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PC et portables

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(25/10/2011 15:06:08)

VMworld 2011 : VMware précise ses solutions pour l'ère post-PC

Avec la consumérisation IT qui touche de plein fouet les entreprises, certains sujets ne peuvent plus être évités selon VMware : les sociétés devant désormais inclure les appareils mobiles dans leurs stratégies IT. Les entreprises doivent faire en sorte que les utilisateurs puissent accéder à leurs applications à partir de terminaux mobiles. Tout cela fait partie de l'ère  «post-PC » comme l'a une nouvelle fois indiqué Paul Maritz, le CEO de la compagnie. Ce dernier estime que les utilisateurs utilisent de plus d'applications non-Windows et ce sur différent type de terminaux. M.Maritz a expliqué comment les produits VMware peuvent fournir les bases pour ces usages. 

VMware vFabric propose ainsi un ensemble d'outils pour aider les développeurs à construire des applications qui peuvent s'exécuter en mode natif dans le cloud. CloudFoundry fournit une Platform-as-a-Service (PaaS) que les clients peuvent utiliser pour exécuter leurs propres applications sur du matériel externes. VMware View 5 - une solution VDI (Virtual Desktop Infrastructure) -  permet aux utilisateurs d'accéder à leurs données et à leurs applications à travers un large éventail de terminaux.

Horizon, un service sur plusieurs étages

View 5 n'est en fait qu'une des couches de la solution de l'éditeur qui repose sur plusieurs stacks : Horizon, un portail qui prend l'authentification et la gestion des utilisateurs VDI et leurs permet de facilement télécharger et installer des applications à partir d'un référentiel central, View pour déployer des bureaux virtuels sur les postes de travail comme sur les terminaux mobiles de type tablettes (iPad pour le moment) et smartphones (Android seulement pour l'instant avec LG et Samsung) et Horizon Mobile pour proposer des applications sur ces différentes plates-formes.

PC, tablette ou smartphone, l'ambition de VMware est de proposer aux utilisateurs un environnement de travail offrant les mêmes outils et les mêmes documents. Après le poste de travail, les efforts se portent en effet aujourd'hui sur les terminaux mobiles et plus particulièrement sur les smartphones. Sur la question du développement de solutions de virtualisation pour smartphones, Hoofar Razavi, en charge de l'activité mobilité chez l'éditeur nous a confié que VMware  était agnostique au sujet des OS mobiles, « nous supportons tous les terminaux si nous avons la demande et la coopération du constructeur [...], nous n'annonçons rien pour l'instant pour Apple et nous ne faisons pas de commentaires. Nous n'avons pas de problèmes avec Apple, nous avons le produit Fusion pour Mac et View pour iPad ».

Hyperviseur maison pour mobiles

Suite au rachat de l'éditeur grenoblois Trengo Systems en octobre 2008, VMware possède son propre hyperviseur de type 2 pour mobiles qui permet de séparer les espaces personnels et professionnels sur un smartphone. En fonction de leurs privilèges, les utilisateurs peuvent accéder aux ressources dont ils ont besoin pour travailler à distance. Et avec la plate-forme Horizon Mobile, chaque  entreprise pourra proposer à ses utilisateurs l'accès à une boutique d'apps validés par l'entreprise. Les liaisons entre le smartphone et le réseau de l'entreprise peuvent bien sûr passer par un VPN crypté et en cas de perte du smartphone, ce dernier peut être effacé à distance pour en laisser subsister que la partie personnelle. Même cas de figure en cas de départ de l'employé de l'entreprise. A terme, l'idée est de laisser les utilisateurs choisir leurs outils informatiques (PC ou Mac, iPhone, iPad, Blackberry, Windows Phone ou Android) et de leur donner un accès identique aux services de l'entreprise grâce aux solutions de virtualisation de l'éditeur. Une vraie révolution pour les services informatiques.

Illustration principale : Paul Maritz, CEO de VMware, à l'occasion de VMWorld

 

 





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(25/10/2011 14:50:44)

Quest acquiert ChangeBase, spécialiste de la migration applicative

Quest Software étoffe son portefeuille de solutions pour les migrations vers des environnements Windows avec le rachat de ChangeBase. Ce dernier édite des logiciels d'analyse, de correction et de conversion automatisée des applications vers Windows 7 et prochainement 8, Internet Explorer 8 et 9, mais aussi Terminal Server/Remote Dekstop Session Host, VDI et virtualisation d'applications. De plus en plus de sociétés ou d'administrations, qui sont dans une logique de migration vers l'OS Windows plus récent, sont confrontées à la compatibilité de leurs applications. Des solutions d'automatisation pour tester cette interopérabilité existent comme AppDNA, App-V ou ChangeBase.

Quest n'a pas dévoilé le montant de la transaction. L'éditeur souhaite accélérer les processus de migration du parc applicatif de ses clients.

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(25/10/2011 11:01:25)

Test Apple MacBook Air : mince et performant

Avec le premier MacBook Air, introduit en 2008, Apple avait opté pour des choix vraiment extrêmes : des prix coquets, un seul port USB 2.0 dans une trappe coulissante peu pratique, une batterie lithium-polymère intégrée et non amovible, de la mémoire vive soudée et donc non extensible, pas de connecteur Ethernet ni de lecteur optique... C'était aussi un design réussi avec son mince châssis en aluminium, une puce Intel Core 2 Duo (Penryn), un pavé tactile multitouch...

Trois ans après, Apple a dévoilé en aout dernier la dernière évolution de la seconde génération du MacBook Air, désormais disponible en deux tailles d'écran (11,6 et 13,3 pouces) et bénéficiant d'un châssis plus carré. Les courbes du 1er Air ont en effet fait place à un boitier Unibody (d'une seule pièce) plus « moderne » en octobre 2010. Le constructeur avait également profité de l'occasion pour remplacer le vieux pavé tactile avec bouton séparé par un trackpad multi-touch en verre. La mise à jour d'aout dernier fait la part belle à Intel avec l'intégration de puces double coeur Core i5 et i7 basées sur l'architecture Sandy Bridge et du circuit vidéo HD Graphics 3000.



Sandy Bridge et disque SSD, un bon duo

Pour ce test, nous avons disposé d'un MacBook Air 13,3 pouces équipé d'un processeur Core i5 à 1,7 GHz, épaulé par 4 Go de RAM. L'espace de stockage repose sur un SDD d'une capacité de 256 Go extensible si besoin via une carte SD. Dernière information d'importance, ce produit était bien sûr livré avec MacOS X 10.7 Lion.

Ce MacBook Air est équipé d'un écran LCD rétroéclairé par LED et de type brillant (le mat n'est plus une option). Contrairement aux modèles MacBook Pro, qui disposent d'une simple dalle de verre à travers toute la face avant de l'écran, le MacBook Air continue à intégrer une couche de verre ultra-mince située derrière la lunette, ce qui le rend moins sensible aux reflets. Comme tous les autres ordinateurs portables Mac, on retrouve une webcaméra FaceTime située immédiatement au-dessus de l'écran. Cette mini caméra n'atteint toutefois pas la résolution HD des MacBook Pro et iMac.

Un chassis revisité

Depuis octobre 2010, le châssis de ce micro nomade est en forme de coin, avec une base arrière plus épaisse que l'avant. Il n'y a pas de place pour un lecteur optique ou même un disque dur à plateau. Apple propose donc un SSD sur tous les modèles de la gamme. Sur les côtés, on trouve un peu de place pour quelques connecteurs: sur la partie gauche, il y a un seul port USB 2, une prise casque et une prise d'alimentation MagSafe. Sur la droite, un autre port USB 2, un lecteur de carte SD (sur le modèle de 13 pouces seulement), et à la place du mini DisplayPort, une interface Thunderbolt.

Principale différence avec la génération précédente, le retour du clavier rétro-éclairé. Un vrai luxe, mais tellement agréable quand on travaille dans un endroit mal éclairé. Les deux modèles sont également légèrement plus lourds que les précédents 11 et 13 pouces avec respectivement 20 et 30 grammes de plus (1, 08 et 1,35 kg). Apple a été bien inspiré de ne pas modifier le design de ses MacBook Air qui restent une jolie paire d'ordinateurs portables sans équivalent dans le monde PC même si Intel a décidé de réagir en poussant sous les feux de la rampe ses UltraBooks. Le modèle 11,6 pouces en particulier est le plus petit ordinateur portable d'Apple de tous les temps et reste parfaitement utilisable avec un clavier pleine taille et une résolution de 1366 x 768 pixels. Le 13 pouces qui semble plus confortable que le 11, reste néanmoins plus mince et plus léger que le MacBook Pro 13 pouces.


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Mais la véritable différence entre ces deux modèles est à l'intérieur du châssis avec l'intégration des puces Core i5 et i7 ultrabasse tension Sandy Bridge d'Intel. Pour la première fois, l'Air peut offrir des performances plus proches de celles des autres MacBook. Bien que la vitesse d'horloge du processeur de ce 13 pouces est en réalité plus faible que celle de la génération précédente (1,7 contre 1,8GHz), la série Core i5 est largement supérieure aux processeurs Core 2 Duo des anciens modèles (Apple vient d'ailleurs de mettre à jour ses MacBook Pro avec des puces Core i5 et i7 Sandy Bridge). Lors de tests réalisés par le labo américain d'IDG, le MacBook Air Sandy Bridge a été 1,5 fois plus rapide que son prédécesseur. Encoder une vidéo avec HandBrake s'effectue presque deux fois plus vite sur le nouveau 13 pouces.

Pourquoi le Core i5 parvient à être plus rapide qu'un Core 2 Duo doté d'une fréquence supérieure ? Grâce à deux améliorations d'Intel : l'Hyper-Threading et le mode Turbo Boost. Avec l'Hyper-threading, l'OS croit pouvoir compter sur quatre coeurs alors que deux seulement sont physiques. Les deux unités virtuelles supplémentaires permettent au processeur de fonctionner plus efficacement quand il s'agit de traiter des calculs complexes. À bien des égards, la technologie Turbo Boost produit l'effet inverse: quand un des deux coeurs du processeur est désactivé, la puce peut augmenter sa vitesse d'horloge, pour travailler plus efficacement avec des logiciels plus anciens et pas vraiment optimisés pour le parallélisme. Il y a cependant un point sur lequel ce MacBook Air est en régression par rapport à l'ancien modèle, c'est le circuit graphique. La puce Nvidia GeForce 320M a été remplacée par un circuit intégré Intel HD Graphics 3000. Avec les tests réalisés avec Cinebench OpenGL et une démo de Call of Duty, les  performances étaient médiocres. Les résultats de ce modèle 2011 sont de 64 à 70% des unités 2010. Avec les tests réalisés avec Valve 2, un jeu plus récent, les résultats ont été bien meilleurs: le MacBook 2011 a été capable d'afficher un nombre d'images par seconde légèrement supérieur au modèle 2010.

Une bonne autonomie avec le WiFi

Pour la partie autonomie, le résultat a été de cinq heures et demi avec le WiFi activé avec le test qui vide automatiquement la batterie. Apple annonce 7 heures sur sa fiche technique. Un bon résultat donc pour un portable aussi mince.

Si le MacBook Air est bien à ranger dans la catégorie des ultraportables qui ne sont pas censés convenir à tous les utilisateurs, notamment comme machine principale, la case options chez Apple permet de réviser cette opinion. En effet, connecté à l'écran Apple Thunderbolt Display, un 27 pouces offrant une résolution de 2 560 x 1 440 pixels, le MacBook Air change de catégorie. Grâce à l'interface Thunderbolt, cet écran se transforme en une véritable station d'extension pour le petit portable. USB 2.0, FireWire 800, Ethernet, haut-parleurs, webcam et même connecteur MagSafe pour l'alimentation électrique permettent d'étendre les capacités de ce MacBook Air. Le prix est malheureusement à la hauteur de la proposition : comptez 999 euros pour ce moniteur 27 pouces suréquipé. Ce qui amène le duo MacBook Air Core i5/ Thunderbolt Display à 2498 €. Auxquels il faut encore ajouter un clavier et une souris sans fil mais au final, on se retrouve avec une solution unique sur le marché et à l'intégration particulièrement soignée.

 

 

 

 

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(24/10/2011 15:38:00)

Qlikview 11 privilégie le collaboratif

Le spécialiste de la Business Intelligence conduite par l'utilisateur, Qliktech, a présenté la dernière version de sa solution Qlikview. La 11ème édition comprend plusieurs fonctionnalités complémentaires et l'éditeur a travaillé sur cinq thèmes en particulier rappelle Stéphane Briffod, commercial avant-vente chez Qliktech. En premier lieu, le collaboratif car « il est nécessaire de partager l'information, mais aussi de savoir d'où viennent les sources » précise le responsable. Pour cela, Qliktech a intégré un système d'annotation au sein d'une session de Qlikview. Par exemple, si un directeur commercial travaille sur une analyse des parts de marché de certains produits dans une zone géographique particulière, il peut lorsqu'il affine sa recherche, annoter la page et la transmettre par mail à ses collaborateurs pour avoir des informations en retour. Stéphane Briffod indique que cette fonctionnalité est disponible avec des outils de collaboration existant comme Chatter de Salesforce.com et Sharepoint de Microsoft.

Le partage d'écran avec des utilisateurs extérieurs fait aussi son apparition. La partie mobile est aussi un des thèmes importants de Qlikview 11, la solution est d'ailleurs portée sur les smartphones et les tablettes comme l'iPad, mais aussi la Playbook de Blackberry ou les terminaux fonctionnant sous Android.

Autre axe de l'offre décisionnelle, le développement rapide d'applications. Pour ce dernier, Stéphane Briffod indique « nous avons affiné la récupération de sources d'information pour créer sa propre application de BI à partir des données les plus pertinentes (tableur, graphes, rapports, etc.) ». De plus, Qlikview s'interface avec d'autres plateformes comme Powercenter d'Informatica, mais aussi SAP et Salesforce.com.

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(21/10/2011 17:21:28)

Recap IT : Les acteurs de l'IT à l'heure de l'unification et de la pré-configuration

Intégration, unification, pré-configuration, ont été les maîtres mots de la semaine. Les différentes annonces et évènements montrent que le secteur de l'IT après avoir eu une frénésie de rachats, commence doucement mais surement à digérer et à intégrer leurs acquisitions. Ainsi, IBM a annoncé des mainframes et des serveurs préconfigurés avec des solutions analytiques. De son côté HP lance des serveurs intégrant Hyper-V de Microsoft. Le même HP collabore avec Cisco sur des commutateurs pour des serveurs blade à la demande des clients.

Il a été question d'intégration aussi lors de l'évènement DellWorld 2011, notamment sur la partie stockage. Le constructeur Texan a rompu son partenariat avec EMC et va mettre en avant son portefeuille de produits. Seulement, il reste encore du travail d'intégration. Du côté de VMworld 2011 à Copenhague, l'heure est à la simplification de la gestion des clouds. Le spécialiste de la virtualisation laisse aux partenaires le soin de l'aider dans sa démarche, une stratégie souvent payante.

BBX et Android 4.0, symboles des OS unifiés


Après le gros passage à vide des services de BlackBerry, l'heure est à la contrition chez RIM qui a promis des dédommagements à savoir 100 dollars en apps pour les particuliers et une extension du support pour les professionnels. RIM a aussi profité de sa conférence développeur pour unifier ses OS smartphone et tablette au sein de BBX. Le constructeur canadien n'a pas donné beaucoup de détails, mais il semble que le nom pose déjà des problèmes de droit de propriété. Autre acteur qui tente d'unifier ses OS, Google avec la sortie des premiers terminaux sous Android 4.0 aussi connu sous le nom Ice Cream Sandwich.

Pendant ce temps-là, Apple surfe sur la vague iPhone 4S qui s'est vendu à 4 millions d'exemplaires en 3 jours et affiche des résultats satisfaisants. iFixit a démonté le terminal pour découvrir qu'il n'embarquait que 521 Mo  de mémoire vive. iSuppli de son côté a calculé que le matériel composant le smartphone d'Apple coûtait 188 dollars soit le même prix que son prédécesseur. On notera également qu'un hacker irlandais a semble-t-il porté Siri, l'assistant vocal, sur un iPhone 4.

Buzz s'éteint et Google+ étend son emprise


Symptomatique de cette tendance centrifuge à l'unification, Google a annoncé la fermeture prochaine de son service Buzz, ainsi que d'autres offres qui restaient plus anecdotiques. La raison de cet arrêt est bien évidement le succès de Google+. Le réseau social de l'éditeur étend son emprise sur les autres applications, ainsi les apps et Gmail vont succomber à la tentation. Cette tendance n'est pour autant pas une surprise et selon le PDG de Twitter, la meilleure stratégie est celle de la simplicité, CQFD...

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