamique est bonne pour Apple, puisque le quatrième trimestre a plutôt bien commencé. La firme de Cupertino a en effet annoncé dans un communiqué avoir déjà vendu quatre millions d'iPhone 4S en trois jours seulement.
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